• La Saskatchewan veut devenir un joueur majeur dans l’approvisionnement de matériaux provenant de terres rares.

Au moment d’écrire ces lignes, les experts affirment que la Chine contrôle 95 % de la production et de l’offre mondiales en ce qui a trait aux métaux provenant des terres rares. Ce quasi-monopole lui permet de dicter les prix et de créer de l’incertitude pour les utilisateurs en contrôlant les exportations.

La Saskatchewan veut avoir son mot à dire et elle veut même concurrencer la Chine.

Terres rares

Mais qu’entend-on par des terres rares, au juste ? Dit simplement, l’expression « terres rares » fait référence à un groupe de 17 éléments chimiques du tableau périodique dont l’utilisation est essentielle avec plusieurs nouveaux produits modernes, comme les téléphones cellulaires et les batteries que l’on retrouve dans les véhicules électriques.

Malgré le terme utilisé, il n’est nullement question de rareté de ces éléments. Le problème, c’est qu’ils sont difficiles à extraire et à séparer en raison de leur dispersion dans la croûte terrestre. Autrement dit, ils ne sont pas concentrés dans le sol. Conséquemment, l’extraction est coûteuse.

De son côté, la Saskatchewan veut concurrencer la Chine pour devenir la première source commerciale nord-américaine de remplacement pour ces métaux, utilisés entre autres pour fabriquer des aimants pour les véhicules électriques.

Le futur centre de traitement des terres rares du Conseil de la recherche de la Saskatchewan
Le futur centre de traitement des terres rares du Conseil de la recherche de la Saskatchewan | Auto123.com

Avec son futur centre de traitement des terres rares, le Conseil de la recherche de la Saskatchewan (le SRC = Saskatchewan Research Council) parie sur une augmentation de la demande de ces aimants au cours des deux prochaines années, en raison de la demande des fabricants d’équipements d’origine tels que les constructeurs automobiles.

La province, qui abrite des mines de cuivre, de potasse et d’uranium, est connue pour ses capacités minières.

Et comme le rapporte le site Automotive News, l’année dernière, la Chine a imposé des contrôles à l’exportation sur certains métaux essentiels tels que le germanium, le gallium et l’antimoine, ce qui a contraint les gouvernements occidentaux à chercher des solutions de remplacement.

L’installation de traitement des terres rares du SRC a commencé à produire à l’échelle commerciale et prévoit d’atteindre un objectif de production de 40 tonnes de métaux de terres rares par mois d’ici la fin de l’année. Elle produira également 400 tonnes de métaux NdPr (néodyme et praséodyme, les ingrédients primaires pour la fabrication des plus puissants aimants au moment, dont ceux que l’on retrouve dans les véhicules électriques) par an, ce qui est suffisant pour produire 500 000 véhicules électriques, selon le SRC. L’usine a déjà conclu des accords avec des clients potentiels en Corée du Sud, au Japon et aux États-Unis.

Le prix des métaux de terres rares tels que le néodyme et le praséodyme fluctue entre 65 000 et 75 000 dollars américains par tonne, un prix déterminé par le gouvernement chinois.

« Notre objectif est de rester concurrentiels au sein de l’indice asiatique des prix des métaux. Nous cherchons constamment à optimiser nos installations à l’aide d’applications d’intelligence artificielle qui permettraient de maintenir l’efficacité de nos processus », explique Muhammad Imran, vice-président de SRC.

Automotive News explique également que certains mineurs ont demandé un prix plus élevé pour les métaux produits en dehors de la Chine, arguant que les métaux chinois sont produits avec des normes environnementales et sociales peu élevées.

Ce dossier sera à surveiller, car si la Saskatchewan atteint des objectifs, elle deviendra un joueur très important pour la suite des choses en matière d’électrification.

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Le texte La Saskatchewan veut concurrencer la Chine pour la production de métaux provenant de terres rares pour VÉ provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

McLaren est sur le point de révéler sa prochaine voiture ultime, le 6 octobre prochain, dix ans après l’arrivée de la légendaire P1, successeure de la F1, capable d’atteindre 386 km/h. Baptisé sous le nom de code P18, ce nouveau modèle promet des avancées importantes en matière d’aérodynamisme et sera doté d’une motorisation hybride sur mesure.

Une motorisation hybride V8 légère et puissante

Bien que le nom officiel de cette voiture exotique n’ait pas encore été confirmé, McLaren a levé un coin du voile en précisant que la P18 sera équipée d’un V8 unique associé à un système hybride ultraléger, environ 70 % de moins que ceux actuellement utilisés par la marque. La puissance devrait dépasser largement la barre des 1000 chevaux, ce qui place ce modèle parmi les véhicules les plus performants jamais produits par McLaren.

Retour sur les légendes F1 et P1

Il y a quelques jours, McLaren a publié une vidéo célébrant les modèles emblématiques F1 et P1, tout en laissant entendre qu’une nouveauté révolutionnaire était en préparation. Une autre séquence titillante, encore plus intrigante, a suivi. Dans cette nouvelle vidéo, certains cadres et employés de McLaren expliquent ce qui fait l’essence des voitures portant le chiffre « 1″ au sein de la marque.

Qu’est-ce qu’une McLaren « 1 » ?

Selon McLaren, une voiture « 1 » se doit d’être intemporelle, spectaculaire, et offrir les meilleures performances sonores, visuelles et dynamiques de sa catégorie. La séquence se termine par ces mots : « Il est temps que le monde découvre ce que McLaren va faire ensuite », avec la date (et l’heure) du 6 octobre à 13 h (Angleterre) affichée à l’écran. Ça signifie à huit heures en Amérique du Nord, à l’heure de l’Est.

Le mystère autour du nom

Le nom définitif de cette voiture reste un secret bien gardé. Actuellement désignée sous le code P18, il est peu probable que cette appellation soit conservée pour le modèle de production. Au vu des références au chiffre « 1 », on peut s’attendre à un nom similaire à la F1 et à la P1, avec une lettre précédant le chiffre. Trouver une lettre qui résonne aussi bien que celles de ses prédécesseurs pourrait s’avérer complexe. Bien que des noms comme « R1 » ou « Z1 » aient été évoqués, ils sont déjà utilisés par d’autres constructeurs.

Un futur modèle exceptionnel

Quel que soit son nom, la nouvelle exotique de McLaren s’annonce comme une véritable révolution. Avec un moteur V8 sur mesure et un système hybride ultraléger, elle devrait surclasser ses prédécesseurs et marquer l’histoire de la marque. Rendez-vous le 6 octobre pour découvrir cette création attendue avec impatience.

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Le texte McLaren dévoilera la successeure de la P1 le 6 octobre provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Une évolution dans la gamme hybride de Toyota

Toyota a annoncé qu’elle renoncera à l’appellation “Prime” pour ses véhicules hybrides rechargeables, au profit d’une désignation plus explicite. À partir de l’automne 2025, le RAV4 Prime sera désormais baptisé RAV4 Plug-in Hybrid Electric Vehicle (PHEV), mettant ainsi fin à l’utilisation de ce surnom distinctif.

Un retour à la simplicité pour Toyota

Toyota a confirmé le 26 septembre que le modèle 2025 du RAV4 Prime adopterait la nouvelle appellation. Cette décision intervient cinq ans après le lancement du populaire crossover hybride rechargeable et huit ans après que Toyota ait introduit le terme “Prime” sur la version hybride rechargeable de la Prius 2016.

Pourquoi ce changement ?

Un porte-parole de Toyota a expliqué que cette modification vise à harmoniser la nomenclature avec d’autres véhicules de la marque. Ainsi, le nom “Prime” sera progressivement éliminé sur la Prius pour la désigner simplement comme Prius Plug-in Hybrid. Cette mise en cohérence rejoint la manière dont Toyota nomme déjà cette technologie sur ses modèles Lexus NX, RX et TX PHEV.

Des changements esthétiques en vue

En plus de ce changement de nom, Toyota a annoncé que le logo de la marque situé à l’avant et à l’arrière des véhicules ne comportera plus le halo bleu distinctif qui caractérisait les versions hybrides.

Un succès croissant pour le RAV4 Prime

Bien que le RAV4 Prime ait représenté une petite part des ventes globales du RAV4, il commence à connaître un succès grandissant. Jusqu’en août, les ventes du RAV4 Prime aux États-Unis ont augmenté de 42 %, atteignant 22 499 unités. Cependant, le RAV4 hybride se vend encore six fois plus, et la version essence presque sept fois plus, avec des ventes totales de RAV4 — incluant toutes les versions — en hausse de 21 %, atteignant 319 035 véhicules.

Conclusion : Une évolution stratégique pour Toyota

Toyota mise sur une clarification de son offre en éliminant les termes qui pourraient prêter à confusion, tout en adaptant son image à l’évolution du marché des véhicules électrifiés. Une stratégie qui semble prometteuse, à mesure que la demande pour les PHEV continue de croître.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Toyota abandonne le nom « Prime » au profit de « Plug-in Hybrid » provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le président de Stellantis a confirmé cette semaine que la recherche d’un nouveau dirigeant a commencé, alors que le contrat de Carlos Tavares se termine en 2026.

Ça fait plusieurs semaines qu’on vous rapporte des nouvelles qui ne sont pas toujours roses en provenance de Stellantis, le géant automobile qui chapeaute les marques américaines que sont Ram, Jeep, Chrysler et Dodge.

Que ce soit les pertes de bénéfices de 48 % au cours de la première moitié de l’année 2024, le recul des ventes de 16 %, la décision d’abaisser les stocks de 100 000 unités d’ici le début de la prochaine année, on sent que ça ne tourne pas rond.

Et lorsque c’est le cas, le grand patron se fait souvent pointer du doigt. Ainsi, plusieurs accusent Carlos Tavares d’être responsable du « désastre » et de la « dégradation rapide » des marques américaines.

Or, le contrat de l’actuel chef de la direction de l’entreprise expire en janvier 2026, et l’on apprend qu’il pourrait ne pas être renouvelé.

Carlos Tavares et John Elkann, en janvier 2021
Carlos Tavares et John Elkann, en janvier 2021 | Auto123.com

La recherche pour un remplaceant à Carlos Tavared est entamée

Dans une entrevue accordée au groupe Bloomberg, le président de Stellantis, John Elkann, a confirmé que la recherche d’un nouveau grand patron avait commencé. Il n’a pas exclu que le contrat de Carlos Tavares soit renouvelé après l’expiration de l’entente actuelle, cependant. Carlos Tavares est à la tête de Stellantis depuis sa création, soit lorsque FCA (Fiat Chrysler Automobiles) et PSA (Peugot Société Anonyme) ont fusionné en janvier 2021 pour créer ce qui est aujourd’hui le quatrième constructeur mondial en fait de ventes automobiles. En tout, Stellantis compte 14 marques.

Lors de son entrée en poste, Carlos Tavares avait mentionné que chacune avait 10 ans pour montrer qu’elle méritait de demeurer au sein du groupe, et rien n’aurait changé à cet égard. Cependant, on se souviendra que Carlos Tavares lui-même avait mentionné il y a quelques mois que certaines marques moins rentables pourraient être abandonnées si elles ne rapportaient pas d’argent. C’est alors que les rumeurs concernant la disparition de Maserati avaient commencé à circuler, des rumeurs qui avaient été rapidement démenties.

L’usine de Sterling Heights pointée du doigt

Chez Ram, Carlos Tavares a pointé du doigt l’usine de Sterling Heights, au Michigan, où trop de camionnettes 1500 nouvellement construites doivent être réparées dès leur sortie de la chaîne de montage. Les problèmes de qualités doivent être réglés.

Puis, il y a ce ralentissement de la croissance anticipée pour les véhicules électriques à certains endroits sur la planète, une réalité qui a contraint Stellantis à interrompre la production de la 500e pendant quatre semaines.

Cependant, il ne faut pas imaginer tout de suite que les jours de Carlos Tavares sont comptés. Le site Bloomberg affirme que des sources près du dossier prétendent que le dirigeant de 66 ans ne sera pas remplacé. Il est « normal » de lancer un processus de recherche pour un remplaçant à certains moments, et Carlos Tavares serait même impliqué dans ledit processus. Il ne faut pas oublier son âge, aussi ; peut-être voudra-t-il tirer sa révérence avant d’avoir 70 ans.

Un autre dossier à suivre.

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Le texte Stellantis se chercherait un nouveau dirigeant provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• Honda a partagé aujourd’hui des images de son Passport 2026, en version TrailSport.

Le Honda Passport se fait vieillissant au sein de la gamme Honda, lui dont les débuts nous ramènent à l’année 2019. Pour 2026, nous aurons droit à une nouvelle génération, et les modèles sont présentement à l’essai.

Honda a publié aujourd’hui des photos de son produit, plus précisément de la variante TrailSport qui fera bien sûr partie de la famille, comme c’est le cas depuis l’année modèle 2022.

La compagnie a aussi confirmé une nouvelle qui va en réjouir plusieurs ; le Passport sera toujours équipé de son moteur V6 de 3,5 litres. La plupart des concurrents ne proposent maintenant que des blocs 4-cylindres turbo. La capacité de remorquage sera donc intacte à un minimum de 3500 livres, et un maximum de 5000 livres.

Le Honda Passport TrailSport 2026, trois quarts arrière
Le Honda Passport TrailSport 2026, trois quarts arrière | Auto123.com
Le Honda Passport TrailSport 2026, de profil
Le Honda Passport TrailSport 2026, de profil | Auto123.com

Le Passeport 2026 sera présenté cet automne, peut-être au Salon de l’auto de Los Angeles. Quoi qu’il en soit, il va faire ses débuts lors des premiers mois de 2025.

Concernant ce qui nous attend avec ce véhicule, Honda a décrit la version TrailSport comme l’utilitaire le plus performant de la marque à ce jour. Esthétiquement, ce que l’on voit nous donne l’impression que le VUS va afficher un style plus robuste, du moins dans cette déclinaison. À la calandre, c’est à la mode, on voit clairement le nom du modèle, ainsi qu’un logo TrailSport.

Le Honda Passport TrailSport 2026, avant
Le Honda Passport TrailSport 2026, avant | Auto123.com

Les photos nous montrent également des phares de jour de couleur ambre qui seront exclusifs à la livrée TrailSport, selon Honda. Du reste, on peut s’attendre à ce que la variante TrailSport du Passport emprunte des éléments au cousin Pilot, soit une suspension pensée pour la conduire hors route, une garde au sol plus élevée, des plaques de protection en acier, ainsi que des pneus tout-terrain.

Nous verrons bien lorsque le modèle nous sera dévoilé.

Le Honda Passport TrailSport 2026, dans l'eau
Le Honda Passport TrailSport 2026, dans l’eau | Auto123.com
Le Honda Passport TrailSport 2026, en descente
Le Honda Passport TrailSport 2026, en descente | Auto123.com
Le Honda Passport TrailSport 2026, en remontée
Le Honda Passport TrailSport 2026, en remontée | Auto123.com
Le Honda Passport TrailSport 2026, profil
Le Honda Passport TrailSport 2026, profil | Auto123.com
Le Honda Passport TrailSport 2026, au soleil
Le Honda Passport TrailSport 2026, au soleil | Auto123.com

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Le texte Honda partage des images de son Passport 2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Lorsqu’il est question de consommation d’essence, mis à part les poids lourds, peu de modèles consomment autant que les véhicules récréatifs (VR). Voilà assurément un segment où l’électrification pourrait vraiment changer la donne pour les propriétaires.

Les mauvaises langues vous diront que les détenteurs de VR ont les moyens de payer l’essence de leurs véhicules, mais ça va au-delà de ça ; la réduction des émissions polluantes serait majeure avec des VR électriques sur les routes.

Cependant, l’autonomie doit être au rendez-vous. Et vous le savez, plus un modèle est lourd, plus la taille de la batterie qui l’équipe doit être massive afin que l’autonomie tout électrique soit respectable.Les fabricants de véhicules récréatifs le savent très bien et ils cherchent des moyens d’arriver à leurs fins. Thor Industries est l’un de ces constructeurs. La maison-mère de la marque Airstream, très connue dans le domaine récréatif, propose un nouveau modèle hybride rechargeable qui devrait offrir une capacité intéressante.

Le Thor Test Vehicle, de profil
Le Thor Test Vehicle, de profil | Auto123.com

Le Thor Test Vehicle

Le véhicule d’essai de l’entreprise, banalement nommé Thor Test Vehicle, est le fruit d’un partenariat entre la compagnie Thor et le fabricant de véhicules électriques Harbinger. Thor décrit son véhicule d’essai comme le premier VR hybride de classe A sur la planète.

La plateforme de batteries du Thor Test Vehicle
La plateforme de batteries du Thor Test Vehicle | Auto123.com

Le VR est équipé d’une batterie de 140 kWh et d’un système de 800 volts, ce qui permet une recharge rapide sur une borne de niveau 3. L’autonomie standard est d’environ 250 kilomètres, mais ce chiffre grimpe à quelque 800 km grâce à un petit prolongateur d’autonomie à combustion interne.

Le fabricant n’a pas révélé de détails concernant le groupe motopropulseur, mais le constructeur a décrit la configuration comme ayant « deux fois le couple d’un moteur diesel. »

Contrairement à la plupart des véhicules hybrides, le prototype de Thor est de type hybride en série, ce qui signifie que le moteur à combustion n’est pas relié aux roues motrices et que le VR est propulsé uniquement par le ou les moteurs électriques.

Selon Thor Industries, la commercialisation de ce nouveau châssis sera accessible en 2025.

Reste à voir de quelle façon le tout va prendre forme, et aussi quels modèles vont en profiter, car on devine que quantité de VR auront la chance de jouir de cette plateforme électrique.

Un pas dans la bonne direction, assurément.

Le Thor Test Vehicle, arrière
Le Thor Test Vehicle, arrière | Auto123.com

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Le texte Thor : des VR hybrides rechargeables bientôt ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Cadillac a dévoilé les prix canadiens de l’Optiq 2025. Avec un PDSF (prix de détail suggéré du fabricant) débutant à 59 999 $, le nouveau VUS électrique d’entrée de gamme de la marque de luxe se positionne comme une solution de rechange plus abordable aux modèles électriques de luxe existants.

Voir aussi : Cadillac Optiq 2025, premier contact : plus petit et plus évolué

Cadillac Optiq 2025 — quoi de neuf ?

L’Optiq 2025 est un tout nouveau modèle qui marque l’entrée de Cadillac dans le segment des VUS électriques compacts. Il propose un design aux lignes épurées, ainsi qu’une autonomie estimée à 482 km. Cadillac vante son habitacle spacieux et sa haute technologie.

Cadillac Optiq 2025, avant
Cadillac Optiq 2025, avant | Auto123.com

Motorisation et performances

L’Optiq est équipé de série de la traction intégrale, alimentée par un moteur électrique développant une puissance estimée à 300 chevaux et un couple à 354 lb-pi. Bien que les données officielles concernant les prestations sur route ne soient pas encore disponibles, on peut s’attendre à des accélérations vives.

Prix canadiens du Cadillac Optiq 2025

L’Optiq 2025 sera offert en quatre versions :

  • – Luxury 1 4RM – 59 999 $
  • – Sport 1 4RM – 59 999 $
  • – Luxury 2 4RM – 63 999 $
  • – Sport 2 4RM – 63 999 $

En comparaison, le nouveau Chevrolet Equinox EV, le cousin germain de l’Optiq, est vendu à partir de 48 199 $.

Les prix n’incluent pas les frais de transport et de préparation ni les incitatifs gouvernementaux applicables. Avec ces derniers, le prix d’entrée de l’Optiq devient encore plus attractif.

Cadillac Optiq 2025, de profil
Cadillac Optiq 2025, de profil | Auto123.com

Positionnement dans le marché

L’Optiq vient se positionner là où les Audi Q4 e-tron, Mercedes-Benz EQB ou encore Lexus RZ œuvrent. Il vise également à attirer les acheteurs de VUS compacts de luxe traditionnels qui souhaitent passer à l’électrique sans trop faire de compromis.

Comparativement au Lyriq, le premier VUS électrique de luxe de la marque, l’Optiq est environ 10 000 $ moins cher, car le Lyriq se vend à partir de 69 499 $.

Le modèle enrichit le portefeuille électrique de General Motors, qui inclut déjà le GMC Hummer EV, les Chevrolet Blazer EV et Equinox EV et les camionnettes Silverado EV et GMC Sierra EV, sans oublier la prochaine génération de la Chevrolet Bolt, ainsi que le futur VUS électrique que va nous proposer Buick.

L’Optiq 2025 de Cadillac devrait arriver chez les concessionnaires en fin d’année 2024.

Cadillac Optiq 2025, intérieur
Cadillac Optiq 2025, intérieur | Auto123.com
Cadillac Optiq 2025, trois quarts arrière
Cadillac Optiq 2025, trois quarts arrière | Auto123.com

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Le texte Cadillac Optiq 2025 : offert à partir de 59 999 $ au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Depuis le 25 septembre 1924, le centre d’essais de General Motors à Milford, au Michigan, est le théâtre des pires traitements qu’on puisse infliger à des véhicules. Des centaines d’automobiles, de camionnettes, d’utilitaires et de véhicules commerciaux, de même que des chars d’assaut et des véhicules lunaires y ont été soumis à des tests visant à les peaufiner. Aujourd’hui, GM souhaite rappeler l’histoire de cet imposant complexe, le plus vieux du genre dans l’industrie.

Le centre d’essai de Milford s’étend sur près de 16,2 km2 et dispose de près de 240 kilomètres de routes qui servant à tester les véhicules de GM. On y trouve diverses installations, un circuit de haute vitesse de 4,7 km, des collines abruptes, des routes pavées et d’autres en gravier et en terre, de même qu’une bande de bitume de 0,3 km2 connue sous le nom de Black Lake.

Ces installations ont ouvert leurs portes en septembre 1924 à l’initiative d’Alfred P. Sloan, alors président de GM. L’installation a été créée pour analyser les véhicules dans des conditions contrôlées. Jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, une foule de nouvelles méthodes d’essai ont été imaginées pour évaluer la vitesse du véhicule, sa maniabilité, ses capacités d’ascension et sa consommation de carburant, mais aussi sa durabilité, l’effort requis par le conducteur au freinage et plusieurs aspects de sécurité active et passive. Au fil du temps, des tests de collision et de reversement ont aussi été développés pour évaluer les dommages causés aux véhicules et améliorer la protection des passagers.

Des autos aux chars d’assaut

Durant les années de guerre, Milford a joué un rôle essentiel dans « l’arsenal de la démocratie » en testant des chars d’assaut et d’autres véhicules militaires destinés à l’armée américaine. Au cours de cette période, les ingénieurs de GM ont testé plus de 680 véhicules militaires différents et les ont conduits sur plus de 1,4 million de kilomètres, comme le rappelle cette vidéo en anglais de GM.

Au lendemain de ce grand conflit, GM a agrandi son centre d’essai et y a construit de nombreuses nouvelles routes. En 1954, ses 82 kilomètres de routes d’essai ont permis de parcourir plus de 16 millions de kilomètres avec les véhicules testés. Puis, en 1964, une piste d’essai circulaire de 7,2 km et la Salt Splash Road ont été construites, suivies, en 1968, d’une « surface de glace » et de la zone d’essai dynamique Black Lake.

Dans les années 1970, l’avènement de nouvelles normes en matière d’émissions polluantes et d’économie de carburant a poussé GM à mettre au point de nouvelles technologies telles que les convertisseurs catalytiques et les systèmes d’injection de carburant, qui ont été mis à l’essai à Milford. Côté sécurité, c’est aussi à cette époque qu’on a vu GM déployer plus d’efforts et d’ingéniosité dans les domaines des mannequins anthropomorphes servant aux tests de collision, mais aussi des sacs gonflables, des sièges d’appoints pour enfants et des freins antiblocage.

10 choses intéressantes à savoir sur le centre d’essais de Milford

Situé à environ 80 kilomètres au nord-ouest de Détroit, en rase campagne, le centre d’essais de Milford se trouve aussi à mi-chemin d’importantes installations de GM à Flint, Détroit, Lansing et Pontiac. Ce complexe est impressionnant à bien des égards : par sa taille, son importance et son histoire. Voici d’ailleurs 10 faits intéressants à son sujet.

  1. GM a acheté le terrain original de Milford en 1923 pour un peu plus de 100 000 $ US. Le site était à l’origine surnommé The Bluffs (les promontoires ou falaises) en raison de son terrain accidenté et de son dénivelé de 81 m, une hauteur rare dans le sud-est du Michigan, un État qu’on dit souvent plat comme une crêpe !
  2. À l’origine, ce complexe qui s’étendait sur 4,5 km2 avait deux bâtiments et 8,9 km de routes pour les essais. Aujourd’hui, il s’étend sur plus de 16,2 km2 et compte plus de 150 bâtiments où travaillent 4 200 personnes.
  3. Milford compte près de 240 kilomètres de routes à deux voies, dont 211 kilomètres de route asphaltée et 26 kilomètres de route gravelée.
  4. Chaque année, le personnel de Milford parcourt plus de 24 millions de kilomètres en testant des véhicules.
  5. La zone d’essai Black Lake couvre à elle seule 0,3 km2, soit l’équivalent de 51 terrains de football ! Elle sert à des tests dynamiques de véhicules dans une foule de conditions météorologiques.
  6. Longue de 4,7 km, la zone d’essai appelée Milford Road Course reproduit certains tronçons très connus de routes d’un peu partout dans le monde. Ce circuit compte de 17 virages, chacun conçu pour tester des exigences de performance différentes. De plus, une grande ligne droite permet d’atteindre des vitesses supérieures à 240 km/h.
  7. Les premiers essais de capotage de véhicules ont été effectués à Milford en 1934. Aujourd’hui, des installations intérieures plus sophistiquées permettent de faire rouler un véhicule sur le côté ou sur le toit, ou pour le renverser.
  8. Les glissières métalliques de sécurité ont été développées à Milford pour empêcher les véhicules de quitter la route lors d’une perte de contrôle ou de dévier vers la voie opposée. Aujourd’hui, il y a près de 210 kilomètres de glissières métalliques de sécurité dans ce complexe.
  9. Dans les années 60, des ingénieurs de Milford ont mis au point des sièges d’appoint pour bambins et bébés, ce qui a mené à la commercialisation de deux produits de GM : le Child Love Seat, en 1967, et l’Infant Love Seat, deux ans plus tard.
  10. Lancée en 1953, la première Chevrolet Corvette a été testée à Milford. Depuis, toutes les Corvette ont été testées dans ce centre d’essai, y compris la Corvette ZR1 2025 de 1 064 ch !

Photos : General Motors

Le texte GM torture ses véhicules à Milford, au Michigan, depuis maintenant 100 ans provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Peut-on dire mieux vaut tard que jamais? En tout cas, Stellantis fait fi de l’imposition déjà en effet dans l’Union européenne d’une taxe sur l’importation de véhicules électriques fabriqués en Chine et commence à prendre les commandes pour les petits véhicules que le groupe compte vendre sur le Vieux continent en partenariat avec le groupe chinois Leapmotor.

Remarquez, même avec la taxe européenne de 17,7% que Stellantis et Leapmotor auraient à payer sur les véhicules importés de Chine, leur prix de détail demeure dur à battre par n’importe quel autre constructeur non-chinois. Le premier véhicule vendu par les deux marques est une microcompacte appelée T03 dont le prix de détail sera de 18900 euros, soit 28 000 $CA. Elle revient à 33 000 $ après la taxe d’importation.

Outre la T03, qui est, on va se le dire, très petite, Stellantis a commencé à annoncer l’arrivée en Europe d’un second modèle conçu en partenariat avec Leapmotor, appelé C10, qui semble beaucoup plus attrayant. On parle d’un VUS électrique compact qui, en Europe, est critiqué pour être une bête copie du Toyota Rav4. Sauf que le Leapmotor C10 coûtera 54 000 $CA, ou 64 000 $ avec la taxe sur les importations chinoises.

Encore là, les prix de détail restent compétitifs. Mais ce n’est pas tout! Car tout ceci ne serait en réalité qu’un préambule pour la véritable stratégie de mise en marché de Stellantis, qui consiste à finir dans une usine située en Pologne l’assemblage des véhicules fournis par Leapmotor.

Si ça se produit, la taxe d’importation ne sera pas applicable. Et on peut même ajouter que si ça se produit, d’autres constructeurs voudront tenter la même formule pour contourner la taxe européenne.

On se demande si le scénario pourrait être le même au Canada? Ce serait difficile, vu qu’aux États-Unis, le plus gros marché nord-américain, Washington interdit déjà les composants et les batteries chinoises, et va bientôt bannir les logiciels chinois, en plus.

Le texte Stellantis se lance dans la vente de VÉ chinois en Europe provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ça fait un an que Rolls Royce a lancé les précommandes du coupé Spectre, son premier véhicule tout électrique, et la demande a été si forte que la prestigieuse marque britannique veut tripler la mise, rien de moins. Rolls Royce songe à lancer sous peu une berline et un VUS qui seront eux aussi tout électriques.

Comme la plupart des autres marques de véhicules de luxe, Rolls Royce espère vendre une grande majorité de ses véhicules sous forme électrifiée au plus tard en 2030. Il faut donc qu’elle accélère la cadence si elle espère y parvenir. Il faut dire que la marque Rolls-Royce Motor Cars appartient à BMW, et donc, que la prestigieuse gamme britannique peut probablement puiser dans la technologie de sa société-mère allemande pour trouver les composants électriques nécessaires pour remplir ses ambitions.

Cela dit, Rolls Royce a déjà une plateforme développée à l’interne, un châssis sur cadre tout en aluminium, sur laquelle pourrait être produit les nouveaux venus. La marque n’a vraiment laissé fuiter aucune information à ce sujet, donc on ne peut que spéculer. Ce qu’on peut dire, en revanche, c’est que leur autonomie devrait être sensiblement supérieure aux 424 km permis par le coupé Spectre, si on se fie à la progression de la technologie motrice au sein de BMW.

Le constructeur bavarois a récemment annoncé que sa prochaine génération de véhicules électriques aura droit à une autonomie améliorée de 30% par rapport à ses modèles actuels, qui offrent déjà une autonomie plutôt intéressante.

Du côté de Rolls Royce, pour le moment, aucune date de mise en marché n’est avancée, mais on pense que les nouveaux modèles pourraient apparaître d’ici 2028.

Le texte Croulant sous la demande, Rolls Royce veut s’électrifier encore plus provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile