Une année plus difficile au Salon du véhicule électrique de Montréal

Le week-end dernier se tenait la huitième édition du Salon du véhicule électrique de Montréal (SVEM). Au cours des dernières années, on peut dire que l’événement avait le vent dans les voiles. En 2022, au retour de la pandémie, près de 50 000 visiteurs avaient franchi les tourniquets du stade olympique pour aller voir ce que l’industrie avait à offrir.

En 2023 et en 2024, ce sont quelque 32 000 personnes qui se sont rendues à la fête chaque année.

Une année difficile

Pour l’édition 2025, il est clair que tout le monde était un peu plus inquiet. Dans un premier temps, en raison des travaux au stade olympique, il a fallu déplacer le cirque au stade IGA du parc Jarry, là où se produisent les meilleurs joueurs de tennis de la planète l’été.

Mais ce n’est pas ce qui inquiétait le plus les organisateurs cette année. Le contexte entourant les tarifs automobiles de Donald Trump, de même que les contre-tarifs décrétés par le Canada font qu’un climat d’incertitude plane au-dessus de l’industrie, alors qu’on s’attend à des hausses de prix un peu partout.

Et, bien sûr, le retrait du rabais de 5000 $ du programme fédéral iVZE à l’achat et à la location d’un véhicule électrique, en plus de la baisse des incitatifs du programme Roulez vert au Québec cette année, fait que moins d’acheteurs vont se manifester cette année, surtout que ces derniers ont eu tendance à agir à la fin de 2024, sachant que les rabais étaient sur du temps emprunté.

Affluence en baisse

Nous avons communiqué avec les responsables du Salon afin de connaître leur bilan de l’édition de cette année. Malheureusement, aucun chiffre concernant le nombre de visiteurs n’a été partagé, ce qui laisse deviner que l’affluence était à la baisse.

Voyons ça comme une année de transition, car les choses pourraient bien être différentes l’année prochaine. Viendra aussi un temps où le SVEM sera jumelé au Salon de l’auto de Montréal du mois de janvier, ce dernier étant maintenant le propriétaire du SVEM.

Qu’importe, les visiteurs auront quand même eu des choses à se mettre sous la dent. En tout, on retrouvait 87 modèles sur place, des véhicules appartenant à 15 constructeurs. Il y en avait 69 l’année dernière, signe que les fabricants proposent de plus en plus de véhicules électriques.

Les visiteurs ont aussi pu essayer des modèles, des tests organisés par CAA-Québec et Power Q. Un total de 29 modèles étaient à la disposition des visiteurs, dont le nouveau ID.Buzz de Volkswagen, qui a été le deuxième modèle plus réclamé derrière le Volvo EX30. En tout, 2361 personnes sont montées à bord de l’un des modèles pour vivre l’expérience électrique (plus de 1000 essais réalisés).

Quantité d’exposants étaient aussi sur place, que ce soit le fabricant de jantes Fast Wheels qui faisait découvrir ses roues pour véhicules électriques, ou encore la firme Giant, l’une des références dans le domaine du vélo.

Des conférences sur une foule de sujets ont aussi été servies au public présent.

Les organisateurs tracent quand même un bilan positif de cette huitième édition, en tenant compte du contexte, bien sûr.

Il faudra voir ce qui sera décidé pour 2026.

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Le texte Une année plus difficile pour le SVEM provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Quatre hommes arrêtés pour vols de pièces à l’intérieur d’usines Ford

Une histoire digne d’un scénario de film a fait la nouvelle cette semaine du côté de Détroit, au Michigan, alors que quatre hommes, dont un ex-employés de Ford, ont été arrêtés dans le cadre d’une enquête sur un réseau sophistiqués de vols de pièces de véhicules.

Ce qui est particulier, c’est que les pièces subtilisées l’auraient été directement à partir de la chaîne de montage. Selon ce que rapporte la police de Dearborn, c’est une enquête qui s’est déroulée, sur plusieurs mois en collaboration avec les services de sécurité de Ford, qui a permis de mener aux arrestations des quatre individus le 6 mai dernier.

Le chef de la police de Dearborn, Issa Shahin, a mentionné au réseau de télévision local Fox 2 que les voleurs retiraient des pièces directement de la chaîne de montage, et que leur stratagème durait depuis deux ans. Des millions de dollars ont été ainsi volés à l’entreprise.

Les pièces auraient été volées dans les usines de Dearborn, de Flat Rock et de Wayne. Ces dernières fabriquent certains des modèles les plus populaires de Ford : la camionnette F-150 à Dearborn, la Mustang à Flat Rock et les Ranger et Bronco à Wayne.

Le stratagème

Une fois les pièces volées à partir de la chaîne de montage, elles étaient apparemment acheminées vers l’un de deux ateliers automobiles complice à Détroit. De là, la police affirme que les pièces étaient listées et vendues sur le site eBay.

La police a obtenu un mandat de perquisition pour deux résidences et deux entreprises de Détroit dans le cadre de l’enquête. « Lorsque nous avons exécuté un mandat de perquisition dans l’un des magasins de Détroit, du sol au plafond, il était rempli de pièces automobiles neuves », a déclaré Issa Shahin. À l’intérieur de l’atelier, la police mentionne avoir trouvé des capots, des pare-chocs, des phares et des feux de marque Ford, le tout stocké en attente d’être vendu.

Les noms des malfrats n’ont pas été divulgués, car le bureau du procureur du comté de Wayne n’a pas encore déposé d’accusation officielle. Le tout ne saurait tarder.

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Le texte Vols de pièces dans trois usines Ford de Détroit provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

  • Brembo vient de lancer une technologie qui réduit la poussière de frein et prolonge la durée de vie des disques.

La poussière de frein, en plus d’être inesthétique sur les jantes de voitures haut de gamme comme BMW ou Porsche, représente aussi un enjeu environnemental majeur. Ces particules, riches en métaux lourds et en composés toxiques, se retrouvent dans l’air et dans les écosystèmes. Elles peuvent même être nocives pour la santé humaine lorsqu’elles sont inhalées.

Avec l’arrivée imminente de la réglementation Euro 7 en Europe, qui encadre désormais la pollution liée au freinage, les fabricants de pièces automobiles sont mis au défi de réduire cette forme de pollution invisible, mais réelle.

Une solution technologique inspirée par l’environnement

C’est dans ce contexte que Brembo vient de présenter Greentell, un jeu de mots construit avec les mots « green » et « intelligence ». Cette nouvelle approche repose sur un procédé appelé dépôt métallique au laser, qui permet d’appliquer deux couches de revêtement sans nickel sur les disques de frein.

Ce traitement, réalisé par faisceau laser, réduit l’usure de surface de 80 % par rapport aux disques de fonte classiques non traités. Non seulement cela prolonge la durée de vie des freins, y compris celle des plaquettes, mais cela réduit également l’impact environnemental jusqu’à 85 %, selon Brembo. Ces chiffres ont été validés par un tiers indépendant, même si la méthode de mesure reste à préciser.

Une durabilité accrue, sans sacrifier la performance

Selon Brembo, les plaquettes de frein pourraient durer jusqu’à 80 % plus longtemps grâce à cette innovation, sans que cela compromette la puissance de freinage. Ce système sera adaptable à plusieurs types de disques — monoblocs, bicanaux, légers ou flottants — et pourra être installé aussi bien sur des véhicules en production que sur ceux en développement.

Les premiers modèles équipés de cette technologie devraient apparaître dès l’an prochain en Europe, notamment chez BMW et Porsche.

Un pionnier qui n’en est pas à sa première innovation

Ce n’est pas la première fois que Brembo tente de réinventer le freinage. Il y a quelques années, le fabricant avait développé, en collaboration avec Porsche, un autre type de traitement — le revêtement HVOF (High Velocity Oxygen Fuel). Ce procédé utilisait une projection à grande vitesse d’un mélange carburant/oxygène infusé au carbure de tungstène, créant une finition miroir de 0,1 mm d’épaisseur.

À l’époque, l’usure des plaquettes avait été réduite de 30 %, et celle des disques de 90 %.

Vers des freins quasi éternels ?

Si cette tendance se poursuit, les systèmes de freinage pourraient bientôt atteindre une longévité comparable aux freins à tambour, aujourd’hui remis au goût du jour dans plusieurs véhicules électriques pour leur faible besoin en entretien.

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  • Une baisse de tarifs qui sauve des emplois chez JLR au Royaume-Uni

Le premier ministre britannique Keir Starmer a annoncé hier une entente commerciale entre le Royaume-Uni et les États-Unis. Cette dernière réduit les tarifs douaniers sur les véhicules exportés vers l’Amérique de 27,5 % à 10 %. Résultat immédiat : des centaines d’emplois seront préservés chez Jaguar Land Rover (JLR), notamment à l’usine de Solihull, dans le centre de l’Angleterre.

Une bouffée d’air pour l’industrie automobile britannique

L’ambassadeur britannique aux États-Unis, Peter Mandelson, a confirmé au réseau CNN que cet accord permet d’éviter des mises à pied qui étaient prévues chez JLR. « Cet accord a sauvé ces emplois », a-t-il déclaré. Du côté de l’entreprise, le PDG Adrian Mardell a salué « un geste qui offre une plus grande stabilité à notre secteur et aux communautés qui en dépendent. »

Le SMMT (Society of Motor Manufacturers and Traders), l’organisme représentant l’industrie automobile au Royaume-Uni, a lui aussi applaudi cette percée diplomatique, mentionnant que l’accord évite « une menace immédiate et sérieuse » pour les exportateurs automobiles britanniques.

De 27,5 % à 10 % de droits de douane

Grâce à cette entente, les véhicules britanniques expédiés aux États-Unis seront soumis à un tarif réduit à 10 % au lieu de 27,5 %, pour une limite de 100 000 véhicules par année. Ce chiffre est légèrement en dessous des 102 000 modèles exportés vers les États-Unis l’an dernier, ce qui indique que la limite pourrait être dépassée rapidement — un potentiel d’augmentation du quota est à l’étude selon Starmer.

Un marché américain crucial pour Jaguar Land Rover

Le marché américain représente 32 % des ventes mondiales de JLR, avec 128 988 unités vendues pour l’exercice financier se terminant le 30 mars. Lorsqu’un tarif de 25 % a été introduit le 3 avril, JLR a interrompu ses exportations vers les États-Unis, avant de les reprendre le 4 mai grâce à cette nouvelle entente.

En 2024, 27 % des 9 milliards de livres d’exportations automobiles britanniques vers les États-Unis étaient constitués de véhicules à forte valeur ajoutée. C’est dire l’importance de ce débouché.

Land Rover Range Rover Sport P400
Land Rover Range Rover Sport P400 | Auto123.com

Certains modèles continuent de faire face à de lourds tarifs

Toutefois, les Land Rover Defender et Discovery, produits à l’usine slovaque de JLR (dans l’Union européenne), ne sont pas couverts par l’accord et demeurent frappés par une taxe de 27,5 %. L’Union européenne, de son côté, cherche toujours à conclure un accord semblable avec Washington.

Certains constructeurs britanniques, toujours dans l’incertitude concernant la gestion du quota et qui devra payer le tarif de 25 % une fois la limite atteinte, préfèrent ne pas commenter publiquement l’accord.

Un contexte de croissance, malgré la Chine

Depuis 2022, les exportations britanniques de véhicules vers les États-Unis ont bondi de 39 %, ce qui laisse présager que le quota de 100 000 véhicules pourrait être franchi dès cette année. Pour JLR, les États-Unis font figure de planche de salut, surtout que les ventes en Chine ont chuté de 10 %, et de 29 % dans le seul dernier trimestre.

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Le texte La baisse de tarifs sauve des emplois chez JLR provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Quelques jours après que Polestar ait annoncé le rappel de près de 28 000 unités de la Polestar 2 en raison d’un problème de caméra de recul, c’est maintenant au tour de Volvo — sa société sœur — d’être frappée par un problème similaire, mais d’ampleur beaucoup plus grande : 413 151 véhicules sont concernés aux États-Unis seulement.

Une caméra qui refuse d’afficher l’image en marche arrière

Selon Volvo Cars, certains modèles peuvent souffrir d’un problème logiciel où l’image de la caméra de recul ne s’affiche pas sur l’écran d’infodivertissement, ce qui réduit considérablement la visibilité arrière du conducteur. Même si on pourrait simplement se rabattre sur les bons vieux rétroviseurs, la réglementation américaine est claire : les caméras de recul sont obligatoires et doivent être fonctionnelles en tout temps pour respecter les normes de sécurité fédérales.

La cause : un code d’erreur logiciel

Le constructeur suédois pointe du doigt un code d’erreur qui peut être généré dans certaines conditions, ce qui empêche l’image de s’afficher. La bonne nouvelle, c’est que les systèmes de freinage automatique arrière et de détection de circulation transversale continuent de fonctionner normalement sur les modèles qui en sont dotés.

Liste des modèles Volvo concernés

Voici les véhicules inclus dans le rappel, selon les périodes de production :

  • S60 (2023-2025) : du 24 juin 2022 au 21 juin 2024
  • V60 (2023-2025) : du 12 mai 2022 au 28 juin 2024
  • V60 Cross Country (2023-2025) : du 16 mai 2022 au 18 avril 2025
  • S90 (2022-2025) : du 8 juin 2021 au 25 janvier 2025
  • V90 (2022) : produite le 14 octobre 2021
  • V90 Cross Country (2022-2025) : du 1er juin 2021 au 10 avril 2025
  • XC60 (2022-2025) : du 20 mai 2021 au 11 avril 2025
  • XC90 (2023-2025) : du 20 mai 2022 au 11 avril 2025
  • XC40 (2021-2025) : du 8 septembre 2020 au 18 avril 2025
  • C40 (2022-2025) : du 19 octobre 2021 au 15 avril 2025

Aucun incident signalé pour l’instant

Volvo a précisé qu’aucun accident, blessure ou décès n’a été rapporté en lien avec ce défaut. Le correctif consistera en une mise à jour logicielle offerte gratuitement chez les concessionnaires. Les propriétaires commenceront à recevoir des avis de rappel à partir du 24 juin.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte Plus de 413 000 Volvo ont un problème de caméra de recul provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le Canada a vu ses ventes de véhicules neufs progresser de 10 % en avril, un chiffre impressionnant. Selon la firme de consultation DesRosiers, ce sont 186 000 véhicules qui ont été négociés au pays en avril, contre 167 000 unités pour le même mois en 2024.

Selon les experts qui analysent l’industrie automobile canadienne, cette hausse importante des ventes est en grande partie attribuable à la peur qu’ont les consommateurs de voir les prix des véhicules augmenter très bientôt en raison de la guerre commerciale lancée par Donald Trump avec ses histoires de tarifs. Les gens souhaitent agir avant de voir les prix grimper.

C’est du moins l’opinion de Robert Karwell, entre autre directeur de la division des données et de l’analyse de J.D. Power Canada.

« Mon intuition est que cette hausse de vente est en raison de Donald Trump, des élections canadiennes et des tarifs douaniers. De nombreuses marques ont incité les gens à agir plus tôt que tard, avant que les prix changent. »

Il soutient que les prix en avril sont demeurés essentiellement les mêmes, mais qu’effectivement, des hausses sont à prévoir pour les véhicules vendus au Canada.

Un camion Silverado dans l'usine de GM à Oshawa, en Ontario
Un camion Silverado dans l’usine de GM à Oshawa, en Ontario | Auto123.com

Rappelons que Donald Trump a imposé un tarif douanier de 25 % sur tous les véhicules importés aux États-Uns en provenance du Canada, mais aussi du reste de la planète. Le premier ministre Mark Carney a répondu en imposant le même tarif de 25 %, bien que les véhicules importés par des constructeurs qui assemblent des véhicules au Canada puissent bénéficier d’une remise.

Il y a aussi beaucoup de nuances concernant les pièces et les échanges qui respectent l’Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM), mais grosso modo, l’industrie est grandement affectée.

Ce qui sera à surveiller au cours des prochains mois, c’est de quelle façon les modèles vendus ici verront leurs prix augmenter, mais aussi quels produits seront plus touchés que les autres.

À condition que les tarifs restent en place, bien entendu. Cette semaine, le président des États-Unis a déclaré sans ambages lors de son face-à-face avec le premier ministre Mark Carney que rien ne pourrait faire disparaître les droits de douane. Mais nous connaissons la capacité du président à changer soudainement d’avis. Nous verrons bien.

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Le texte Hausse de 10 % des ventes en avril au Canada… en raison des tarifs provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• Le Toyota Corolla Cross 2026 vient d’être présenté.

Toyota a dévoilé une série de mises à jour visant à rafraîchir l’apparence de l’un de ses plus récents modèles, le VUS Corolla Cross. Lancé pour l’année 2022, il est difficile de croire qu’il en sera déjà à sa cinquième année sur le marché en 2026.

Concernant la mise à niveau, elle s’attaque en substance au style du modèle, à la présentation intérieure, à la technologie, ainsi qu’aux coloris proposés, de même qu’au design des jantes.

Toyota Corolla Cross XSE 2026
Toyota Corolla Cross XSE 2026 | Auto123.com

Design du Toyota Corolla Cross 2026

En matière de style, Toyota a décidé qu’il serait plus facile de différencier les versions à essence du Corolla Cross 2026, de celles animées d’une mécanique hybride. Les premières voient leur design être porteur de plus de caractère, avec une grille complètement revue et un style nettement plus agressif.

Dans le cas des variantes hybrides, l’approche est beaucoup plus douce avec une nouvelle combinaison de pare-chocs et de grille qui adoptent la couleur de la carrosserie. C’est inspiré de ce qu’on voit avec la familiale Crown Signa, par exemple.

Toyota Corolla Cross 2026, avant et arrière
Toyota Corolla Cross 2026, avant et arrière | Auto123.com

Toyota Corolla Cross 2026 – versions au Canada

Quant à la composition de la gamme, le Corolla Cross hybride sera livrable en configuration SE et XSE, alors que la déclinaison à essence proposera quatre niveaux de finition ; L et LE, avec ou sans le rouage intégral, ainsi que LE Premium et XLE, à quatre roues motrices.

Une nouvelle couleur, le bleu cavalerie (Cavalry Blue) est ajouté à la palette avec les versions LE et XLE à essence, ainsi qu’avec les livrées SE et XSE hybrides, avec une approche deux tons montrant un toit noir dans ces deux derniers cas.

Toyota Corolla Cross 2026, intérieur
Toyota Corolla Cross 2026, intérieur | Auto123.com
Toyota Corolla Cross 2026, intérieur
Toyota Corolla Cross 2026, intérieur | Auto123.com

À l’intérieur

À bord, on a droit à un nouveau design de la console centrale. Ce dernier vient maximiser l’espace utilisable pour le rangement. Là aussi, une nouvelle couleur nommée Portobello vient s’ajouter à la version XLE. On note aussi la présence, avec les versions à quatre roues motrices, d’un nouvel écran multimédia plus grand, atteignant cette fois 10,5 pouces. Autrement, sa taille est de 8,0 pouces.

Aussi, selon la variante, un écran d’informations de 7,0 pouces (L, LE et SE) ou de 12,3 pouces (LE Premium, XLE et XSE) va se trouver devant le conducteur pour le tenir informé des données relatives à la conduite.

Notez qu’à l’arrière, Toyota ajoute les sièges chauffants de série avec les versions XLE et XSE.

Toyota Corolla Cross 2026, capot, calandre
Toyota Corolla Cross 2026, capot, calandre | Auto123.com

Motorisation du Toyota Corolla Cross 2026

Mécaniquement, rien ne change, alors qu’un moteur 4-cylindres de 2,0 litres repose sous le capot. Il est accompagné de trois moteurs électriques avec la version hybride, qui propose une puissance combinée de 196 chevaux. La consommation moyenne est évaluée à 5,6 litres aux 100 km par Toyota.

Pour la version à essence, la prestation est à 169 chevaux, alors que la consommation moyenne demeure raisonnable, soit à 7,4 litres pour tous les 100 km parcourus pour les versions à traction, ou à 7,8 litres pour celles à quatre roues motrices.

Le Toyota Corolla Cross 2026 va arriver en concession plus tard cette année. C’est à ce moment que la compagnie dévoilera la gamme de prix pour 2026.

Toyota Corolla Cross 2026, trois quarts avant
Toyota Corolla Cross 2026, trois quarts avant | Auto123.com
Toyota Corolla Cross 2026, avant
Toyota Corolla Cross 2026, avant | Auto123.com

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Le texte Toyota dévoile un Corolla Cross 2026 mis à jour provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Avec les tarifs automobiles maintenant en place, ce n’était qu’une question de temps avant que l’on voit les constructeurs commencer à augmenter le prix de certains de leurs modèles.

Ford vient d’annoncer qu’elle devenait l’un des premiers grands constructeurs à procéder à des hausses de prix en raison des tarifs de 25 % imposés à l’importation de véhicules aux États-Unis.

Ford augmente ainsi le prix de trois modèles qu’elle produit au Mexique, soit le VUS électrique Mustang Mach-E, l’utilitaire Bronco Sport, ainsi que la camionnette Maverick. On parle d’une hausse approximative de 2000 $ US pour le moment, selon une note interne qui a été envoyée aux concessionnaires américains de la marque, rapporte le site Reuters.

Le Ford Maverick
Le Ford Maverick | Auto123.com

La décision de la compagnie survient seulement quelques jours après avoir déclaré que les effets de la guerre commerciale lancée par Donald Trump ajouteraient environ 2,5 milliards USD aux coûts globaux de l’entreprise pour 2025.

Devant l’incertitude, la compagnie a suspendu ses prévisions de bénéfices annuels. Le grand rival de Ford, General Motors, a également déclaré que les tarifs douaniers lui coûteraient des milliards.

Un porte-parole de Ford a précisé que les hausses de prix concerneront les véhicules qui ont été construits après le 2 mai et qui arriveront chez les concessionnaires à la fin du mois de juin. Il a aussi ajouté que la compagnie n’avait pas pour le moment refilé toute la facture des tarifs aux clients. On peut deviner que la situation ne sera pas soutenable à très long terme.

En fait, si les tarifs perdurent, il faudra s’attendre à d’autres hausses de prix et aussi à ce que l’ensemble des modèles de la gamme d’un constructeur soit affecté, afin de répartir les coûts à travers une famille de véhicules, plutôt qu’un modèle en particulier.

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Le texte Tarifs : premières augmentations de prix pour Ford aux États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Toyota anticipe un impact financier de 1,64 milliard CAD (1800 milliards de yens) en avril et en mai seulement en raison des tarifs imposés par les États-Unis, ce qui entraînera une baisse de 21 % de son bénéfice d’exploitation pour l’exercice fiscal courant. Le constructeur tente de compenser ce revers avec une hausse des ventes mondiales, un meilleur contrôle des coûts et de nouvelles sources de revenus.

Les ventes mondiales en hausse malgré le contexte incertain

Malgré un climat tendu dans le commerce international, Toyota prévoit vendre 9,8 millions de véhicules d’ici mars 2026, une augmentation de 4,7 %, un résultat anticipé tiré par des hausses dans tous ses marchés clés, y compris l’Amérique du Nord, l’Europe et le Japon.

Retour au maximum de la capacité en Indiana : un levier crucial pour l’Amérique du Nord

La reprise complète de la production à l’usine de Princeton, en Indiana, suspendue l’an dernier à cause de rappels coûteux sur certains utilitaires sport, devrait permettre de rattraper les retards de livraison et soutenir les ventes nord-américaines.

L'usine de Toyota à Princeton, en Indiana
L’usine de Toyota à Princeton, en Indiana | Auto123.com

Toyota prévoit que son bénéfice d’exploitation chutera à 35,0 milliards CAD (3,8 trillions de yens) pour l’exercice se terminant en mars 2026, contre 44,4 milliards CAD (4,82 trillions de yens) l’an dernier. La marge bénéficiaire passera de 10 % à 7,8 %.

Tarifs, matières premières et taux de change : une tempête parfaite

Les tarifs douaniers ne sont qu’une partie du casse-tête. Les fluctuations des devises causent une perte prévue de 6,88 milliards CAD, la hausse des coûts de matériaux, une perte de 3,23 milliards CAD.

Toyota projette cependant des revenus stables, prévus à 442,4 milliards CAD. Le bénéfice net, lui, est en baisse de 35 %, à 28,3 milliards CAD.

Fin de l’élan, début des turbulences ?

Ces prévisions surviennent alors que Toyota a annoncé une baisse de 10 % de son bénéfice d’exploitation pour l’exercice terminé le 31 mars, principalement en raison de la hausse des coûts de main-d’œuvre et de recherche et développement. Cela met fin à une période exceptionnelle pour le PDG Koji Sato, qui avait célébré l’an dernier des records historiques de ventes et de profits.

Depuis, l’élan s’essouffle : le bénéfice d’exploitation a reculé de 28 % au dernier trimestre de 2024, marquant deux trimestres consécutifs de déclin, après deux années de croissance.

Ventes soutenues aux États-Unis… pour l’instant

Les ventes américaines ont grimpé de 10 % en avril, ce qui porte l’augmentation à 3 % sur les quatre premiers mois de l’année. Mais plusieurs analystes estiment que cette ruée pourrait être temporaire, les consommateurs tentant de devancer les hausses de prix liées aux tarifs. Le défi sera de voir si cette demande a été « tirée » du futur, et si les ventes chuteront par la suite.

Adaptation sur le long terme : plus de production locale ?

Toyota évoque la possibilité de renforcer sa capacité de production en sol nord-américain pour réduire son exposition aux aléas du commerce international. Mais pour l’instant, le constructeur garde le cap tout en restant prudent.

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Le texte Toyota encaisse un coup de 1,64 milliard CAD en raison des tarifs américains provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ceux qui ont plus de 50 ans vont se souvenir de l’époque où la limite de vitesse adoptée à l’échelle nationale aux États-Unis était de 55 miles à l’heure, soit 89 km/h. En fait, c’est en 1974 qu’était adoptée une mesure qui obligeait les États à imposer cette limite maximale sur leurs autoroutes.

Les législations qui osaient refuser risquaient de perdre du financement. La grande majorité va se plier à la mesure, mais certaines vont y résister. Et pourquoi avait-on adopté cette mesure ? Non, la sécurité routière n’était pas la première raison, mais bien la réduction des émissions polluantes. Rappelons-nous que la crise du pétrole de 1973 avait frappé fort.

La mesure sera en place jusqu’en 1987. Ensuite, les États reçoivent la permission de dicter eux-mêmes la limite de vitesse sur leurs autoroutes. Certains territoires conservent alors la limite de 55 miles à l’heure, dont New York et la Pennsylvanie.

En 1995, le choix était entièrement remis aux États, ce qui est toujours le cas aujourd’hui. C’est pourquoi on peut voir des limites à 65 miles à l’heure (105 km/h) en plusieurs endroits, mais aussi des États où la limite est à 70 (113 km/h), 75 (121 km/h) ou même 80 miles à l’heure (129 km/h).

Une seule autoroute, payante, voit sa limite être de 85 miles à l’heure (137 km/h) aux États-Unis. Elle se trouve au Texas.

Un État de plus à 130 km/h

La semaine dernière, un État de plus a adopté la norme des 80 miles à l’heure, soit le Dakota du Nord. À l’exception du Minnesota, où la limite est à 70 miles à l’heure, les deux autres territoires qui bordent le Dakota du Nord (le Montana et le Dakota du Sud) ont une limite à 80 miles à l’heure.

Évidemment, les limites sont plus basses dans les zones urbaines ou plus densément peuplées. La limite maximale est souvent appliquée sur de longs tracés droits où la circulation est rarement importante.

Pour avoir roulé en plusieurs endroits où la limite était à 80 miles à l’heure aux États-Unis, je peux vous confirmer que la circulation est rarement un problème.

Les États américains où la limite permise est à 80 miles à l’heure sont maintenant le Dakota du Nord, le Dakota du Sud, le Montana, le Wyoming, l’Utah, le Texas, le Nevado, l’Ohio et le Kansas.

On attend quoi chez nous

Chaque fois qu’on entend parler d’une législation qui augmente ses limites de vitesse, la question est soulevée concernant notre territoire, où la permission est toujours à 100 km/h, soit 62,5 miles à l’heure.

Avec l’état de nos routes, il faut oublier une limite nationale à 130 km/h. Est-ce que l’on pourrait envisager une norme à 110 km/h ? Oui, surtout qu’en Ontario, le passage de plusieurs tronçons à 110 km/h va permettre aux autorités de recueillir des données sur le comportement des automobilistes, le nombre d’accidents (hausse ou baisse), etc.

Ce qui est envisageable à long terme, c’est que certaines sections de nos autoroutes voient leur limite passer à 110 km/h. Tout doit être fait de façon intelligente, cependant. Autour des grands centres et sur les grandes artères des banlieues peuplées de Montréal et de Québec, la limite doit être conservée telle quelle.

Enfin, ça pourrait faire l’objet d’un autre article, d’un autre débat, avant de penser à augmenter les limites de vitesse, il faudrait peut-être revoir la formation des conducteurs.

Si les gens savent généralement conduire un véhicule, certains ne savent pas SE conduire avec un véhicule.

En attendant, si vous souhaitez pouvoir rouler 130 km/h en toute impunité aux États-Unis, vous savez maintenant où aller.

Le texte Un autre État américain fait passer sa limite de vitesse à 130 km/h (ou 80 mph) provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile