Subaru et Toyota poursuivent leur partenariat dans le domaine des véhicules électriques avec le développement de deux nouveaux VUS compacts à zéro émission, des modèles prévus pour 2026. Ces véhicules viendront compléter les offres existantes, à l’image des Toyota bZ4X et Subaru Solterra.

Afin de réduire les coûts de recherche et de développement, ces nouveaux VUS reposeront sur la plateforme e-TNGA, déjà utilisée par les bZ4X et Solterra. Cette architecture permettra aux deux constructeurs de partager des composants essentiels comme les batteries et les moteurs électriques, tout en développant des designs distincts pour chaque marque.

Le concept Toyota EPU
Le concept Toyota EPU | Auto123.com

Toyota promet de nouveaux modèles électriques

Récemment, Toyota a présenté trois nouveaux concepts de véhicules électriques prévus avant 2026. Parmi eux, deux semblent être les versions de production de la camionnette EPU et du Land Cruiser SE, tous deux dévoilés en 2023. Le troisième modèle pourrait bien être le VUS compact développé avec Subaru.

Ces nouveaux VUS devraient adopter un design plus traditionnel que les bZ4X et Solterra (qui ne revient pas au Canada en 2025), avec une silhouette s’approchant du futur Toyota RAV4 électrique, avec avant acéré et barres de toit et arrière plus verticales. Bien que les deux modèles partageront la majorité de leurs éléments, Toyota et Subaru devraient leur conférer une signature visuelle propre, notamment au niveau de la calandre et des optiques.

Une production confiée à Subaru

Selon les informations du magazine Best Car, ces nouveaux VUS électriques seront commercialisés au Japon, en Europe et en Amérique du Nord. Contrairement aux bZ4X et Solterra, assemblés à l’usine Motomachi de Toyota, leur production sera assurée par Subaru dans son usine de Yajima, au Japon.

Le début de la fabrication est prévu pour janvier 2026.

Subaru, qui propose actuellement uniquement le Solterra comme modèle électrique, profitera de cette collaboration pour enrichir son offre. En parallèle, Toyota, déjà bien implanté sur le marché électrique avec les bZ4X, CH-R+ et Urban Cruiser, renforcera sa présence dans le segment des VUS compacts.

Subaru Solterra 2024
Subaru Solterra 2024 | Auto123.com

L’ambition électrique de Subaru

Outre ces modèles développés en partenariat, Subaru a également annoncé le lancement de son premier véhicule électrique développé en interne pour 2028. La marque vise à ce que les propositions électriques représentent 50 % de ses ventes mondiales d’ici 2030.

Avec l’expansion de son offre électrique et le soutien de Toyota, Subaru entend solidifier sa position sur un marché en pleine mutation, tout en offrant des modèles adaptés aux attentes des conducteurs en matière d’autonomie, de performance et de design.

Le mot de la fin

L’association entre Toyota et Subaru continue de porter ses fruits avec ces nouveaux VUS électriques compacts prévus pour 2026. Ce partenariat stratégique permet aux deux constructeurs de proposer des modèles électriques tout en optimisant les coûts de développement.

Avec une production assurée par Subaru au Japon et une commercialisation mondiale, ces nouveaux modèles pourraient bien devenir des solutions de rechange sérieuses aux meneurs du marché électrique.

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Le texte Subaru et Toyota préparent des VUS électriques compacts pour 2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Lincoln doit procéder au rappel d’un peu de 35 000 VUS Navigator en raison d’un problème inusité qui peut entraîner un risque d’incendie. Au Canada, 1372 unités sont concernées par cette campagne.

Spécifions tout de suite que le rappel touche les modèles des années 2015 à 2017 qui sont équipés des lampes de logo à DEL qui sont situées sur les rétroviseurs extérieurs. Ces dernières affichent le logo de la marque au sol lorsqu’on s’approche du véhicule, ce qui est évidemment très visible et tape-à-l’œil le soir.

Des lampes de logo à DEL affichent le logo de la marque au sol lorsqu’on s’approche du véhicule
Des lampes de logo à DEL affichent le logo de la marque au sol lorsqu’on s’approche du véhicule | Auto123.com

Le problème

Or, comme l’explique Transports Canada, « sur certains véhicules, de l’eau pourrait s’infiltrer dans les lampes de logo à DEL des rétroviseurs des côtés du conducteur et du passager et provoquer un court-circuit lorsqu’elles sont allumées. » C’est ce qui peut potentiellement déclencher un incendie.

Ce genre de rappel met un élément en lumière concernant les véhicules modernes. Avec toutes les babioles qui sont ajoutées aux modèles d’aujourd’hui, les constructeurs ne font qu’augmenter les risques de problèmes et de rappels en raison de pépins que nous n’aurions jamais vus apparaître auparavant.

Le problème, dans le cas qui nous intéresse, c’est que le matériau d’enrobage utilisé pour les lampes n’adhère pas correctement aux bornes des fils, laissant des espaces qui peuvent permettre à l’eau de pénétrer dans la lampe et d’entrer en contact avec les cartes de circuits imprimés. Cela peut entraîner de la corrosion et à terme, provoquer des courts-circuits. Ces derniers peuvent passer inaperçus, car le système qui les vérifie a été conçu pour des lampes à incandescence plutôt que pour des DEL.

Lincoln a déclaré à la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) américaine, l’équivalent de Transports Canada, qu’elle n’avait pas connaissance d’accidents ou de blessures liés à ce problème.

Les lampes à DEL en question ont été ajoutées au modèle en 2015, lors de son rafraîchissement. En 2018, la nouvelle génération avait de nouvelles unités.

Au lieu de réparer les lampes problématiques, Ford va demander à ses concessionnaires de débrancher les câbles d’alimentation des lampes de logo à DEL.

Lincoln prévoit d’envoyer des lettres de notification aux propriétaires le 24 mars prochain.

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Le texte Lincoln rappelle 35 000 Navigator pour un risque d’incendie inusité provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Volkswagen franchit une nouvelle étape dans son virage électrique avec l’annonce d’une eGolf entièrement électrique prévue pour 2029. Pour concevoir cette nouvelle génération, le constructeur allemand s’appuie sur un partenariat stratégique avec Rivian, dans lequel il a investi 5,8 milliards.

L’objectif de cette alliance est de révolutionner l’architecture électronique des futurs modèles de Volkswagen en réduisant le nombre d’unités de contrôle et en optimisant les performances logicielles.

Une plateforme électrique

La future eGolf 2029 reposera sur la plateforme SSP (Scalable Systems Platform) de Volkswagen, une architecture 800 volts qui offrira une meilleure efficience énergétique et de temps de recharge réduits. Une nouvelle batterie « cell-to-pack » améliorera la densité énergétique.

L’intégration de la technologie Rivian permettra également d’adopter une architecture par zone, qui adapte le nombre de zones électroniques selon la gamme du véhicule.

« Les véhicules d’entrée de gamme n’auront besoin que d’une seule zone, tandis que les modèles comme la Golf électrique pourront en comporter trois ou quatre, selon les fonctionnalités », explique Kai Grünitz, directeur technique de Volkswagen.

La Volkswagen e-Golf 2017
La Volkswagen e-Golf 2017 | Auto123.com

Un repositionnement stratégique de la production

Volkswagen confirme que la production de la future Golf électrique se fera à Wolfsburg, en Allemagne, berceau historique de la marque. En parallèle, la fabrication de la Golf thermique Mk8 sera transférée à Puebla, au Mexique, une décision qui vise à optimiser les coûts et la gestion des différentes gammes.

Un tournant majeur pour la Golf

Avec cette eGolf 2029, Volkswagen entend moderniser son modèle phare en intégrant les dernières avancées électriques et logicielles, tout en préservant son ADN. Grâce au partenariat avec Rivian, la marque espère se démarquer sur le segment des compactes électriques et faire de la Golf électrique un véritable succès mondial.

Reste à voir si cette stratégie séduira les puristes de la Golf et les amateurs d’électrique.

Logo e-Golf
Logo e-Golf | Auto123.com

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Le texte Rivian participera à la prochaine génération de la eGolf provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Volkswagen va réduire la production de son modèle électrique ID.4 à son usine américaine de Chattanooga, située au Tennessee. La compagnie précise qu’elle fait passer la production à deux équipes, une mesure dictée par la prudence en raison de la baisse de la demande en véhicules électriques.

Volkswagen offre aux employés affectés à la production un « programme d’attrition volontaire », comprenant une indemnité de départ, des options de retraite et des avantages sociaux, a déclaré un porte-parole de l’entreprise.

La chose n’a pas plu au syndicat des travailleurs américains de l’automobile, l’UAW (United Auto Workers). Hier (13 mars), ce dernier a déposé une plainte contre Volkswagen pour pratiques de travail déloyales. Selon le syndicat, Volkswagen tente de supprimer des emplois dans l’usine du Tennessee, où l’UAW négocie son premier contrat de travail depuis que les travailleurs ont voté en faveur de la syndicalisation en avril dernier.

Le Volkswagen ID.4, en production
Le Volkswagen ID.4, en production | Auto123.com

Comme le souligne le site Automotive News, le vote remporté par le syndicat fait de l’usine de Chattanooga la première usine automobile du Sud à se syndiquer par voie électorale depuis les années 1940. Elle devient la première installation automobile du sud appartenant à des intérêts étrangers à le faire.

Le syndicat et l’entreprise négocient le premier contrat de travail de l’usine depuis avril.

« L’UAW a notifié à l’administration Trump la conduite inacceptable, antisyndicale, antitravailleur et antiaméricaine de Volkswagen », a déclaré son président Shawn Fain via un communiqué.

Du côté de Volkswagen, la réponse a été claire : « Nous réitérons notre engagement envers les membres de notre équipe, nos clients et notre présence à Chattanooga. Ce changement va dans le sens de cet engagement ».

Il importe de rappeler que la réduction des effectifs au Tennessee n’est pas la seule effectuée par Volkswagen. La firme allemande a procédé à des suppressions d’emplois dans le monde entier pour faire face à l’affaiblissement de la demande et à l’intensification de la concurrence des constructeurs chinois.

À la fin de l’année dernière, Volkswagen annonçait son intention de supprimer plus de 35 000 emplois après une bataille acharnée avec les syndicats en Europe.

Et tout cela se produit sur fond de guerre commerciale entre les États-Unis et le Canada à la suite des tarifs levés par le président Trump. La menace des droits de douane de 25 % sur les importations en provenance du Mexique et du Canada constitue une menace qui peut affecter l’entreprise. Jusqu’au 2 avril prochain, tout le monde est en sursis; nous verrons par après.

Il faut comprendre que parmi les constructeurs automobiles allemands, le groupe Volkswagen est le plus exposé aux menaces tarifaires de Donald Trump, car Audi et Porsche ne fabriquent pas de véhicules aux États-Unis. Volkswagen importe aussi beaucoup de véhicules fabriqués au Mexique.

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Le texte Volkswagen réduit sa production d’ID.4 aux États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Baie-St-Paul, Québec- Lexus célèbre ses 35 ans d’existence au Canada en 2025. Pour célébrer dignement la chose, la division de luxe de Toyota prépare trois célébrations dont la première avait lieu au Québec.

Premiers pas en 1989

Le parcours de Lexus commence aux États-Unis en 1989, soutenu par un investissement massif de deux milliards de dollars et une équipe de plus de 3 500 experts. La Lexus LS 400 et l’ES 250 ont été les deux premiers modèles de la marque. Au Canada, Lexus a rapidement gagné la confiance des conducteurs grâce à son engagement envers la qualité et le service à la clientèle.

L’entreprise a fait du marché canadien l’un de ses plus importants, avec plus de 450 000 véhicules vendus au cours des 35 dernières années. Grâce à une collaboration étroite avec Toyota Motor Manufacturing Canada, Lexus a également participé à l’essor industriel du pays, avec des modèles phares comme le NX et le RX produits localement. Ces derniers ont largement contribué à la position de Lexus en tant que leader du marché de luxe, représentant ensemble 60 % des ventes de la marque au Canada. Aujourd’hui, Lexus offre une gamme variée comprenant des berlines, des coupés, des multisegments et des VUS, avec un accent particulier sur l’hybridation et l’électrification.

Un tour d’horizon des modèles

Lors de notre séjour à Québec et dans Charlevoix, Lexus nous a donné accès à une flotte des modèles récents de la marque et un modèle RX 2005.

Un détour par la montagne

Dans le décor majestueux de Charlevoix, où les montagnes rencontrent le fleuve Saint-Laurent, le Lexus 600H se révèle être un parfait compagnon de route. Son moteur hybride puissant et silencieux offre une conduite fluide, tout en permettant de profiter d’une expérience de conduite raffinée sur les routes sinueuses qui bordent la côte. Le 600H combine la performance d’un moteur V6 avec la douceur d’un moteur électrique, une harmonie qui séduit aussi bien lors de longues promenades sur des routes rurales que lors de trajets urbains à Baie-Saint-Paul. Les accélérations sont nettes, mais jamais abruptes, et l’habitacle spacieux est un véritable cocon de confort. Le prix demander est à la hauteur de ce que procure le véhicule.

Québec à Baie-St Paul en électrique

Après notre visite du château de glace à Val Cartier, nous prenons la route de Bais St-Paul en RZ450. Si les performances sont impressionnantes, l’autonomie l’est moins. Heureusement le trajet de fait que 100 km. Pour le reste, ce modèle offre une accélération réactive, une direction précise et une conduite stable, même sur les chemins accidentés menant aux villages pittoresques. L’intérieur, conçu avec des matériaux haut de gamme et un système d’infodivertissement intuitif, permet aux conducteurs d’apprécier la conduite. Mais pour le prix demandé, il faudra que Lexus revoit l’autonomie.

Les routes de campagne en format de poche

Le Lexus UX, le petit VUS de la famille, est l’option idéale pour ceux qui souhaitent un luxe à moindre frais qui offre aussi une bonne économie de carburant. Sa taille compacte est parfaite pour se faufiler dans les ruelles étroites des villages tout en offrant un confort optimal pour les passagers. Sur les routes escarpées de Charlevoix, le UX est agile, facile à manœuvrer et offre une conduite dynamique qui inspire confiance. De plus, son moteur hybride affiche environ 6,5 litres aux 100 km, une combinaison parfaite pour ceux qui apprécient les longues balades à travers la nature tout en préservant l’environnement.

Un petit détour en GX

Nous avons aussi refait connaissance avec le GX. Ce modèle démodé et délaissé pendant des années par Lexus est revenu à l’avant plan et constitue une version de luxe du Land Cruiser de Toyota. Au-delà de ses véritables compétences hors-route, le GX est confortable sur la route, luxueux, confortable et affiche cette fiabilité qui a fait la réputation de la marque. Il faut saluer la persévérance de Lexus qui a été en mesure de prendre un modèle qui n’intéressait plus personne et d’en faire un des meilleurs vendeurs de la marque.

Conclusion

Tout comme un bon vin, les véhicules Lexus se bonifient avec le temps. Les modèles actuels, qu’ils soient hybrides ou entièrement électriques, continuent d’incarner l’excellence et l’innovation de la marque. En explorant les paysages magnifiques de Charlevoix et Baie-Saint-Paul, ces véhicules offrent une expérience de conduite incomparable, alliant technologie, confort et performance. Lexus, au fil des années, a su fidéliser ses clients canadiens et a redéfini les attentes des conducteurs de véhicules de luxe. Ces 35 ans marquent non seulement une évolution impressionnante, mais aussi un avenir prometteur pour la marque.

Le texte Lexus célèbre ses 35 ans au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Il y aura bientôt un nouveau patron chez Mitsubishi au Canada. Hier, la direction de Ventes de véhicules Mitsubishi du Canada (VVMC), filiale locale de Mitsubishi Motors Corporation (MMC), a annoncé la nomination de Kenichi Kawaji au poste de président et chef de la direction. Il succède à Kenji Harada qui a dirigé l’entreprise au cours des quatre dernières années. Cette nomination prendra effet le 1er avril prochain.

Originaire de Kagoshima, au Japon, M. Kawaji a été embauché par Mitsubishi en avril 2000, après avoir fait ses études à l’université de la préfecture d’Osaka.

Il a d’abord travaillé au sein de l’équipe des opérations à l’étranger, où il s’occupait principalement des exportations de véhicules vers l’Europe et vers l’Amérique centrale et l’Amérique du Sud.

De 2005 à 2020, il a occupé diverses fonctions au sein des services de MMC pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique, avant d’être nommé directeur général de service, en avril 2020.

Impliqué en Asie du Sud-Est

Depuis 2022, M. Kawaji occupe le poste de directeur général de la division 2 de MMC pour l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ANASE), à la tête de la division commerciale de l’Indonésie.

En outre, ayant fait partie de l’équipe qui a lancé la première génération de l’Outlander PHEV sur le marché européen, il apportera à la filiale canadienne une grande connaissance de ce produit et de sa commercialisation, un atout majeur compte tenu de sa popularité, l’Outlander PHEV ayant été le véhicule hybride branchable favori des Canadiens en 2023 et 2024.

Le constructeur admet toutefois que M. Kawaji se joint à VVMC « à un moment d’incertitude dans l’industrie automobile nord-américaine, alors que les constructeurs font face à un paysage politique changeant ainsi qu’à des mandats VÉ et une demande des clients en constante évolution ».

À la façon d’un philosophe, lors d’un récent passage au siège social de Mitsubishi Motors au Canada, le nouveau patron a comparé cette situation à « des défis et perspectives propres au Canada, comme on en retrouve partout ailleurs dans le monde ». Puis il a ajouté : « Comme j’en apprends davantage sur le succès de la marque au cours des dernières années, grâce au réseau de concessionnaires très engagé et à la fondation construite par mon prédécesseur Kenji Harada, je suis convaincu que nous pourrons poursuivre notre route sur la voie du succès », estime M. Kawaji

Quatre années de succès avec Kenji Harada

En effet, il faut rappeler que les quatre années du mandat de Kenji Harada ont été empreintes de succès. Nommé président et chef de la direction en avril 2021, M. Harada a vu les ventes de VVMC passer de 23 644 véhicules en 2021 à 38 921 en 2024, un nombre record.

Au cours de cette période de croissance, M. Harada a supervisé le lancement de la nouvelle génération d’Outlander et d’Outlander PHEV, des véhicules importants pour la marque au Canada.

Le constructeur rappelle également que M. Harada a renforcé la présence de Mitsubishi au pays en misant sur les concessionnaires et les clients avec une approche axée sur le service après-vente et le marketing numérique.

De plus, pour préparer l’avenir de la marque en sol canadien, il a ajouté Nanaimo en Colombie-Britannique comme second port d’exploitation, en plus d’agrandir le centre de distribution des pièces de Mitsubishi à Mississauga. Enfin, il a dirigé la réorganisation et l’expansion de l’équipe de VVMC afin de soutenir l’augmentation des ventes.

« Ensemble, avec nos 97 concessionnaires et notre personnel partout au Canada, nous avons travaillé dur et construit une confiance mutuelle pour atteindre le succès », affirme fièrement M. Harada. « Bien que je doive retourner au Japon pour assumer d’autres fonctions au sein de MMC, je me réjouis d’assister au succès continu de Mitsubishi Motors au Canada. »

Photo : Mitsubishi

Le texte Mitsubishi Canada présente Kenichi Kawaji, le nouveau patron provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

BMW ne ralentit pas son rythme d’innovation. D’ici 2028, la marque allemande prévoit de lancer 40 nouveaux modèles ou mises à jour. Cette annonce a été faite par Oliver Zipse, PDG de BMW, lors de la conférence annuelle des résultats du groupe.

Parmi ces nouveautés, au moins deux seront les premières voitures issues de la plateforme Neue Klasse. La première sera la très attendue nouvelle génération de l’iX3, version de production du concept Vision Neue Klasse X, qui sera dévoilée lors du Salon de Munich en septembre 2025. Rapidement après, une nouvelle Série 3 électrique suivra.

Une année 2024 en demi-teinte pour BMW

Malgré cette annonce prometteuse, le groupe BMW a connu une année financière difficile. Les revenus ont chuté de 8,4 %, à 142 milliards d’euros, tandis que le bénéfice avant impôt a plongé de 35,8 %, à 10,9 milliards d’euros.

Les raisons principales ?

– Un rappel massif lié aux freins qui a fortement impacté la deuxième moitié de l’année.
– Une baisse des ventes en Chine, due à un sentiment de consommation faible sur ce marché clé.

L’essor des véhicules électriques chez BMW

Malgré cette conjoncture difficile, BMW peut se réjouir de la progression de ses ventes de véhicules électriques. En 2024, le groupe a vendu 426 594 EV, soit une hausse de 13,5 % par rapport à 2023.

– Un véhicule BMW Group sur cinq vendu en 2024 était électrique.
– La Chine reste le plus grand marché de BMW pour l’électrique, avec plus de 100 000 livraisons.
– Les États-Unis ont atteint un record de ventes d’EV avec 50 000 unités écoulées.

Autre statistique marquante : un tiers des Rolls-Royce vendues en 2024 était une Spectre électrique.

BMW et Mini en recul, mais les modèles M séduisent toujours

En 2024, les ventes mondiales du groupe ont diminué de 4 %, atteignant 2,45 millions de véhicules :

BMW : 2,2 millions d’unités (-2,3 %)
Mini : 245 000 unités (-17,1 %)
Rolls-Royce : 5 712 unités (-5,3 %)

Seule exception : les modèles M, particulièrement prisés aux en sol nord-américain, où ils ont représenté une vente BMW sur dix.

Des perspectives mesurées pour 2025

Malgré cette dynamique électrique, BMW reste prudent pour 2025. Walter Mertl, directeur financier du groupe, annonce que les livraisons n’augmenteront que légèrement, en raison des hausses de tarifs douaniers à travers le monde.

BMW mise donc sur sa nouvelle gamme et l’électrification croissante pour maintenir sa position de leader du segment premium. Reste à voir si cette stratégie suffira à inverser la tendance des ventes en 2025.

avec des renseignements d’autocar

Le texte BMW annonce 40 nouveaux modèles d’ici 2028 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Porsche annonce une réduction de 3900 postes et prévoit d’autres coupures dans le cadre d’une restructuration majeure visant à redresser sa rentabilité, alors que ses ventes en Chine s’effondrent et que la menace de nouvelles taxes pèse sur ses exportations vers les États-Unis.

Les tensions commerciales et la concurrence accrue sur le marché chinois devraient impacter les bénéfices de 2025, nonobstant l’imposition d’éventuels tarifs douaniers que l’administration de Donald Trump pourrait imposer aux importations européennes, a déclaré Porsche en présentant ses résultats de 2024 le 12 mars dernier.

La menace des taxes américaines

Porsche envisage de répercuter une partie des coûts liés aux nouvelles taxes américaines sur ses consommateurs, bien que l’entreprise espère qu’un régime douanier plus « raisonnable » sera mis en place.

« Lorsque la situation sera plus concrète, nous évaluerons les options de tarification à appliquer aux consommateurs », a déclaré Jochen Breckner, directeur financier de Porsche, lors de la présentation des résultats annuels.

Rentabilité en baisse et objectifs revus à la baisse

Face à la chute de ses ventes en Chine, Porsche a abaissé ses prévisions de rentabilité. La marque vise désormais une marge opérationnelle de 15 % à 17 % à moyen terme, contre un objectif précédent pouvant atteindre 19 %.

Les investisseurs ont sanctionné cette annonce, entraînant une forte baisse des actions de Porsche le mois dernier. La marque prévoit une marge 2025 entre 10 % et 12 %, impactée par les investissements dans les nouveaux moteurs thermiques et hybrides rechargeables.

Le chiffre d’affaires attendu pour 2025, estimé entre 39 et 40 milliards d’euros, ne tient pas compte des éventuels nouveaux tarifs douaniers imposés par les États-Unis.

Le Porsche Macan EV
Le Porsche Macan EV | Auto123.com

Un marché chinois en crise

Introduite en bourse en 2022 avec une valorisation supérieure à celle de sa maison-mère Volkswagen, Porsche a depuis perdu du terrain, souffrant notamment du ralentissement du marché chinois, où ses ventes ont chuté de 28 % en 2024.

À l’instar de Volkswagen, qui a récemment annoncé des marges stables pour 2025 en raison d’un effort de réduction des coûts, Porsche mise également sur une réduction de ses effectifs pour atteindre à long terme une rentabilité de 20 %.

Baisse des bénéfices et investissements en hausse

En 2024, Porsche a vu ses bénéfices d’exploitation chuter de 23 %, s’établissant à 5,6 milliards d’euros, avec une marge de 14,1 % malgré un chiffre d’affaires stable par rapport à l’année précédente.

L’année 2025 marquera un important repositionnement avec des investissements conséquents dans les modèles, les logiciels et les batteries, qui impacteront les résultats financiers.

Les Porsche 911 2025
Les Porsche 911 2025 | Auto123.com

Un retour aux moteurs thermiques et hybrides

Alors que la demande reste faible pour ses modèles 100 % électriques, tels la Taycan et le nouveau Macan, Porsche se repositionne en misant davantage sur les motorisations hybrides et thermiques.

L’entreprise prévoit le lancement d’une nouvelle génération de 911 et réfléchit à une nouvelle gamme de VUS pour la fin de la décennie. Porsche a d’ailleurs annoncé un investissement de 800 millions d’euros pour développer de nouveaux modèles à moteurs thermiques, confirmant sa volonté de prolonger l’offre en essence jusqu’aux années 2030.

Réduction d’effectifs et suppressions de contrats temporaires

En début d’année, Porsche avait déjà annoncé une réduction de 1900 postes en Allemagne, en plus d’une décision antérieure de ne pas renouveler 2000 contrats temporaires.

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Le texte Porsche réduit ses effectifs de 3900 postes provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Audi lève le voile sur les prix de ses nouveaux modèles électriques pour le marché canadien : l’A6 Sportback e-tron 2025 et sa version plus performante, la S6 Sportback e-tron.

Ces berlines de luxe entièrement électriques promettent des niveaux de performance impressionnants et une autonomie généreuse, le tout avec la technologie de recharge ultrarapide d’Audi.

Voir : Audi A6 e-tron 2025, premier essai : l’audace d’un VÉ qui n’est pas un VUS !

Audi S6 Sportback e-tron 2025
Audi S6 Sportback e-tron 2025 | Auto123.com

Motorisations des Audi A6 Sportback e-tron et S6 Sportback e-tron 2025

L’Audi A6 Sportback e-tron quattro est équipée d’un système à deux moteurs fournissant 456 chevaux, permettant une accélération de 0 à 100 km/h en 4,5 secondes. Pour les amateurs de sensations fortes, la version S6 Sportback e-tron pousse la puissance à 543 chevaux, abaissant le temps d’accélération à 3,7 secondes.

Les deux modèles reposent sur une batterie de 100 kWh (94,4 kWh utilisables) et bénéficient d’une aérodynamique optimisée (Cx [coefficient de trainée] de 0,23). L’A6 Sportback e-tron annonce une autonomie estimée à 600 km, tandis que la S6 Sportback e-tron dépasse les 500 km, malgré sa vocation plus sportive.

Recharge rapide et récupération d’énergie

Grâce à sa technologie à 800V, les A6 e-tron et S6 e-tron supportent une recharge rapide DC jusqu’à 270 kW, ce qui permet de faire passer le niveau d’énergie de 10 % à 80 % en seulement 21 minutes. Pour une recharge à la maison, elles acceptent une capacité allant jusqu’à 9,6 kW en AC. De plus, leur système de freinage régénérateur peut récupérer jusqu’à 220 kW, optimisant l’autonomie en milieu urbain et sur autoroute.

Audi A6 Sportback e-tron 2025, sièges
Audi A6 Sportback e-tron 2025, sièges | Auto123.com
Audi S6 Sportback e-tron 2025, intérieur
Audi S6 Sportback e-tron 2025, intérieur | Auto123.com

Technologie embarquée et confort de luxe

L’intérieur est à la fine pointe de la technologie avec le « Audi digital stage », qui est composé des éléments suivants :

  • • Un cockpit virtuel de 11,9 pouces
  • • Un écran central tactile MMI (Multi Media Interface) de 14,5 pouces
  • • Un écran de 10,9 pouces pour le passager (optionnel)

Audi S6 Sportback e-tron 2025, volant, écrans
Audi S6 Sportback e-tron 2025, volant, écrans | Auto123.com

L’interface MMI, qui est basée sur le système Android Automotive OS, intègre l’Audi App Store et utilise des écrans DELO (diodes électroluminescentes organiques) pour une meilleure clarté.

De série, l’A6 Sportback e-tron propose un toit panoramique en verre à opacité ajustable, tandis qu’un système audio Bang & Olufsen avec haut-parleurs intégrés aux appuie-têtes est livrable en option. La clé numérique Audi permet quant à elle d’accéder au véhicule via son téléphone intelligent et encore sa montre intelligente.

Audi A6 Sportback e-tron 2025, de profil
Audi A6 Sportback e-tron 2025, de profil | Auto123.com

Prix canadiens des Audi A6 Sportback e-tron et S6 Sportback e-tron 2025 (frais non-inclus) :

Audi A6 Sportback e-tron 2025

• e-tron quattro : 83 645 $

• Ultra e-tron quattro : 83 645 $

• Progressiv e-tron quattro : 87 645 $

• Technik e-tron quattro : 89 645 $

Audi S6 Sportback e-tron 2025

• S6 e-tron quattro : 95 245 $

• Progressiv e-tron quattro : 98 845 $

• Technik e-tron quattro : 102 345 $

Les Audi A6 Sportback e-tron et S6 Sportback e-tron 2025 seront disponibles chez les concessionnaires Audi canadiens au printemps, donc très bientôt.

Audi A6 Sportback e-tron 2025, avant
Audi A6 Sportback e-tron 2025, avant | Auto123.com
Audi S6 Sportback e-tron 2025, arrière
Audi S6 Sportback e-tron 2025, arrière | Auto123.com

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Le texte Audi Canada annonce les prix pour les A6 et S6 Sportback e-tron 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

L’Agence de protection de l’environnement (EPA) des États-Unis a annoncé le 12 mars son intention d’annuler les règles mises en place sous l’administration Biden. Ces dernières imposaient aux constructeurs d’augmenter la production de véhicules électriques. Cette initiative marque une nouvelle étape dans les efforts de l’administration Trump pour inverser les politiques de son prédécesseur en matière d’émissions de carbone.

Moins d’objectifs pour les véhicules électriques

L’EPA envisage de revoir les règlements de 2024 qui visaient à réduire de près de 50 % les émissions des véhicules légers d’ici 2032 par rapport aux niveaux projetés pour 2027. Selon ces règles, entre 35 % et 56 % des nouveaux véhicules vendus entre 2030 et 2032 auraient dû être électriques.

Bien que Ford ait soutenu ces objectifs, d’autres constructeurs restent réservés face aux coûts de transition vers l’électrification.

Un relâchement pour les poids lourds

L’EPA veut également revenir sur une réglementation de 2022 qui vise à réduire drastiquement les émissions des camions lourds. Cette mesure, qui imposait des normes 80 % plus strictes que les précédentes, devait permettre d’éviter jusqu’à 2900 décès prématurés par an et de générer 29 milliards de dollars d’avantages nets annuels.

Un stationnement plein de véhicules
Un stationnement plein de véhicules | Auto123.com

L’administration Trump a soumis au Congrès l’approbation de Biden concernant le plan californien interdisant la vente de véhicules à essence d’ici 2035, dans l’espoir d’une annulation. Parallèlement, les républicains cherchent à supprimer les crédits d’impôt accordés aux acheteurs de véhicules électriques.

Normes de consommation de carburant assouplies

En janvier, le secrétaire aux Transports, Sean Duffy, a annoncé son intention d’annuler les normes de consommation de carburant établies sous Biden. L’Agence nationale de la sécurité routière (NHTSA) avait pourtant prévu une augmentation des exigences CAFE (Corporate Average Fuel Economy) à 50,4 miles par gallon (4,67 litres/100 km) d’ici 2031, contre 39,1 actuellement. Cette mesure devait éviter la consommation de 64 milliards de gallons d’essence et réduire les émissions de 659 millions de tonnes métriques de CO2 d’ici 2050.

Un avenir incertain pour l’électrification

Avec ces nouvelles initiatives, l’avenir de la transition vers l’électrique aux États-Unis semble de plus en plus incertain. Si ces changements sont adoptés, les constructeurs pourraient réviser leurs stratégies et ralentir le développement des modèles électriques au profit des motorisations thermiques et hybrides.

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Le texte Trump s’attaque aux règlements de Biden sur les véhicules électriques provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile