Toyota Highlander 2026
Toyota Highlander 2026 | Auto123.com

Toyota Canada vient de dévoiler la gamme complète du Highlander 2026, un VUS intermédiaire à traction intégrale offert en sept versions, dont presque la moitié avec motorisation hybride. 

Affiché à partir de 51 285 $, le Highlander mise sur la polyvalence, le confort et l’efficacité énergétique pour séduire la clientèle.

Motorisations du Toyota Highlander 2026

Le Highlander à essence est animé par un quatre cylindres turbo de 2,4 litres jumelé à une boîte automatique à huit rapports. Cette combinaison produit 265 chevaux et permet de remorquer jusqu’à 2268 kg. Selon la version, on retrouve soit le système AWD dynamique à couple modulable, soit le système AWD vectoriel plus évolué avec modes de conduite.

Le Highlander hybride emploie pour sa part un moteur 2,5 litres couplé à deux moteurs-générateurs électriques et une transmission CVT électronique. La puissance combinée atteint 243 chevaux, avec une consommation moyenne de 6,7 litres/100 km. La version hybride AWD, dotée d’un moteur électrique dédié à l’arrière, peut remorquer jusqu’à 1588 kg.

Toyota Highlander 2026, intérieur
Toyota Highlander 2026, intérieur | Auto123.com

Un intérieur modulable et technologique

Construit sur la plateforme TNGA de Toyota, le Highlander offre une stabilité accrue, une meilleure insonorisation et un centre de gravité abaissé. Selon la version, il peut accueillir 7 ou 8 passagers, avec des sièges de troisième rang rabattables et des sièges capitaine en option. Le volume de chargement maximal atteint 2387 litres derrière la première rangée.

Toyota Highlander 2026 : à partir de 51 285 $ au Canada | Auto123.com

Technologie du Toyota Highlander 2026

Côté techno, tous les modèles sont équipés du système multimédia Toyota avec Apple CarPlay et Android Auto sans fil. Les écrans tactiles varient de 8,0 po sur les versions XLE à 12,3 po sur les Limited et Platinum. Un système audio JBL à 11 haut-parleurs est offert sur les modèles haut de gamme.

Tous les Highlander 2026 intègrent la suite Toyota Safety Sense 2.5, incluant le freinage d’urgence automatique, l’alerte de sortie de voie, le régulateur de vitesse adaptatif et le détecteur d’angle mort avec alerte de circulation transversale arrière. Le démarrage par bouton-poussoir et la clé intelligente sont aussi livrés de série.

Toyota Highlander hybride 2026
Toyota Highlander hybride 2026 | Auto123.com

Toyota Highlander 2026 – versions et prix canadiens

  • •    Highlander XLE AWD – 51 285 $
  • •    Highlander XSE AWD – 55 120 $
  • •    Highlander Limited AWD – 56 665 $
  • •    Highlander Platinum AWD – 58 986 $
  • •    Highlander hybride XLE AWD – 54 485 $
  • •    Highlander hybride Limited AWD – 59 865 $
  • •    Highlander hybride Platinum AWD – 61 736 $

Le Toyota Highlander 2025 est disponible à l’achat ou à la location dès maintenant chez les concessionnaires Toyota canadiens.

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Alors que la Nissan Sentra renouvelée pour 2026 débarque sous peu chez les concessionnaires canadiens, Auto123 apprend qu’elle consomme davantage que le modèle de précédente génération. 

Nous sommes à même de tirer cette conclusion grâce à des données obtenues par Ressources naturelles Canada. 

Chez Nissan, 2026 marque l’arrivée de la neuvième génération de la berline compacte. Elle reprend les mêmes châssis et groupe motopropulseur que la génération sortante. Toutefois, elle s’avère plus gourmande. 

Voir : Nissan Sentra 2026, premier essai : rien de radical 

D’après l’organisme fédéral, la Nissan Sentra 2026 consomme 7,1 litres/100 km en conduite combinée pour les versions S et SV. La cote est de 7,9 litres /100 km en ville et de 6,1 litres /100 km sur route. Dans le cas des versions SL et SR de la nouvelle Sentra, la consommation en conduite combinée bondit à 7,2 litres /100 km. En ville et sur route, la cote est respectivement de 8,0 et 6,4 litres /100 km. 

La nouvelle Nissan Sentra 2026 consomme plus que l’ancien modèle | Auto123.com

Toujours d’après les informations divulguées par Ressources naturelles Canada, ces données sont plus élevées que les cotes de consommation pour l’année-modèle 2025. En effet, le modèle de base consommait aussi peu que 6,6 litres /100 km en conduite combinée alors que sa cote en ville et sur route était respectivement de 7,3 et 5,8 litres /100 km. Dans le cas de la déclinaison SR, elle consommait 6,9 litres /100 km en conduite combinée, 7,4 litres /100 km en ville et 6,1 litres /100 km sur route. 

Bien qu’une faible part de la clientèle décrie la disparition de la transmission manuelle lors du passage de la huitième à la neuvième génération, force est de constater que celle-ci était plus énergivore que la Sentra dotée d’une transmission automatique à variation continue. 

Soulignons que la Nissan Sentra 2026 est animée par un moteur à quatre cylindres de 2,0 litres. Celui-ci produit une puissance de 149 chevaux et un couple de 146 lb-pi. Le constructeur n’offre aucune motorisation plus performante ni quelconque forme d’électrification pour ce modèle. 

Sentra 2026 : le nouveau véhicule le moins cher chez Nissan ?

Bien qu’elle soit plus énergivore que sa devancière, la nouvelle Nissan Sentra 2026 a de fortes chances de connaître un bon succès, étant donné qu’elle devient le véhicule le plus abordable dans le catalogue canadien depuis la disparition de la Versa de même que du Kicks Play. 

En fait, pour l’heure, il ne s’agit que d’une présomption puisque que le constructeur n’a pas encore dévoilé l’échelle de prix de ce modèle. En revanche, il est raisonnable de présumer que son PDSF sera inférieur à celui du Kicks.

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Jeep et Fox Factory Vehicles dévoilent le Wrangler Commando 392 2026, une version limitée du célèbre 4×4, créée pour rendre hommage aux membres actifs et vétérans des forces armées américaines. Seulement 250 exemplaires verront le jour : 249 réservés aux militaires et un seul modèle destiné à une vente aux enchères publique. Le prix de départ ? 69 995 $ US.

Un Wrangler à la sauce Commando

Basée sur la Wrangler Rubicon 392, cette édition spéciale ne fait pas dans la subtilité. Sous le capot, on retrouve le V8 Hemi de 6,4 litres développant 470 chevaux, couplé à une boîte automatique à huit rapports et au système 4×4 intégral. Lors des essais précédents, cette configuration permettait déjà de franchir le cap des 0 à 100 km/h en à peine 4 secondes — une prouesse pour un véhicule à toit souple et portières amovibles.

Fox pousse la performance encore plus loin avec deux options : un échappement Magnaflow à 3395 $ pour une sonorité plus rauque, et surtout un compresseur Whipple à 11 495 $ qui fait grimper la puissance à 705 chevaux !

Jeep Wrangler Commando 392 2026 : un hommage musclé aux forces armées américaines | Auto123.com

Style militaire et modifications sérieuses

Le Commando 392 arbore une peinture vert olive mat inspirée du Wrangler Willys ’41, rehaussée de portes tubulaires assorties, d’un toit Bimini en toile et de décalcomanies “Commando” sur le capot et les sièges avant.

Côté mécanique, le modèle repose sur des pneus Nitto Ridge Grappler de 37 pouces montés sur jantes blanches de 17 pouces à verrouillage de talon (beadlock). La suspension Fox 3.0 avec dérivation interne élève la garde au sol de 3,5 pouces, donnant au Wrangler une posture plus imposante et prête à affronter les pires terrains.

Parmi les détails exclusifs :

  • •    Ailes en acier hautes pour une meilleure garde au sol
  • •    Treuil avant Warn intégré au pare-chocs en acier
  • •    Feux auxiliaires à DEL de 5 pouces
  • •    Roue de secours déplacée à l’intérieur du coffre pour un meilleur équilibre

 

Jeep Wrangler Commando 392 2026 : un hommage musclé aux forces armées américaines | Auto123.com

Un futur objet de collection

Seulement 250 exemplaires seront assemblés par Fox Factory Vehicles à Gainesville, en Géorgie. De ce nombre, 249 unités seront offertes exclusivement aux membres actifs et anciens combattants américains, tandis que le dernier exemplaire sera mis aux enchères pour le grand public.

Avec sa rareté, sa puissance colossale et son thème militaire, la Jeep Wrangler Commando 392 2026 est déjà destinée à devenir un modèle de collection… même si Jeep espère qu’elle continuera de se salir hors route comme toute vraie Wrangler.

Jeep Wrangler Commando 392 2026 : un hommage musclé aux forces armées américaines | Auto123.com
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Tout le monde qui a pris place à bord d’un véhicule électrique vous le dira : c’est fou à quel point l’habitacle est silencieux quand on n’est pas assis tout juste derrière une cylindrée à essence. En fait, la principale chose qu’on entend, c’est le bruit des pneus, une chose que des fabricants tentent désormais d’éliminer. C’est de là que vient la technologie SilentDrive que Nokian intègre même à ses pneus d’hiver.

On trouve par exemple le pneu d’hiver Hakkapeliitta R5 EV qui est fabriqué par Nokian et qui est équipé de la technologie SilentDrive. En gros, Nokian ajoute une mince couche de mousse insonorisante dans la structure du pneu, qu’on appelle officiellement sa «carcasse», en termes très techniques. Cette mousse absorbe la résonance provoquée par le roulement du pneu sous une forte charge, qui est le poids du véhicule.

En plus de cette insonorisation, Nokian mise sur une conception à faible résistance lors du roulement, ce qui réduit d’une coche les bruits générés par ses pneus, y compris l’hiver. Cette bande de roulement là réduit la friction, donc le bruit, et améliore aussi l’autonomie du véhicule. Pour compenser l’éventuelle perte d’adhérence causée par cette conception, le fabricant a mis au point une semelle composée de ce qu’il appelle des «cristaux arctiques» qui assurent une meilleure emprise sur la chaussée, dans la neige ou sur la glace.

On le sait, les véhicules électriques changent plusieurs des habitudes qu’on avait jusqu’ici comme automobilistes. Par exemple, on ne va plus aussi souvent au garage pour l’entretien périodique, vu qu’on n’a pas de vidange d’huile à faire sur une base régulière. Les freins aussi durent plus longtemps.

Mais du côté des pneus, c’est l’inverse qui se produit : les véhicules électriques sont plus lourds et plus exigeants. L’hiver aussi, leur poids rend leur comportement un peu différent de celui d’un véhicule à essence. Nokian n’est pas le seul fabricant à fabriquer des pneus strictement pour les véhicules électriques. Ça ne veut pas dire que les pneus réguliers ne feront pas de bons pneus d’hiver pour votre VÉ, mais comme dans le cas du Hakkapeliitta R5 EV, ça veut surtout dire qu’ils seront plus silencieux et qu’ils minimisent leur impact sur l’autonomie.

Peu importe le pneu que vous choisissez cet hiver, rappelez-vous qu’un pneu de qualité peut faire toute la différence sur la route, bien plus qu’un rouage intégral…

 

Le texte Nokian SilentDrive : des pneus d’hiver «silencieux» pour VÉ provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Toyota a ressuscité la marque Scion, dix ans après sa disparition, avec un concept radicalement différent présenté au salon SEMA de Las Vegas 2025.

Le Scion 01 n’a cependant plus rien d’une voiture grand public. Il s’agit plutôt d’un buggy hybride quatre places taillé pour l’aventure tout-terrain. Bien loin des petites voitures de ville qui avaient fait la renommée de la marque et avec lesquelles on ciblait les jeunes automobilistes.

Ce nouveau chapitre de Scion mise sur la puissance (plus de 300 chevaux) et la technologie hybride i-Force Max issue du Tacoma, tout en offrant un mode « Silent » 100% électrique pour une conduite discrète en milieu naturel.

Toyota a-t-il ramené la marque Scion? | Auto123.com

Scion au Canada

L’histoire de Scion au Canada est plutôt courte. Lancée aux États-Unis en 2003 pour séduire un public jeune et urbain, la marque avait pour mission de rajeunir l’image de Toyota avec des véhicules personnalisables, accessibles et au style audacieux.

Après plusieurs années de succès relatif aux États-Unis, Toyota a décidé d’introduire Scion au Canada en 2010. Une quinzaine de concessionnaires, principalement situés à Montréal, Toronto et Vancouver, ont formé le réseau d’origine.

Malgré cet élan, Scion n’a jamais véritablement trouvé sa place au Canada. Les ventes sont restées faibles, avec un sommet à environ 5700 unités en 2012, bien en deçà des attentes. Comparez cela à la Honda Civic, leader incontesté du marché canadien, qui réalisait autant de ventes en un mois.

Plusieurs facteurs expliquent cet échec : un ciblage initial qui ne correspondait pas vraiment au profil des acheteurs canadiens, un manque de modèles adaptés aux réalités du marché nord-américain et une concurrence féroce dans le segment des voitures compactes et sous-compactes.

En 2016, Toyota mettait fin à la marque Scion ; les modèles phares tC, xB et FR-S (basé sur la Subaru BRZ) ont été intégrés à la gamme Toyota ou arrêtés. Pourtant, Scion a laissé plusieurs amateurs sur leur faim, et représente un chapitre que plusieurs adeptes de la marque regrettent encore.

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Scion version 2.0

Le nouveau concept Scion 01 laisse entrevoir une nouvelle vision : moins urbaine, plus aventureuse, s’appuyant sur la technologie hybride et une allure résolument athlétique. Avec un châssis conforme aux normes de compétition FIA/SCORE, ce buggy hybride pourrait ouvrir une nouvelle voie pour Scion, loin des petites voitures branchées.

Pour les passionnés canadiens, le retour de Scion est d’abord une surprise. Toyota semble vouloir réinventer la marque avec une présentation totalement différente, et ciblant un public totalement nouveau.

Toyota a-t-il ramené la marque Scion? | Auto123.com
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Toyota élargit un rappel déjà en cours visant ses camions et VUS récents équipés du moteur biturbo de 3,4 litres, en raison d’un défaut pouvant entraîner une panne soudaine du moteur.

Plus de 13 000 véhicules touchés au Canada

Au total, 13 164 véhicules sont visés au pays, incluant les Lexus LX 600 (2023-2024), Lexus GX 550 (2024) et Toyota Tundra (2023-2024). Aux États-Unis, environ 127 000 véhicules sont rappelés pour la même défectuosité.

Le problème

Le problème découle de débris d’usinage laissés dans le carter moteur lors de la fabrication. Ces particules peuvent endommager les paliers de vilebrequin, provoquant une perte de puissance immédiate ou un fonctionnement irrégulier du moteur — voire un démarrage impossible.

Toyota Tundra 2024
Toyota Tundra 2024 | Auto123.com

Un rappel déjà amorcé en 2024

Ce rappel fait suite à une première campagne de sécurité lancée en mai 2024, qui concernait les Lexus LX 600 2022 et Toyota Tundra 2022-2023. Ce rappel initial portait le numéro #2024-304 chez Transports Canada. L’expansion annoncée aujourd’hui est enregistrée sous le numéro #2025-614, avec les codes internes SRC RL0 et SRC RL1 chez Toyota.

La solution

Le constructeur contactera prochainement les propriétaires concernés afin de déterminer la marche à suivre. Pour le rappel précédent, Toyota avait remplacé le moteur complet à titre préventif. On ignore encore si cette mesure sera répétée cette fois-ci, le correctif final n’ayant pas été confirmé.

Les propriétaires touchés recevront une notification officielle de Toyota ou Lexus par courrier ou courriel. Entre-temps, les véhicules peuvent continuer d’être utilisés, mais Toyota recommande de surveiller tout bruit anormal ou perte de puissance et de contacter rapidement un concessionnaire si ces symptômes apparaissent.

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Le texte Rappel de 13 000 Toyota et Lexus au Canada pour un problème de moteur provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Pour 2026, Subaru apporte un certain nombre de nouveautés au Solterra, le multisegment électrique de la marque. On connaît maintenant son prix et, bonne nouvelle, il est inférieur à celui de l’ancien modèle.

En effet, avec cette nouvelle itération du Solterra, Subaru revoit quelque peu sa stratégie de commercialisation. Pour 2026 au Canada, le Solterra affiche un prix d’entrée (PDSF, prix de détail suggéré par le fabricant) de 52 495 $. Souvenons-nous que pour l’année 2024, ce véhicule était offert à partir de 56 495 $. Il s’agit donc d’une baisse de 4000 $ du PDSF.

Il faut toutefois noter que le constructeur a appliqué des rabais et promotions totalisant des économies de plusieurs milliers de dollars afin de réussir à écouler l’inventaire 2024. Notons aussi que le constructeur a préféré sauter l’année-modèle 2025 au pays, étant donné la quantité restante en inventaire.

Pour 2026, les consommateurs désirant opter pour le groupe De luxe devront débourser 3 000 $supplémentaires, ce qui représente un PDSF de 55 495 $. Enfin, Subaru propose aussi le groupe Technologie pour la somme de 6000 $, ce qui porte le total à 58 495 $.

Voir : Subaru Solterra 2026, premier essai : Prise 2

Subaru Solterra 2026 : 4000 $ de moins que l’ancien modèle au Canada | Auto123.com

Des nouveautés attendues pour 2026

On se rappellera que le Subaru Solterra 2026 a été dévoilé au printemps dernier à l’occasion du Salon de l’auto de New York. Calqué sur le Toyota bZ4X 2026, le Solterra dispose du port de recharge NACS (North American Charging Standard, Norme de recharge nord-américaine) et d’une batterie de 77 kWh. Le constructeur estime que le Solterra 2026 pourra parcourir jusqu’à 446 km, ce qui représente un gain important par rapport au précédent modèle.

Il profite aussi d’un système amélioré de préconditionnement de la batterie, d’après les informations fournies par Subaru. Précisons également qu’il bénéficie d’une puissance de 338 chevaux.

Une baisse de prix alors que les subventions sont réduites

Le dévoilement de l’échelle de prix du Subaru Solterra 2026 vient peu de temps après le dépôt du budget fédéral, qui confirmait la fin de la subvention pour l’achat d’un véhicule électrique neuf. Cette annonce coïncide aussi avec les dernières semaines du programme Roulez vert actuel du gouvernement du Québec, dont l’aide maximale de 4 000 $sera réduite à 2 000$ à compter du 1er janvier prochain.

Précisons que Subaru n’est pas le seul constructeur à abaisser le PDSF d’un véhicule électrique en réponse à la baisse des subventions. En effet, ces derniers jours, Auto123 apprenait que la gamme du Nissan Ariya profite, elle aussi, d’une baisse de prix allant de 3 000 $ à 4 600 $, tout dépendant de la version sélectionnée.

Contenu original de auto123.

Le texte Subaru Solterra 2026 : 4000 $ de moins que l’ancien modèle au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Kristian Aquilina, l’actuel président et directeur général de GM Canada, quitte ce poste pour occuper le poste de vice-président de Cadillac à l’échelle mondiale. Il deviendra le grand patron de cette marque de véhicules de luxe à compter du 1er janvier 2026. Cette annonce a été faite aujourd’hui par General Motors par voie de communiqué.

Proche de la cinquantaine, Aquilina occupait ce poste seulement depuis le 15 janvier 2024. Il était entré au service de la filiale canadienne de GM en août 2023, pour occuper le poste de vice-président Ventes, service et marketing.

D’ici son entrée en fonction chez Cadillac, Aquilina continuera de superviser les opérations de GM Canada sous la direction de Duncan Aldred, vice-président principal de GM et président de GM Amérique du Nord, afin de préparer le terrain pour son successeur, dont le nom sera annoncé ultérieurement.

Par ailleurs, chez Cadillac, Kristian Aquilina succède à l’Étatsunien John Roth, qui devient vice-président principal et président de GM China. Il dirigeait Cadillac depuis juin 2023.

Dans un communiqué publié aujourd’hui par GM Canada, en anglais seulement, Aldred rappelle que, sous la direction d’Aquilina, la filiale canadienne a augmenté ses ventes de véhicules à essence et électriques. On y apprend également que son expérience en matière de ventes et de marketing sera un atout précieux pour soutenir la relance de Cadillac à l’échelle mondiale.

D’ailleurs, avant de se joindre à GM Canada, Aquilina a été directeur général des Opérations internationales de Cadillac et de sa filiale du Moyen-Orient.

Natif de Melbourne, en Australie, c’est après avoir fait ses études universitaires de premier cycle, en 1997, qu’Aquilina est entré au service de Holden, l’ancienne filiale australienne de GM.

Durant la vingtaine d’années qui a suivi, il a occupé de nombreux postes au sein de Holden, GM Holden, Isuzu New Zealand et GM Holden NZ. Il a gravi les échelons de ces filiales australasiennes de GM jusqu’à devenir PDG par intérim de Holden en 2020. C’était l’époque où la haute direction de GM avait décidé de mettre un terme à l’existence de cette marque alors vieille de 164 ans et profondément ancrée dans la culture australienne.

Photos : General Motors et Kristian Aquilina sur LinkedIn

Le texte Kristian Aquilina, président de GM Canada, va prendre les rênes de Cadillac provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La Hilux fait peau neuve. Cette populaire camionnette commercialisée par Toyota à travers le monde — ailleurs qu’en Amérique du Nord — a subi une refonte majeure. Dévoilée hier simultanément en Thaïlande, en Australie et en Europe, sa neuvième génération présente un extérieur et un intérieur remodelé. C’est toutefois sous le capot qu’on trouve les nouveautés les plus marquantes. Car pour la première fois, cette camionnette pourra être dotée d’une motorisation électrique à batterie et bientôt d’une motorisation à pile à combustible d’hydrogène.

Une motorisation hybride non branchable à 48 v introduite plus tôt cette année sera désormais la motorisation de série de ce véhicule.

Le développement de la nouvelle Hilux a été piloté par l’équipe de design de Toyota Australia, basée au Centre de produits d’Altona, en collaboration avec leurs pairs de Thaïlande et du Japon.

Le constructeur offrira des versions hybrides à deux et quatre portes, alors que la nouvelle version électrique ne sera offerte qu’en 4-portes. On reconnaîtra ces nouvelles Hilux à leurs formes modernisées et leurs phares affinés. Contrairement aux hybrides, la face avant de la Hilux électrique (appelée BEV pour Battery Electric Vehicle) n’aura pas de calandre.

Prête pour l’Europe, l’Asie et l’Australie

La motorisation de cette dernière est constituée d’une batterie au lithium-ion de 59,2 kWh qui alimente des essieux eAxles avant et arrière assurant une transmission intégrale permanente. L’ensemble produit une puissance nette de 196 ch et un couple substantiel : le moteur avant produit 151 lb-pi et le moteur arrière 198.

En outre, des données provisoires de préhomologation nous apprennent que la charge utile atteint 715 kg et la capacité de remorquage 1 600 kg, alors que l’autonomie se chiffre à environ 240 km, d’après la méthode de calcul WLTP utilisée en Europe, une région du monde où l’automobiliste moyen parcourt généralement de moins grandes distances qu’ici.

La nouvelle Hilux a une direction assistée électrique, une première pour ce modèle. Le constructeur affirme qu’elle procure une « prise en main plus directe, une plus grande maniabilité et un risque réduit de retour de volant lors de la conduite sur terrain accidenté ».

Pour la Hilux BEV, le constructeur a mis au point un système Multi-Terrain Select capable d’adapter les performances du véhicule à différents environnements hors route, en utilisant le contrôle du freinage et du couple comme s’il s’agissait de la gamme courte (L4) d’un véhicule à motorisation thermique traditionnelle.

De plus, malgré la présence de la batterie sous le plancher de l’habitacle, la version électrique a la même capacité de franchissement de gué de 700 mm qu’une Hilux hybride.

À l’intérieur, ce véhicule est doté de nouveaux écrans numériques d’instrumentation et d’infodivertissement de 12,3 pouces, alors que les commandes de la transmission intégrale et du mode tout-terrain ont été logées sur la console centrale à portée de main.

Et la Hilux hybride…

Quant à la motorisation hybride à 48 volts, elle combine un 4-cylindres turbodiesel de 2,8 L à un moteur-générateur électrique, un convertisseur DC-DC et une petite batterie au lithium-ion de 0,2 kWh, qui est logée sous la banquette arrière. Cette Hilux a une capacité de charge utile de 1 000 kg, sa capacité de remorquage atteint 3 500 kg et elle fait miroiter une autonomie de 425 km.

Les premières Hilux électriques et hybrides de la neuvième génération seront livrées à partir de 2026, à différents moments selon le marché. Pour ce qui est des versions à hydrogène, il faudra attendre 2028. Enfin, les prix de ces nouvelles camionnettes seront révélés ultérieurement.

Loin d’être adaptée à l’Amérique du Nord

Naturellement, ces camionnettes ne fouleront pas le sol nord-américain, un marché où la Tacoma à essence (également proposée avec une motorisation hybride non branchable optionnelle depuis 2025) domine très largement le créneau de camionnettes de cette taille.

D’ailleurs, avec son autonomie de tout juste 240 km, la Hilux BEV susciterait peu d’intérêt auprès des automobilistes d’ici, qui s’imaginent qu’un VÉ doit être capable d’en faire deux fois plus pour être minimalement intéressant. Cependant, l’initiative de Toyota confirme une volonté d’amorcer l’électrification de toute sa gamme, même ses camionnettes à grande diffusion.

Photos : Toyota

Le texte Toyota lance une camionnette Hilux électrique provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le constructeur chinois Xpeng a profité de son AI Day pour présenter une série d’innovations ambitieuses : un robotaxi, un projet de voiture volante, un robot humanoïde, mais surtout, une version améliorée de son système de conduite semi-autonome, baptisée VLA 2.0. Selon Xpeng, cette nouvelle plateforme dépasse les performances du système Full Self-Driving (FSD) de Tesla et sera éventuellement offerte à d’autres constructeurs. Le premier partenaire à s’y rallier : Volkswagen, qui intégrera la technologie sur certains de ses futurs modèles en Chine.

Une IA formée sur 100 millions de vidéos réelles

La grande force du VLA 2.0 réside dans son apprentissage. L’intelligence artificielle a été entraînée à partir de près de 100 millions de séquences vidéo de conduite réelle, l’équivalent de 65 000 ans d’expérience humaine. Grâce à cela, le système serait capable de gérer des situations complexes sans intervention du conducteur : circulation dans des rues étroites, contournement d’obstacles, ou reconnaissance de gestes humains. Par exemple, si un travailleur de la construction fait signe d’arrêter, la voiture s’immobilisera d’elle-même, puis reprendra la route lorsque le signal sera levé.

Volkswagen, premier constructeur à adopter VLA 2.0

L’annonce de la collaboration avec Volkswagen a été faite par le PDG He Xiaopeng lors d’une conférence à Guangzhou. Xpeng espère convaincre d’autres fabricants d’adopter sa technologie dans les prochaines années. Cependant, l’exportation du système hors de Chine pourrait être limitée : les puces chinoises développées par Xpeng — dont le nouveau processeur Turing, trois fois plus puissant que les puces Nvidia Orin — ne peuvent pas être utilisées dans les véhicules circulant aux États-Unis, en raison des restrictions réglementaires.

Un lancement prévu en 2026

La plateforme VLA 2.0 doit être déployée au premier trimestre de 2026 sur les véhicules Xpeng en Chine, avant une expansion mondiale progressive. Comme le système FSD de Tesla, VLA 2.0 nécessite que le conducteur reste attentif et prêt à reprendre le contrôle à tout moment. Fait notable : alors que Tesla facture environ 8 000 $ US pour activer son système FSD, Xpeng offre son système de conduite assistée sans frais supplémentaires, un avantage concurrentiel majeur sur les marchés émergents.

Des performances déjà impressionnantes face à Tesla

Lors des premiers essais, VLA 2.0 a nécessité cinq fois moins d’interventions du conducteur que le FSD version 13.2.9 actuellement disponible en Chine. Pendant ce temps, Tesla réserve sa version la plus avancée (FSD 14.0) au marché américain, faute d’approbation réglementaire complète en Chine. Xpeng ne cache pas ses ambitions : devenir le chef de file mondial de la conduite autonome alimentée par l’intelligence artificielle, tout en démocratisant son usage auprès d’autres constructeurs automobiles.

Avec des renseignements de Motortrend

Le texte Xpeng affirme que sa technologie de conduite autonome surpasse celle de Tesla provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile