Une nouvelle génération de véhicules électrifiés et hybrides est en préparation chez Nissan. Le constructeur a annoncé une ambitieuse offensive de produits pour l’Amérique du Nord entre 2025 et 2027. Parmi les nouveautés, on va retrouver une Nissan LEAF 2026 entièrement repensée, un Rogue hybride rechargeable et une nouvelle Sentra.

Nissan compte également introduire sa technologie e-Power améliorée en Amérique du Nord.

Une stratégie de renouvellement audacieuse

Dans un marché automobile en pleine mutation, Nissan mise sur une diversification des motorisations pour séduire un large public. Parmi les modèles à venir, il y aura des véhicules électriques (VE) de nouvelle génération, des modèles hybrides rechargeables (PHEV) et des solutions à moteurs thermiques avancés.

Guillaume Cartier, directeur de la performance chez Nissan, a souligné que cette nouvelle gamme vise à fidéliser les clients, séduire de nouveaux acheteurs et assurer une croissance durable pour la marque.

Image de la nouvelle Nissan LEAF 2026
Image de la nouvelle Nissan LEAF 2026 | Auto123.com

La Nissan LEAF 2026 : une seconde révolution

Parmi les modèles phares, la Nissan LEAF va profiter d’une refonte majeure pour 2026, avec :

  • – Un design de style VUS familial spacieux et aérodynamique
  • – Des roues en alliage de 19 pouces (une première pour la LEAF)
  • – Un toit panoramique pour plus de luminosité
  • – Un port de charge NACS (North American Charging Standard) pour un accès facilité aux bornes de recharges de Tesla

La LEAF 2026 reposera sur la plateforme CMF-EV, la même que celle du Nissan Ariya, avec une meilleure gestion énergétique et une autonomie améliorée.

Un Nissan Rogue hybride et la troisième génération de la technologie e-Power

Le Nissan Rogue 2026 sera aussi proposé en version hybride rechargeable, une grande première en Amérique du Nord. Il sera également le premier modèle à intégrer la technologie e-Power de nouvelle génération, une innovation permettant une conduite électrique sans recharge externe.

Points forts de la technologie e-Power 3.0 :

– Jusqu’à 15 % de réduction de la consommation sur autoroute

– Émissions réduites et expérience de conduite plus fluide

– Un moteur thermique de 1,5 litre pour une meilleure efficacité énergétique

Les nouveaux modèles prévus pour l'Amérique du Nord par Infiniti
Les nouveaux modèles prévus pour l’Amérique du Nord par Infiniti | Auto123.com

Calendrier des nouveaux produits Nissan et Infiniti destiné au marché nord américain :

2025

  • Nouvelle Sentra compacte
  • Nissan Pathfinder rafraîchi
  • VUS Infiniti QX60 amélioré
  • Version Sport du QX80 pour une allure plus dynamique

2026

  • Rogue de 4e génération avec moteurs thermique et hybride, en plus de la technologie e-Power
  • Nouveau Infiniti QX65

2027-2028

  • Un nouveau VUS électrique Nissan produit aux États-Unis
  • Un VUS électrique de luxe Infiniti basé sur le concept Vision QXe

Nissan accélère sa transition électrique aux États-Unis

Un investissement massif dans les véhicules électriques : Nissan et son partenaire SK On investiront 661 millions pour fabriquer des batteries aux États-Unis, créant au passage 1700 emplois. De plus, Nissan va injecter 500 millions à son usine de Canton au Mississippi pour préparer la production de ses futurs modèles électriques.

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Le texte Nissan prépare une vague de nouveautés jusqu’en 2027 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

En janvier dernier, Tesla a déposé 8 669 demandes de subvention totalisant 43,2 millions de dollars dans les trois derniers jours du programme fédéral iZEV pour véhicules électriques. Cet afflux massif a conduit à l’épuisement des fonds gouvernementaux, laissant plus de 200 concessionnaires et constructeurs en attente de plus de 10 millions de dollars de remboursements promis.

Face à cette situation, la ministre des Transports Chrystia Freeland a immédiatement ordonné la suspension de tous les paiements à Tesla, le 25 mars dernier. « Aucun paiement ne sera effectué tant que nous ne serons pas certains que ces réclamations sont valides. » – Chrystia Freeland

Cette annonce, initialement rapportée par le Toronto Star, marque un tournant dans la gestion des incitatifs pour véhicules électriques au Canada.

Tesla sous surveillance : fraude ou opportunisme ?

Si Transport Canada n’a pas encore précisé si les demandes de Tesla contiennent des irrégularités, l’enquête vise à vérifier la légitimité de chaque réclamation. Normalement, les demandes validées sont remboursées en 20 jours ouvrables. Il reste flou combien de ces 8 669 dossiers ont déjà été payés avant la suspension.

Tesla n’a pas commenté l’affaire, laissant planer le doute sur ses pratiques. Pourquoi un tel afflux soudain ? Dès le 10 janvier, Transport Canada avait averti que les fonds du programme iZEV allaient être épuisés avant la date prévue du 31 mars. Résultat : un rush des demandes, Tesla en tête, avec 88,7 % des réclamations entre le 10 et le 12 janvier.

Ce phénomène ne concernait pas seulement Tesla : plus de 1 000 demandes ont été soumises par d’autres concessionnaires durant cette période. Mais le volume astronomique des réclamations de Tesla soulève des interrogations.

« Qu’est-ce que Tesla savait ? Quand l’ont-ils su ? Et comment ont-ils pu agir d’une manière aussi inhabituelle en un seul week-end ? » – Huw Williams, Association des concessionnaires d’automobiles du Canada (CADA)

Une exclusion définitive du programme iZEV ?

Depuis la pause officielle du programme le 13 janvier, plusieurs incertitudes demeurent. Avec les élections fédérales à venir et les tensions commerciales avec les États-Unis, rien ne garantit son retour.

Mais une chose est sûre : Tesla ne pourra plus en bénéficier.

Chrystia Freeland a ordonné l’exclusion de Tesla de toute future version du programme tant que les tarifs américains jugés “illégaux” contre le Canada seront en place.

Une décision symbolique ?

Oui, sauf si le programme est réactivé. Mais cette exclusion s’inscrit dans une série de mesures contre Tesla au Canada :

  • La Colombie-Britannique a supprimé Tesla de son programme d’incitatifs en invoquant les liens d’Elon Musk avec Donald Trump.

  • La Nouvelle-Écosse, le Manitoba et l’Île-du-Prince-Édouard ont suivi le mouvement en retirant Tesla de leurs propres programmes de subventions.

Pour l’instant, Transport Canada n’a pas précisé la durée de son enquête sur les réclamations de Tesla, laissant planer le doute sur l’avenir des remboursements.

Conclusion : un coup dur pour Tesla au Canada

La stratégie agressive de Tesla pour capter un maximum de subventions fédérales en un temps record pourrait bien se retourner contre la marque. Si l’enquête révèle des pratiques douteuses, elle risque non seulement de perdre les 43 millions attendus, mais aussi de ternir son image auprès du gouvernement et des consommateurs.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte Le Canada bloque 43 millions de remboursements à Tesla : Enquête sur des demandes de dernière minute provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le gouvernement du Québec annonce plusieurs changements majeurs concernant les propriétaires de véhicules électriques et hybrides rechargeables. À partir de 2027, ces derniers devront payer un droit d’immatriculation supplémentaire, en plus de perdre la gratuité sur les péages et traversiers.

Hausse des frais d’immatriculation pour les véhicules électriques

Pour compenser la perte de revenus liée à la taxe sur le carburant, Québec introduira dès le 1er janvier 2027 une contribution annuelle pour les véhicules munis d’une plaque d’immatriculation verte :

– 125 $ par année pour les véhicules 100 % électriques
– 62,50 $ par année pour les hybrides rechargeables

🔹 Indexation prévue : Ces montants seront ajustés chaque année en fonction de l’inflation.

💰 Objectif financier : Le gouvernement espère ainsi récolter 380 millions de dollars d’ici 2029-2030 pour financer l’entretien des routes et le transport en commun.

📊 Le contexte : Près d’un tiers des véhicules neufs immatriculés au Québec en 2024 étaient électriques ou hybrides rechargeables. L’État, qui finance les infrastructures routières grâce à la taxe sur le carburant, doit trouver une nouvelle source de revenus pour compenser la baisse de cette taxe.

Fin de la gratuité aux péages et traversiers dès avril 2027

À partir du 1er avril 2027, les propriétaires de véhicules électriques et hybrides ne bénéficieront plus de la gratuité aux péages et sur les traversiers exploités par la Société des traversiers du Québec.

Les infrastructures concernées :

Traversiers : Québec–Lévis, Rivière-du-Loup–Saint-Siméon, Matane–Baie-Comeau–Godbout, Sorel-Tracy–Saint-Ignace-de-Loyola
Ponts à péage : Autoroutes 25 et 30 dans la région de Montréal

Un retour à la normale : Mise en place en 2016 pour encourager l’adoption des véhicules électriques, cette gratuité avait été prolongée jusqu’en 2027. Sa suppression permettra au gouvernement de générer 76 millions de dollars d’ici 2029-2030.

Nouvelle surtaxe sur les véhicules de luxe électriques et hybrides

Autre changement majeur : la surtaxe sur les véhicules de luxe, actuellement applicable aux voitures thermiques de plus de 40 000 $, sera modifiée.

-Dès le 1er janvier 2027, ce seuil passera à 62 500 $, peu importe le type de motorisation.
-Tous les véhicules, électriques ou à essence, de plus de 62 500 $ seront soumis à un droit de 1 % de leur valeur marchande.

-in d’un avantage pour les électriques : Jusqu’ici, les véhicules électriques et hybrides rechargeables entre 40 000 $ et 75 000 $ étaient exemptés de cette surtaxe. Cette exception disparaîtra en 2027.

Impact financier : Cette mesure devrait coûter 98 millions de dollars à l’État d’ici 2029-2030.

Même avec l’ajout des nouveaux frais, les véhicules électriques resteront plus abordables en carburant, mais leur avantage financier se réduit progressivement. Avec ces mesures, Québec cherche un équilibre entre l’électrification du parc automobile et le financement des infrastructures routières. Reste à voir si ces changements influenceront les ventes de véhicules électriques dans la province.

Source: budget du Québec

Le texte Véhicules électriques au Québec : hausse des frais et fin des avantages en 2027 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les tensions entre Elon Musk et les autorités gouvernementales au Canada atteignent un nouveau sommet. La Nouvelle-Écosse, le Manitoba et la Colombie-Britannique ont officiellement retiré les véhicules Tesla de leurs programmes d’incitatifs à l’achat de véhicules électriques (VE).

Une sanction politique contre Musk

La Colombie-Britannique a été la première à exclure Tesla le 13 mars dernier. Son premier ministre, David Eby, a expliqué cette décision sans détour :

« Quand les contribuables apprennent que 10 000 $ vont directement à Elon Musk, ils ont envie de vomir. »

Une déclaration choc qui illustre la montée des tensions entre certains gouvernements et l’entreprise californienne.

La décision de la Nouvelle-Écosse survient après que Musk a affiché son soutien à Donald Trump et adopté des positions controversées sur divers sujets politiques. Face à cela, le gouvernement progressiste-conservateur de la province s’est allié aux partis d’opposition (NPD et libéraux) pour voter l’exclusion de tous les modèles Tesla du programme provincial.

L’impact direct est que les consommateurs résidant dans ces provinces perdent un rabais de 2000 $ à 3000 $, selon le modèle.

Le Tesla Model Y Juniper 2025
Le Tesla Model Y Juniper 2025 | Auto123.com

La situation est similaire au Manitoba, qui a suivi la Colombie-Britannique en retirant les incitatifs pour les véhicules de la marque américaine. Le programme du Manitoba accordait jusqu’à 4000 $ aux acheteurs de VE dont le PDSF ne dépassait pas 70 000 $.

Mais la province a aussi pris une autre mesure ciblée : l’interdiction des subventions pour tous les véhicules électriques assemblés en Chine.

La Saskatchewan double la taxe annuelle sur les véhicules électriques

Pendant ce temps, en Saskatchewan, l’heure est non seulement aux restrictions, mais aussi aux augmentations de frais. Le gouvernement provincial a décidé de doubler les frais annuels d’immatriculation pour les véhicules électriques, qui passeront de 150 $ à 300 $ dès le 1er juin. La raison officielle ? Ces nouvelles recettes serviront à moderniser le réseau routier.

En ce qui concerne Tesla, d’autres provinces pourraient potentiellement emboîter le pas. La question se pose notamment pour le Québec, qui tarde à retirer Tesla de son programme Roulez vert. Le programme québécois accorde jusqu’à 4000 $ en incitatifs aux acheteurs de VÉ admissibles, même s’il a été suspendu temporairement au début de la présente année.

Il est évident que Tesla devient une cible privilégiée des gouvernements canadiens dans le cadre d’un bras de fer plus large entre le Canada et les États-Unis. Reste à voir si d’autres provinces s’aligneront sur cette tendance.

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Le texte Tesla exclue des rabais pour VÉ dans trois provinces canadiennes provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• L’importation de la Polestar 2 est suspendue au Canada.

Le 1er octobre 2024, le gouvernement canadien a imposé une taxe de 100 % sur l’importation de véhicules électriques (VE) chinois (et ceux fabriqués en Chine), s’alignant ainsi sur les États-Unis. Cette décision vise officiellement à protéger l’industrie automobile nord-américaine et à empêcher une invasion de modèles chinois à prix plus abordables.

Toutefois, cette mesure ne touche pas que les constructeurs chinois comme BYD, Nio ou XPeng. Des marques établies, dont Volvo et Polestar, se retrouvent également affectées, car plusieurs de leurs modèles destinés au Canada sont fabriqués en Chine.

Polestar 2 bloquée aux frontières

Le cas le plus frappant est celui de la Polestar 2, actuellement assemblée exclusivement en Chine, à l’usine Geely de Luqiao. Conséquence directe des tarifs canadiens, toute nouvelle unité importée est soumise à une surtaxe de 100 %, doublant ainsi son prix.

Les véhicules déjà au Canada continuent d’être vendus, mais aucune nouvelle importation n’aura lieu tant que les tarifs seront en place.

Le Polestar 3
Le Polestar 3 | Auto123.com

Priorité de Polestar

Le constructeur se tourne désormais vers les modèles Polestar 3 et Polestar 4, qui seront assemblés en Caroline du Sud (États-Unis) et à Busan (Corée du Sud) pour éviter les surtaxes.

Volvo et Mini déplacent leur production

D’autres marques ont pris des mesures préventives pour éviter ces tarifs punitifs sur les produits provenant de Chine. Par exemple, initialement produite en Chine, la Volvo EX30 destinée à l’Amérique du Nord est désormais assemblée à l’usine de Gand en Belgique. Au même titre, les premiers exemplaires de la Mini Cooper SE tout électrique sont issus de la Chine, mais la production nord-américaine sera bientôt transférée à l’usine BMW d’Oxford, au Royaume-Uni.

Tesla a anticipé le coup

Avant l’entrée en vigueur des surtaxes canadiennes, les Tesla Model Y et Model 3 fabriqués en Chine ont brièvement été importés au Canada. Aujourd’hui, tous les Tesla vendus au pays sont produits en Amérique du Nord, évitant ainsi les surtaxes.

Les véhicules thermiques aussi concernés ?

Bien que le tarif canadien ne s’applique qu’aux véhicules électriques, la situation est plus complexe aux États-Unis, où tous les véhicules fabriqués en Chine, y compris les modèles à essence, subissent une taxe de 27,5 %.

Et cela aura un impact pour le Canada. Plusieurs constructeurs qui partagent des chaînes de production pour les deux marchés ont relocalisé l’assemblage de certains modèles. Résultat, seuls deux véhicules d’origine chinoise à moteur thermique restent vendus au Canada :

  • — Le Lincoln Nautilus, produit en Chine depuis la fermeture temporaire de l’usine Ford d’Oakville, en Ontario.
  • — Le Buick Envision, fabriqué dans l’usine Dong Yue Motors en Chine.

Le Volvo XC60 PHEV
Le Volvo XC60 PHEV | Auto123.com

Enfin, les versions canadiennes du Volvo XC60 hybride rechargeable ne proviennent plus de Chine, mais désormais de l’usine de Torslanda, en Suède.

Un avenir incertain pour les importations chinoises

Avec ces restrictions, l’importation de véhicules électriques chinois devient quasiment impossible.

Reste à voir si les tarifs seront levés à l’avenir ou s’ils forceront encore plus de constructeurs à revoir leur production pour le marché canadien.

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Le texte Polestar 2 : importations suspendues au Canada en raison des nouveaux tarifs douaniers provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

En 2021, Audi promettait un virage électrique complet qui serait entre autres caractérisé par l’arrivée d’un dernier nouveau modèle à essence dans la gamme en 2026.

La semaine dernière, le chef de la direction de l’entreprise, Gernot Döllner, a déclaré que la compagnie réévaluait cet objectif. Il a fait cette déclaration lors de l’assemblée générale annuelle de l’entreprise, où il a également annoncé qu’Audi supprimerait 7500 postes d’ici 2029, principalement en Allemagne.

« Nous gérerons la production de nos derniers véhicules à moteur à combustion en fonction de l’évolution des marchés mondiaux », a-t-il déclaré.

Comme on le mentionnait, le plan initial devait nous faire voir le dernier nouveau modèle à essence un 2026, un produit qui aurait été envoyé à la retraite autour de 2033 sur la plupart des marchés.

On entend ce message de plus en plus à travers l’industrie alors que les fabricants revoient leurs plans en fonction de la demande et des tendances du marché.

Le Audi Q6 e-tron 2025
Le Audi Q6 e-tron 2025 | Auto123.com

Audi n’a pas le choix de revoir ses plans, elle qui a vu les ventes de ses modèles électriques fléchir l’an dernier. Le constructeur allemand a même fermé son usine de Bruxelles, en Belgique, celle qui fabriquait le VUS électrique Q8 e-tron, en raison de ventes trop faibles.

Il faut aussi comprendre qu’en 2024, c’est toute la gamme Audi qui a été en recul, avec des ventes de 1 671 218 unités à travers le monde, une baisse de 11,8 % par rapport à 2023. Ses bénéfices d’exploitation ont pour leur part enregistré un retrait de 38 %.

Audi voit quand même les choses positivement avec l’arrivée de 20 modèles tout neufs ou repensés au cours des deux prochaines années. Du lot, il y aura la nouvelle cuvée de la berline A6 (que nous venons d’aller voir au Portugal ; détails à la mi-avril), ainsi que du VUS Q3. Une variante hybride rechargeable de la A5 est aussi attendue.

La compagnie étudie aussi la possibilité de produire des modèles en Amérique du Nord. Sans le mentionner, les menaces tarifaires de l’administration américaine sont probablement derrière cette réflexion. Présentement, Audi ne fabrique aucun modèle aux États-Unis ni au Canada. Elle assemble toutefois son Q5 au Mexique.

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Le texte Audi revoit ses plans concernant son dernier modèle à essence provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le gouvernement du Québec déposait aujourd’hui son budget pour la prochaine année. Dans le domaine automobile, ce qui a retenu l’attention, c’est le programme Roulez vert. On se souviendra que ce dernier avant été suspendu de façon inattendue en janvier, jetant ainsi dans l’embarras les concessionnaires, sans compter que le même geste avait été posé au fédéral avec le programme iZVE pour les véhicules « zéro émission. »

De ce côté, il faudra attendre, mais au Québec, c’est le retour aux mesures qui avaient été annoncées l’an dernier pour le calendrier 2025 à 2027.

Ainsi, pour cette année, à compter du 1er avril, c’est un rabais de 4000 $ qui sera offert aux acheteurs d’un véhicule neuf admissibles. Le 1er janvier 2026, l’incitatif sera réduit à 2000 $ et il disparaîtra comme prévu le 1er janvier 2027.

Pour ce qui est des modèles hybrides rechargeables neufs, ainsi que les modèles tout électriques d’occasion, le rabais sera de 2000 $ à compter du 1er avril de cette année, puis de 1000 $ pour l’année 2026. Il disparaîtra aussi en 2027.

Pour les motocyclettes électriques, on parle de 1000 $ cette année et de 500 $ l’année prochaine.

Rappelons que pour être admissible au programme québécois Roulez vert, un véhicule doit s’afficher avec un prix de détail suggéré par le fabricant (PDSF) qui est inférieur à 65 000 $.

Le Chevrolet Equinox EV 2025
Le Chevrolet Equinox EV 2025 | Auto123.com

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Le texte Retour du programme Roulez vert au Québec dès le 1er avril provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Laughlin, Nevada – La semaine dernière, Ram procédait au lancement de la version mise à jour de sa gamme de camionnettes HD, soit les modèles 2500 et 3500. Notez que les versions châssis-cabine des séries 4500 et 5500 ont aussi profité des améliorations apportées par l’équipe responsable de tous ces modèles et des différentes variantes que l’on retrouve au menu.

En fait, la gamme HD de Ram, comme celle de Ford et de General Motors, contient plus de déclinaisons que ce qu’on peut retrouver à travers n’importe quelle catégorie de l’industrie. Il est donc impossible de tout décrire ici, mais allons-y avec 10 choses à savoir concernant les changements qui ont été effectués pour rendre les modèles encore plus attrayants pour la clientèle.

1 — Fidélité du segment

Le segment des camionnettes HD est l’un de ceux où la fidélisation de la clientèle est la plus forte à travers l’industrie. Il est difficile de faire parler les constructeurs, mais une source chez GM m’a déjà confié que ça tournait autour de 85 %.

Conséquemment, pour séduire de nouveaux clients, ça prend des efforts colossaux de la part des fabricants. Leur première mission est de garder leur client, puis de conquérir ceux des autres marques un à la fois, avec des innovations susceptibles de les convaincre de faire le saut.

2 — Le pourcentage de moteur Diesel

Sans trop de surprise, le moteur Diesel est roi dans le segment des camionnettes HD, en raison des plus grandes capacités de remorquage qu’il autorise grâce à son couple plus généreux.

Mais jusqu’à quel point ? Chez Ram, ce sont 80 % des modèles HD vendus qui sont équipés du moteur Cummins Diesel, un 6-cylindres en ligne turbo de 6,7 litres. Plus de détails un peu plus bas le concernant.

3 — Le remorquage

Lorsqu’une camionnette HD est vendue, c’est que son acheteur a des besoins particuliers en matière de remorquage. Ram avait des informations à nous partager à ce chapitre. En somme, la compagnie affirme que 80 % des acheteurs remorquent des charges au moins une fois par semaine.

4 — Design

Cette nouvelle génération du Ram HD 2500 propose quelques changements en matière de design. C’est principalement notable à l’avant, avec une grille plus massive et plus définie. Les lettres Ram ont été élevées vers le haut de la grille, comme cela a été fait avec les modèles 1500. Les optiques ont aussi été revues, pour une signature et une visibilité plus efficace.

5 — Changements intérieurs

À bord, en plus des écrans de 8,4 et de 12,0 pouces déjà proposés, on peut profiter d’un écran tactile de 14,5 pouces pour le système multimédia et aussi pour l’affichage (plus clair et visible) de toutes les informations relatives au remorquage et aux paramètres du véhicule. Le passager peut aussi profiter, en option d’un écran de 10,25 pouces pour à son tour consulter certaines informations pertinentes, dont celles reliées à la navigation.

6 — Le sélecteur de rapports

Petit détail qui en dit long, toutes les versions du Ram HD profitent d’un sélecteur de rapports placés à la colonne de direction. On pourrait croire qu’il s’agit d’un recul ou d’un oubli, considérant que Ram offre depuis des années une molette pour la sélection des rapports avec d’autres modèles. Ce n’est pas le cas. En fait, c’est une demande des propriétaires d’entreprises qui souhaitent que tous leurs camions (ils en possèdent souvent plusieurs) profitent de la même configuration intérieure, ce qui simplifie l’adaptation de leurs différents conducteurs.

7 — Le moteur Diesel/transmission

Le bloc Diesel Cummins est offert selon deux configurations, soit à rendement régulier et à haut rendement (HO pour High Output). Avec les modèles châssis-cabine, on conserve l’approche régulière qui propose 360 chevaux et 800 livres-pieds de couple.

Avec la version HO, de série avec tous les Ram HD 2025, la capacité est à 430 chevaux et à 1075 livres-pieds de couple, ce qui est démentiel.

Et la bonne nouvelle pour 2025, c’est que Ram a troqué la boîte automatique à six rapports qui faisait équipe avec cette mécanique pour une nouvelle boîte automatique TorqueFlite à huit rapports. Cette dernière change tout, car elle permet à la compagnie de n’offrir qu’un seul rapport de pont avec ce moteur, soit 3.42. Ce dernier permet d’exploiter les capacités de remorquage au maximum sans avoir recours aux rapports de point de 3.72 et 4.10 qui étaient offerts auparavant (et qui demeurent avec le moteur V8 Hemi).

Il en résulte une meilleure efficacité à la pompe, surtout à vide, alors que le moteur tourne moins rapidement plus la vitesse augmente.

8 — Le moteur V8 Hemi

L’autre moteur proposé au sein de la gamme est un V8 Hemi de 6,4 litres, un bloc qui propose une puissance de 405 chevaux et un couple de 429 livres-pieds. Il est aussi associé à la boîte de vitesse automatique à huit rapports.

9 — Power Wagon Diesel

Ce moteur, on le trouve entre autres avec les versions Power Wagon, car la mécanique Diesel n’est pas proposée avec ces dernières. La raison est simple ; il ne serait pas possible de l’installer sous le capot de l’actuelle génération sans avoir à sacrifier le treuil, une des caractéristiques de la version Power Wagon.

Est-ce que ça pourrait changer bientôt ?

Non, mais à terme, oui. On n’a rien voulu nous confirmer chez Ram, bien sûr, mais les dirigeants avaient un sourire en coin lorsqu’on a soulevé la question. On comprend que c’est une forte possibilité lors du renouvellement du modèle, soit lors de l’arrivée de la prochaine génération, d’ici la fin de la décennie.

10 — les prix

Avec la quantité de versions et de variantes possibles, il serait pénible de vous présenter les prix de toutes les déclinaisons au menu. Voici plutôt un aperçu des prix de base des différentes familles de produits Ram HD pour 2025.

Ram 2500 2025 : 62 795 $

Ram 2500 Rebel : 86 895 $

Ram 2500 Power Wagon : 90 390 $

Ram 3500 : 63 795 $

Ram 3500 Châssis-cabine : 59 995 $

Ram 4500 Châssis-cabine : 62 995 $

Ram 5500 Châssis-cabine : 64 995 $

Le texte Ram HD 2025 : 10 choses à savoir provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les amateurs de muscle cars et de camions Ram vont être ravis : après une brève disparition, les moteurs Hemi V8 font leur retour sous le capot des Ram 1500 et des Dodge Charger.

Alors que Stellantis semblait tourner la page du V8 légendaire, privilégiant des motorisations six cylindres et électriques, un nouveau rapport affirme que la production des Hemi reprendra en août 2025 à l’usine Dundee Engine Plant au Michigan.

Le Hemi 5.7L et le 6.4L reviennent dans les Ram 1500

– Retour du 5.7L Hemi V8 : Après avoir été écarté au profit du six-cylindres Hurricane, le V8 de 5.7 litres fait son grand retour dans les Ram 1500 2025.

– Le 6.4L « 392 » aussi dans le 1500 : Alors que cette motorisation était historiquement réservée aux modèles Ram Heavy Duty (HD), le Hemi 6.4L sera désormais disponible sur le 1500.

Réaction de Stellantis : Pour l’instant, la marque se contente de qualifier ces informations de « spéculations », sans confirmation officielle.

Un retour du V8 sous le capot de la Dodge Charger ?

La Dodge Charger 2024 a surpris en abandonnant complètement le V8 au profit de motorisations électriques (Daytona EV) et six cylindres (Sixpack à venir cet été).

– Mais selon MoparInsiders, les ingénieurs travaillent actuellement sur l’intégration du Hemi V8 dans la nouvelle génération de Charger, ce qui constituerait un revirement majeur.

Pourquoi ce changement ?

Les ventes en baisse des modèles Ram et Dodge sans V8 auraient incité Stellantis à revoir sa stratégie. Le PDG de Ram, Tim Kuniskis, aurait reconsidéré la suppression du Hemi après avoir analysé l’impact commercial.

Un moteur Hellcat encore plus puissant en préparation

Parmi les grandes interrogations, il reste à savoir si toutes les versions du moteur Hellcat (6.2L suralimenté) feront aussi leur retour.

  • Le rapport mentionne même un Hemi inédit, avec une cylindrée supérieure au 6.4L actuel.

Si cela se confirme, Dodge pourrait proposer une muscle car thermique encore plus puissante que la dernière Challenger SRT Demon 170.

Le Hemi de retour sur d’autres modèles ?

Le retour du V8 ne se limiterait pas à Dodge et Ram. Un document interne de Stellantis mentionne une production supplémentaire de 5 000 Jeep Wrangler Rubicon 392, alors que ce modèle a déjà connu plusieurs “Final Editions”.

  • Et pour les Jeep Grand Cherokee et Wagoneer ?
    Impossible de dire si le Hemi pourrait aussi refaire surface dans ces modèles. Toutefois, le Dodge Durango SRT Hellcat, initialement promis à une disparition rapide, continue d’être produit.

Un pari sur l’avenir des V8 en Amérique ?

Si Stellantis relance réellement la production du Hemi, c’est peut-être parce que l’entreprise parie sur un assouplissement des régulations sous une éventuelle administration Trump.

Alors que les normes environnementales ont poussé vers l’électrification forcée, le marché semble réclamer le retour des gros V8. Et Stellantis pourrait bien capitaliser sur cette demande en offrant une alternative aux muscle cars 100 % électriques.

– Le Hemi V8 n’a pas dit son dernier mot.

Avec des renseignements de Motortrend

Le texte Le Hemi V8 est de retour chez Dodge et Ram provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

L’industrie automobile nord-américaine retient son souffle alors que les tarifs sur les importations de véhicules ne devraient finalement pas être imposés le 2 avril, selon plusieurs rapports médiatiques. Cette décision, si elle se confirme, offrirait un répit aux constructeurs et fournisseurs qui redoutaient un impact majeur sur la chaîne d’approvisionnement.

Un recul stratégique sur les tarifs automobiles

D’après Bloomberg et The Wall Street Journal, l’administration Trump renoncerait, pour le moment, à appliquer des taxes spécifiques aux secteurs de l’automobile, de la pharmacie et des semi-conducteurs. Cette décision contraste avec les déclarations antérieures du président américain, qui menaçait d’imposer de nouvelles taxes sur ces industries dès le 2 avril.

Toutefois, selon Bloomberg, Donald Trump pourrait toujours décider d’appliquer des tarifs automobiles à une date ultérieure, ce qui maintient un climat d’incertitude pour les acteurs du marché.

Un soulagement relatif pour les fournisseurs canadiens

Flavio Volpe, président de l’Association canadienne des fabricants de pièces automobiles, estime que cette annonce apporte “zéro réconfort” aux entreprises du secteur. Il rappelle que la menace de tarifs douaniers, même reportée, continue de peser lourdement sur l’industrie.

Pourquoi ces taxes inquiètent-elles autant ?
– Impact direct sur les fournisseurs : Une taxe sur les véhicules importés pourrait réduire les exportations canadiennes vers les États-Unis.- Risque pour les grandes marques : Des constructeurs comme General Motors et Ford pourraient voir leurs coûts de production augmenter, ce qui affecterait leurs fournisseurs canadiens.

– Conséquences pour les consommateurs : Une hausse des prix pourrait réduire la demande, forçant les fabricants à revoir leurs stratégies.

2 avril : toujours une date clé pour le commerce international

Même si les tarifs automobiles sont mis en attente, l’administration Trump prévoit toujours d’introduire des tarifs réciproques sur ses partenaires commerciaux dès le 2 avril, une date que le président a surnommée “Jour de la Libération”.

Parmi les éléments encore en discussion :
🔹 La fin des exemptions de tarifs de 25 % sur les importations canadiennes et mexicaines.
🔹 La mise en place de nouveaux tarifs ciblés sur certains pays jugés comme “abusifs” en matière de commerce, notamment l’UE, le Japon, la Corée du Sud, le Canada, l’Inde et la Chine.
🔹 Une éventuelle suppression des tarifs existants sur l’acier et l’aluminium, qui pourrait atténuer l’impact pour l’industrie automobile.

Un marché encore dans l’incertitude

Bien que cette approche plus ciblée soit perçue comme un signe d’apaisement, l’incertitude demeure. L’industrie automobile continue de se préparer à d’éventuels changements de politique commerciale qui pourraient impacter les prix, les marges et la compétitivité.

En attendant, les marchés ont réagi positivement à ces nouvelles : le cours des actions des constructeurs et des fournisseurs automobiles était en hausse lors des échanges matinaux du 24 mars.

La menace des tarifs est-elle réellement écartée ou simplement reportée ? L’avenir nous le dira.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte Un sursis en vue pour les tarifs automobiles provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile