Volvo ne cache pas son jeu : le EX30 est son plus petit VUS jamais conçu. C’est également le plus abordable de ses modèles électriques, avec un prix variant de 57 000 $ à 66 000 $. Bien que ce tarif puisse ne pas sembler “abordable” en soi, Volvo semble avoir bien équilibré les attentes et la réalité.

L’esprit “Hygge” : simplicité et confort

Dès qu’on s’installe à bord du EX30, un terme venu du nord de l’Europe traverse l’esprit : hygge. Ce mot, qui trouve ses racines en Norvège et au Danemark, décrit un sentiment de bien-être par la simplicité. Et c’est exactement l’esprit que Volvo a infusé dans le EX30. En combinant minimalisme et confort, la marque suédoise a trouvé une recette qui pourrait séduire ceux qui cherchent à éviter les extravagances tout en profitant d’un certain raffinement.

Intérieur épuré, mais fonctionnel

Le design intérieur du EX30 reflète cette philosophie. Pas de cadrans traditionnels derrière le volant : toutes les informations sont regroupées dans un écran tactile vertical au centre. Les commandes se trouvent sur le volant ou sur l’accoudoir central. Bien que cela puisse sembler déroutant au départ, l’utilisateur s’y habitue. Toutefois, l’absence de boutons physiques peut agacer, surtout quand il faut fouiller dans les menus pour ajuster les rétroviseurs.

Un détail qui montre cette approche ultra-optimisée : l’essuie-glace arrière est activé par un minuscule bouton sur le levier des clignotants. Une ergonomie qui frôle peut-être un peu trop la simplicité.

Confort scandinave… à l’avant

Les sièges avant sont confortables, et l’environnement reste agréablement silencieux. Volvo a judicieusement équipé le véhicule d’une barre de son Harman Kardon, située à la base du pare-brise, offrant une qualité sonore exceptionnelle. Cependant, à l’arrière, l’espace pour les jambes est un peu juste, limitant le confort des passagers lors de longs trajets.

Performances impressionnantes pour sa taille

Sous le capot, le EX30 offre plusieurs configurations. Le modèle de base, avec un moteur unique de 268 chevaux, anime les roues arrière et procure une autonomie d’environ 330 km par charge. Une version à autonomie prolongée peut atteindre 420 km, tandis qu’une version à deux moteurs, développant 422 chevaux, catapulte ce petit VUS de 0 à 100 km/h en seulement 3,4 secondes, ce qui est impressionnant pour un véhicule de cette taille.

La meilleure option : un moteur et longue autonomie

À mon avis, le modèle à moteur unique et à longue autonomie représente le choix optimal. Cependant, pour un supplément de 3000 $, le rouage intégral peut valoir la peine, surtout pour ceux vivant dans des régions aux hivers rigoureux.

Quelques compromis, mais un charme indéniable

Le principal défaut du EX30 réside peut-être dans son prix. Volvo avait initialement l’intention de le vendre à un tarif plus bas, mais a décidé d’augmenter ses marges de profit en cours de route. Cela dit, il reste un choix agréable pour les citadins en quête d’un VUS compact, performant, et aligné sur les valeurs scandinaves de confort et de sobriété.

Conclusion : Avec son design minimaliste, ses performances surprenantes et son ambiance “hygge”, le Volvo EX30 se positionne comme un excellent choix pour ceux qui cherchent un petit VUS urbain tout électrique. C’est un compagnon idéal pour les petites familles ou les couples actifs.

Le texte Volvo EX30: Le bonheur sur 4 roues provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le marché automobile mondial évolue à une vitesse fulgurante. Alors que les gouvernements imposent des restrictions environnementales toujours plus strictes, l’industrie automobile se tourne massivement vers l’électrification. Les véhicules électriques (VE) ne sont plus une curiosité technologique, mais une réalité commerciale. Toutefois, une nouvelle bataille se profile à l’horizon : celle des batteries, et plus spécifiquement des batteries chinoises.

La dépendance aux batteries chinoises

Depuis plusieurs années, la Chine domine le marché des batteries pour véhicules électriques. Grâce à des investissements massifs et une chaîne d’approvisionnement bien rodée, les entreprises chinoises, comme CATL et BYD, se sont imposées comme des leaders mondiaux. Aujourd’hui, près de 70 % des batteries lithium-ion utilisées dans les VÉS sont fabriquées en Chine. Cette dépendance suscite de nombreuses inquiétudes, tant sur le plan économique que géopolitique.

Les gouvernements occidentaux, notamment en Europe et en Amérique du Nord, ont récemment manifesté leur intention de réduire cette dépendance aux importations chinoises. L’idée d’une surtaxe sur les batteries chinoises commence à prendre de l’ampleur. La question se pose : après les surtaxes imposées sur les véhicules électriques, faut-il également taxer les batteries chinoises?

Une question économique et environnementale

L’imposition d’une surtaxe sur les batteries chinoises aurait des répercussions importantes sur l’industrie automobile. Les batteries représentent en effet une partie significative du coût total d’un véhicule électrique. Selon certaines études, elles représentent environ 30 % du prix d’une voiture électrique. Une augmentation du coût des batteries, via une surtaxe, pourrait freiner l’adoption des VE et pénaliser les consommateurs. En revanche, pour les gouvernements, cette taxe pourrait être vue comme un levier pour encourager le développement de chaînes d’approvisionnement locales. L’Europe et les États-Unis tentent de stimuler la production de batteries sur leur territoire, en soutenant des projets comme Northvolt en Suède ou Tesla aux États-Unis. Une surtaxe pourrait rendre ces projets plus compétitifs face à la domination chinoise. D’un point de vue environnemental, les batteries fabriquées en Chine sont souvent critiquées pour leur empreinte carbone élevée, en raison des méthodes de production énergivores. Promouvoir des batteries produites localement, avec des sources d’énergie renouvelables, pourrait également contribuer à réduire l’empreinte écologique de l’industrie des VE.

Un avenir incertain pour le marché mondial des batteries

Alors que les négociations commerciales entre la Chine et les pays occidentaux sont de plus en plus tendues, l’idée d’une surtaxe sur les batteries chinoises reste incertaine. Les constructeurs automobiles, déjà sous pression pour électrifier rapidement leurs gammes, craignent que cela ne complique encore davantage leurs plans. D’autres solutions sont également envisagées, comme des subventions pour les entreprises locales ou des partenariats internationaux pour développer des alternatives aux batteries chinoises. Quoi qu’il en soit, l’avenir de l’industrie des véhicules électriques dépendra en grande partie de la manière dont cette question sera résolue.

Conclusion : Vers une nouvelle ère de taxation?

Après les surtaxes sur les véhicules électriques, une surtaxe sur les batteries chinoises pourrait bien être la prochaine étape. Cette décision, si elle se concrétise, aura un impact majeur sur le marché automobile mondial, les prix des VE et l’adoption des technologies vertes. Les gouvernements devront peser soigneusement les conséquences économiques et environnementales avant de franchir ce pas.

Le texte Après les véhicules électriques, une surtaxe pour les batteries chinoises? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

On a assisté un peu malgré nous plus tôt cette semaine au lancement mondial du S09 de la marque Soueast. Il s’agit d’un tout nouveau VUS haut de gamme et intelligent qui nous vient directement… d’Ouzbékistan.

Mais attention! Car ce n’est pas la caractéristique la plus surprenante du Soueast S09. C’est son prix, qui risque de retenir beaucoup l’attention. Il n’a pas été officiellement annoncé, mais il risque d’être extrêmement bas. En tout, on trouve trois modèles listés dans le catalogue de Soueast, les S06, S07 et S09, et aucun des trois n’a encore pris la route. Mais les prix dont on entend parler oscillent entre 10 000 $ et 22 000 $.

Avouez qu’un VUS de luxe qui coûterait moins de 25 000 $ canadiens, ça vous intriguerait pas mal, non? Sa fiche technique semble aussi assez intéressante. Le S09 est un peu plus grand qu’un Toyota Rav4, et lui aussi est animé par un moteur hybride branchable. Il génère une puissance de 266 chevaux et un couple de 291 livres-pied.

Évidemment, il reste à Soueast à mettre ses véhicules en marché. On ne sait pas trop comment ça va se passer. L’Ouzbékistan est un petit pays d’Asie centrale qui compte 35 millions d’habitants et dont le PIB annuel, à 80 milliards $US est cinq fois plus petit que celui du Québec.

Est-ce qu’un constructeur automobile dans ce pays peut espérer procéder au lancement international d’une nouvelle gamme de véhicules? Après tout, Soueast a publié un communiqué dans plusieurs marchés, y compris au Canada. Mais on doute qu’on le verra chez nous. Car la marque ouzbèke Soueast est en réalité une filiale du constructeur chinois Chery Automobile, qui construit et qui vend, bon an mal an, un peu moins de 2 millions de véhicules.

Mais en tant que marque chinoise, Chery – y compris ses filiales, on présume – devrait composer avec la surtaxe de 100% sur ses produits imposée au Canada, ainsi qu’aux États-Unis.

Cela dit, on risque de voir les VUS Soueast en Amérique du Nord, puisque le constructeur a des opérations au Mexique. On n’est peut-être qu’à quelques années de poser la question pour vrai, et le plus sérieusement du monde : achèteriez-vous un VUS haut de gamme ouzbèke?

Le texte Achèteriez-vous ce VUS de rêve d’un constructeur d’Ouzbékistan? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le 10 octobre 1946 marque une étape historique pour l’Unimog, un véhicule légendaire aux capacités tout-terrain. Son histoire commence dans l’Allemagne d’après-guerre, alors que l’ingénieur Albert Friedrich, ancien responsable du développement des moteurs d’avion chez Daimler-Benz, conçoit un projet pour aider à la reconstruction agricole. L’idée était de créer un véhicule multifonctionnel capable de combiner les performances d’un tracteur avec la mobilité d’un camion tout-terrain.

Le premier prototype, surnommé Universal-Motor-Gerät (Unimog), a été développé en 1946 par Friedrich et son équipe, avec des caractéristiques novatrices : quatre roues motrices, une garde au sol impressionnante et des essieux souples qui permettaient au véhicule de se déplacer facilement sur des terrains difficiles. Sa première apparition publique en 1946 le positionne déjà comme une solution révolutionnaire pour les agriculteurs allemands.

Daimler-Benz prend rapidement part à la production de l’Unimog. En 1951, la production officielle est lancée sous la marque Mercedes-Benz, et le véhicule dépasse rapidement son cadre agricole initial. Utilisé dans des domaines variés comme les services publics, les secours d’urgence, l’armée, et même l’exploration, l’Unimog est devenu synonyme de robustesse et de fiabilité.

Aujourd’hui, l’Unimog continue d’évoluer et d’être utilisé partout dans le monde, prouvant ainsi l’excellence de son concept original.

Le texte 10 octobre 1946, invention de l’Unimog provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ram doit rappeler près de 130 000 camionnettes de sa série 1500 en raison d’un problème avec les clignotants. Les modèles visés ont été construits entre le 24 mars 2023 et le 27 décembre de la même année, si bien que les unités visées couvrent les années modèles 2023 et 2024.

Le problème se situe à la hauteur du module de commande de la colonne de direction. Selon le rapport de la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) américaine, l’équivalent de Transports Canada, le problème avec le module crée une situation où les clignotants, lorsqu’activés lors d’un virage, ne sont pas automatiquement éteints avec le retour du volant à son point central.

L’origine du problème serait attribuable à une interférence à l’intérieur du mécanisme des clignotants, qui désactive la fonction d’annulation automatique.

Conséquemment, si le clignotant demeure en fonction, les conducteurs des modèles aux prises avec le problème envoient des signaux erronés aux autres usagers de la route, ce qui peut augmenter les risques de confusion et entraîner des collisions.

Ram 1500 Laramie 2023
Ram 1500 Laramie 2023 | Auto123.com

Notons que certains n’ont pas besoin d’un problème pour laisser leurs clignotants actifs… De fait, il serait intéressant d’avoir un rappel pour les conducteurs qui n’activent pas leurs clignotants lorsque nécessaire, mais ça, c’est une autre histoire.

Plus sérieusement, il est mentionné que le rappel ne concerne que 5 % des modèles visés. Si vous êtes propriétaires de l’un d’eux, Ram va inspecter votre véhicule et, si nécessaire, remplacera le module de commande de la colonne de direction.

Les propriétaires devraient recevoir une lettre par courrier vers la fin du mois d’octobre. Les concessionnaires seront informés de la procédure à suivre à partir d’aujourd’hui, le 8 octobre 2024.

Contenu original de auto123.

Le texte Ram rappelle 129 313 camionnettes pour un problème de clignotants provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

À 60 ans, Keanu Reeves vient d’ajouter une corde à son arc dans ce qui est une fructueuse carrière. Le 5 octobre 2024, l’acteur et musicien est devenu pilote de course professionnel lors des 13e et 14e manches de la Toyota GR Cup, sur le célèbre circuit Indianapolis Motor Speedway. Ce qui rend cet exploit encore plus impressionnant, c’est que Reeves avait donné un concert avec son groupe Dogstar à l’Ohana Music Festival, à Dana Point, en Californie, seulement une semaine avant.

« Le dernier tour était incroyable. »

Keanu Reeves pilotait la voiture numéro 92 BRZRKR, spécialement décorée pour promouvoir son roman « The Book of Elsewhere ». Un nouvel exploit sur sa liste de rêves . Son bolide, une Toyota GR86, a été préparé pour la course par Eagles Canyon Racing via Fast Track. Après s’être qualifié à la 31e place, Keanu Reeves a terminé 25e lors de la course du samedi 5 octobre, techniquement le dernier parmi les pilotes encore en lice.

La Toyota 86 pilotée par Keanu Reeves, sur la piste
La Toyota 86 pilotée par Keanu Reeves, sur la piste | Auto123.com

Un tête-à-queue, mais pas de panique

Pendant la première course du week-end, l’acteur a fait un léger tête-à-queue en abordant un virage serré. Pas de panique. Avec son calme typique, Keanu Reeves a remis sa voiture sur la bonne voie et a repris la course sans difficulté.

« La course, c’est amusant. »

Après l’événement, lors d’une brève entrevue diffusée sur les réseaux sociaux, Reeves a gardé ses réponses simples, mais enthousiastes. À la question « Pourquoi la course ? », il a simplement répondu en haussant les épaules : « Je ne sais pas… c’est amusant. »

Un deuxième jour réussi

Le lendemain, Keanu Reeves a participé à la deuxième course du week-end, où il a finalement réussi à dépasser son coéquipier Cody Jones, membre du groupe « Dude Perfect », qui avait fait un tête-à-queue.

La voiture pilotée par Keanu Reeves
La voiture pilotée par Keanu Reeves | Auto123.com
Keanu Reeves
Keanu Reeves | Auto123.com

Contenu original de auto123.

Le texte Keanu Reeves, pilote professionnel à 60 ans provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Nissan a annoncé qu’elle rejoignait le réseau ChargeScape, l’alliance créée l’automne dernier par trois de ses concurrents, soit Ford, Honda et BMW.

ChargeScape a créé une plateforme unique qui relie les fournisseurs d’électricité, les constructeurs d’automobiles et les conducteurs de véhicules électriques et aide à gérer la consommation d’énergie aux États-Unis et au Canada. Le logiciel a été mis en service en septembre et intègre sans fil les véhicules dans le réseau électrique, améliorant ainsi la stabilité du réseau et permettant aux conducteurs d’économiser de l’argent sur les frais de recharge, selon les dires de l’entreprise.

La nouvelle de Nissan nous arrive alors que l’un des événements les plus importants de l’industrie des véhicules électriques, le Battery Show, a fait ses débuts hier, le 7 octobre.

En prenant des parts équivalentes à 25 % dans ChargeScape, Nissan devient un partenaire à part entière. Une fois la transaction finalisée, la firme japonaise déclare qu’elle va commencer à offrir les services de ChargeScape aux propriétaires de véhicules électriques aux États-Unis et au Canada.

Parmi les fonctionnalités offertes par le système, les utilisateurs peuvent choisir d’interrompre la recharge lorsque la demande d’électricité est forte et que le réseau est près de sa capacité. Les conducteurs de véhicules électriques peuvent choisir de réinjecter dans le réseau l’électricité dont ils n’ont pas besoin grâce au logiciel, ce qui permet de réduire encore les coûts de recharge.

Chargepoint comprend maintenant quatre partenaires à part égal : Ford, Honda, BMW et Nissan
Chargepoint comprend maintenant quatre partenaires à part égal : Ford, Honda, BMW et Nissan | Auto123.com

Le groupe ChargeScape a annoncé deux nominations en septembre, soit celle de Joseph Vellone au poste de chef de la direction, ainsi que celle de Kalidindi Raju au poste de directeur de la technologie. Joseph Vellone a rejoint l’entreprise ev.energy, qui travaillait également dans le domaine des services publics et de la recharge des véhicules. Kalidindi Raju travaillait dernièrement au Boston Consulting Group, où il faisait partie de l’équipe chargée de l’énergie et de l’environnement.

« La décision de Nissan de nous rejoindre souligne son engagement à aider la clientèle à effectuer des recharges à moindre coût et de manière durable, et met en évidence la position centrale de ChargeScape dans le domaine de l’intégration véhicule réseau », a déclaré Joseph Vellone via un communiqué.

En comptant la berline compacte LEAC, lancée en 2011, ainsi que le nouveau VUS Ariya, Nissan a vendu plus de 200 000 VE aux États-Unis. À travers le monde, on parle de plus de 500 000 véhicules tout électriques écoulés par l’entreprise.

« ChargeScape nous aide à mettre en relation de manière plus pratique et plus efficace les services publics et les conducteurs de VE, ce qui rend l’expérience de la propriété plus intéressante pour les conducteurs en leur offrant des incitations à participer à des programmes de gestion de la charge et de véhicules connectés au réseau », a déclaré Kent O’Hara, président de l’activité batteries 4R de Nissan, dans un communiqué. « En rejoignant ChargeScape, nous contribuons à la réduction des émissions de CO2 à l’échelle nationale en permettant aux services publics d’utiliser le stockage d’énergie des batteries de VE pour équilibrer les pics de demande du réseau tout en optimisant l’utilisation des sources d’électricité renouvelables. »

Le Nissan Ariya
Le Nissan Ariya | Auto123.com

Contenu original de auto123.

Le texte Nissan rejoint le réseau ChargeScape provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Tous ceux intéressés par la chose automobile le savent, Toyota et Subaru ont collaboré pour nous offrir les VUS électriques bZ4X et Solterra. Depuis, quantité de rumeurs ont fait surface concernant d’autres collaborations entre les constructeurs, mais rien de concret n’avait été annoncé.

Eh bien, sans avoir reçu de confirmation, les rumeurs se confirment selon le fait que les deux entreprises travaillent pour nous donner un autre VUS tout électrique. En effet, selon ce que rapporte le journal Nikkei Asia, les deux firmes vont lancer un nouveau véhicule dont le début de la production serait prévu pour janvier 2026.

Cette fois, plutôt que de voir le modèle sortir d’une usine opérée par Toyota, il serait assemblé sur une chaîne de montage du site de Subaru situé à Yajima.

Ce qui est intéressant pour les deux entreprises cette fois, c’est qu’on ne part pas à partir d’une feuille blanche. Autrement dit, les nouveaux modèles vont emprunter des éléments aux créations déjà existantes. Cela va permettre d’accélérer le développement et de réduire les coûts.

L’objectif est de produire entre 15 000 et 20 000 unités par mois.

Le Toyota bZ4X
Le Toyota bZ4X | Auto123.com

Et bonne nouvelle pour notre marché, les deux modèles seraient destinés à l’Amérique du Nord, à l’Europe et au Japon. Ils pourraient également être vendus sur d’autres marchés.

Ce qu’on ne sait pas pour le moment, c’est le positionnement des produits dans leur gamme respective. On ne peut que souhaiter un modèle d’entrée de gamme moins cher.

Il sera aussi souhaitable que les véhicules se montrent plus efficaces en matière d’autononmie notamment, en regard de la concurrence. Au chapitre des ventes, les chiffres suivants nous indiquent bien où se situent les entreprises sur le marché ; Toyota a vendu 13 577 unités du bZ4X au cours des neuf premiers mois de l’année, alors qu’on en a écoulé 9137 chez Subaru. Les Hyundai Ioniq 5 (30 818), le Kia EV6 (15 985) et le Prologue (14 179) ont jusqu’ici fait mieux.

Mais tout ça ne pourrait être qu’un début. Au début de la présente année, Toyota et Subaru ont indiqué qu’ils travailleraient sur trois autres véhicules électriques en plus du bZ4X/Solterra. Tout comme le nouveau modèle à venir en 2026, les deux autres seront également des VUS. Si la production du nouveau produit commence effectivement en janvier 2026, les révélations officielles de Toyota et Subaru devraient avoir lieu au cours de la deuxième moitié de l’année prochaine.

Dans l’intervalle, les constructeurs automobiles continueront de s’intéresser aux moteurs à combustion. Il y a quelques mois, une conférence commune – à laquelle participait également Mazda – a permis d’annoncer des moteurs à combustion interne nouveaux et améliorés.

Contenu original de auto123.

Le texte Toyota et Subaru travaillent sur un autre modèle électrique provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Lorsqu’on a les moyens de ses ambitions, il n’y a rien que l’on ne puisse pas réaliser. Mark Zuckerberg, le père de Facebook, dont la fortune se compte dans les milliards, vient d’en fournir une preuve éloquente avec une excentricité qui ne passera pas inaperçue sur la route : une fourgonnette Porsche Cayenne.

De fait, lorsque son épouse, Pricilla Chan, a mentionné vouloir une fourgonnette, Mark Zuckerberg s’est associé à la firme West Coast Customs, qui est basée à Los Angeles, pour modifier un Porsche Cayenne Turbo GT afin d’en faire une fourgonnette.

Et oui, le véhicule est équipé de portes coulissantes à déploiement électrique.

Il est clair qu’il sera facile à identifier sur la route, car bien entendu, Porsche ne propose rien qui ressemble à une fourgonnette. Ironiquement cependant, on se souviendra qu’au tournant de la présente décennie, la compagnie avait mis au monde un concept nommé Porsche Vision Renndienst, un modèle familial qui pouvait recevoir jusqu’à six personnes.

Le concept Porsche Vision Renndienst, 2020
Le concept Porsche Vision Renndienst, 2020 | Auto123.com
Le Porsche Cayenne modifié de Mark Zuckerberg
Le Porsche Cayenne modifié de Mark Zuckerberg | Auto123.com

Ce prototype est unique, mais n’a pas la gueule du Cayenne allongé.

Mark Zuckerberg n’en est pas au premier cadeau plus excentrique pour son épouse. Au début de l’été, dans une démarche jugée étrange par certains, il a commandé une statue de jardin de deux mètres… à l’effigie de sa femme. Dans ce contexte, une fourgonnette Porsche semble tout à fait banale.

Et tant qu’à y être, le milliardaire a demandé à West Coast Customs de personnaliser une Porsche GT3 Touring en la dotant de la même couleur gris ardoise, pour un duo de véhicules qui ne passera pas inaperçu dans une entrée de garage.

Les Porsche Cayenne et GT3 Touring modifiés
Les Porsche Cayenne et GT3 Touring modifiés | Auto123.com
Les Porsche Cayenne et GT3 Touring modifiés
Les Porsche Cayenne et GT3 Touring modifiés | Auto123.com

Contenu original de auto123.

Le texte Mark Zuckerberg fait transformer un Porsche Cayenne en fourgonnette provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

C’est du côté de l’île de Vancouver que Subaru nous a invité pour faire l’essai du Solterra. Le clone du Toyota bZ4x que Subaru a voulu plus aventurier. Voyons un peu ce qui sépare et uni ces deux modèles

Conduite : la Subaru vs. la Toyota

Vous rêvez de vous évader dans la nature sauvage, de conquérir des montagnes et de croiser des ours? Le Solterra semble conçu pour cela et Subaru nous a même amner dans des sentiers assez abruptes. Avec son légendaire système Symmetrical AWD de série, Subaru a fait de son mieux pour dire : « Oui, on peut encore faire du hors-piste avec un VÉ ». Pourtant, combien de propriétaires iront réellement au-delà du centre commercial ou de la station de recharge la plus proche?

Face à lui, le Toyota bZ4X offre une option plus classique. Vous voulez deux roues motrices? Toyota vous dit : « Pourquoi pas, qui a besoin de traction intégrale en ville, de toute façon? » Mais ne nous y trompons pas, avec l’option AWD, le bZ4X devient un compagnon digne de la ville, confortable et fluide, idéal pour contourner les ralentisseurs et les dos d’âne.

Le Solterra, de son côté, vous donne l’impression que vous pourriez gravir l’Everest… même si vous n’allez pas plus loin que le stationnement du centre commercial. Le système AWD est là pour vous rassurer, et sur les routes enneigées, il offre une stabilité impressionnante, du moins pour ceux qui osent affronter la vraie nature.

Équipement : la techno à portée de main (ou pas)

À l’intérieur du Solterra, Subaru a clairement essayé de nous épater avec une technologie avancée. Le système d’infodivertissement de 12,3 pouces est là, avec tout ce qu’on peut imaginer, sauf peut-être la possibilité de piloter un drone. Apple CarPlay, Android Auto? Oui, bien sûr, ça, c’est de série. Mais le Toyota bZ4X va plus loin avec des touches comme un toit solaire. Pourquoi recharger à une borne alors que vous pouvez charger lentement sous le soleil, surtout au Québec où on est gâtés par des journées nuageuses?

Sur le Solterra, les gadgets sont nombreux, mais l’interface reste un peu confuse. Les amateurs de Subaru savent bien que ce n’est pas toujours l’ergonomie qui prime chez le constructeur. On pourrait presque imaginer le directeur technique dire : « Si vous n’arrivez pas à le trouver, c’est que vous n’en avez pas vraiment besoin. »

Tenue de route : symétrie et sécurité

Sur la route, le Solterra ne déçoit pas. Sa tenue est rassurante, grâce à un châssis optimisé pour la stabilité, et surtout, à cette garde au sol un peu plus généreuse que celle de son cousin chez Toyota. En ville ou sur autoroute, c’est du velours, du moins si vous aimez ressentir le poids de la batterie sous les pédales.

Le Toyota bZ4X, en revanche, est réglé pour être aussi doux qu’un chiot. Ses suspensions privilégient le confort, ce qui en fait une excellente option pour les déplacements quotidiens en milieu urbain. Il est facile à manœuvrer, fluide dans les virages, mais n’offre pas le même niveau de contrôle nerveux que le Solterra.

Technologie : confort moderne avec un soupçon de confusion

Le Subaru Solterra regorge de technologies, comme l’alerte de franchissement de ligne et l’assistance à la conduite, toutes les petites aides à la conduite qui vous permettront de croire que vous êtes un meilleur conducteur que vous ne l’êtes réellement. Cependant, tout cela peut devenir un peu intrusif si vous êtes du genre à aimer conduire “à l’ancienne”.

Toyota, fidèle à sa réputation, rend l’interface plus intuitive. Leur technologie est moins tape-à-l’œil, mais diablement efficace. Tout fonctionne, tout est à portée de main et on n’a pas besoin de sortir un manuel de 200 pages pour changer la température.

Confort et dynamique de conduite

À l’intérieur du Solterra, Subaru a tout misé sur une ambiance confortable. Les sièges sont spacieux et bien coussinés, parfaits pour une expédition… ou une sieste à la borne de recharge. La dynamique de conduite est tout à fait respectable pour un véhicule électrique : silencieux, stable, presque trop civilisé pour la marque. Si vous rêviez de retrouver le côté un peu brut des anciennes Subaru, désolé, mais celui-ci est bien plus domestiqué.

Le bZ4X suit une approche similaire. Confort urbain, parfait pour les trajets de banlieue à bureau. Si vous cherchez un véhicule pour la ville et que l’idée d’un long trajet hors route vous fait bailler, Toyota est le choix logique.

Conclusion : Valeur perçue – forces et faiblesses

Le Subaru Solterra 2025 veut être tout pour tout le monde : un conquérant des montagnes pour ceux qui rêvent d’aventures, mais aussi un compagnon urbain pour ceux qui ne voient que des feux rouges. Il offre des capacités tout-terrain respectables, un confort appréciable et une technologie avancée, mais l’ensemble manque parfois de cohérence pour une expérience totalement fluide.

Le Toyota bZ4X, de son côté, est plus clair dans son intention : un véhicule urbain efficace et confortable, sans les prétentions d’aventure. Il est plus simple à appréhender, mais manque un peu du caractère tout-terrain que certains espèrent dans un VUS.

Forces:

  • Système 4RM performant et rassurant.
  • Technologie embarquée moderne et complète.
  • Bonne garde au sol et tenue de route sécurisante en conditions difficiles.

Faiblesses:

  • Interface utilisateur parfois confuse.
  • Poids perceptible en conduite sportive.
  • Valeur ajoutée des capacités hors route sous-exploitée pour la majorité des conducteurs.

En fin de compte, le Subaru Solterra est un excellent choix pour les aventuriers… ou pour ceux qui aiment avoir l’option d’être aventuriers. Quant à savoir combien quitteront vraiment les sentiers battus, ça, c’est une autre histoire.

Le texte Subaru Solterra 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile