Alors que les tarifs de 25 % imposés par Washington sur les véhicules assemblés au Canada menacent l’avenir du secteur automobile national, un rapport de l’institut C.D. Howe recommande une riposte structurée : négocier un nouveau pacte de l’auto avec les États-Unis et le Mexique, inspiré de l’accord de 1965, pour lier les importations sans tarif à des exigences minimales de production locale.

Retour aux sources : le modèle du pacte de 1965

L’idée n’est pas nouvelle, mais elle revient en force. Le Pacte de l’automobile de 1965, entre le Canada et les États-Unis, avait permis aux constructeurs — à l’époque les Trois de Detroit — d’opérer dans un marché intégré à condition de maintenir des volumes de production significatifs au pays. Supprimé en 2001 à la suite d’un jugement de l’OMC, cet accord pourrait bien renaître sous une forme modernisée.

L’auteur du rapport, Stephen Beatty, ancien haut dirigeant chez Toyota Canada, estime qu’en cas d’échec des négociations avec Trump, le Canada devrait mettre en place une surtaxe sur les véhicules légers en provenance des États-Unis.

Un système d’incitatifs lié à la production locale

Le cœur de la proposition est simple : les constructeurs qui maintiennent une base de production au Canada bénéficieraient de crédits d’importation équivalents à leur production locale. Par exemple, une entreprise produisant 100 véhicules au Canada pourrait en importer 100 des États-Unis ou du Mexique, sans surtaxe.

Une telle mesure inciterait les trois pays à revoir les dispositions automobiles de l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM/USMCA) lors de sa renégociation. L’objectif? Réinstaurer des tarifs permanents sur le commerce automobile, mais avec une flexibilité ciblée pour les manufacturiers qui s’engagent localement.

Préserver les emplois et l’investissement local

Pour Beatty, cette approche est cruciale afin de freiner la délocalisation vers le sud : « Le Canada doit utiliser cette fenêtre d’opportunité pour présenter un plan concret et reprendre l’initiative. On ne peut pas laisser l’avenir d’un secteur aussi vital dépendre de cycles tarifaires destructeurs. »

Le gouvernement Carney espère encore une entente avec Washington pour préserver un commerce largement exempt de droits. Mais selon le rapport, un plan B s’impose, car les menaces de tarifs incitent de plus en plus d’entreprises à abandonner leurs installations canadiennes.

Une certaine accalmie pour les pièces automobiles

Soulagement partiel : les douanes américaines ont récemment confirmé que les pièces conformes à l’ACEUM ne seront pas frappées par les nouveaux tarifs de Trump. Une décision qui épargne, pour l’instant, une partie de la chaîne d’approvisionnement, mais qui ne règle en rien la situation des véhicules assemblés.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Un nouveau « pacte de l’auto » proposé pour protéger la production canadienne face aux tarifs américains provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• Cadillac a vendu un peu moins de 25 berlines Celestiq jusqu’ici cette année.

Des cinq véhicules électriques présentés par Cadillac, la berline Celestiq est assurément celle qui est la plus spectaculaire. Celle qui a pour objectif d’aller jouer dans les platebandes des créations de Rolls-Royce et de Bentley joue la carte du très grand luxe, et son prix de vente, qui frôle le demi-million chez nous, est en conséquence.

On sait que le modèle sera produit de façon très limitée. Cadillac a déjà avancé le chiffre de 250 modèles annuellement. Il faudra voir lorsque la production à la main de ce modèle sera à plein régime. Quoi qu’il arrive, la compagnie va en produire moins que deux par jour.

Cette année, la marque a confirmé au site Motor1 qu’elle n’allait construire que 25 modèles. Ces derniers seraient presque tous vendus, mais pour ceux qui ont les moyens de leurs ambitions, il est encore possible de mettre la main sur la première édition de cette voiture qui va marquer l’histoire de la marque.

Concernant le rythme de production souhaité, il devrait être atteint dans le courant de l’année prochaine, à condition que les commandes soient au rendez-vous.

La Cadillac Celestiq, de profil
La Cadillac Celestiq, de profil | Auto123.com

Pour les acheteurs, ce modèle offre une exclusivité extraordinaire et un niveau de personnalisation qui rappelle les belles années de la marque, où il était possible de modifier substantiellement chaque modèle pour le doter des équipements que l’on souhaitait.

Un tel exercice va faire grimper le prix, mais rendu à plusieurs centaines de milliers de dollars, ce n’est pas supposé être un enjeu pour l’acheteur.

Nous allons suivre le dossier de la Celestiq de près et voir de quelle façon les choses vont évoluer pour cette création aussi unique qu’audacieuse.

La Cadillac Celestiq, habitacle
La Cadillac Celestiq, habitacle | Auto123.com

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Le texte Cadillac a vendu un peu moins de 25 Celestiq jusqu’ici provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Selon les déclarations du président de la Chambre des représentants des États-Unis, Mike Johnson, rapportées par Bloomberg, le crédit d’impôt fédéral de 7500 $ à l’achat d’un véhicule électrique risque fort de disparaître dès la prochaine résolution budgétaire. « Je pense qu’il y a plus de chances qu’on l’élimine que de le sauver », a-t-il affirmé.

Une pression budgétaire et politique croissante

Cette décision s’inscrit dans une tendance mondiale : l’Allemagne et même la Chine ont déjà commencé à réduire leurs incitatifs envers la transition électrique. Aux États-Unis, la fin du crédit servirait notamment à financer le vaste programme de réductions d’impôt de l’administration Trump. Le président actuel, qui a déjà exprimé son opposition aux mandats en faveur des véhicules électriques, n’a montré aucun intérêt à défendre l’incitatif.

Une mauvaise nouvelle pour les constructeurs et les consommateurs

Le retrait du crédit d’impôt s’ajouterait aux tarifs douaniers de 25 % sur les véhicules importés, ce qui viendrait frapper de plein fouet les modèles plus abordables comme le Ford Mustang Mach-E, le Chevrolet Equinox EV ou le Jeep Wagoneer S, tous assemblés au Mexique. Résultat : ces véhicules déjà peu rentables pour leurs constructeurs pourraient devenir financièrement intenables à vendre sans l’aide fiscale.

Écusson sur le Hyundai Kona EV
Écusson sur le Hyundai Kona EV | Auto123.com

Une tempête parfaite pour le marché des véhicules électriques abordables

Les constructeurs sont souvent tenus par des exigences réglementaires de vendre un certain nombre de véhicules électriques. Même s’ils perdent de l’argent avec chaque vente, ils devront continuer à les offrir, du moins à court terme. L’élimination du crédit d’impôt risque donc d’accentuer les pertes pour Ford, General Motors et Stellantis, tout en rendant les véhicules électriques nettement moins compétitifs pour les acheteurs.

Une issue encore incertaine

Tout n’est pas joué. Des élus représentant des États où sont implantées des usines de véhicules électriques pourraient s’y opposer. Le Sénat, à majorité républicaine mince, pourrait aussi bloquer la mesure. Mais si elle se rend jusqu’au Bureau ovale, il ne faut pas s’attendre à un veto présidentiel.

Agir pendant qu’il est encore temps

En résumé, l’avenir du crédit d’impôt pour véhicule électrique semble de plus en plus compromis à Washington. Pour les consommateurs, cela signifie que le coût des modèles qui en profitaient pourrait bondir sous peu.

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Le texte Le crédit d’impôt de 7500 $ pour les véhicules électriques vit-il ses derniers jours à Washington ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Audi a officiellement présenté sa nouvelle berline A6 2026 ainsi que la version familiale Avant, toutes deux offertes en configuration hybride rechargeable (PHEV). Ces modèles promettent une autonomie électrique de plus de 100 km, selon le cycle européen WLTP, qui est plus généreux.

Mais, comme trop souvent, ces déclinaisons branchées ne traverseront pas l’Atlantique. Audi Canada a confirmé que seul un modèle à hybridation légère (MHEV) sera offert chez nous.

Une version PHEV qui impressionne sur papier

Les A6 e-hybrid européennes combinent un moteur 4-cylindres turbo de 2,0 litres à une motorisation électrique pour une puissance combinée de 295 ou 362 chevaux, selon la version. Leur batterie de 20,7 kWh, soit 45 % plus grosse que celle des anciennes générations, permet une autonomie électrique de plus de 100 km, selon les estimations du constructeur.

Une fois la batterie vidée, ces variantes PHEV passent automatiquement en mode hybride traditionnel, en combinant essence et électricité selon les conditions de conduite. Les conducteurs peuvent aussi sélectionner manuellement le mode électrique ou hybride.

Le 0 à 100 km/h s’effectue en 5,3 secondes, avec une vitesse de pointe limitée à 250 km/h.

Audi A6 2026 PHEV, de haut
Audi A6 2026 PHEV, de haut | Auto123.com

Une dotation technologique haut de gamme

Comme il se doit pour une Audi, ces A6 PHEV sont livrées avec la traction intégrale quattro, une direction intégrale, une suspension sport, de grosses jantes et des étriers de freins rouges. On y ajoute une transmission automatique à double embrayage électrifiée pour une réponse plus fluide.

Bref, tout ce qu’on aime d’Audi, mais rehaussé d’efficacité énergétique.

Ce qu’on aura au Canada : une version MHEV à six cylindres

La seule A6 2026 qu’on aura au Canada sera une version profitant d’un système hybride léger, avec un 6-cylindres de 3,0 litres produisant maintenant 367 chevaux. Cette motorisation ajoute un léger coup de pouce électrique en accélération, et elle peut rouler brièvement à basse vitesse sur le seul pouvoir de la batterie, un progrès par rapport à l’actuelle version de 335 chevaux.

Pourquoi pas nous ?

Le Canada n’a actuellement droit qu’à un seul véhicule Audi hybride rechargeable : le Q5 TFSI e 2025. La marque semble réserver ses nouveautés branchées à l’Europe, où la demande est soutenue par des normes environnementales plus strictes. Cela laisse peu d’options pour les Canadiens qui souhaitent rouler en véhicule électrique tout en conservant une allure classique et profiter d’un logo haut de gamme.

Les amateurs de véhicule électrique qui espéraient une A6 PHEV devront donc patienter, ou regarder ailleurs. En attendant, la version MHEV 2026 offrira un bon compromis entre performance et efficacité, mais sans le côté branché… au sens propre.

Audi A6 2026 PHEV, de profil
Audi A6 2026 PHEV, de profil | Auto123.com
Audi A6 2026 PHEV, trois quarts avant
Audi A6 2026 PHEV, trois quarts avant | Auto123.com
Audi A6 2026 PHEV, en format Avant
Audi A6 2026 PHEV, en format Avant | Auto123.com

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Le texte Audi lève le voile sur la nouvelle A6 2026 PHEV provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Chevrolet a levé le voile sur l’habitacle entièrement repensé de la Corvette 2026, marquant une évolution significative dans le design de cette icône automobile. Les modèles Stingray, E-Ray, Z06 et ZR1 bénéficient désormais d’un poste de pilotage axé sur le conducteur, intégrant trois écrans numériques :

  • Un écran central de 12,7 pouces
  • Un tableau de bord numérique de 14 pouces
  • Un nouvel écran auxiliaire tactile de 6,6 pouces à gauche du volant

Ces écrans offrent une interface intuitive, permettant un accès rapide aux informations essentielles telles que la gestion de la traction, les performances en temps réel et les réglages personnalisés.

Une console centrale modernisée

La célèbre “muraille de boutons” de la Corvette C8 a été remplacée par une console plus épurée. Les commandes de climatisation sont désormais positionnées sous l’écran central, libérant de l’espace et améliorant l’ergonomie. Un nouveau chargeur sans fil pour téléphone est intégré sous le système d’infodivertissement, avec un couvercle pour maintenir le téléphone en place. Les porte-gobelets ont été redessinés avec des inserts en cuir et un éclairage ambiant, ajoutant une touche de raffinement.

Technologie et performance au cœur de l’expérience

La Corvette 2026 intègre des technologies avancées pour optimiser l’expérience de conduite :

  • Le système d’infodivertissement personnalisé avec Google intégré, offrant une connectivité fluide et des applications telles que Chrome, GameSnacks et Prime Video via Google Play.
  • La compatibilité avec Apple CarPlay et Android Auto sans fil.
  • Le Performance Data Recorder amélioré, permettant une analyse en temps réel des performances avec des vidéos en haute définition.

De plus, le nouvel affichage auxiliaire tactile offre un espace dédié configurable pour des instruments tels que le kilométrage de voyage ou la gestion de la traction, facilitant l’accès aux informations importantes.

Personnalisation et artisanat de haut niveau

L’intérieur de la Corvette 2026 met l’accent sur un artisanat exceptionnel et offre des options de personnalisation étendues :

  • Une première pour Chevrolet : une palette de couleurs intérieure asymétrique disponible en Jet Black et Adrenaline Red.
  • Quatre nouvelles combinaisons de couleurs intérieures, dont Sky Cool & Medium Ash Gray avec des accents Habanero, Santorini Blue, Very Dark Atmosphere et Ultimate Suede.
  • Des sièges mixtes en option, avec un siège conducteur Adrenaline Red Competition inspiré de la course et un siège passager Jet Black GT2.

Innovations supplémentaires

La Corvette 2026 introduit également plusieurs innovations notables :

  • Un nouveau mode PTM Pro, désactivant le contrôle de stabilité électronique et le contrôle de traction pour une maîtrise maximale.
  • Un toit électrochrome disponible, permettant de modifier le niveau de teinte du toit en verre targa par simple pression d’un bouton.
  • Deux nouvelles couleurs extérieures pour tous les modèles : Roswell Green Metallic et Blade Silver Metallic.

Avec ces améliorations, la Corvette 2026 renforce sa position de leader dans le segment des voitures sport en Amérique du Nord, offrant une combinaison parfaite de performance, de technologie et de luxe.

https://youtu.be/ALf29-ixUJQ

Source: GM

Le texte Un intérieur repensé pour la Corvette 2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après sept longues années sans nouveau nom de modèle en Amérique du Nord, Mitsubishi s’apprête à tourner une page importante avec l’introduction d’un tout nouveau VUS électrique compact dès l’été 2026. Ce modèle, encore sans nom, sera le premier d’un renouveau de produits qui s’étalera jusqu’en 2030, avec la promesse d’un nouveau véhicule ou d’une mise à jour chaque année.

Construit au Japon sur la plateforme CMF-EV de Nissan

Ce futur véhicule utilitaire compact sera assemblé au Japon par Nissan, partenaire de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, et reposera sur la même plateforme CMF-EV que le Nissan Ariya. Selon Mitsubishi Motors North America, il empruntera plusieurs éléments techniques à la Leaf de troisième génération, mais adoptera un design plus en phase avec les tendances du marché : un look de coupé surélevé avec museau bas, ligne de toit fuyante, épaules musclées et un arrière haut flanqué de feux ovales. Ce design moderne traduit une volonté claire de Mitsubishi de se repositionner dans un segment en croissance, en misant sur une image plus technologique et raffinée.

Offert en 4 saveurs

Mark Chaffin, PDG de Mitsubishi Motors North America, a confirmé au média Automotive News que ce nouveau véhicule s’inscrit dans une approche globale et équilibrée, où les clients auront le choix entre moteurs à combustion interne, hybrides, PHEV (hybrides rechargeables) et véhicules 100 % électriques. Le constructeur n’a cependant pas révélé de détails sur les prix ou les spécifications de l’autonomie.

Un coup de pouce attendu par les concessionnaires

Ce nouveau modèle ne pourrait pas arriver à un meilleur moment. Les concessionnaires Mitsubishi ne vendent pratiquement que des modèles Outlander depuis plusieurs années. L’an dernier aux États-Unis, les quelque 66 000 véhicules vendus par la marque représentaient une moyenne de seulement 17 unités par mois par point de vente. Pire, les profits nets par concession ont chuté de moitié depuis la pandémie, pour atteindre une moyenne de 434 199 $ US en 2023, avec une marge de moins de 1 %.

Conclusion

Ce VUS électrique compact prévu pour 2026 pourrait bien marquer un nouveau chapitre pour Mitsubishi.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Mitsubishi prépare un véhicule électrique pour 2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• Les premières images du Jeep Compass 2026 ont fait surface en ligne.

S’il y a bien une compagnie qui doit renverser la vapeur au cours des prochaines années, c’est bien Jeep. La marque de Stellantis a vu ses ventes chuter en 2024, et ce, pour la sixième année consécutive. La compagnie a vendu près de 600 000 véhicules, ce qui est encore bien, mais on tournait autour du million d’unités annuellement avant la pandémie.

Des changements apportés au sein de la gamme sont venus chambouler les choses, et les hausses de prix spectaculaires apportés à des modèles qui n’étaient déjà pas donnés n’ont pas aidé les choses.

La marque a même reconnu que ses factures étaient dans certains cas salées.

Un des modèles qui pourrait aider la marque à se relancer, si la qualité et la fiabilité sont là (un autre point d’interrogation), et que le prix est raisonnable, c’est le Compass. Ce modèle sous-compact a toujours joui d’une certaine popularité et sa refonte va apporter un vent nouveau au sein de la marque. Ce dernier doit se renouveler pour 2026 et grâce à des fuites, on a droit aux premières images du modèle.

Le Jeep Compass 2026, de profil
Le Jeep Compass 2026, de profil | Auto123.com
Le Jeep Compass 2026, trois quarts arrière
Le Jeep Compass 2026, trois quarts arrière | Auto123.com

Design du Jeep Compass 2026

Les images du VUS ont été publiées par le média brésilien Quatro Rodas (Quatre Roues) et elles correspondent aux images partielles qui avaient été partagées par Jeep il y a quelques mois. Ce qu’on remarque, c’est une allure plus carrée, plus masculine, et plus en lien avec les plus gros modèles de la marque, dont le Cherokee.

Le Jeep Compass 2026, intérieur
Le Jeep Compass 2026, intérieur | Auto123.com

À bord, tout a aussi été repensé. On retrouve entre autres une molette pour la sélection des rapports, plutôt qu’un sélecteur plus traditionnel, ce qui libère de l’espace à la console centrale. L’écran multimédia semble avoir pris du volume et devant le siège du passager, on note la présence d’un plateau de rangement. Les sièges semblent aussi bien moulants, et ils ont du style avec leur approche bicolore.

Motorisations du Jeep Compass 2026

Le nouveau Compass sera construit sur la plateforme STLA Medium de Stellantis, une structure qui peut recevoir différents groupes motopropulseurs. Jeep affirme que son utilitaire sera livrable en configuration électrique, hybride et à essence. Ce que l’on ne sait pas, c’est laquelle (ou lesquelles) sera proposée en Amérique du Nord.

Ce que l’on peut anticiper, c’est une myriade de variantes, dont certaines pensées pour la conduite hors route, dont la déclinaison Trailhawk.

Pour ce qui est de sa construction, l’incertitude demeure. Selon ce que rapporte le site Reuters, Stellantis a mis sur pause la rénovation de son usine de Brampton, en Ontario, là où les versions américaines du Compass devaient être produites. Les droits de douane de Donald Trump forcent les entreprises à faire des calculs.

Les versions européennes sont assemblées en Italie.

Le Compass est présentement fabriqué au Mexique, mais les livraisons ont cessé aux États-Unis en raison des tarifs.

Nous allons suivre la situation de près au cours des prochaines semaines et des prochains mois.

Jeep Compass 2026, avant
Jeep Compass 2026, avant | Auto123.com
Jeep Compass 2026, arrière
Jeep Compass 2026, arrière | Auto123.com
Jeep Compass 2026, en bleu
Jeep Compass 2026, en bleu | Auto123.com
Jeep Compass 2026,
Jeep Compass 2026, | Auto123.com
Jeep Compass 2026, roue
Jeep Compass 2026, roue | Auto123.com
Jeep Compass 2026, en blanc
Jeep Compass 2026, en blanc | Auto123.com

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Le texte Premières images du Jeep Compass 2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Audi se prépare à franchir une étape majeure dans sa stratégie nord-américaine : produire certains de ses modèles directement aux États-Unis afin d’échapper aux nouveaux tarifs douaniers imposés par l’administration Trump.

Depuis le 3 mai, un tarif de 25 % frappe les véhicules importés aux États-Unis en provenance de l’Europe et du Mexique, deux marchés d’approvisionnement clés pour Audi. Pour éviter cette lourde surtaxe, le constructeur allemand envisage désormais trois sites de production en sol américain.

Le Q4 e-tron bientôt assemblé au Tennessee ?

Selon Automobilwoche, Audi pourrait commencer l’assemblage du VUS électrique compact Q4 e-tron — ou de son successeur — à l’usine Volkswagen de Chattanooga, au Tennessee. Le modèle partage la plateforme MEB avec le Volkswagen ID.4, déjà fabriqué sur place, ce qui faciliterait une intégration rapide.

Le Q8 e-tron redirigé vers la Caroline du Sud

Initialement prévu pour l’usine mexicaine d’Audi, le Q8 e-tron, un VUS intermédiaire 100 % électrique, pourrait finalement être produit à Columbia, en Caroline du Sud. Ce site, encore en construction, appartient à Scout Motors, une nouvelle filiale de Volkswagen axée sur les VUS robustes.

Dans l'usine d'Audi au Mexique
Dans l’usine d’Audi au Mexique | Auto123.com

Le Q6 e-tron cherche encore un toit

Audi est également à la recherche d’un troisième emplacement pour assembler son Q6 e-tron, un autre VUS compact électrique basé sur la nouvelle plateforme PPE (Premium Platform Electric). Aucun site n’a encore été confirmé, mais la décision pourrait tomber d’ici la fin de l’année.

Une priorité pour Audi

Un porte-parole d’Audi a confirmé que les États-Unis représentent désormais le troisième pilier stratégique du constructeur, après l’Europe et la Chine. « Nous voulons renforcer notre présence aux États-Unis », a-t-il affirmé. « Plusieurs scénarios sont actuellement à l’étude. »

Lors d’un appel avec les médias le 5 mai, le directeur financier Jürgen Rittersberger a précisé qu’Audi comptait lancer dix nouveaux modèles sur le marché américain et que les décisions concernant la localisation de la production suivraient dans le courant de 2025.

Une tendance partagée par Mercedes-Benz

Audi n’est pas le seul constructeur allemand à ajuster sa stratégie en réponse aux tarifs. Mercedes-Benz prévoit de lancer un nouveau modèle dès 2027 à son usine de Tuscaloosa, en Alabama. Il s’agirait du GLC, le deuxième véhicule le plus populaire de la marque aux États-Unis.

Mercedes estime que les nouveaux tarifs pourraient lui coûter jusqu’à un milliard USD, a déclaré le directeur financier Harald Wilhelm en février dernier.

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Le texte Audi veut produire aux États-Unis pour contrer les tarifs provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les effets des nouveaux tarifs douaniers imposés par l’administration Trump commencent à frapper fort. Ford a vu son bénéfice net chuter de 65 % au premier trimestre de 2025 et annonce que ces taxes pourraient lui coûter jusqu’à 1,5 milliard USD cette année. L’entreprise a également suspendu ses prévisions financières pour l’ensemble de l’année.

Un impact tarifaire brut de 2,5 milliards USD

La directrice financière de Ford, Sherry House, précise que l’impact brut des tarifs est estimé à 2,5 milliards UDS, mais que des stratégies logistiques comme le recours à des transporteurs en transit vers le Canada ont permis de limiter l’impact net à 1,5 milliard USD.

Par comparaison, GM estime son exposition aux tarifs entre 4 et 5 milliards UDS, en raison de sa production plus étendue à l’étranger.

Résultats financiers : bénéfices et revenus en recul

Voici les résultats de Ford pour le premier trimestre de 2025 :

  • • Revenu total : 40,7 milliards USD (en baisse de 5 %)
  • • Bénéfice net : 471 millions USD (en baisse de 65 %)
  • • BAII (bénéfices avant intérêt et impôt) ajusté : un milliard USD (en baisse de 63 %)

Ford attribue ces baisses de performance à des arrêts temporaires de production, notamment liés à la refonte des VUS Expedition et Lincoln Navigator, mais assure que les fondamentaux de l’entreprise demeurent solides.

Ford Pro tient le coup malgré la pression

La division commerciale Ford Pro, présentée comme l’un des atouts majeurs de la marque, a généré 1,3 milliard USD de profits, malgré une baisse de 56 % par rapport à l’an dernier. Les revenus de cette division ont reculé de 16 % à 15,2 milliards USD.

Du côté des motorisations traditionnelles (Ford Blue), les bénéfices ont fondu de 89 % à 96 millions USD, tandis que les revenus ont diminué de 3 % à 21 milliards USD.

La Ford Mustang Mach-E Rally
La Ford Mustang Mach-E Rally | Auto123.com

Les pertes d’exploitation se poursuivent du côté électrique

La branche Ford Model e, consacrée aux véhicules électriques, a enregistré une perte de 849 millions USD, ce qui demeure une amélioration par rapport à la perte de 1,3 milliard USD au même trimestre l’an dernier. Les ventes de véhicules électriques ont toutefois progressé de 15 % aux États-Unis.

Précautions face à l’incertitude

Face à l’instabilité causée par les tarifs, Ford suspend ses prévisions annuelles. L’entreprise évoque des risques substantiels liés aux perturbations potentielles de la chaîne d’approvisionnement, des changements dans l’application ou le niveau des tarifs, des mesures de rétorsion internationales et des incertitudes réglementaires sur la fiscalité et les émissions.

Les actions en baisse et la prudence face à la Chine

En réaction, l’action de Ford a chuté de 2,3 % à 9,94 USD après la fermeture des marchés. L’entreprise indique surveiller de près l’approvisionnement en terres rares provenant de Chine, un enjeu critique pour la production de composantes.

Du côté de Lincoln, Ford dispose d’un stock suffisant du Nautilus fabriqué en Chine et n’envisage pas d’en importer de nouveau avant le modèle 2026. Aucune modification n’a encore été apportée à la production des modèles assemblés au Mexique.

Le Ford Expedition
Le Ford Expedition | Auto123.com

Prévisions pour le marché américain

Ford prévoit que les ventes de véhicules de tourisme aux États-Unis atteindront 15,5 millions d’unités en 2025, soit une baisse de 500 000 modèles par rapport aux prévisions initiales. Les prix de l’industrie devraient néanmoins augmenter de 1,0 % à 1,5 % dans la seconde moitié de l’année, en raison de la pression tarifaire.

Malgré tout, la direction insiste sur les efforts soutenus pour réduire ses coûts de 1 milliard USD cette année, en excluant l’effet des tarifs.

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Le texte Ford prévoit une perte de 1,5 milliard USD à cause des tarifs provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les premières images du Jeep Compass 2026 sont apparues en ligne hier et peu de temps après, la compagnie y est allée de la présentation officielle de son modèle. Ce qui a été incroyable lors de cette dernière, c’est que rien n’a été mentionné concernant le marché nord-américain.

Le site Motor1, qui rapporte cette nouvelle, a contacté la compagnie pour connaître la raison de cette omission. La réponse est simple ; l’avenir demeure incertain pour le Compass en Amérique du Nord. La compagnie ne parle pas directement des tarifs de Donald Trump, mais il est facile de comprendre que ça demeure un facteur important.

« Alors que nous naviguons dans l’environnement dynamique actuel, Stellantis continue de réévaluer sa stratégie de produits en Amérique du Nord afin de s’assurer qu’elle offre à ses clients une gamme de véhicules avec des options de groupes motopropulseurs flexibles pour répondre au mieux à leurs besoins. En conséquence, l’entreprise interrompt temporairement le travail sur le Jeep Compass de nouvelle génération, y compris les activités à l’usine d’assemblage de Brampton (Ontario) ».

Le Jeep Compass 2026, avant
Le Jeep Compass 2026, avant | Auto123.com

Le Compass 2026 devait en principe se pointer pour l’année prochaine, une fois l’usine ontarienne remise en fonction après un arrêt pour des travaux de modernisation. L’endroit était entre autres responsable de la fabrication des anciennes Dodge Charger et Challenger, ainsi que la Chrysler 300. Il était nécessaire de procéder à des travaux pour accueillir la production du nouveau Compass.

En raison des tarifs imposés aux véhicules qui entrent aux États-Unis en provenance du Canada, il est clair que la compagnie est à réévaluer la pertinence de lancer son modèle sur notre continent à ce moment-ci de l’histoire.

Stellantis a quand même confirmé que les investissements annoncés à Brampton, de l’ordre de 3,6 milliards CAD, se poursuivent.

Il est donc ironique de voir que le nouveau Compass peut maintenant être commandé en Europe, alors que là où il a fait ses débuts, en Amérique du Nord, le contexte fait qu’il pourrait être retiré du marché, au minium de façon temporaire.

Le Compass a été le troisième produit le plus vendu de la marque aux États-Unis l’an dernier, avec 111 697 unités en 2024, une hausse de 16 % par rapport à 2023. Depuis le début de l’année, il talonne les deux meilleurs vendeurs de la compagnie, les Cherokee et Wrangler.

Le Jeep Compass 2026, de profil
Le Jeep Compass 2026, de profil | Auto123.com

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Le texte Jeep Compass 2026 : un avenir incertain en Amérique du Nord provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile