Scout Motors, la marque renaissante de véhicules utilitaires légers du groupe Volkswagen, a confirmé que les batteries de ses deux premiers modèles électriques, le pick-up Terra et le VUS Traveler, seront fournies par PowerCo, la filiale spécialisée du groupe VW. L’annonce a été faite le 7 septembre, lors du salon IAA Mobility à Munich, par le PDG Scott Keogh. Même si le contrat d’approvisionnement officiel n’est pas encore signé, Scout a pris la décision stratégique de miser sur l’usine de PowerCo en construction à St. Thomas, Ontario. Ce projet colossal, évalué à 7 milliards $ US, doit débuter sa production de cellules de batteries en 2027 et deviendra la seule usine de batteries du groupe Volkswagen en Amérique du Nord.

Un pari audacieux malgré le ralentissement du marché des VÉS

Contrairement à d’autres constructeurs qui ralentissent leurs projets de VÉS face à une adoption plus lente que prévu, Scout maintient son calendrier. La nouvelle usine d’assemblage de Blythewood, en Caroline du Sud, entrera en production fin 2027, moment où les premiers modèles Terra et Traveler devraient être livrés. Cependant, la décision intervient dans un contexte compliqué. Aux États-Unis, la suppression du crédit d’impôt fédéral de 7 500 $ US pourrait freiner la demande. Au Canada, le programme de rabais fédéral de 5 000 $ pour les VÉ est également suspendu temporairement, ce qui pourrait influencer les ventes à court terme.

Des véhicules pensés pour l’Amérique

Scout Motors, relancé sous la bannière Volkswagen, adopte une stratégie centrée sur le marché nord-américain. Les Terra et Traveler sont conçus sur une plateforme à châssis sur cadre développée spécifiquement pour les besoins des consommateurs américains : robustesse, capacité hors route et polyvalence. Le design et la production sont intégralement pensés pour séduire les acheteurs nord-américains. Toutefois, la plateforme pourrait être adaptée à d’autres marchés comme l’Australie ou l’Afrique du Sud. Pour le moment, l’objectif est clair : réussir le lancement américain avant d’envisager une expansion internationale.

Une production locale et un ancrage économique fort

L’usine de St. Thomas, qui doit alimenter Scout Motors mais aussi d’autres marques du groupe Volkswagen, s’inscrit dans un mouvement plus large de réindustrialisation en Amérique du Nord. Scott Keogh souligne que le projet permet de maximiser le contenu local et de créer des emplois directs et indirects au Canada et aux États-Unis. Le site de Blythewood a également été choisi pour sa proximité avec le port de Charleston, l’un des principaux points d’exportation de véhicules légers aux États-Unis. Selon Keogh, cette approche permettra d’optimiser la chaîne d’approvisionnement et de réduire les coûts logistiques.

Un carnet de commandes déjà solide

Depuis la présentation des modèles en octobre 2024, Scout Motors a enregistré entre 130 000 et 140 000 réservations. Les clients ont pu réserver un Terra ou un Traveler pour 100 $ US, un dépôt entièrement remboursable. Malgré des tensions avec certains concessionnaires Audi et Volkswagen aux États-Unis — qui contestent la stratégie de vente directe au consommateur —, Scout maintient sa vision et table sur un lancement réussi pour s’imposer comme une nouvelle référence du segment.

Conclusion

En confiant la fourniture de ses batteries à PowerCo, Scout Motors s’ancre solidement en Amérique du Nord tout en misant sur une production locale. L’usine géante de St. Thomas deviendra un élément clé de la stratégie électrique de Volkswagen sur le continent, et le lancement des modèles Terra et Traveler en 2027 pourrait repositionner la marque comme un acteur incontournable des pick-up électriques.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

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Pour une deuxième année consécutive, Benoit Lavigne et Germain Goyer sont fiers d’avoir organisé le rassemblement de Mazda MX-5 Miata en collaboration avec Mazda Canada.

Le dimanche 7 septembre dernier, plus de 250 Mazda MX-5 Miata des quatre générations ont afflué vers le bureau régional du constructeur à Pointe-Claire dans l’ouest de l’île de Montréal.

Voici en rafale quelques faits saillants:

  • Après avoir assisté au dévoilement de la Miata au Salon de l’auto de Chicago et au lancement de la Miata en 1989 dans les semaines suivantes, le journaliste automobile Marc Lachapelle a pu boucler la boucle de son aventure avec le roadster japonais. Une Mazda Miata 1990 (production avril 1989) identique à celle conduite 35 ans plus tôt à Hawaï lui a été remise pour la fin de semaine.

  • Parmi les centaines de Miata présentes cette année, nous avons recensé la plus vieille de l’exposition. Avec son numéro de série se terminant par 0862, elle est la 862e produite mondialement (production avril 1989). Aux côtés des nombreux exemplaires peints en rouge et des quelques unités en bleu, cette Miata blanche était l’une des pièces maitresses de l’hommage aux trois couleurs d’origine.

  • Pour souligner le 35e anniversaire de la MX-5, Mazda a lancé pour 2025 une édition commémorative à tirage limité (seulement 230 unités allouées pour le Canada). Grâce à cette exposition, nous avons rassemblé un total de neuf exemplaires.

  • L’événement a accueilli plus de 250 voitures voitures venant des quatre coins du Québec et de l’Ontario de même que plusieurs centaines de visiteurs.

  • L’événement était totalement gratuit cette année encore. Des fonds ont été amassés pour la Fondation Charles-Bruneau.

Le texte Un succès pour le deuxième rassemblement Mazda MX-5 Miata provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La firme américaine Cerence AI s’associe à Microsoft pour développer un assistant vocal intelligent destiné aux véhicules, qui intègre Microsoft 365 Copilot. L’objectif : permettre aux conducteurs et aux passagers de travailler en déplacement, tout en réduisant les distractions au volant.

L’annonce a été faite ce 8 septembre lors du salon IAA Mobility 2025 à Munich.

La voiture devient un bureau mobile

Alors que les constructeurs automobiles rivalisent pour transformer leurs véhicules en espaces connectés, Cerence franchit une nouvelle étape. L’intégration de Microsoft 365 Copilot vise à répondre à une double demande : accroître la productivité mobile et assurer la sécurité des conducteurs.

Les véhicules deviennent ainsi des espaces de travail sécurisés où il sera possible de gérer son calendrier, de rédiger des messages ou d’accéder à Teams, Outlook et OneNote, simplement en utilisant sa voix, sans jamais quitter la route des yeux ni les mains du volant.

Cerence et Microsoft lancent un assistant vocal intelligent pour travailler en voiture | Auto123.com

Une plateforme sécurisée et intégrée

L’assistant repose sur la plateforme Cerence xUI et s’adresse autant aux conducteurs qu’aux passagers. Il est conçu en collaboration avec les constructeurs et les équipes informatiques des entreprises pour garantir un haut niveau de sécurité des données. Grâce à l’intégration de Microsoft Intune, les informations professionnelles resteront protégées et conformes aux normes de chaque compagnie.

Une IA adaptative et contextuelle

L’assistant vocal de Cerence se distingue par sa capacité d’adaptation. Il reconnaît si l’utilisateur conduit, est stationné ou se trouve dans un véhicule autonome. Il peut anticiper les besoins, et ainsi suggérer des itinéraires selon l’agenda, apprendre les préférences de l’utilisateur ou interrompre une conversation lorsqu’un moment de silence est demandé.

Un partenariat stratégique avec Microsoft

Cette annonce s’appuie sur une collaboration déjà existante entre Cerence et Microsoft. Depuis 2024, les deux entreprises travaillent ensemble pour intégrer ChatGPT dans les systèmes d’infodivertissement de constructeurs comme Renault, Volkswagen, Audi et Škoda, via Microsoft Azure OpenAI Services.

Une bataille pour le contrôle de l’expérience en voiture

Le marché des assistants vocaux automobiles attire de plus en plus de géants de la technologie. Google, Apple et Amazon ont déjà investi massivement dans des écosystèmes connectés, tandis que des acteurs comme SoundHound AI et Harman développent leurs propres solutions.

Face à cette concurrence, Cerence mise sur son expertise exclusive du secteur automobile et sur ses partenariats étroits avec les constructeurs pour offrir une expérience plus intégrée, sécurisée et personnalisée.

Une ombre au tableau : Cerence poursuit Apple

Quelques jours avant cette annonce, Cerence a déposé une poursuite pour violation de brevet contre Apple devant un tribunal fédéral américain. L’entreprise accuse Apple d’utiliser sans autorisation certaines de ses technologies, notamment en reconnaissance vocale et en commande par la voix.

Déploiement et perspectives

Cerence affirme que sa technologie d’IA conversationnelle est déjà intégrée dans plus de 525 millions de véhicules dans le monde. Mercedes-Benz l’utilise notamment pour améliorer son assistant vocal MBUX, tandis que le constructeur chinois BYD l’adopte dans le cadre de son expansion européenne.

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Volkswagen est en négociations avancées avec le gouvernement américain afin de conclure un accord pour des investissements massifs aux États-Unis. L’objectif : atténuer l’impact des droits de douane sur les véhicules importés d’Europe et renforcer la production locale dans le deuxième plus grand marché automobile au monde.

Des droits de douane qui coûtent des milliards

Lors du salon automobile IAA de Munich, le PDG de Volkswagen, Oliver Blume, a dénoncé un accord commercial « asymétrique » entre l’Union européenne et Washington. Les importations d’automobiles européennes vers les États-Unis sont frappées de tarifs allant jusqu’à 27,5 %. En revanche, les produits industriels américains entrent librement en Europe, sans droits de douane.

Selon Oliver Blume, ces mesures ont déjà coûté plusieurs milliards d’euros à Volkswagen depuis le début de l’année, particulièrement pour les marques Audi et Porsche, qui ne disposent pas d’usines d’assemblage aux États-Unis.

Un plan d’investissement massif pour produire localement

Pour contrer cette situation, Volkswagen envisage des investissements importants en Amérique du Nord :

  • • Construction potentielle d’une nouvelle usine Audi aux États-Unis.
  • • Renforcement des chaînes d’approvisionnement locales pour réduire la dépendance aux importations.
  • • Création de nouveaux emplois pour obtenir le soutien des autorités américaines.

Volkswagen espère ainsi obtenir un appui financier ou fiscal de la part de Washington pour faciliter cette expansion.

Volkswagen négocie un investissement majeur aux États-Unis pour contourner les droits de douane | Auto123.com

Une décision urgente pour Audi et Porsche

Oliver Blume a indiqué que le groupe devait prendre des décisions rapidement. Le dirigeant reconnaît que Porsche est particulièrement touchée, se retrouvant « prise en sandwich » entre les tarifs élevés américains et la faiblesse du marché chinois.

L’enjeu politique : la promesse d’une baisse des tarifs

Comme ses concurrents, Volkswagen attend la mise en place de la réduction des tarifs d’importation à 15 %, une mesure promise par l’administration Trump. Cette baisse permettrait d’alléger la pression financière sur les constructeurs européens et d’accélérer leurs investissements.

Gouvernance : Oliver Blume sous pression

M. Blume, qui cumule actuellement les fonctions de PDG de Volkswagen et de Porsche, a confirmé que cette double casquette n’était pas une solution à long terme. Le groupe n’a toutefois pas encore décidé quelle fonction il conservera, un sujet qui suscite des critiques de la part des actionnaires et des syndicats.

Une stratégie offensive sur le marché nord-américain

Pour Volkswagen, l’enjeu est clair : renforcer sa présence locale pour protéger ses marges et accélérer l’électrification de sa gamme aux États-Unis. En produisant davantage sur le sol américain, le constructeur vise à contourner les barrières douanières et à mieux affronter ses rivaux comme Tesla, GM et Ford.

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S’il était toujours vivant, Peter Sellers aurait 100 ans aujourd’hui. Né le 8 septembre 1925 à Southsea, dans le sud de l’Angleterre, l’acteur qui a créé le rôle de l’inspecteur Clouseau dans le film La Panthère rose de 1963 sera à l’honneur ces jours prochains à la télé, c’est sûr. Il le sera aussi le 13 septembre prochain lorsque la Bentley S2 Continental Drophead Coupé 1960 qui lui a appartenu sera offerte à la vente aux enchères présentée par Bonhams dans le cadre du festival annuel de sport automobile rétro Goodwood Revival.

Grand amateur de Bentley, de Rolls-Royce, d’Aston Martin, de Ferrari, de Lotus et de Mini Cooper, Peter Sellers a possédé plus de 120 automobiles. Dans un article publié en 2020 par GQ Magazine, le journaliste Adam Hay-Nicholls écrit que le célèbre acteur, décédé à 54 ans en juillet 1980, aurait consacré sa fortune à deux choses : ses autos et les pensions versées à ses quatre ex-épouses !

Parmi toutes ces voitures, cette Bentley S2 était connue. On l’aurait vue relativement souvent, notamment sur les plateaux de tournage du film The Wrong Arm of the Law en 1963, aux studios de Beaconsfield et de Shepperton. Achetée en 1961, Peter Sellers l’a d’ailleurs conservée jusqu’en 1966, une période inhabituellement longue pour cet accro d’automobiles.

Fait à noter, cette voiture a été offerte par l’encanteur britannique H&H lors d’une vente présentée à l’Imperial War Museum de Duxford, en Angleterre, le 13 mars 2024. Toutefois, elle n’avait pas trouvé preneur.

Avant Peter Sellers

Le 11 mai 1960, Bentley expédie cette S2 Continental à Park Ward. Ce carrossier londonien avait la tâche d’en faire une Drophead Coupé, une appellation ampoulée désignant tout simplement un cabriolet. Les férus d’histoire se souviendront sans doute du fait que l’année suivante, Rolls-Royce, qui était propriétaire de Bentley depuis 1931 et de Park Ward depuis depuis 1939, a fusionné les activités de ce carrossier avec celles de son ancien concurrent H. J. Mulliner & Co. pour former Mulliner Park Ward.

Bref, environ quatre mois après l’avoir reçue, Park Wark livre à son premier propriétaire, L. E. Lawrie de Worthing dans le Sussex, cette rutilante décapotable, une des 60 qui seront construite avec une conduite à droite. Elle porte alors l’immatriculation « LEL 532 » et sa dotation sophistiquée pour l’époque comprend, entre autres, une capote électrique, des vitres électriques et des pneus radiaux. D’après les registres, sa carrosserie était de couleur sable et sa sellerie cuir beige.

En novembre 1961, lorsque Peter Sellers en fait l’acquisition, cette voiture avait parcouru environ 20 920 kilomètres (13 000 milles). Il la confie alors au concessionnaire Jack Barclay, qui va l’entretenir sans compter les frais. Situé à Berkeley Square aujourd’hui encore, il s’agit du plus ancien détaillant Bentley de Londres — le plus célèbre d’entre tous, affirment certains habitués de la marque.

Une S2 qui ressemble à une S3

D’après Bonhams, ce concessionnaire aurait supervisé la transformation de la carrosserie pour la doter de phares quadruples, comme l’indique une facture datée du 19 janvier 1962. Or, cette caractéristique est le propre des Bentley S3, le modèle qui a succédé à la S2 plus tard en 1962. Il est donc intéressant de noter que l’installation de ces phares quadruples sur la voiture de Sellers est antérieure au lancement de la S3 sur le marché britannique !

Les documents relatifs à cette voiture démontrent que les spécialistes de Jack Barclay auraient réglé plusieurs réclamations sous garantie. Ils auraient aussi apporté quelques autres modifications à la voiture, comme la pose d’un rétroviseur fumé avec bras plus long donnant plus de liberté de mouvement au pare-soleil, un accessoire qui est toujours en place aujourd’hui.

En outre, la dernière facture émise à l’intention de Peter Sellers par Jack Barclay est datée du 8 octobre 1962 et fait état de la réfection de la banquette arrière. L’odomètre de la Bentley affichait alors 42 465 kilomètres (26 387 milles).

Par la suite, Sellers confie l’entretien de sa Bentley à un jeune spécialiste d’Aston Martin qu’il avait connu chez le constructeur : Richard Williams. Même si l’acteur était connu pour se lasser de ses voitures et les délaisser rapidement, curieusement, il va conserver cette Bentley S2 Continental pendant près de cinq ans. Et ce n’est que le 12 juillet 1966 qu’elle sera immatriculée au nom de son troisième propriétaire, un Londonien appelé G. S. Edgson qui dirigeait la société Wardour Development Co Ltd.

Le dossier rattaché à cette voiture contient de nombreuses factures d’entretien général, mais aucune trace de restauration majeure. Il semble que la capote et les moquettes aient été remplacées, mais à part cela, la Bentley semble être telle qu’à l’époque où Peter Sellers en était propriétaire.

Besoin d’amour

Ces dernières années, cette Bentley Continental a fait partie de la plus grande collection au monde réunissant des Bentley S3 Continental et des Rolls-Royce Silver Cloud III. Désormais, elle a besoin d’une remise en état, voire d’une restauration complète, reconnaît l’encanteur. Certains prétendent en riant que cette S2 a été peu restaurée volontairement afin de préserver son état original pour ne pas effacer le souvenir des nombreuses célébrités qui ont usé sa sellerie !

Aujourd’hui, la Bentley S2 Continental Drophead Coupé 1960 de Peter Seller affiche 69 060 kilomètres (42 913 milles) au compteur. Elle sera offerte aux acheteurs de la vente aux enchères Collectors’ Motor Cars and Automobilia présentée par Bonhams le 13 septembre au circuit de Goodwood, à Chichester dans le West Sussex. C’est à une quarantaine de minutes de route à l’est de… Southsea.

Les spécialistes de Bonhams estiment sa valeur entre 190 000 $ et 220 000 $CAN. Personnalisée de manière unique par Peter Sellers, cette S2 Continental sera remise à l’acheteur avec un dossier historique étoffé de nombreux souvenirs de sa carrière comprenant, entre autres, un portrait encadré et autographié de lui personnifiant l’inspecteur Jacques Clouseau, une affiche originale du film The Wrong Arm of the Law, un long jeu 33 tours mono original intitulé Best of the Goon Shows, Vol. 2 datant de 1960, un exemplaire de l’édition de septembre 1967 du magazine ABC Film Review contenant un article consacré à Peter Sellers et son film The Bobo (1967) et, enfin, de nombreuses coupures de presse originales rappelant la brillante carrière de ce grand acteur comique qu’était Peter Sellers.

Photos : Bonhams

Le texte La Bentley S2 Continental de Peter Sellers en vente à l’occasion de son centenaire provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Lors du salon IAA Mobility de Munich, la société croate Rimac Technology a présenté une batterie à électrolyte solide qui promet de révolutionner le marché des véhicules électriques. Plus compacte, plus légère et capable d’atteindre une densité énergétique inégalée, elle permet surtout une recharge ultra-rapide qui pourrait changer l’expérience de conduite.

Recharger plus vite qu’un plein d’essence

Développée en partenariat avec ProLogium et Mitsubishi Chemical Group, cette nouvelle batterie de 100 kWh pourrait faire passer la recharge d’une voiture électrique de 10 % à 80 % en seulement 6,5 minutes. C’est aussi rapide que le temps nécessaire pour faire le plein d’essence. Rimac positionne ainsi sa technologie comme une réponse directe aux critiques sur la lenteur des recharges actuelles. Cependant, pour tirer pleinement parti de ces capacités, les réseaux devront évoluer. La majorité des bornes de recharge rapide DC plafonnent encore à 350 kW, bien loin des 850 kW que peut supporter la batterie. Les exploitants disposent toutefois de temps pour moderniser leurs infrastructures, car l’arrivée de cette technologie dans les véhicules de série est prévue pour le quatrième trimestre 2027.

Des performances adaptées aux véhicules haut de gamme

Cette batterie solide devrait d’abord équiper des véhicules électriques haute performance. Déjà fournisseur de niveau 1 pour BMW et Porsche, Rimac consolide son rôle clé dans l’évolution des technologies électriques. En comparaison avec les batteries cylindriques actuelles de la marque, le nouveau pack est deux fois plus rapide à recharger, pèse près de 20 % de moins et occupe 35 litres d’espace en moins.

Sécurité, efficacité et densité énergétique

La batterie de Rimac offre également une sécurité accrue. Contrairement aux cellules liquides, il n’y a aucun risque d’incendie ou d’explosion au niveau cellulaire, un avantage considérable pour les constructeurs et les utilisateurs. Elle conserve plus de 95 % de sa capacité même à -20 °C, ce qui représente un gain majeur pour les marchés nord-américains où les hivers rigoureux posent souvent problème. Avec une densité énergétique de 2 210 W/kg et 2 980 W/litre, cette technologie surpasse nettement les performances des batteries cylindriques actuelles. Sa conception repose sur des cellules pouch assemblées selon la méthode « cell-to-pack », avec une chimie riche en nickel et une anode composée à 100 % de silicium, offrant une puissance élevée tout en réduisant le poids total du module.

Une étape cruciale pour la transition électrique

En permettant une recharge plus rapide qu’un arrêt à la station-service, Rimac franchit une étape décisive dans la démocratisation de la voiture électrique haute performance. Si les bornes de recharge suivent l’évolution technologique, cette innovation pourrait lever l’un des principaux freins à l’adoption massive des véhicules électriques.

Avec des renseignements de Inside EV’S

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Les policiers de la Sûreté du Québec (SQ) ont intercepté tôt dimanche matin un automobiliste de 26 ans circulant à 250 km/h dans une zone limitée à 70 km/h sur l’autoroute Décarie. Un excès de 180 km/h qui lui a valu une amende salée de 3 300 $ et 42 points d’inaptitude, un des montants les plus élevés jamais attribués dans la province.

Un excès de vitesse olympique

L’incident est survenu vers 5 h du matin alors que le conducteur roulait à une vitesse fulgurante dans un secteur urbain à forte densité. Selon la SQ, son permis de conduire a été suspendu pour sept jours, une sanction qui pourrait sembler minimale au regard de l’infraction. L’assureur de ce conducteur risque également d’imposer une hausse majeure des primes après un tel dossier.

La SQ met en garde contre les dangers de la vitesse

Dans un communiqué, la Sûreté du Québec a rappelé que la vitesse excessive demeure l’une des principales causes d’accidents mortels sur les routes québécoises. Les policiers soulignent qu’à de telles vitesses, la distance de freinage devient pratiquement inexistante et la capacité d’éviter un obstacle est quasi nulle.

Un deuxième cas en deux jours sur Décarie

Cet incident survient à peine 24 heures après un autre excès de vitesse majeur sur le même tronçon. Dans la nuit de samedi, vers 2 h 45, un VUS a été intercepté alors qu’il roulait à 196 km/h dans la même zone de 70 km/h. Le conducteur, âgé de 24 ans, a reçu une amende de 2 340 $, 30 points d’inaptitude, en plus de voir son permis suspendu pour sept jours et son véhicule saisi pour 30 jours.

Des comportements préoccupants sur les routes

Ces deux interventions rapprochées soulignent la nécessité de renforcer la surveillance policière sur les axes routiers urbains et de sensibiliser les conducteurs aux dangers de la vitesse excessive. La SQ rappelle que de telles manœuvres mettent non seulement en danger la vie du conducteur, mais aussi celle des autres usagers de la route.

Avec des renseignemewnts de la SQ

Le texte Intercepté à 250 km/h sur l’autoroute Décarie provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Mercedes-Benz réinvente son GLC avec l’arrivée de sa toute première version 100 % électrique pour le marché nord-américain. Depuis son lancement aux États-Unis en 2015, le GLC s’est imposé comme l’un des modèles les plus populaires de la marque. Avec cette nouvelle génération dotée de la technologie EQ, Mercedes entend s’attaquer de front à des rivaux de taille comme l’Audi Q6 e-tron, le BMW iX3 et le Porsche Macan EV.

Un VUS électrique puissant et performant

Sous son design raffiné, le GLC EV 2026 cache une batterie lithium-ion de 94 kWh capable de développer jusqu’à 483 chevaux, soit vingt de plus que le BMW iX3. Grâce à son architecture 800 volts, il annonce une autonomie maximale de 713 km selon le cycle WLTP, bien que cette estimation sera revue à la baisse dans le cadre des tests nord-américains. La recharge se veut ultrarapide : en seulement 10 minutes, il peut récupérer jusqu’à 303 km d’autonomie, établissant ainsi de nouvelles références dans la catégorie. Avec l’attelage optionnel, il offre également une capacité de remorquage de 5 291 lb, confirmant sa vocation polyvalente.

Un confort inspiré de la Classe S

Mercedes-Benz ne s’est pas contenté de l’électrifier, il a aussi élevé son niveau de confort. Le GLC emprunte la suspension Airmatic à la Classe S, combinée à un système de gestion intelligente de l’amortissement. Grâce à la fonction Car-to-X, le véhicule communique avec les infrastructures et détecte à l’avance les irrégularités de la route, comme les nids-de-poule, afin d’ajuster la suspension en temps réel. Pour améliorer l’agilité en ville, une direction arrière optionnelle permet aux roues arrière de pivoter jusqu’à 4,5 degrés, facilitant les manœuvres dans les espaces restreints.

Un design audacieux et distinctif

Esthétiquement, le GLC EV affirme son identité électrique. Sa calandre massive rétroéclairée, composée de 942 points lumineux et surmontée de l’étoile Mercedes illuminée, attire immédiatement le regard. Les phares Digital Light proposent une signature visuelle unique intégrant subtilement l’emblème de la marque, tandis que les feux arrière adoptent des éléments LED circulaires reliés par une bande lumineuse. L’empattement allongé à 117 pouces améliore la silhouette et permet un meilleur dégagement aux jambes à l’avant comme à l’arrière. À bord, l’espace de chargement est généreux et inclut un petit compartiment de rangement avant, communément appelé frunk, pour plus de praticité.

Un habitacle futuriste, technologique et durable

L’intérieur du GLC EV 2026 combine luxe et modernité. Les matériaux sont durables, avec une sellerie en cuir végane certifiée par The Vegan Society, tout en laissant la possibilité d’opter pour des finitions haut de gamme en cuir Nappa ou Soft Torino. L’élément central demeure le gigantesque Hyperscreen de 39,1 pouces, qui s’étend sur toute la largeur de la planche de bord et intègre plus de 1 000 LED. Ce système embarque la dernière génération du MBUX, enrichie par l’intelligence artificielle de Microsoft et Google, offrant une expérience multimédia immersive et hautement personnalisable. Malgré cette approche futuriste, Mercedes conserve des commandes physiques sur la console, le volant et les panneaux de porte pour un usage intuitif et naturel.

Technologies avancées et sécurité de pointe

Le GLC EV ne néglige pas la sécurité. Il embarque le système MB.Drive, combinant un régulateur de vitesse adaptatif et une fonction de conduite mains libres, ainsi que le MB.Parking Assist, qui facilite les manœuvres de stationnement grâce à une assistance semi-autonome. Ces technologies s’ajoutent à une gamme complète de systèmes d’aide à la conduite destinés à améliorer la sécurité active et passive.

Arrivée prévue en Amérique du Nord

Le Mercedes-Benz GLC EV 2026 sera disponible sur le marché nord-américain dans la seconde moitié de 2026. Les prix pour le Canada n’ont pas encore été annoncés, mais tout porte à croire qu’ils se situeront aux alentours de 85 000 $, afin de se positionner face au BMW iX3 et à l’Audi Q6 e-tron.

Le texte Le Mercedes GLC passe à l’ère électrique provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Porsche a levé le voile sur la toute nouvelle 911 Turbo S 2026, désormais la 911 de série la plus puissante grâce à un groupe motopropulseur T-Hybrid biturbo développant 701 chevaux. Dévoilée au salon IAA Mobility de Munich, la supervoiture promet une performance accrue, un design raffiné et une personnalisation poussée.

Un moteur T-Hybrid révolutionnaire

La grande nouveauté de cette génération réside dans son système T-Hybrid biturbo qui produit 701 chevaux avec un couple de 590 lb-pi. Vous serez en mesure de faire le 0-100 km/h en 2,5 secondes avec une vitesse de pointe de 322 km/h. La configuration hybride utilise deux turbocompresseurs électriques, une batterie haute tension compacte et une boîte PDK à 8 rapports. L’ensemble optimise la puissance, la réactivité et l’efficacité énergétique.

Plus rapide que jamais sur le Nürburgring

Lors des essais finaux, la nouvelle 911 Turbo S a bouclé la Boucle Nord du Nürburgring en 7 min 03,92 s, soit 14 secondes de mieux que le modèle précédent. Malgré un poids accru de 85 kg en raison du système hybride, Porsche a réussi à améliorer l’agilité et la tenue de route.

Design musclé et aérodynamisme optimisé

Le style de la 911 Turbo S 2026 évolue subtilement avec une carrosserie plus large, un système aérodynamique actif intelligent avec diffuseur, volets mobiles et aileron escamotable, des pneus arrière élargis pour une meilleure adhérence et des freins composites PCCB redimensionnés pour encaisser la puissance accrue

Un habitacle luxueux et personnalisable

L’intérieur met l’accent sur l’exclusivité avec la teinte Turbonite réservée aux modèles Turbo. On y retrouve des sièges sport Plus adaptatifs à 18 réglages, des inserts en fibre de carbone et des options de personnalisation avancées via Porsche Exclusive Manufaktur. Pour les amateurs de détails, Porsche propose même une montre chronographe personnalisable signée Porsche Design, assortie à la configuration de la voiture.

Prix et disponibilité au Canada

  • Porsche 911 Turbo S Coupé 2026 : 289 300 $

  • Porsche 911 Turbo S Cabriolet 2026 : 304 500 $

  • Livraisons au Canada : prévues au printemps 2026.

Le configurateur Porsche permet dès maintenant de personnaliser la 911 Turbo S et même de créer votre montre Porsche Design assortie.

Le texte Porsche 911 Turbo S 2026 : la 911 de série la plus puissante jamais produite provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les capteurs d’oxygène jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement d’un véhicule moderne. Ils sont une composante clé du système de gestion du moteur, contribuant à la performance, à l’économie de carburant, et à la réduction des émissions polluantes. Mais comment fonctionnent-ils et pourquoi sont-ils si importants ?

Comment fonctionnent les capteurs d’oxygène ?

Un capteur d’oxygène, souvent appelé sonde lambda, mesure la quantité d’oxygène dans les gaz d’échappement d’un véhicule. Voici comment ils fonctionnent :

  1. Positionnement : Ces capteurs sont placés dans le système d’échappement, généralement avant et après le catalyseur. Leur rôle est de mesurer le niveau d’oxygène avant que les gaz ne soient traités par le catalyseur et après pour assurer que celui-ci fonctionne correctement.
  2. Mesure des gaz : Le capteur d’oxygène compare la concentration d’oxygène dans les gaz d’échappement à celle présente dans l’air ambiant. S’il détecte trop ou pas assez d’oxygène dans les gaz, cela indique un mélange de carburant air-essence déséquilibré.
  3. Transmission des données : Les informations recueillies sont transmises à l’unité de commande moteur (ECU), qui ajuste en temps réel le mélange air-carburant pour optimiser la combustion. Un bon équilibre garantit des performances optimales du moteur et une consommation de carburant réduite.

Pourquoi sont-ils importants ?

Les capteurs d’oxygène remplissent plusieurs fonctions essentielles pour la santé du moteur et l’environnement :

  1. Optimisation de la consommation de carburant : Un mélange air-carburant trop riche (trop de carburant) ou trop pauvre (trop d’air) peut entraîner une consommation excessive de carburant. Grâce aux capteurs d’oxygène, l’ECU peut ajuster ce mélange pour maximiser l’efficacité, ce qui permet de réduire la consommation de carburant.
  2. Réduction des émissions polluantes : Les capteurs d’oxygène jouent un rôle clé dans la réduction des émissions de gaz polluants. Ils permettent à l’ECU de corriger le mélange pour limiter la production de substances nocives, telles que le monoxyde de carbone, les hydrocarbures non brûlés et les oxydes d’azote.
  3. Protection du catalyseur : Un mélange air-carburant incorrect peut endommager le catalyseur. Si le moteur fonctionne avec un mélange trop riche, cela peut encrasser le catalyseur et réduire son efficacité. Un capteur d’oxygène en bon état prolonge la durée de vie du catalyseur en garantissant qu’il fonctionne de manière optimale.
  4. Amélioration des performances du moteur : Un moteur dont le mélange air-carburant est correctement régulé fonctionne de manière plus fluide, avec moins de risques de ratés d’allumage ou de calages. Les capteurs d’oxygène assurent que le moteur reste réactif et performant, quelle que soit la condition de conduite.

Signes d’un capteur d’oxygène défectueux

Comme toute pièce d’usure, les capteurs d’oxygène peuvent se détériorer avec le temps. Voici quelques signes qui indiquent qu’un remplacement peut être nécessaire :

  • Augmentation de la consommation de carburant.
  • Voyant moteur allumé sur le tableau de bord.
  • Ralenti irrégulier ou perte de puissance.
  • Échec du test des émissions.

Conclusion

Les capteurs d’oxygène sont un composant crucial pour le bon fonctionnement de votre véhicule. En assurant que le mélange air-carburant est constamment optimisé, ils contribuent à améliorer l’efficacité énergétique, à réduire les émissions polluantes et à protéger des pièces coûteuses comme le catalyseur. Si vous remarquez l’un des signes de défaillance, il est important de faire vérifier et remplacer les capteurs pour éviter des dommages supplémentaires.

Chez Pièces d’auto Super, nous proposons une large gamme de capteurs d’oxygène adaptés à tous types de véhicules. N’attendez pas que des problèmes surviennent et assurez-vous que votre véhicule fonctionne toujours à son meilleur potentiel.

Le texte Les capteurs d’oxygène : comment ils fonctionnent et pourquoi ils sont importants ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile