Selon les enquêtes de fiabilité JD Power compilées de 2016 à 2025, cinq constructeurs se démarquent par leur constance. Voici le top 5 :

  1. Lexus
  2. Buick
  3. Porsche
  4. Toyota
  5. Kia

Fait intéressant, Lexus et Buick sont les deux seules marques présentes chaque année dans le top 5. Toyota se retrouve parmi les meilleures huit fois, tandis que Porsche domine du côté des marques de prestige. Kia, pour sa part, confirme sa montée en puissance en matière de fiabilité.

Les coûts d’entretien moyens par marque

Lexus

  • Coût annuel moyen : 740 $ CAD (source : RepairPal, conversion)
  • Bien en dessous de la moyenne toutes marques confondues (875 $ CAD).
  • Moins de problèmes recensés que Toyota, malgré son positionnement haut de gamme.

Buick

  • Coût annuel moyen : 815 $ CAD.
  • Certaines réparations peuvent toutefois faire grimper la facture :

    • Remplacement du réservoir d’essence sur un Rendezvous : jusqu’à 2 550 $ CAD.
    • Alternateur sur un Encore GX : environ 1 515 $ CAD.

Porsche

  • Coût annuel moyen : 1 600 $ CAD.
  • Plus cher que la moyenne, mais moins de problèmes signalés par 100 véhicules (186 vs 202).
  • La fiabilité mécanique demeure un atout malgré le luxe et les technologies embarquées.

Toyota

  • Coût annuel moyen : 590 $ CAD.
  • La marque la moins coûteuse à entretenir de ce top 5.
  • Les réparations sont simples et abordables, un avantage clé pour les familles et flottes.

Kia

  • Coût annuel moyen : 635 $ CAD.
  • Plus de petits problèmes que certaines marques premium, mais les réparations sont peu coûteuses.
  • À titre comparatif, sa cousine Genesis coûte environ 700 $ CAD par année à entretenir.

Pourquoi ça compte pour les acheteurs

Pour un consommateur nord-américain, ces chiffres montrent que le choix d’une marque ne se limite pas au prix d’achat. Les coûts d’entretien et la fréquence des bris jouent un rôle majeur dans la satisfaction à long terme. En combinant fiabilité et coûts maîtrisés, Lexus et Toyota offrent la meilleure tranquillité d’esprit. Buick impressionne par sa constance, Kia par sa progression, et Porsche par sa rigueur mécanique malgré des frais plus élevés.

Tableau comparatif des 5 marques les plus fiables (2016-2025)

Marque Coût annuel moyen d’entretien (CAD) Problèmes moyens pour 100 véhicules Présence dans le top 5 JD Power (2016-2025)
Lexus 740 $ ~180 (moins que la moyenne de 202) 10/10 années
Buick 815 $ ~195 10/10 années
Porsche 1 600 $ 186 (vs 202 moyenne) 6/10 années
Toyota 590 $ ~200 8/10 années
Kia 635 $ ~205 4/10 années

Avec des renseignements de JD Power et Carbuzz

Le texte Les 5 marques de voitures les plus fiables des dix dernières années provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Mercedes-Benz s’apprête à remplacer son EQV vieillissant par deux minivans 100 % électriques : le VLE et une version encore plus raffinée, le VLS, qualifié de « Classe S des minivans ». Ces deux véhicules reposent sur la nouvelle architecture VAN.EA (Van Electric Architecture), spécialement conçue pour les fourgonnettes électriques de la marque. Leur lancement officiel est prévu plus tard cette année, avec une commercialisation mondiale — incluant l’Amérique du Nord — dès 2026.

Design inspiré du concept Vision V

Aperçu à travers le concept Vision V, le Mercedes VLE conserve un style futuriste, mais adouci pour la production. On retrouve une calandre pleine encadrée de phares tri-LED, un profil dynamique avec vitrages latéraux plongeants et une partie arrière marquée par des feux halo quasi identiques à ceux du prototype.

À l’intérieur, Mercedes reprend l’esprit luxueux de l’EQS, avec le MBUX Hyperscreen de pilier à pilier, des matériaux durables (cuir recyclé, placages bois naturels) et des configurations modulables :

  • VLE : trois rangées de sièges pour familles ou petits groupes.

  • VLS : fauteuils capitaines individuels, tables intégrées et aménagement lounge pour clients avec chauffeur.

Luxe technologique et autonomie élevée

Les deux modèles proposeront un arsenal technologique de pointe :

  • Conduite assistée de niveau 2+ (niveau 3 à venir),

  • Navigation en réalité augmentée,

  • Éclairage d’ambiance intelligent,

  • Système audio Burmester haut de gamme,

  • Écrans arrière 4K avec services de streaming,

  • Mises à jour logicielles OTA et recharge sans fil.

Sous le plancher, des batteries de 90 à 116 kWh offriront une autonomie dépassant 500 km WLTP. Grâce à une architecture 800 V, les VLE et VLS permettront une recharge ultra-rapide jusqu’à 350 kW, en plus de la recharge bidirectionnelle (vehicle-to-grid). La gamme inclura des versions propulsion (268 ch) et intégrale 4MATIC (jusqu’à 470 ch).

Un nouveau terrain de jeu pour Mercedes

En Amérique, le marché des fourgonnette électriques reste limité. Le Volkswagen ID. Buzz pourrait être comparé au VLE, mais Mercedes vise clairement plus haut. À l’international, les concurrents seront les Lexus LM hybride, Volvo EM90 et Zeekr 009. Avec les VLE et VLS, Mercedes cherche à imposer une nouvelle référence dans le segment des minivans de luxe électrifiés, une catégorie encore largement inexploitée en Amérique du Nord.

Avec des renseignements de carscoops

Le texte Mercedes VLE ou le luxe fait fourgonnette provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Sur le marché de la voiture ancienne, il existe une quantité impressionnante de modèles communs, comme une Ford Mustang ou une Chevrolet Camaro des années 60 ou 70, par exemple.

C’est intéressant, mais pour ceux qui aiment les choses plus rares, c’est à la limite ennuyeux. Ce qui est vraiment intéressant, c’est de dégoter un véhicule rare. Mieux, un produit très très rare.

C’est ce que nous avons eu l’occasion de croiser le week-end dernier sur une page Facebook avec cette Saab 99 EMS 1973. Elle est à vendre et se trouve dans l’État de l’Ohio, à environ une dizaine d’heures de route de Montréal.

Le véhicule a été annoncé il y a environ deux mois, et il a même été la vedette d’un reportage sur le populaire site Barn Finds. À ce moment, il était annoncé à 15 500 $ US. Il est maintenant à 11 500 $ US. Pariez que c’est négociable, car voilà un véhicule qui n’est pas pour tout le monde. Il faut aimer le risque et la recherche de pièces avec un véhicule plutôt méconnu aujourd’hui.

Rapportons-nous en 1973 pour voir ce qu’il proposait.

La Saab 99 se déclinait de quelques façons en 1973 sur le sol américain. La version de base était la 99L, qui était proposée en version à deux ou à quatre portes, tout comme la proposition de milieu de gamme, la 99LE. Au sommet de la famille, on trouvait la 99EMS, la variante la plus sportive de la famille. Elle était proposée uniquement en configuration de coupé avec une boîte manuelle à quatre rapports.

Une version 99 plus basique et sans fioritures avec des cadres de fenêtres et des pare-chocs simples a été ajoutée plus tard.

Mécanique

Sous le capot, on retrouvait un moteur 4-cylindres de 2,0 litres avec carburateur ou l’injection de carburant. La puissance était quand même correcte à 110 chevaux (à 5500 tours/minute) et 123 livres-pieds de couple (à 3700 tours/minute).

Toutes les calandres des Saab 99 étaient noires cette année-là avec une seule bande chromée, tandis que celle de la sportive EMS ajoutait une bande brillante, que l’on peut bien voir sur les photos.

Un nouveau logo indiquant le nom du modèle était ajouté à l’arrière avec des rebords chromés et des lettres noires indiquant la taille du moteur.

À bord, le bloc d’instruments héritait d’aiguilles fluorescentes ambrées. Les portes étaient renforcées à l’aide de poutres en acier rectangulaires soudées en place, pour mieux absorber les chocs latéraux.

Le prix d’une Saab 99EMS 1973 était de 4445 $ US.

La conduite

Lorsqu’on s’intéresse à un modèle du genre, ce qui demeure un point d’interrogation, c’est sa conduite. Est-ce agréable ou est-ce une véritable horreur ?

En fait, on raconte que c’est au volant que la magie opérait avec ce modèle. Avec l’injection directe Bosch, on obtenait une réponse vive de l’accélérateur et cela éliminait les ratés du carburateur qui affectaient la 99 régulière. La puissance était délivrée de manière linéaire, avec un couple généreux et de bonnes accélérations à bas régime, jusqu’à la ligne rouge. Elle était moins rapide qu’une BMW 2002tii, mais la Saab avait la réputation d’être robuste et indestructible.

La boîte manuelle à 4 vitesses était réputée pour sa précision, avec un fonctionnement fluide et une course courte ; un plaisir à utiliser, disait-on.

Vis-à-vis de ses concurrentes (BMW 2002, Alfa Romeo Giulia) du moment, qui privilégiaient souvent la sportivité au détriment du confort, Saab avait réussi à combiner remarquablement les deux. La configuration à traction du modèle était encore une nouveauté dans le segment des berlines sportives.

En quelque sorte, la Saab se montrait innovante, surprenante.

Le modèle offert

Quant à la version trouvée, on raconte qu’elle a été l’objet d’une restauration il y a quelques années. Elle se présente de façon très intéressante. Sans être parfaite, elle semble prête à prendre la route et courir les expositions.

Le fait qu’il s’agisse d’une version EMS, proposée de 1973 à 1978, est intéressant, car ça ajoute à la rareté du produit. Imaginez ; la version rare d’un modèle rare. Il est difficile de trouver mieux.

Pour la valeur, le site Hagerty évalue un modèle en bonne condition à 8100 $ US. Voilà pourquoi la voiture est toujours à vendre. Ça demeure négociable.

Bonne chance aux intéressés.

Le texte Saab 99 EMS 1973 à vendre : si vous cherchez quelque chose de rare… provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Stellantis a confirmé le 12 septembre avoir annulé le développement de son pickup électrique Ram 1500, invoquant le ralentissement de la demande pour les véhicules 100 % électriques en Amérique du Nord. Le projet, dévoilé en 2023 et attendu initialement pour 2024, avait déjà subi plusieurs reports, la production étant finalement repoussée à l’été 2027 avant d’être complètement abandonnée.

Le Ramcharger devient le 1500 REV

À la place, Ram mise sur un modèle hybride rechargeable à prolongateur d’autonomie, qui combine moteur électrique et génératrice à essence. Connu jusqu’ici sous le nom de Ramcharger, il adoptera désormais l’appellation Ram 1500 REV et arrivera sur le marché dès l’an prochain. Selon le constructeur, ce pickup établira une nouvelle référence dans le segment des demi-tonnes grâce à son autonomie étendue, ses capacités de remorquage et sa charge utile.

Un repositionnement lié au marché et au contexte politique

Le retrait du 1500 électrique s’inscrit dans une série de révisions stratégiques chez Stellantis, amorcées après la démission du PDG Carlos Tavares en décembre dernier. Plusieurs projets de véhicules électriques du groupe ont depuis été retardés ou annulés, un mouvement accentué par le retour de Donald Trump à la présidence en novembre 2024.

Concurrence et tendances du marché

Ram avait initialement prévu de proposer deux versions du camion électrique, dont une à grande autonomie abandonnée dès janvier 2025. L’entreprise avait aussi choisi de lancer le Ramcharger avant le 1500 EV afin de rassurer les acheteurs inquiets de l’autonomie. Cette décision reflète une tendance plus large dans l’industrie : Ford a repoussé son prochain F-150 électrique à 2028, tandis que le Lightning est en vente depuis 2022 et que Chevrolet a lancé son Silverado EV en 2023.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Stellantis annule son camion électrique Ram 1500 et rebaptise le Ramcharger provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après qu’un client eut demandé ce sujet, je me suis dit que pourquoi pas. Je ne croyais pas que le ratio du différentiel, pouvait être intéressant pour quelqu’un. Alors voici votre chronique sur le ratio des engrenages du différentiel.

Les amateurs de course le savent très bien, le ratio du différentiel change une course complètement. Vous avez certainement lu ou entendu que certains véhicules ont un ratio du différentiel de 4 :10, 3 :55, ou autres. Ces chiffres représentent le calcul de rotation entre l’entrée du différentiel (partie tournant venant de la transmission) et sa sortie, soit les essieux. Alors, un ratio de 4 :10 veux dire que l’entrée tourne 4.10 tours pour un tour à sa sortie, ou plutôt pour un tour des essieux.

Les ratios

4 :10 de ratio est considéré comme un ratio élevé. Les gens de la course l’ont utilisé, mais dans notre domaine qui nous intéresse, soit les véhicules anciens, les camions de style pick-up l’ont beaucoup utilisé pour sa capacité à déplacer de lourde charge. L’inconvénient de ce ratio de différentiel, est que le moteur tourne très vite pour une vitesse de pointe plutôt ordinaire, voir presque basse. Si le moteur tourne très vite, on a naturellement tendance à ne pas le laisser dans cette condition, alors on roule moins vite.

Au contraire, un ratio de différentiel en bas de 3, est considéré comme bas, et il garde la vitesse du moteur en régime plus bas en vitesse de pointe, ce qui minimise l’usure, et la consommation d’essence. En contrepartie, ce ratio bas rend la voiture ou camion limité avec un usage léger, ne pouvant pas tirer de lourde charge facilement.

Tout dépend des besoins finalement.

Faut avoir en considération la transmission qui est placé en sandwich entre le moteur et le différentiel. Rare ces transmissions à l’époque, qui étaient équipées de la dernière vitesse en surmultipliée (overdrive). Les transmissions manuelles régulières avaient 3, 4 et parfois 5 vitesses sur les voitures de tourisme. Ce qui les rendaient par définition -régulière-, est que la dernière vitesse était d’un rapport de 1 pour 1. Donc si le moteur tournait 2500 tours minutes, à l’entrée du différentiel, c’était aussi 2500 tours minutes. Le nombre de vitesses ne changeaient pas grand-chose mis à part que vous passiez des vitesses plus souvent.

Faut donc tenir en compte la transmission, vous aurez compris. Pour une voiture de tourisme, il faut privilégier un ratio de différentiel bas, comme, par exemple un 3 :55 voir plus bas. Pour les camions, vous n’aviez pas beaucoup le choix à l’époque, car les fabricants ont conçu leur camion dans l’esprit du travail, n’ont pas pour aller déposer les enfants à la garderie, faire l’épicerie, ou aller échanger un 45 tours tout neuf, égratigné qui saute.

Avec une transmission surmultipliée, les fabricants ont eu une chance de pouvoir toucher au meilleur des 2 mondes, car le ratio du différentiel pouvait être haut, sans sacrifier les tours minutes car la surmultiplication réduit considérablement le nombre de tours minutes à la sortie de la transmission. Pour exemple, au lieu d’avoir un rapport 1 pour 1 en vitesse finale, on peut avoir 0.70 pour 1, donc le fabricant automobile pouvait mettre un ratio de différentiel haut pour la puissance au démarrage, et une douceur de roulement une fois la dernière vitesse enclenchée. Vous êtes-vous demandé quelle est le ratio du différentiel de votre voiture ancienne?

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General Motors (GM) redémarrera l’usine CAMI d’Ingersoll, en Ontario, le 17 novembre 2025 avec une seule équipe et moins de 400 employés syndiqués, selon la section locale 88 du syndicat Unifor. La production des fourgonnettes électriques BrightDrop reprendra à un rythme plus lent, ce qui entraînera plus de 600 mises à pied.

Les batteries déplacées aux États-Unis

Si l’assemblage des fourgonnettes redémarre, ce ne sera pas le cas de la nouvelle usine de modules de batteries qui avait été intégrée au site en 2024. Cette activité demeure suspendue jusqu’à nouvel ordre.

Les batteries seront désormais importées des États-Unis, une conséquence directe des droits de douane de 25 % imposés par l’administration Trump sur les véhicules canadiens.

« C’est probablement ce qui me dérange le plus », a déclaré Mike Van Boekel, président de la section locale 88 d’Unifor. « Nous étions les seuls à fabriquer des batteries au Canada, et maintenant elles doivent venir des États-Unis. »

Dans l'usine CAMI de General Motors à Ingersoll, en Ontario
Dans l’usine CAMI de General Motors à Ingersoll, en Ontario | Auto123.com

Un impact majeur sur l’emploi

Avant la conversion de l’usine en 2022 pour la production de fourgonnettes électriques, CAMI comptait environ 1 500 employés syndiqués. Après plusieurs arrêts de production et une faible demande, l’effectif est tombé à près de 1 200 au printemps 2025. Avec la relance prévue, moins de 400 employés conserveront leur poste, tandis que plus de la moitié seront mis à pied. Près de 75 travailleurs ont choisi de prendre une retraite anticipée.

Une lueur d’espoir malgré tout

Malgré les difficultés, GM se dit confiant dans l’avenir de l’usine CAMI et du programme BrightDrop. Les ventes de fourgonnettes électriques progressent : plus de 2 000 unités ont été vendues au Canada et aux États-Unis dans la première moitié de 2025, soit plus du double par rapport à l’an dernier.

Contenu original de auto123.

Le texte Reprise partielle à Ingersoll : GM relancera l’usine CAMI en novembre provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Toyota, Subaru et Lexus procèdent au rappel de 94 320 véhicules électriques (VÉ) aux États-Unis et 21,703 unités au Canada et ordonnent un arrêt des ventes immédiat chez leurs concessionnaires. Le problème : un système de climatisation défectueux qui empêche le dégivreur et le désembueur de fonctionner correctement.

Au Canada, 16 052 véhicules électriques Toyota et Lexus sont touchés par le rappel, tout comme 5 651 Subaru Solterra.

Subaru Solterra
Subaru Solterra | Auto123.com

Modèles concernés

  • • Toyota bZ4X (2023-2025)
  • • Subaru Solterra (2023-2025)
  • • Lexus RZ (2023-2025)

Comme ces modèles partagent la même plateforme, ils sont exposés au même défaut.

Le problème

Selon la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA), une mauvaise programmation du système de climatisation peut forcer l’ordinateur de bord à entrer en « mode de sécurité », ce qui suspend le chauffage et réduit l’efficacité du dégivreur. Dans des conditions de froid extrême, ce défaut peut empêcher le pare-brise de se dégivrer, augmentant ainsi les risques d’accident.

C’est une enquête initiée par Transports Canada qui a mis Toyota sur la piste du problème. Les premiers tests semblaient indiquer que le véhicule disposait d’une source de chaleur de secours, mais des essais en conditions hivernales sévères ont révélé que le compresseur électrique pouvait également couper cette deuxième source.

La solution

Heureusement, la correction est jugée relativement simple. Les concessionnaires procéderont à une mise à jour logicielle du système de climatisation et inspecteront le compresseur électrique, en le remplaçant si nécessaire.

Contenu original de auto123.

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Le gouvernement du Québec a annoncé aujourd’hui la suspension immédiate de 1 200 autobus scolaires électriques Lion à la suite d’un incendie survenu plus tôt cette semaine. L’incident, qui n’a heureusement fait aucun blessé, a mené à l’ouverture d’une enquête par Transports Canada.

Un incident qui soulève des inquiétudes

Lors du feu, le chauffeur a réussi à évacuer rapidement les cinq enfants à bord. Cet événement a toutefois poussé la nouvelle ministre de l’Éducation, Sonia Lebel, et le ministre des Transports, Jonatan Julien, à agir par précaution. « Comme la sécurité des élèves du Québec est notre priorité absolue, nous avons pris la décision préventive de retirer 1 200 autobus scolaires ce vendredi », peut-on lire dans leur communiqué conjoint.

Inspections préventives en cours

Les inspections auront lieu tout au long de la fin de semaine afin de permettre un retour rapide du transport scolaire. Entre-temps, les centres de services scolaires devront trouver des solutions temporaires pour limiter les perturbations.

Une filière électrique sous surveillance

Lion Électrique, fleuron québécois de l’électrification des transports, se retrouve ainsi dans la tourmente. Bien que l’entreprise n’ait pas encore commenté publiquement l’incident, ce rappel préventif soulève des questions sur la fiabilité des autobus électriques et les impacts pour les élèves et leurs familles.

Avec des renseignements de Radio-Canada

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À Prince George, en Colombie-Britannique, la police pensait avoir tout vu. Mais le 5 septembre dernier, les appels se sont multipliés : un adulte circulait dans le trafic… au volant d’un Jeep Barbie rose Power Wheels. Pas une blague, mais une intervention bien réelle de la GRC.

Le chauffeur voulait juste un Slurpee

L’homme arrêté, Kasper Lincoln, a expliqué qu’il avait simplement emprunté la petite voiture électrique de la fille de son coloc pour aller chercher une slush au dépanneur et ne voulait pas marcher. Selon lui, il roulait doucement, faisait ses signaux à la main et n’était pas en état d’ébriété. La GRC, elle, affirme le contraire : permis suspendu, conduite interdite et deux tests d’alcoolémie ratés.

La loi est la loi (même en jouet)

Aussi absurde que ça puisse sembler, la loi canadienne considère comme « véhicule » tout engin motorisé qui n’est pas propulsé par la seule force humaine. Résultat : l’homme a été arrêté, son permis suspendu 90 jours supplémentaires et il devra comparaître en décembre.

Barbie 1, Ken 0

Heureusement, aucun incident n’a été rapporté et la voiture a pu être retournée à sa jeune propriétaire. Quant à Ken – pardon, Kasper – il devra maintenant expliquer au juge pourquoi son trajet pour un slushrose s’est transformé en cauchemar judiciaire.

Avec des renseignements de Driving.ca

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Le gouvernement mexicain a annoncé qu’il portera les droits de douane sur les automobiles importées de Chine et d’autres pays asiatiques à 50 %, soit le niveau maximum permis par l’Organisation mondiale du commerce (OMC).

Cette décision s’inscrit dans une vaste réforme des droits d’importation qui touche des secteurs clés comme l’automobile, l’acier et le textile, représentant au total 52 milliards de dollars américains d’importations.

Le ministre de l’Économie, Marcelo Ebrard, a expliqué que ces mesures visent à protéger les emplois locaux, menacés par l’arrivée de véhicules chinois vendus à des prix « inférieurs aux références du marché ». Selon le gouvernement, pas moins de 325 000 emplois industriels et manufacturiers seraient en jeu.

Une décision aux accents géopolitiques

Si le Mexique justifie sa réforme par la protection de son économie, plusieurs analystes y voient une réponse directe aux pressions de Washington. Les États-Unis cherchent depuis plusieurs années à limiter l’influence commerciale de la Chine en Amérique latine.

« Les Américains ne vont pas permettre à la Chine d’utiliser le Mexique comme porte d’entrée dérobée vers leur marché », explique Mariana Campero, spécialiste au CSIS Americas Program.

Geely a lancé le CityRay au Mexique en janvier 2025
Geely a lancé le CityRay au Mexique en janvier 2025 | Auto123.com

Une mesure contestée par la Chine

De son côté, Pékin a exprimé sa ferme opposition. Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Lin Jian, a dénoncé des restrictions imposées « sous divers prétextes » et a averti que la Chine défendrait ses intérêts.

Impact sur d’autres produits

Outre l’automobile, le plan prévoit aussi des droits de 35 % sur l’acier, les jouets et les motos, et de 10 % à 50 % sur le textile. Les pays visés sont ceux qui n’ont pas d’accords commerciaux avec le Mexique, soit la Chine, mais aussi la Corée du Sud, l’Inde, l’Indonésie, la Russie, la Thaïlande et la Turquie.

Un équilibre fragile avec les États-Unis

Le Mexique, qui exporte une grande partie de sa production automobile vers les États-Unis, tente de protéger son industrie tout en maintenant de bonnes relations commerciales avec son voisin du nord.

John Price, analyste chez Americas Market Intelligence, résume la situation : « Le Mexique cherche à calmer les Américains, tout en défendant la politique industrielle qui lui a si bien réussi depuis 30 ans. »

L’Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM), qui avait épargné au Mexique les tarifs de l’ère Trump, sera d’ailleurs revu l’an prochain, un contexte qui ajoute à la pression politique.

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