Des rumeurs faisant état d’une fusion possible entre Stellantis et le groupe Renault ont fait surface récemment, ce qui a rapidement enflammé la planète automobile.

Or, si l’on se fie aux dirigeants des deux entreprises, le tout ne serait que de la frime.

De son côté, Carlos Tavares, le chef de la direction de Stellantis a déclaré que le tout relevait de la « pure spéculation ». Il s’est exprimé ainsi lors d’une visite de l’une des usines du groupe dans l’est de la France, rapporte Automotive News.

Carlos Tavares, sur X en juin 2024
Carlos Tavares, sur X en juin 2024 | Auto123.com

Luca de Meo, le grand patron de Renault, a refusé de commenter ce qu’il a qualifié de simples « rumeurs ».

Si des rumeurs avaient émané en début d’année, ce qui les a ravivés, c’est un article publié cette semaine par le journal italien Il Sole 24 Ore. Ce dernier rapportait que des discussions concernant un rapprochement entre les deux entreprises étaient devenues plus persistantes. Les économies d’échelle d’une potentielle fusion étaient considérées comme une solution possible pour gérer la concurrence très forte que vivent tous les constructeurs à travers l’industrie.

Chez Stellantis, nous l’avons rapporté à quelques reprises ces dernières semaines, les choses ne sont pas toujours roses. Les actions du fabricant sont en chute libre, soit de 55 % depuis le mois de mars. La valeur de l’entreprise a perdu 47 milliards d’euros.

Vous pouvez parier qu’au prochain Salon de l’auto de Paris, qui va s’amorcer le 14 octobre prochain, là où Carlos Tavares et Luca De Meo seront présents, la question va revenir sur la table et les deux hommes seront assaillis par les médias.

Nous allons surveiller le tout de très près.

Luca De Meo, PDG de Renault
Luca De Meo, PDG de Renault | Auto123.com

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Le texte Stellantis et Renault nient les rumeurs de fusion provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Un sondage réalisé par la firme Léger, commandée par la Fédération canadienne des contribuables (FCC), démontre que 59 % des Canadiens ne sont pas en faveur de la législation fédérale qui va exiger que les ventes de véhicules « zéro émission » représentent 100 % de toutes les transactions impliquant des véhicules neufs au pays à partir de 2035.

Comme le rapporte Automotive News, en vertu de la norme de disponibilité des véhicules électriques, les modèles « zéro émission » doivent représenter un pourcentage croissant des ventes chaque année. L’objectif est de 20 % en 2026 pour finalement atteindre 100 % en 2035. À partir de ce moment, la loi interdit la vente de véhicules neufs à essence.

« Les résultats du sondage sont clairs : les Canadiens ne veulent pas que le gouvernement interdise les nouveaux véhicules à essence et diesel. Les Canadiens veulent avoir la possibilité d’acheter des fourgonnettes à essence et des camionnettes de travail à moteur diesel, et les contribuables savent que cette interdiction nous coûtera une fortune. »

Franco Terrazzano, directeur fédéral de la FCC.

Selon le sondage Léger, qui demandait aux Canadiens s’ils étaient favorables ou opposés à l’interdiction fédérale de vendre de nouveaux véhicules à essence et diesel, 59 % s’opposent à l’interdiction, 29 % sont pour, et 12 % demeurent indécis.

Une borne de chargement Tesla, en Alberta
Une borne de chargement Tesla, en Alberta | Auto123.com

Les résultats montrent également un clivage entre différences catégories de Canadiens.

Le désaccord avec la législation est le plus élevé chez les Canadiens âgés de 35 ans et plus (63 %), les Canadiens de l’ouest (66 %), où les ventes de camionnettes dominent, et les résidents ruraux (72 %), où l’infrastructure de recharge et l’inquiétude quant à l’autonomie demeurent des préoccupations.

En revanche, le soutien le plus important vient des 18-34 ans et des citadins, qui sont 37 % à approuver l’idée.

Le sondage Léger survient trois mois après que J.D. Power Canada a publié sa propre étude, qui montre que les Canadiens sont moins enthousiastes à l’idée de posséder un véhicule électrique.

Concrètement, un peu plus d’un quart des acheteurs de véhicules neufs au Canada ont déclaré qu’ils envisageraient d’acheter un modèle tout électrique lors de leur prochain achat. Selon l’étude publiée le 30 mai, 10,9 % des personnes interrogées se disaient « très susceptibles » d’envisager un véhicule électrique et 17,6 % « assez susceptibles » d’en envisager un.

En revanche, 52 % des acheteurs potentiels déclaraient qu’il était « très peu probable » qu’ils fassent le saut et 19,6 % déclaraient qu’il était « assez peu probable » que cela se produise.

Le Ford F-150 STX 2024
Le Ford F-150 STX 2024 | Auto123.com

Pour le moment, il est important de le rappeler, les ventes de modèles électriques sont toujours en croissance, même si la courbe anticipée concernant leur augmentation n’est pas aussi prononcée que prévu. Verra-t-on le tout plafonner ?

L’inquiétude quant à l’autonomie, l’infrastructure de recharge limitée, ainsi que le coût des modèles, était les principaux points d’achoppement cités par les sceptiques dans l’enquête de J.D. Power.

Et encore là, cette réalité varie selon l’endroit où l’on se trouve au pays, notamment pour ce qui est de l’autonomie et de l’infrastructure de recharge.

La question des crédits

Dans le cadre de la nouvelle législation, les constructeurs se verront attribuer des crédits pour leurs ventes de véhicules « zéro émission ».

Ceux qui dépassent leurs objectifs pourront échanger leurs crédits ou les mettre en réserve pendant cinq années modèles au maximum. Les entreprises qui n’atteignent pas leurs objectifs génèrent un déficit, qui doit être résorbé dans les trois années modèles suivantes.

Aucun crédit accumulé ou mis en réserve ne pourra être utilisé pour compenser un déficit à partir de l’année modèle 2035.

Les constructeurs automobiles qui ne vendent pas suffisamment de véhicules « zéro émission » seront sanctionnés financièrement, mais le coût réel n’est pas encore connu.

Les constructeurs qui vont se trouver en situation de déficit de crédits pourront auprès d’autres constructeurs. Le prix sera déterminé par le marché à ce moment-là.

Une autre voie de conformité va consister à investir dans les infrastructures de recharge. Les constructeurs recevront un crédit pour chaque tranche de 20 000 $ investis. L’objectif est d’encourager la construction d’une infrastructure de recharge rapide pour véhicules électriques, ce qui va favoriser leur adoption par la population.

Franco Terrazzano s’inquiète que toute cette façon de faire ait une répercussion sur les consommateurs.

« Le premier ministre Justin Trudeau avance à toute vitesse avec sa nouvelle interdiction des véhicules à essence et diesel sans évoquer les coûts énormes que cette interdiction va imposer aux contribuables. Les Canadiens ont toutes les raisons de s’inquiéter que leurs factures d’impôts et d’électricité augmentent pour financer toutes les subventions, les stations de recharge, les centrales électriques et les lignes de transmission nécessaires pour soutenir l’interdiction de Trudeau. Il devrait écouter les Canadiens, prendre ce sondage comme un signal d’alarme et abandonner son interdiction des nouveaux véhicules à essence et diesel. »

Le sondage en ligne de Léger a été mené auprès de 1612 Canadiens âgés de 18 ans et plus entre le 20 et le 22 septembre dernier, inclusivement. La marge d’erreur de ce sondage est de plus ou moins 2,4 %, 19 fois sur 20.

Chose certaine, le débat est loin d’être terminé.

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Le texte Trois Canadiens sur cinq s’opposent à l’interdiction des ventes de modèles essence provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le générateur de votre voiture ancienne a besoin de soins réguliers. Il est de forme cylindrique et est entraîné par une courroie, la même qui entraîne la pompe à eau. Son rôle est crucial : recharger la batterie et maintenir le système électrique en état de marche. Que votre générateur soit en 6 ou 12 volts, son fonctionnement et sa construction restent similaires.

Les premières conceptions de générateurs

Les premiers générateurs, souvent entraînés par un engrenage ou une chaîne, étaient situés dans le compartiment avant du moteur. Plus tard, pour réduire les coûts et faciliter l’entretien, un système de poulie et courroie extérieur a été mis en place, simplifiant l’accès au générateur.

Générateurs dans les premiers moteurs : Une conception robuste mais limitée

Au début de l’histoire de l’automobile, les moteurs ne tournaient pas à haute vitesse et n’étaient pas conçus pour durer plus de 100 000 miles. Les générateurs, bien que solides, n’étaient pas très durables. Pourquoi ? Les générateurs étaient initialement entraînés par un bout, ce qui exerçait peu de pression sur les coussinets qui guidaient la rotation de l’armature.

L’évolution du système de poulie et de courroie

Lorsque la poulie du générateur a commencé à être entraînée par une courroie, cela a créé une nouvelle pression sur la poulie et l’armature. Cette tension constante a commencé à poser des problèmes pour les coussinets, conçus pour s’user plus rapidement que l’armature.

La solution des fabricants : Roulements à bille

Pour résoudre ce problème, les fabricants ont remplacé le coussinet par un roulement à bille côté poulie. Ce roulement pouvait supporter une pression importante et prolonger la durée de vie du générateur. À l’autre bout, le coussinet est resté en place, car il ne subissait que 10 % de la pression.

Pourquoi l’entretien des coussinets est crucial

Même si le roulement à bille résout une grande partie du problème, l’entretien du coussinet côté opposé à la poulie reste indispensable. S’il n’est pas lubrifié régulièrement, il s’usera et pourrait endommager définitivement le générateur.

Comment lubrifier correctement les coussinets

Au bout du générateur, du côté opposé à la poulie, il y a un petit capuchon avec un ressort. Ce capuchon cache un trou conçu pour recevoir de l’huile, destinée à lubrifier le coussinet. Ce petit geste d’entretien peut sauver votre générateur d’une usure prématurée.

Signes d’un coussinet usé

Le principal symptôme d’un coussinet trop usé est un bruit de cognement lorsque le moteur est au ralenti. Ce bruit disparaît souvent lorsque le moteur tourne à une vitesse plus élevée, mais il ne faut pas ignorer ce signe. Ce cognement est le résultat de l’armature qui frappe contre les plaques fixes à l’intérieur du générateur, et cela peut causer des dommages irréversibles.

Remplacer les coussinets : Prévenir plutôt que guérir

Certains générateurs populaires ont des coussinets standard disponibles sur le marché. Pour les autres, il faudra peut-être les faire fabriquer sur mesure. Dans tous les cas, ne négligez pas l’entretien de vos générateurs.

Le texte Comment prendre soin de votre générateur pour voitures anciennes provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Plus tôt cette semaine, on faisait état des ventes catastrophiques de la Fiat 500e, au point où Stellantis décidait de prolonger une période d’arrêt préalablement déterminée à l’usine où le modèle est produit.

Dans ce sas, on parle pourtant d’un modèle vendu à un prix « raisonnable ». À l’autre bout du spectre automobile, BMW vit la même chose avec son VUS XM, dont le prix se rapproche plus de la stratosphère que du budget de sa clientèle cible. Ses ventes sont aussi catastrophiques.

Voir : BMW XM 2023, essai : un « Bad Boy » au cœur d’artichaut

Des ventes anémiques

Concrètement, ce n’est pas facile pour le BMW XM depuis le début de sa production, qui a eu lieu en décembre 2022. Les ventes de ce VUS axé sur la performance, et créé comme produit unique de la division M, faut-il le rappeler, ne se déroulent pas au rythme anticipé par la compagnie. Cette tendance s’est poursuivie au troisième trimestre de cette année où BMW n’a écoulé que 307 exemplaires, soit une baisse de 30,7 % par rapport au même trimestre de l’année dernière, là où 443 unités avaient trouvé preneurs.

Bon, le XM n’est pas le seul modèle de BMW qui se vend moins par les temps qui courent. Il y a la Z4, mais le sort des coupés semble être le même partout à travers l’industrie, tristement. Même la Série 3 a vu ses ventes reculer de 13,7 % ce dernier trimestre, par rapport au même l’an dernier.

Le BMW XM, arrière
Le BMW XM, arrière | Auto123.com

Surtout, un problème de prix

Mais ce n’est pas le problème du XM. Ce qui accroche, c’est son prix. L’offre s’amorce à 220 000 $ CA avec ce modèle. Il faut comprendre que dans cette fourchette, l’acheteur n’a pas tendance à reculer devant une telle facture. Le problème n’est donc pas uniquement associé au prix. Là où le bât blesse, c’est que l’acheteur qui entre dans une concession BMW peut repartir avec un X5 ou un X7 hyper performant, au choix, pour la moitié du prix, si ce n’est plus.

Pour avoir conduit le XM, on peut certes confirmer que la machine est impressionnante avec sa puissance maximale de 738 chevaux et autant de livres-pieds de couple. Mais un X5 M propose 617 chevaux (142 500 $), alors qu’un X7 M60i en livre 523 pour une facture avoisinant aussi les 142 000 $.

Et en matière de luxe, les modèles « moins chers » n’ont rien à envier à ce XM. Voilà, en gros, ce qui explique le sort que subit le XM.

Et il y a ce style qui ne fait pas l’unanimité, mais ça, c’est une autre histoire.

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Le texte Des ventes catastrophiques pour le BMW XM provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• Chevrolet simplifie son offre avec le Colorado 2025 en retirant la mécanique de base qui était proposée avec le modèle.

La génération actuelle du Chevrolet Colorado, lancée pour l’année 2023, ne compte que sur une seule mécanique, un 4-cylindres turbo de 2,7 litres. Au renouvellement du modèle, trois variantes de cette dernière étaient proposées.

L’an dernier, Chevrolet abandonnait l’une des variantes, nommée Turbo Plus. Cette année, c’est la solution de base de cette mécanique qui est laissée de côté.

Pour vous résumer ça simplement, il ne reste qu’une seule configuration du moteur, soit la plus puissante, celle offrant 310 chevaux et 470 livres-pieds de couple. Celle qui est abandonnée proposait 237 chevaux et 259 livres-pieds de couple.

Cette puissance n’était pas un problème en soi, mais elle limitait la capacité de remorquage à 3500 livres, et la capacité de charge à 1490 livres, plutôt que les 7700 livres et 1710 livres, respectivement, qui sont possibles avec la mécanique conservée.

Le Chevrolet Colorado ZR2 Bison
Le Chevrolet Colorado ZR2 Bison | Auto123.com

La compagnie n’a pas expliqué les raisons qui ont motivé sa décision, mais on peut deviner qu’une faible demande est derrière, surtout que sur le plan du prix, il n’y avait pas une grosse différence entre les options. On devine que les acheteurs d’une camionnette de ce type préfèrent profiter des capacités du modèle, d’abord et avant tout, plutôt que d’une économie d’essence un peu meilleure, ainsi qu’un prix légèrement inférieur.

Notez que chez GMC, qui propose le modèle Canyon, le moteur le plus puissant est le seul au menu. Voilà qui va simplifier les choses sur la chaîne de montage. L’exercice va aussi s’avérer plus rentable pour la compagnie, et en ces temps où des sommes astronomiques sont engagées envers l’électrification, la maximisation des marges de profits est d’autant plus importante.

Et l’on sait à quel point les profits générés par les camionnettes sont cruciaux pour les constructeurs américains.

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Le texte Un moteur en moins pour le Chevrolet Colorado 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• Le Ford Expedition 2025 de nouvelle génération vient d’être présenté.

Le Ford Expédition approche les 30 ans, mais Ford n’a pas attendu que ce dernier célèbre ses trois décennies sur le marché avant de lui offrir une refonte importante. En effet, la cuvée actuelle, lancée pour 2018, et retouchée en 2022, a été complètement repensée pour la prochaine année.

Voici l’essentiel des changements.

Les versions du Ford Expedition 2025

D’abord, sachez que l’Expedition sera toujours livrable en configuration standard ou allongée, ce dernier modèle adoptant le suffixe Max. Le VUS continue d’être pensé pour les familles nombreuses, avec sa configuration pouvant recevoir jusqu’à huit personnes.

D’ailleurs, le renouvellement du produit s’est fait en partenariat avec la clientèle. Ford mentionne avoir consacré plus de 1100 heures à échanger avec celle-ci pour connaître ses besoins au quotidien. C’est avec les informations recueillies que l’utilitaire a été repensé.

Le nouveau Expedition sera disponible en quatre versions distinctes : Active, Platinum, King Ranch et Tremor.

Ford Expedition Platinum 2025
Ford Expedition Platinum 2025 | Auto123.com

Design du Ford Expedition 2025

Esthétiquement, l’Expedition est redessiné, mais il est facilement reconnaissable. À l’arrière, l’élément qui frappe est le Ford Split Gate, soit ce hayon divisé qui voit la partie supérieure s’ouvrir de façon classique, tandis que la partie inférieure se rabat pour offrir un accès facile à l’espace de chargement. L’approche n’est pas nouvelle. On peut notamment la voir avec le BMW X5. De l’extérieur, on voit la coupure nette, ce qui ajoute un élément distinctif au style.

Ford, sachant que plusieurs vont utiliser leur modèle pour des activités de plein air, ajoute même une fonctionnalité d’éclairage extérieur par zones. Cette option propose quatre zones lumineuses autour du véhicule, ce qui est idéal lorsque la nuit est tombée.

Le tout peut être contrôlé via le nouveau système multimédia du modèle.

Ford Expedition Platinum 2025, intérieur
Ford Expedition Platinum 2025, intérieur | Auto123.com
Ford Expedition Tremor 2025, sièges
Ford Expedition Tremor 2025, sièges | Auto123.com
Ford Expedition Platinum 2025, tableau de bord
Ford Expedition Platinum 2025, tableau de bord | Auto123.com

À bord

À l’intérieur, le Ford Expedition 2025 propose l’interface Ford Digital Experience. Ce système permet aux conducteurs et aux passagers de se connecter à leurs applications préférées via des profils personnalisables, tout en profitant de l’assistant vocal de Google ou d’Amazon Alexa, dont les capacités intuitives sont reconnues. Un écran panoramique de 24 pouces domine la présentation.

Pour les trajets sur autoroute, le système BlueCruise, maintenant proposé avec 90 % des versions de l’Expedition, propose une conduite mains libres profitant de fonctionnalités additionnelles, telles que le changement de voie assisté et le repositionnement en voie.

Le système progresse, mais demeure moins complet que ceux offerts par Tesla et General Motors.

Ford Expedition 2025, de profil
Ford Expedition 2025, de profil | Auto123.com

Motorisation du Ford Expedition 2025

Le Ford Expedition 2025 est toujours équipé d’un V6 EcoBoost de 3,5 litres, un bloc qui délivre 400 chevaux et 480 lb-pi de couple avec les versions Active, King Ranch et Platinum. Dans le cas du modèle Tremor, conçu pour les aventures hors route, c’est une version à haut rendement de cette mécanique qui loge sous le capot. Elle propose 440 chevaux et 510 livres-pieds de couple. Une boîte automatique à 10 rapports fait le lien avec les roues.

Ford Expedition Tremor 2025, de profil
Ford Expedition Tremor 2025, de profil | Auto123.com

La version Tremor du Ford Expedition 2025

La version Tremor vient proposer quelque chose de plus aux amateurs de plein air avec une garde au sol de 10,6 pouces, la meilleure de sa catégorie selon Ford, ainsi que des pneus tout-terrain General Grabber de 33 pouces. Elle sert aussi des équipements propres à la camionnette F-150, comme des marchepieds, ainsi que des plaques de protection sous le véhicule.

Quant à la capacité de remorquage, elle est de 9600 livres, au maximum, avec l’équipement approprié. Le modèle est aussi équipé des différentes assistances au remorquage offertes par l’entreprise, des technologies qui transforment ce genre d’opération en jeu d’enfants.

Le Ford Expedition 2025 pourra être commandé à partir du 24 octobre. Les premières livraisons du modèle auront lieu au printemps de 2025.

Ford Expedition Platinum 2025, trois quarts arrière
Ford Expedition Platinum 2025, trois quarts arrière | Auto123.com
Ford Expedition Platinum 2025, hayon
Ford Expedition Platinum 2025, hayon | Auto123.com
Ford Expedition Platinum 2025, deuxième rangée
Ford Expedition Platinum 2025, deuxième rangée | Auto123.com
Ford Expedition 2025 (version Stealth Performance), roue
Ford Expedition 2025 (version Stealth Performance), roue | Auto123.com
Ford Expedition Tremor 2025, calandre
Ford Expedition Tremor 2025, calandre | Auto123.com
Le Ford Expedition Tremor 2025
Le Ford Expedition Tremor 2025 | Auto123.com

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Le texte Ford présente son Expedition 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Bruno Sacco, celui qui a dirigé le département de design de Mercedes-Benz durant un quart de siècle, jusqu’à la fin du 20e siècle, est décédé à Sindelfingen, en Allemagne, le 19 septembre 2024. Il avait 90 ans.

Lorsqu’on parle de lui, on pense immanquablement à la SL, une gamme de sportives mythiques au développement desquelles il a contribué de près ou de loin. Cependant, son influence sur les produits de la marque étoilée est loin d’avoir été limitée à ces modèles. Car à Stuttgart, on n’hésite pas à dire qu’il a été le designer « qui a donné un visage à Mercedes-Benz ».

Inspiré par une Studebaker

Bruno Sacco est né le 12 novembre 1933 à Udine, une ville du nord de l’Italie reconnue pour son atmosphère et son charme vénitien. Tout jeune, il excelle dans les arts. Dans le livre Design publié par Mercedes-Benz en 2008, il raconte : « À l’école, j’ai toujours été doué en dessin et en peinture, mais j’étais également très intéressé par les questions techniques dès mon plus jeune âge et j’étais déterminé à devenir ingénieur. » D’ailleurs, un train miniature Märklin reçu au Noël de ses cinq ans ne serait pas étranger à ce sentiment, rappelle-t-il. Cependant, des études universitaires à l’École polytechnique de Turin lui montreront qu’il n’était pas taillé pour être ingénieur. « Le sujet était aride et sans vie. Je me voyais plutôt devenir un designer automobile et je voulais prouver que je pouvais en être un bon », explique Sacco.

Sa passion pour le design se précise lorsqu’il aperçoit un coupé Studebaker Starlight pour la première fois. C’est au Salon de l’automobile de Turin, en avril 1951, qu’il découvre avec admiration cette voiture réalisée par le Français Raymond Loewy pour la marque étatsunienne. Sa silhouette inhabituelle le fascine, une admiration qui sera renforcée peu après, lorsqu’il verra une autre Starlight que conduit un soldat américain se rendant en Autriche occupée par la frontière de Tarvis, où vit alors Sacco. Dans une courte biographie publiée par Mercedes en 2012, il dit qu’à l’époque cette voiture représentait « une sculpture en mouvement dont le style évoque des avions combinés à des éléments futuristes. »

Un coupé Studebaker Commander Starlight, la voiture qui a poussé Bruno Sacco à devenir designer d’automobiles.

Deuxième designer de Mercedes-Benz

Après avoir fait ses études, en 1952, Sacco et sa famille s’installent à Turin. À l’époque, cette ville qui foisonne de grands carrossiers, comme Pinin Farina, Bertone, Michelotti et Ghia, est un creuset d’innovations. Bruno Sacco le découvre rapidement en se joignant, en 1955, à la Carrozzeria Ghia SpA, où il découvre l’art de la conception et de la fabrication des carrosseries.

Fin 1957, il rencontre Karl Wilfert, l’ingénieur responsable du développement des carrosseries chez Daimler-Benz. Impressionné par ce jeune designer passionné, il l’embauche et, le 13 janvier 1958, Sacco commence à travailler sous la direction de Friedrich Geiger, le grand patron d’un nouveau département de « Stylistique ». Il en sera le second designer, le premier, Paul Bracq, ayant été embauché en 1957 par Wilfert.

Pour Sacco, c’est un travail de rêve ! Dès ses débuts, il est impliqué dans deux grands projets qui aboutiront au début des années 60 : la Mercedes-Benz 600 (W100, 1963-1981) et la 230 SL (W 113 ou « Pagode », 1963-1971).

Par la suite, il travaillera également sur la conception de berlines expérimentales de sécurité appelées ESF (pour Experimentier–Sicherheits-Fahrzeuge) : les ESF 13, ESF 22 et ESF 24. Il jouera aussi un rôle déterminant dans les projets des C 111 (1969) et C 111-II (1970), deux véhicules expérimentaux à moteur rotatif.

De designer à chef de produit

Au moment de succéder à Friedrich Geiger et de prendre la direction du département de design en 1975, il comprend qu’il doit désormais penser et agir en tant que chef de projet, et non plus comme un designer, pour faire de ses créations des produits de série. Deux générations de modèles SL — la série W 198 (1954-1963, la 300 SL à portes « papillon ») et la série R 129 (1989-2002) — lui apprendront beaucoup à cet égard.

À maintes reprises, il a raconté que « les 35 années qui séparent l’apparition de ces deux modèles, si différents, mais suscitant pourtant des émotions similaires, ne pourraient être mieux documentées par aucun autre ‘‘couple’’ de l’histoire de l’automobile. Quand je pense à la force musculaire qu’il fallait déployer pour conduire la Gullwing et à l’effort continu nécessaire pour garder cette bête têtue sous contrôle (ou pour essayer de le faire), mais aussi à ​​quel point la nouvelle voiture se comporte de manière relaxante et même ludique ! Il est évident que je suis moi aussi un passionné de SL, et ce depuis de nombreuses années. Je constate, et pas seulement par hasard (c’est vraiment tangible), que les voitures décapotables peuvent aussi être sûres. Et même sans une chevelure fournie, j’apprécie l’effet du pare-vent, cette idée ingénieuse de nos ingénieurs. »

Au fil des ans, Bruno Sacco laissera sa marque dans plusieurs réalisations notoires de Mercedes comme, par exemple, la Classe E de la série 124 avec ses quatre variantes de carrosserie, l’imposante berline et le coupé Classe S de la série 126, de même que la berline compacte 190 (W 201, 1982-1993) surnommée « bébé Benz ».

La Mercedes-Benz 190 (W 201) a été produite de 1982 à 1993.

Chacune de ces réalisations était guidée par le même principe directeur si cher à Sacco : « Une Mercedes-Benz doit toujours ressembler à une Mercedes-Benz. » Un principe qu’il se réjouissait d’avoir réussi à intégrer même à la Classe A (W 168, 1996-2005), la petite voiture populaire de la marque. Un modèle qui, disait-il, a contribué à démocratiser la marque Mercedes-Benz.

Une retraite émaillée d’honneurs

Puis, le 31 mars 1999, Bruno Sacco prend sa retraite. Peter Pfeiffer lui succède alors à la direction du design. Chez Mercedes, on affirme fièrement que Sacco, qui savait combiner harmonieusement esthétique et technologie, aura été un des designers les plus influents de l’histoire de l’automobile.

Au début du 21e siècle, il sera d’ailleurs émaillé d’honneurs. Il reçoit un doctorat honorifique de l’Université d’Udine en 2002. Puis, il est intronisé aux deux temples de la renommée automobile : l’Automotive Hall of Fame de Dearborn au Michigan, en 2006, et l’European Automotive Hall of Fame du Palexpo à Genève, en Suisse, l’année suivante.

Dans un communiqué publié par Mercedes le 29 septembre, qui annonce son décès, l’actuel directeur du Design, Gorden Wagener, affirme : « Bruno Sacco a laissé une empreinte durable sur l’entreprise avec ses créations emblématiques et sa passion pour l’esthétique. Nous perdons une personnalité exceptionnelle et un esthète impressionnant. » Un hommage qui convient parfaitement à celui qui clamait : « une technologie innovante ne devient visible que lorsqu’elle est associée à un design tout aussi innovant. »

Photos : Mercedes-Benz

Le texte Bruno Sacco, le designer qui a donné un visage à Mercedes-Benz, n’est plus provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Toyota, l’un des plus grands constructeurs automobiles mondiaux, a annoncé un retard dans ses projets de production de véhicules électriques (VE) en Amérique du Nord. Prévu initialement pour 2025, le début de la production de son premier VUS électrique à trois rangées à son usine du Kentucky est maintenant repoussé à la première moitié de 2026. La baisse des ventes de VE en sol américain serait l’une des raisons derrière cette décision.

Annulation des plans pour les Lexus électriques en Amérique du Nord

Par ailleurs, Toyota aurait annulé ses plans de production de VUS électriques sous la marque Lexus en Amérique du Nord d’ici 2030. Plutôt que de les fabriquer localement, ces modèles seront importés directement du Japon, selon les dernières informations.

Ajustements de conception pour le bZ5X

Le premier modèle électrique qui sera produit à l’usine du Kentucky est un VUS électrique à trois rangées, temporairement appelé bZ5X. Toyota a informé ses fournisseurs que des modifications de conception étaient en cours pour ce modèle, retardant ainsi son lancement.

Le concept Toyota bZ Large SUV
Le concept Toyota bZ Large SUV | Auto123.com

Le bZ5X sera basé sur le concept « bZ Large SUV » dévoilé en décembre 2021 et pourrait être construit sur une version allongée de la plateforme e-TNGA. Il devrait inclure une batterie plus grosse que celle de 71,4 kWh de son petit frère, le bZ4X, ainsi que la transmission intégrale avec deux moteurs électriques.

Des versions Subaru et Lexus prévues

Il est également prévu que ce nouveau modèle serve de base pour une version chez Subaru, qui serait fabriquée dans la même usine du Kentucky. Toyota projette de produire environ un million de véhicules électriques dans le monde en 2026, un chiffre qui a été revu à la baisse par rapport à l’objectif initial de 1,5 million d’unités.

Investissements stratégiques dans les installations américaines

Toyota investit 1,3 milliard (devises américaines) dans son usine du Kentucky pour la production de véhicules électriques et la création d’une nouvelle chaîne de montage pour les batteries. Ces dernières proviendront de l’usine Toyota Battery Manufacturing qui est située en Caroline du Nord.

Actuellement, l’usine du Kentucky produit des modèles comme la Toyota Camry, la Camry hybride, le RAV4 hybride et la Lexus ES, ainsi que des moteurs à quatre et à six cylindres.

Toyota bZ4X
Toyota bZ4X | Auto123.com

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Le texte Toyota reporte jusqu’en 2026 la production de véhicules électriques aux États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Chaque fois qu’une inondation ou une catastrophe naturelle impliquant de l’eau se produit, il faut toujours faire attention comme consommateur, car certains modèles finissent parfois par se retrouver sur le marché.

Ça risque moins d’être le cas avec l’ouragan Helene, car sa violence a souvent laissé des traces importantes sur les véhicules qu’elle a touchées, les rendant inutilisables.

C’est ce qui s’est produit à la concession Kia de Ken Ganley, qui est situé à New Port Richey, en Floride. C’est simple, elle a tout balayé sur son passage, détruisant totalement ou partiellement 672 véhicules qui se trouvaient sur les terrains de l’entreprise. En tout, ce sont 660 modèles neufs ou d’occasion qui ont subi les foudres de mère nature, en plus de 12 modèles appartenant à des clients et qui étaient à l’atelier de réparation.

En entrevue avec Automotive News, Ken Ganley a estimé que la valeur totale des véhicules qui ont été inondés et détruits se situe entre 28 et 30 millions (en devises américaines). Sa franchise d’assurance étant de 5000 $ par véhicule, c’est 3,5 millions qu’il devra payer pour récupérer ses pertes.

Parmi les véhicules détruits, certains ont pris feu et d’autres ont vu leurs coussins gonflables se déployer.

Le concessionnaire de Ken Ganley, lors de l'ouragan Helene
Le concessionnaire de Ken Ganley, lors de l’ouragan Helene | Auto123.com

Ken Ganley a appris au petit matin du 27 septembre que sa concession Kia n’avait plus d’électricité, et qu’il y avait jusqu’à deux mètres d’eau à certains endroits. Son stock était alors sérieusement menacé. Finalement, les seuls véhicules qu’il a pu récupérer sont ceux qui ont été conduits à l’extérieur par les employés.

Incroyablement, après le retour de l’électricité le 28 septembre, le dépositaire a ouvert ses portes le 29 alors que les travaux de nettoyage battaient leur plein.

Tout est à rebâtir, cependant. L’homme d’affaires a quand même tenu à souligner que malgré les pertes matérielles, du positif est ressorti de l’expérience sur le plan humain. Le soutien de tous a été noté, y compris les membres de l’association des concessionnaires automobiles de Floride, qui ont proposé d’aider les employés de la concession.

Le fournisseur de produits financiers et d’assurance JM&A Group a offert gratuitement des générateurs pour alimenter l’édifice principal en électricité, et les dirigeants de Kia ont été parmi les premiers et les plus nombreux à se manifester.

« Kia a été incroyable tout au long de l’opération. Ils ont immédiatement mis des voitures à notre disposition », a-t-il déclaré.

De fait, Kia a envoyé une quinzaine de nouveaux véhicules dès le lendemain, a précisé Ken Ganley, ajoutant que 300 à 400 autres étaient attendus bientôt. Des modèles d’occasion provenant de ses autres concessionnaires prendront également la direction de la Floride.

Une histoire parmi tant d’autres tracée dans le sillon de l’ouragan Helene.

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La division de performance de Mercedes-Benz, AMG, travaillerait sur le développement d’une exotique tout électrique. Le modèle serait lancé avant la fin de la présente décennie, selon ce que rapporte le site Autocar.

La publication indique que la super voiture serait inspirée du concept Vision One-Eleven qui a été présenté l’année dernière. Ce modèle avait été construit en hommage à la série de démonstrateurs technologiques C111 lancés à la fin des années 1960 et tout au long des années 70.

Le concept a également servi de vitrine aux moteurs à flux axial développés par YASA, un expert en moteurs électriques haute performance acquis par Mercedes en 2021. Les moteurs à flux axial sont plus légers et plus petits que les moteurs à flux radial conventionnels de même puissance, mais leur fabrication est plus difficile, ce qui les rend beaucoup moins rentables.

Mercedes prévoit de construire des moteurs à flux axial dans une usine de Berlin, la première application étant probablement une berline à toit élancé basé sur la nouvelle plateforme électrique AMG.EA d’AMG, dont le lancement est prévu au cours des 12 prochains mois. Des prototypes de ce modèle, qui sera le premier véhicule électrique d’AMG, ont été aperçus à l’essai à plusieurs reprises.

L’un des moteurs à flux axial de YASA génère une puissance de 489 chevaux, alors qu’il ne pèse que 53 livres. Mercedes serait en train d’étudier plusieurs configurations, y compris à trois ou à quatre moteurs.

Le concept Vision One-Eleven, de profil
Le concept Vision One-Eleven, de profil | Auto123.com

Le nerf de la guerre avec un modèle de performance, c’est le poids ; ce dernier doit être réduit au maximum. Avec des unités légères, tout devient possible.

Quant à la super voiture prévue, elle devrait également utiliser la plateforme AMG.EA et, selon ce que rapporte le site Autocar, elle sera plus performance que la berline à toit allongé, de même que le prototype One d’AMG.

Cette voiture est détentrice du record au tour pour une voiture de série au Nürburgring, avec un temps de 6:35.183, établi en 2022.

Bien que Mercedes ait récemment annoncé une percée dans le développement de batteries à l’état solide plutôt légères et denses en énergie, le site Autocar raconte que la super voiture prévue s’en tiendrait à des piles lithium-ion de type liquide.

AMG a une grande expérience en matière d’énergie électrique. Elle a tâté le terrain pour la première fois en 2014 avec la SLS AMG Electric Drive. À l’époque, il s’agissait du véhicule électrique le plus rapide et le plus puissant du marché, grâce à une prestation de 740 chevaux. Depuis, AMG a acquis davantage d’expérience dans le cadre de son programme de F1, notamment dans les domaines de la décharge et de la récupération d’énergie.

Bref, tranquillement, Mercedes-AMG prépare le terrain pour un avenir tout électrique en matière de performance.

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