Le 30 mai 1911, Ray Harroun inscrit son nom dans l’histoire en remportant la toute première édition de l’Indianapolis 500, au volant de la légendaire Marmon Wasp. Avec une vitesse moyenne de 74,6 mi/h (120 km/h), Harroun triomphe sur le célèbre ovale de 2,5 milles fraîchement pavé de briques, une innovation à l’époque.

Carl Fisher : l’homme derrière l’Indy 500

Le génie derrière ce monument du sport automobile est Carl Fisher, visionnaire et fondateur de l’Indianapolis Motor Speedway. En 1909, il transforme la surface en gravier écrasé de son circuit en une piste en briques, la plus grande et la plus moderne des États-Unis à l’époque. Il prend ensuite deux décisions clés : organiser une seule course par an, et y offrir la bourse la plus généreuse du sport motorisé.

Résultat ? Dès sa deuxième édition en 1912, l’Indy 500 devient l’événement sportif d’une journée le mieux payé au monde, attirant les projecteurs médiatiques et les plus grands pilotes.

Une course devenue industrie

En 1911, les voitures de course n’étaient encore que des châssis de voitures de luxe allégés, avec des moteurs géants à quatre cylindres, des freins uniquement à l’arrière, des réservoirs tubulaires, et aucune suspension. Ces bolides rudimentaires, construits avec des planches de bois et des roues en frêne, filaient pourtant à près de 80 mi/h sur une piste glissante d’huile. Mais en seulement une décennie, tout change. En 1922, les voitures sont désormais conçues exclusivement pour la course : carrosseries aérodynamiques, freins hydrauliques aux quatre roues, moteurs V8 en aluminium, et pneus modernes. Harroun, avec sa vitesse de 1911, n’aurait terminé que 10e.

L’Indy 500 : berceau du sport automobile moderne

Grâce à l’Indy 500, la course automobile passe de spectacle dangereux à sport organisé. L’arrivée des constructeurs comme Miller et Duesenberg dans les années 1920 élève encore le niveau. L’Indy devient alors le théâtre des bolides les plus sophistiqués de la planète, attirant les meilleurs talents et une couverture médiatique mondiale. La recette de Carl Fisher — argent, prestige, et spectacle — a façonné ce qui deviendra l’une des compétitions les plus emblématiques et lucratives du sport motorisé.

Avec des renseignements de Days of motoring

Le texte Ray Harroun et la Marmon Wasp remporte les 500 milles d’Indianapolis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Selon trois sources proches du dossier, les constructeurs espèrent qu’une entente pourrait être conclue dès juin, en échange d’engagements d’investissements significatifs en sol américain.

Des investissements stratégiques pour convaincre Washington

Les constructeurs veulent faire valoir leur contribution à l’économie américaine. Mercedes-Benz prévoit assembler le GLC, son VUS vedette, dans son usine d’Alabama dès 2027. BMW envisage d’augmenter la cadence à son usine de Spartanburg, en Caroline du Sud. Du côté de Volkswagen, sa filiale Audi projette également une production locale, même si cette décision précède l’arrivée de Donald Trump au pouvoir.

BMW, premier exportateur de véhicules en volume depuis les États-Unis, a aussi plaidé auprès de l’Union européenne pour une réduction des tarifs sur les véhicules américains, de 10 % à 2,5 %. Mercedes-Benz, qui exporte massivement depuis son usine américaine, renforce également son argumentaire autour de sa présence manufacturière dans le pays.

Obtenir des crédits d’exportation pour compenser les tarifs

Une piste étudiée serait d’accorder aux constructeurs allemands des crédits pour chaque véhicule exporté à partir des États-Unis. Ces crédits pourraient ensuite servir à réduire les coûts liés aux tarifs imposés sur les importations en provenance d’Europe.

Cette approche aurait pour but d’équilibrer les échanges et de calmer les tensions commerciales. Le journal économique Handelsblatt a été le premier à révéler l’existence de ces négociations. Les trois constructeurs ont refusé de commenter la chose officiellement, mais ils avaient auparavant confirmé des échanges réguliers avec les autorités américaines.

Dans l'usine de BMW à Spartanburg, en Allemagne
Dans l’usine de BMW à Spartanburg, en Allemagne | Auto123.com

L’Europe sur le qui-vive

La Commission européenne cherche également à conclure une entente commerciale pour éviter une escalade tarifaire. Elle a demandé aux grandes entreprises européennes de détailler leurs projets d’investissement aux États-Unis afin de renforcer sa position dans les pourparlers.

Mais Bruxelles prépare aussi des mesures de représailles si les négociations échouent. Une liste de produits potentiels visés, publiée récemment, inclut les véhicules et pièces automobiles, qui représentent une part importante des échanges transatlantiques.

Une pression de plus pour l’industrie allemande

Déjà fragilisée par un marché européen en berne et une concurrence féroce, l’industrie automobile allemande subit une pression supplémentaire. Néanmoins, les investisseurs ont bien accueilli la nouvelle des pourparlers : l’action de BMW a bondi de 3,3 %, celle de Mercedes de 2,6 %, et celle de Volkswagen a brièvement grimpé de 2,2 %.

Dans l'usine de Volkwagen à Puebla, au Mexique
Dans l’usine de Volkwagen à Puebla, au Mexique | Auto123.com

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Le texte Les constructeurs allemands négocient avec Washington pour limiter les tarifs à l’importation provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• Un nouveau sondage confirme que de moins en moins de consommateurs canadiens considèrent Tesla pour l’achat d’un véhicule électrique.

Depuis le détour d’Elon Musk à la Maison-Blanche où il a œuvré auprès du président Donald Trump pour mener le nouveau département de l’efficacité gouvernementale (DOGE : Department of Government Efficiency), la popularité des véhicules de Tesla, la marque dont il est le grand patron, est en baisse un peu partout à travers la planète.

Un nouveau sondage, réalisé par J.D. Power Canada, vient mettre des chiffres là-dessus. Selon l’étude, qui s’est intéressée à l’intérêt des consommateurs envers une marque lorsqu’ils considèrent l’achat d’un véhicule électrique, on apprend que seulement 13 % des gens mettraient Tesla sur leur liste d’achats. À pareille date l’an dernier, on parlait de 29 %.

Tesla est donc passé de la deuxième à la huitième place des marques considérées par les consommateurs. Chez J.D. Power Canada, on mentionne qu’il s’agit du plus grand écart observé d’une année à l’autre depuis les débuts de cette étude il y a quatre ans.

En tout, 3979 acheteurs de véhicules neufs en mars et en avril ont été sondés. On n’a pas demandé aux gens d’expliquer la raison de leurs choix, mais il est facile de comprendre que les frasques d’Elon Musk y sont pour quelque chose, surtout que la tendance n’est pas unique au marché canadien.

Elon Musk avec le président américain à la Maison Blanche
Elon Musk avec le président américain à la Maison Blanche | Auto123.com

Les commentaires d’Elon Musk sur le Canada n’ont pas aidé la cause de sa compagnie non plus. En février, sur son compte X, il avait déclaré, à la suite des commentaires de Donald Trump sur la possibilité de faire de notre pays le 51e État américain, que « Le Canada n’est pas un vrai pays. »

Il est aussi clair que les hausses de prix de certains modèles et le fait que trois provinces canadiennes (Nouvelle-Écosse, Manitoba et Colombie-Britannique) ont retiré leurs rabais à l’achat de véhicules électriques a pu jouer dans la balance.

Bref, la compagnie et son grand patron semblent maîtriser l’art de se faire des amis.

Ironiquement, tout cela survient au moment où Elon Musk quitte son poste au sein de l’administration Trump.

Le malheur des uns fait le bonheur des autres

Si l’intérêt envers Tesla est en recul, Automotive News nous rappelle que cela profite à d’autres entreprises. Ainsi, l’étude de J.D. Power conclut que Hyundai est désormais la marque la plus populaire lorsqu’on considère l’achat d’un modèle électrique, avec 36 % des intentions. Kia, Toyota, Ford et Chevrolet complètent les cinq premières places.

Quant à l’intérêt général pour l’achat d’un modèle électrique, les intentions demeurent stables d’une année à l’autre. En tout, 28 % des gens sondés considèrent l’achat d’un véhicule tout électrique. Cependant, 42 % d’entre eux ont mentionné que le retrait des rabais au fédéral aurait une incidence négative sur leurs intentions d’achat.

Le nouveau premier ministre du pays, Mark Carney, a mentionné que le programme serait relancé, mais on ne sait pas à quel moment pour l’instant. On peut deviner que ce sera à l’annonce du budget, ce qui devrait normalement être cet automne.

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Le texte Tesla : l’intérêt est à son plus faible pour les consommateurs canadiens provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Jeep vient de publier une image que plusieurs attendaient, soit celle du modèle de prochaine génération de son VUS Cherokee. On se souviendra que ce dernier est disparu du catalogue il y a quelques années, laissant un vide dans la gamme pour un utilitaire de taille compacte.

La compagnie confirme qu’il fera ses débuts à la fin de la présente année.

On ne possède pas une foule d’informations pour le moment, mais on sait que le produit a été entièrement repensé et que surtout, il va proposer une motorisation hybride, ce qui va lui permettre de mieux concurrencer ses rivaux sur le marché.

Bob Broderdorf, le directeur général de Jeep, avait ceci à mentionner à propos du nouveau venu :

« Il s’agit d’une année historique pour la marque Jeep, avec plus de produits, d’innovation, de choix et de contenu de série pour les clients que jamais auparavant. Le tout nouveau Jeep Cherokee jouira d’un prix concurrentiel qui frappe au cœur du segment de véhicule le plus vaste et qui s’insère parfaitement entre le Jeep Compass et le Jeep Grand Cherokee pour renforcer notre gamme principale. »

Le Jeep Cherokee 2026
Le Jeep Cherokee 2026 | Auto123.com

Design du Jeep Cherokee 2026

Les images partagées nous font voir un Cherokee aux formes plus carrées et aux lignes foncièrement différentes de celles du produit d’ancienne génération. On peut s’attendre à retrouver plusieurs variantes au menu, dont une version Trailhawk pensée pour la conduite hors route.

Motorisations du Jeep Cherokee 2026

Il faudra voir pour les motorisations. En plus de la version hybride, il serait intéressant de pouvoir profiter d’une variante hybride rechargeable (4xe). Nous verrons bien jusqu’où les dirigeants pousseront l’audace avec cette nouvelle cuvée.

Plus de détails suivront.

Jeep confirme le retour du Cherokee pour la fin de 2025 | Auto123.com

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Chaque année, le concours d’élégance de Pebble Beach met en vedette des automobiles historiquement significatives dans le cadre d’expositions thématiques. Cette année, aux côtés des Duesenberg, Bugatti, Bentley et autres classiques d’avant-guerre, on verra une poignée de Cobra se répandre sur le l’allée du 18e trou du Pebble Beach Golf Links, ce terrain du golf huppé situé à quelques kilomètres de Monterey, sur la côte californienne, où se tient cette prestigieuse exposition.

En 2021, les organisateurs du concours avaient souligné le 50e anniversaire de la Lamborghini Countach, alors que l’année dernière ce sont les 125 ans de Packard qu’on a célébré. Cette année, c’est la Shelby Cobra qui sera à l’honneur, notamment parce que sa version la plus intimidante, la Cobra 427, fête ses 60 ans.

Ce ne sera pas la première fois où le nom de Carroll Shelby a été associé à ce concours. Plusieurs participants ont décroché des prix dans différentes catégories grâce à leurs Shelby. Et puis, il y a eu cette exposition de 2016 qui était consacrée aux GT40, ou encore à celle de 2018 qui soulignait les 50 ans de la Mustang Shelby GT 350. C’est sans compter qu’en 1956, le célèbre Texan à l’origine de cette marque a remporté la septième et dernière course annuelle qui était disputée sur les routes entourant ce petit village côtier.

Dans un communiqué publié plus tôt ce mois-ci, la présidente du concours, Sandra Button, a affirmé que ce sera un honneur cette année de mettre ainsi en valeur les Cobra, dans le cadre de cet événement.

Rappelons que la Cobra de Shelby a vu le jour en 1962 lorsque lui et ses équipiers ont jumelé le châssis et la carrosserie d’une AC Ace britannique à un V8 Ford de 289 po cu (4,7 L). Cette voiture, la première produite en Californie par Shelby, est devenue la CSX2000, le prototype d’une série de modèles qu’on appelle aujourd’hui Cobra Mark I.

Cependant, le modèle qui fascine le plus les passionnés de cette sportive demeure la Cobra Mark III. Mise en production en janvier 1965 avec un nouveau châssis et une suspension à ressorts hélicoïdaux, qui remplaçait une suspension à lames, elle était animée par un V8 de 427 po. cu. (7,0 L). Seulement 56 exemplaires ont été fabriqués.

Carroll Shelby a produit des Cobra jusqu’en 1967 et, durant ces cinq années, quatre variantes ont été proposées : « Comp » (compétition), « S/C » (semi-compétition), « Street » et « Narrow Hip ». À Pebble Beach, on pourra voir un exemplaire de chacune de ces versions, en plus de la première et de la dernière Cobra de production.

Après plus de 60 ans d’existence, la Shelby Cobra demeure une icône du monde automobile, se réjouit Aaron Shelby, petit-fils de Carroll Shelby, membre du conseil d’administration de la société Carroll Shelby International et ambassadeur de la marque. « Peu d’automobiles ont atteint sa renommée et sa longévité. Créée avec audace et détermination, elle incarne non seulement la performance, mais aussi l’ingéniosité américaine », conclut-il.

La 74e édition du concours d’élégance de Pebble Beach aura lieu le 17 août 2025.

Photos : Concours d’élégance de Pebble Beach

Le texte Le concours d’élégance de Pebble Beach aura lieu sous le signe du Cobra cette année provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le marché québécois des véhicules électriques, jadis un terrain de jeu stratégique pour Tesla, est en chute libre. Selon des données de la SAAQ obtenues par Le Devoir, seulement 524 Tesla ont été immatriculées au Québec au premier trimestre 2025, une baisse de 87 % par rapport à la même période en 2024.

Le Québec, ancien bastion de Tesla

Le Québec, reconnu comme chef de file canadien en électrification des transports, offrait jusqu’à récemment un terreau fertile pour Tesla : subventions généreuses, électricité bon marché, population technophile. Résultat : la province représentait une part significative du marché nord-américain de Tesla. Mais cette époque est bel et bien révolue.

Subventions gelées, image écornée et guerre commerciale

Plusieurs facteurs expliquent cette dégringolade :

  • La pause des programmes d’incitatifs fédéraux et provinciaux en début d’année a provoqué une ruée vers les livraisons, mais aussi un vide commercial.

  • Tesla a été accusée d’avoir soumis des milliers de demandes douteuses pour 42 millions de dollars en subventions. L’entreprise a plaidé qu’il s’agissait d’un simple retard administratif.

  • L’image de marque de Tesla se détériore rapidement au Canada, particulièrement au Québec, notamment en raison de l’appui public d’Elon Musk à Donald Trump, qui a récemment évoqué l’annexion du Canada.

Tesla se retire du marché canadien… temporairement?

Selon des sources bien informées, Tesla ne prévoit pas importer de nouveaux véhicules au Canada pour le deuxième trimestre 2025, évoquant une demande trop faible. La décision intervient après une hausse des prix en avril, causée par l’imposition de tarifs douaniers de 25 % sur les véhicules américains, en riposte à la guerre commerciale déclenchée par Trump.

Une chute plus sévère que celle du marché des VÉS

Bien que le marché canadien des véhicules électriques ait reculé de 45 % au T1 en raison de l’arrêt des subventions, la baisse de Tesla est presque deux fois plus importante, révélant des problèmes bien plus profonds que le simple retrait des incitatifs.

Tesla en piteux état au nord de la frontière

La situation de Tesla au Canada est pire qu’en Europe. Même si le Canada n’est pas son plus gros marché en volume, son taux d’adoption de véhicules électriques dépasse celui des États-Unis et a longtemps été un moteur stratégique pour la marque. Tant que les tarifs punitifs et les tensions politiques persisteront, l’avenir de Tesla au Canada – et au Québec – demeure sombre.

Avec des renseignements d’Electrek

Le texte Tesla s’effondre au Québec : une chute de 87 % des ventes au premier trimestre 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Tesla s’apprête à lancer sa plateforme de transport autonome Robotaxi, et tout indique que ce sera le 12 juin prochain à Austin. C’est ce que révèle un rapport exclusif de Bloomberg, appuyé quelques heures plus tard par Elon Musk, qui a confirmé sur X (anciennement Twitter) que des Model Y autonomes roulent déjà sans conducteur sur les routes publiques texanes depuis quelques jours.

Un lancement plus rapide que prévu

Le projet Robotaxi avait été évoqué durant l’appel aux investisseurs du premier trimestre, Musk promettant un lancement « avant la fin juin ». Or, selon Bloomberg, le déploiement commercial pourrait débuter dès le 12 juin, bien que cette date reste sujette à changement. Il s’agirait du premier service de transport sans conducteur actif à grande échelle pour Tesla, devançant ses concurrents comme Waymo et Cruise sur ce terrain technologique.

Des Model Y… sans personne au volant

Selon Bloomberg, Tesla a récemment commencé à tester ses VUS Model Y modifiés sur les routes d’Austin sans personne derrière le volant. Un ingénieur de Tesla prend place à bord comme passager, tandis que le véhicule fonctionne de manière totalement autonome – sans intervention humaine ni contrôle à distance. Jusqu’ici, les tests impliquaient toujours un conducteur de sécurité. Cette fois, ce sont des employés de Tesla qui ont servi de clients lors des essais internes.

Musk : des tests sans incident

Dans un message sur X, Musk a confirmé que les tests avaient débuté un mois plus tôt que prévu, et qu’aucun incident n’avait été rapporté jusqu’ici. Il a également mentionné que Tesla prévoit de tester la livraison autonome de véhicules neufs, du centre de production jusqu’au client final – une première. Reste à voir comment Tesla traitera les risques de dommages en cours de route.

Aucune date officielle… mais beaucoup d’indices

Fidèle à son style flou, Musk n’a pas confirmé officiellement la date du 12 juin, ni expliqué si le service sera accessible à tous ou sur invitation. À un internaute qui lui demandait s’il pourrait essayer un trajet sans conducteur en juin, Musk a simplement répondu : « sure ».

Les tests s’étendent à la Californie

Des observations récentes indiquent que Tesla teste également ses robotaxis en Californie, notamment avec des Model Y portant un numéro TCP, signe que Tesla détient une licence d’exploitation de service rémunéré dans cet État.

Conclusion

Si tout se déroule comme prévu, Tesla s’apprête à bouleverser le monde du transport urbain dès le mois prochain. Le Robotaxi, longtemps rêvé par Elon Musk, est en passe de devenir réalité sur les routes d’Austin… et bientôt ailleurs.

Avec des renseignements d’Auto evolution

Le texte Tesla Robotaxi : lancement prévu le 12 juin à Austin, au Texas provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ford procède à un rappel massif de 1 075 299 véhicules aux États-Unis, ainsi que de 159 135 modèles au Canada, en raison d’un problème logiciel qui peut empêcher la caméra de recul d’afficher correctement l’image qu’elle capte à l’arrière.

Selon la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) américaine, l’équivalent de Transports Canada, cette défaillance augmente les risques de collision lors des manœuvres en marche arrière.

Modèles touchés : du F-150 à la Mustang

Le rappel concerne une vaste gamme de modèles Ford et Lincoln des années 2021 à 2025 :

Ford

  • – Bronco (2021-2024)
  • – F-150 (2021-2024)
  • – Edge (2021-2024)
  • – Escape (2023-2024)
  • – Ranger (2024)
  • – Expedition (2022-2024)
  • – Transit (2022-2024)
  • – Mustang (2024)
  • – F-Series F-250 à F-600 (2022-2024)
  • – Mach-E (2021-2023)

Lincoln

  • – Corsair (2023-2024)
  • – Nautilus (2021-2023)
  • – Navigator (2022-2024)

Le Lincoln Corsair
Le Lincoln Corsair | Auto123.com

Le problème

Le défaut est attribué à un bogue dans le module d’interface du protocole d’accessoires (APIM), qui agit comme le système d’exploitation du tableau de bord, contrôlant les applications, la navigation et surtout l’image de la caméra de recul. En cas de défaillance, l’image peut geler, ne pas être synchronisée avec la manœuvre ou ne pas s’afficher du tout.

La solution

Ford prévoit de corriger le problème gratuitement par mise à jour logicielle sans fil par transmission hertzienne. Toutefois, la solution ne sera disponible qu’au troisième trimestre de 2025, selon les documents de la NHTSA.

D’ici là, une première lettre d’avis sera envoyée aux propriétaires d’ici le 16 juin 2024, suivie d’une seconde communication une fois que le correctif sera prêt.

Sécurité en marche arrière : vigilance requise

Ce rappel soulève des préoccupations majeures en matière de sécurité routière, particulièrement pour les conducteurs qui se fient sur la caméra de recul pour effectuer leurs manœuvres. En attendant la mise à jour, la prudence est de mise lors des stationnements et déplacements en marche arrière.

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Ceux qui souhaitent faire l’acquisition d’une Toyota GR Corolla savent que les temps d’attentes sont longs. La demande est bonne pour la sportive du constructeur japonais, ce qui représente une bonne nouvelle pour le fabricant.

Cependant, si les délais d’attente sont trop longs, certains consommateurs pourraient décider de regarder ailleurs. Pour éviter la prolifération de tels scénarios, Toyota a pris la décision de déplacer la production de GR Corolla vers l’Angleterre. Les unités qui seront produits là-bas seront destinés au marché nord-américain, selon ce que rapporte le site Reuters.

Notez que c’est une partie de la production qui est déplacée vers le Japon et non l’entièreté du volume de production. Toyota investirait 56 millions USD pour ajouter une chaîne de montage à l’usine de Burnaston, qui ne fonctionne présentement pas à 100 % de sa capacité.

La Toyota GR Corolla
La Toyota GR Corolla | Auto123.com

En ce moment, toutes les GR Corolla sont assemblées à l’usine Toyota de Motomachi, à Toyota City, au Japon. La production ne pouvait pas être accrue là-bas.

Toujours selon ce qui est rapporté, la production des GR Corolla en Angleterre commencerait au milieu de l’année 2026. La forte demande en modèles hybrides aux États-Unis expliquerait pourquoi Toyota ne pouvait pas déplacer la production de la GR Corolla aux États-Unis.

Et avec l’épineuse question des tarifs douaniers américains, Toyota, comme chaque entreprise, doit bien calculer où elle produit chaque modèle pour minimiser les pertes attendues en raison de ces droits de douane. Cela dit, les sources qui se sont confiées à Reuters auraient mentionné que Toyota n’avait pas l’intention d’augmenter les prix de la GR Corolla, ce qui signifie qu’elle absorberait les frais. En raison de l’entente signée entre le Royaume-Uni et les États-Unis, ces derniers sont présentement à 10 %.

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• Lexus a réservé le nom de LBX auprès des autorités américaines.

Les réservations de noms effectuées par les constructeurs auprès de l’Office américain des brevets et des marques (USPTO : United States Patent and Trademark Office) peuvent être significatives, ou pas du tout. Cela pourrait présager l’arrivée éventuelle d’un modèle, ou du moins nous indiquer que la compagnie réfléchit à la chose. Pour un fabricant, la réservation d’un nom lui évite aussi de se le faire piquer.

Avec le nom LBX qui vient d’être réservé par Lexus du côté des États-Unis, on peut espérer une suite intéressante. La nouvelle de la réservation a été rapportée par le site Justia Trademarks.

Le LBX est un petit VUS que la compagnie commercialise du côté européen et sur d’autres marchés. Il est basé sur la Yaris vendue là-bas et met à profit son moteur 3-cylindres de 1,5 litre qui, avec sa configuration hybride, propose 134 chevaux et 137 lb-pi de couple.

Le Lexus LBX (Europe)
Le Lexus LBX (Europe) | Auto123.com

Si jamais Lexus nous proposait ce modèle, il serait très étonnant de retrouver cette configuration. Cependant, la variante LBX Morizo RR est éeuipée du 3-cylindres turbo de 1,6 litre de la variante GR, un bloc qui offre une puissance de 300 chevaux et un couple de 295 lb-pi. Si jamais on devait voir un modèle, ça pourrait être celui-là.

Évidemment, nous sommes dans la plus grande des spéculations, mais il est permis de rêver, surtout que lors d’un événement tenu la semaine dernière au Texas, on a vu Toyota présenter des modèles ayant plus de caractère, et même introduire l’approche GR Sport, qui va venir ajouter un peu de chien à certains produits.

Bref, vous comprenez un peu pourquoi la réservation de ce nom du côté des États-Unis suscite de l’intérêt. On ne retiendra pas notre souffle, mais ce serait une belle surprise.

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