Vous achetez une voiture électrique flambant neuve, vantée comme l’avenir de l’automobile, une révolution technologique censée nous débarrasser du moteur thermique et de son empreinte carbone. Puis, à peine quelques années plus tard, elle finit à la casse, pas parce qu’elle est accidentée, mais parce qu’il est trop cher de la réparer. C’est exactement ce qui arrive aux Nissan Leaf et Jaguar I-Pace, deux modèles électriques qui se retrouvent à la ferraille bien plus tôt que prévu. Un hasard ? Certainement pas.

De la Leafpocalypse au désastre Jaguar : une tendance inquiétante

Murilee Martin, un journaliste automobile de The Truth About Cars, a passé une décennie à observer l’arrivée des véhicules électriques dans les casses américaines. Son constat ? Le Nissan Leaf commence à s’y entasser à une vitesse alarmante. Jusque-là, rien d’étonnant : après 14 ans de service, il est logique que les premiers modèles disparaissent. Mais les cimetiaires de voitures électriques s’accumulent à un rythme croissant.

LG Energy Solutions : des batteries à problème, mais toujours sur le marché

Il faut pointer des coupables. LG Energy Solutions, fournisseur des batteries de l’I-Pace, mais aussi des Chevrolet Bolt EV et Hyundai Kona EV, eux aussi victimes de rappels massifs pour risque d’incendie. Plus de 140 000 batteries ont été remplacées seulement sur la Bolt. Et pourtant, les constructeurs continuent à travailler avec cette entreprise. Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas d’alternative à grande échelle. Jaguar a racheté 27 % de toutes les I-Pace vendues aux États-Unis,

Incapable de réparer une batterie

Pour la majorité des véhicules électriques, le constat est le même : une fois la batterie abimée, la voiture devient un déchet, aussi invendable qu’une vieille imprimante hors d’usage.

Pourquoi ? Parce que remplacer une batterie coûte plus cher que la valeur du véhicule. Si une batterie est à risque, les compagnies d’assurance déclare le véhicule perte totale: c’est tout.

L’échec programmé des voitures électriques jetables

Le concept même du véhicule électrique durable est une farce, une illusion marketing. Nous vend-on vraiment une révolution écologique, ou simplement un produit jetable de luxe ?

Ce schéma rappelle étrangement l’obsolescence programmée des appareils électroniques :

  • Un produit conçu pour ne pas durer.
  • Une pièce essentielle impossible à réparer à un coût raisonnable.
  • Un recyclage prématuré imposé non par l’usure, mais par des choix industriels.

D’ici dix ans, les cimetières automobiles seront remplies de VÉS abandonnés pour cause de batterie morte. Que ce soit à cause de l’usure, d’un défaut de fabrication, ou d’un simple choc sur la route, les propriétaires n’auront que deux choix : payer une fortune pour une batterie neuve ou laisser leur voiture pourrir à la casse.

Et maintenant ?

On nous promettait des voitures électriques durables, mais elles meurent plus vite que les thermiques. Le constat est clair : tant que les batteries seront aussi coûteuses et difficiles à remplacer, l’électrique restera une illusion de durabilité.

Le véritable avenir de l’automobile ne sera pas celui des voitures jetables, mais de véhicules conçus pour être réparés et évoluer avec le temps. En attendant, ouvrez les yeux : l’électrique, tel qu’on nous le vend aujourd’hui, n’est qu’une vaste escroquerie.

Le texte Voiture électrique: L’avenir automobile ou l’obsolescence programmée à grande échelle provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Alors que Toyota s’apprête à faire revivre la Celica et à introduire une nouvelle MR2, certains auraient pu penser que la GR86 finirait aux oubliettes. Pourtant, il n’en est rien : un nouveau modèle est déjà en développement et pourrait arriver en 2027.

Toyota se sépare de Subaru, mais collabore avec Mazda ?

Contrairement aux précédentes générations, qui avaient été développées conjointement avec Subaru (la cousine technique de la GR86 étant la Subaru BRZ), cette troisième génération sera conçue en interne par Toyota.

Cependant, un rapport du magazine japonais Mag X révèle une surprise : un ingénieur de Mazda pourrait être impliqué dans le projet. Toyota et Mazda entretiennent une relation technique étroite depuis plusieurs années, et ce rapprochement pourrait donner naissance à une GR86 plus affûtée que jamais.

Une plateforme revisitée et un moteur turbo ?

Toyota resterait fidèle à la propulsion, avec un moteur à l’avant, mais la voiture pourrait reposer sur une toute nouvelle plateforme plus légère.

Si les rumeurs sont exactes, la GR86 abandonnera le moteur Subaru 2.4L atmosphérique au profit d’un moteur turbo développé par Toyota. Deux options sont envisagées :

  • Un 3-cylindres turbo de 1.6L issu des GR Yaris et GR Corolla, développant environ 300 chevaux.
  • Un 4-cylindres turbo de 2.0L, aperçu dans le concept GR Yaris M, offrant une puissance proche des 296 chevaux.

Toyota pourrait également introduire une hybridation légère pour améliorer la puissance et l’efficacité énergétique, tout en conservant l’ADN de propulsion qui a fait le succès de la GR86.

À quoi ressemblera la future GR86 ?

Toyota n’a encore rien dévoilé, mais les premières spéculations suggèrent un design plus agressif, inspiré des modèles GR actuels et du Toyota Crown Sport.

Les éléments attendus incluent :


Un avant sculpté avec de larges prises d’air.
Un profil aérodynamique avec une silhouette abaissée.
Un hayon arrière pratique, pour plus de polyvalence.

L’intérieur devrait conserver une configuration 2+2, avec un tableau de bord modernisé et une expérience de conduite axée sur le plaisir brut.

Un positionnement stratégique face à la concurrence

Avec la Celica et la Supra dans la gamme Gazoo Racing, Toyota devra s’assurer que la GR86 conserve son propre ADN. Son prix abordable en fera une rivale directe de la future Mazda MX-5, tout en proposant un niveau de performance supérieur.

Si Toyota confirme ces évolutions, la GR86 de troisième génération pourrait bien être l’une des sportives les plus excitantes de la décennie.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte La prochaine Toyota GR86 : une collaboration avec Mazda et un moteur turbo ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Volkswagen procède au rappel de 60 490 véhicules aux États-Unis en raison d’un problème d’affichage de la position des vitesses, pouvant provoquer un risque de mouvement involontaire si le frein de stationnement n’est pas activé. Cette information a été confirmée par la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) le 1er mars 2025.

Quels modèles sont concernés ?

Le rappel concerne plusieurs modèles électriques des marques Volkswagen et Audi, produits entre 2021 et 2023 :

  • Volkswagen ID.4 (2021-2023)
  • Audi Q4 e-Tron (2022-2023)
  • Audi Q4 e-Tron Sportback (2022-2023)

Ces véhicules pourraient ne pas afficher correctement la position du levier de vitesse, ce qui augmente le risque de mouvement accidentel si le conducteur quitte le véhicule sans engager le frein de stationnement.

Une intervention nécessaire pour garantir la sécurité

Volkswagen va contacter les propriétaires concernés et proposer une mise à jour logicielle corrective. La NHTSA rappelle l’importance de toujours activer le frein de stationnement avant de quitter un véhicule, surtout en cas de doute sur le bon fonctionnement de l’affichage.

Ce n’est pas la première fois que des modèles électriques Volkswagen et Audi font l’objet d’un rappel. Les constructeurs doivent faire face à des défis technologiques liés à l’intégration des interfaces numériques et logiciels embarqués.

Conclusion

Ce rappel préventif vise à corriger un défaut potentiellement dangereux et à éviter des accidents liés à des départs involontaires. Volkswagen et Audi assurent que les propriétaires concernés seront informés et que la correction sera effectuée sans frais.

Pour le moment , ce rappel touche les modèles vendus aux États-Unis, mais ce même rappel devrait arriver sous peu au Canada.

Le texte Volkswagen rappelle plus de 60 000 véhicules aux États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Quel était le premier exportateur en matière de valeur aux États-Unis l’an dernier ? Des données publiées par le département du Commerce des États-Unis en février nous apprennent que c’était encore BMW Manufacturing, l’usine étatsunienne du Groupe BMW.

En effet, ce titre a été attribué à l’usine BMW de Spartanburg, en Caroline du Sud, presque chaque année depuis 2014.

Cependant, si l’on considère seulement le nombre de véhicules exportés, ce titre revient toutefois à Toyota, selon le site d’affaires GSA Business Report de la Caroline du Sud.

Un quart de million de véhicules exporté l’an dernier

L’année dernière, BMW Manufacturing a exporté près de 225 000 véhicules sur les quelque 396 000 utilitaires produits. Expédiés vers environ 120 marchés mondiaux (principalement l’Allemagne, la Corée du Sud, la Chine, la Grande-Bretagne et le Canada), ces véhicules représentent 10,1 milliards de dollars US d’exportations.

De plus, depuis 2014, cette usine a exporté plus de 2,7 millions de véhicules BMW, soit environ 63 % de sa production. Ces exportations représentent une valeur dépassant 104 milliards de dollars US.

Ces véhicules quittent les États-Unis principalement par le port de Charleston, ville portuaire de la Caroline du Sud, mais aussi par quatre autres ports de la côte Est : celui de Brunswick en Géorgie, ceux de Jacksonville et d’Everglades en Floride, et celui de Baltimore au Maryland.

En activité depuis plus de 30 ans

Depuis son démarrage en 1994, BMW Manufacturing a assemblé plus de 6,5 millions de véhicules. De plus, le Groupe BMW a investi plus de 14,8 milliards de dollars US dans ses installations.

Cette usine de Caroline du Sud est la plus grande de BMW. Elle emploie plus de 11 000 personnes et assemble plus de 1 500 véhicules par jour : des X3, X4, X5, X6, X7 et XM.

Photos : BMW

Le texte BMW est le premier exportateur de véhicules aux États-Unis en matière de valeur… encore provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après 18 ans de performances et d’évolutions, Nissan tourne officiellement la page de la GT-R R35. Le constructeur japonais a cessé de prendre des commandes au Japon, marquant la fin d’une époque pour ce monstre de la route.

Lancée en 2007, la R35 a bénéficié de multiples améliorations au fil des années, mais les normes de plus en plus strictes en matière de sécurité, d’émissions et de bruit ont progressivement réduit sa présence sur le marché. La production avait déjà cessé en Amérique du Nord en octobre 2024, tandis que l’Europe, le Royaume-Uni, l’Australie et la Nouvelle-Zélande avaient fait leurs adieux bien avant.

Le message d’adieu de Nissan

Le 28 février 2025, Nissan a publié un communiqué sur son site officiel confirmant la fin des commandes pour la GT-R au Japon :

« Nous avons reçu de nombreuses commandes pour la Nissan GT-R et avons terminé d’accepter celles pour la production planifiée. Nous souhaitons exprimer notre sincère gratitude à tous nos clients pour leur soutien depuis son lancement en 2007. »

Cette annonce officialise ce que de nombreux passionnés redoutaient : la GT-R 2025 sera bel et bien le dernier modèle de la génération R35.

Godzilla n’est plus

Surnommée « Godzilla », la GT-R s’est forgé une réputation de supercar killer, capable de rivaliser avec les plus grandes références du segment. Présentée au Salon de Tokyo 2007, elle s’est inspirée des concepts de 2001 et 2005 avant d’entrer en production. Sous son capot, le V6 biturbo de 3,8 litres a évolué au fil du temps, passant de 480 chevaux en 2007 à 565 chevaux en 2023, avec une version Nismo culminant à 600 chevaux. Trois liftings majeurs ont jalonné sa carrière, en 2010, 2016 et 2023, témoignant de la volonté de Nissan de maintenir son icône dans la course.

Un avenir électrique pour la GT-R ?

Alors que certains espéraient un dernier baroud d’honneur thermique, Nissan semble prendre une autre direction. En 2023, la marque a dévoilé le Hyper Force Concept, un supercar électrique futuriste qui pourrait donner naissance à la GT-R R36.

Toutefois, le développement de cette future GT-R repose sur l’arrivée des batteries à électrolyte solide, attendues au plus tôt en 2028. En attendant, Nissan pourrait opter pour une solution hybride afin de faire la transition avant le passage au tout-électrique.

Le futur de la GT-R est donc encore incertain, mais une chose est sûre : l’héritage de Godzilla ne disparaîtra pas si facilement.

Conclusion : un mythe qui s’endort, en attendant sa renaissance

La fin de la Nissan GT-R R35 marque la clôture d’un chapitre emblématique pour les amateurs de sportives japonaises. En attendant une éventuelle R36, la GT-R rejoint désormais le panthéon des légendes automobiles, où elle restera à jamais gravée dans l’histoire.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte La Nissan GT-R tire officiellement sa révérence après 18 ans provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les avancées technologiques dans le domaine automobile ont transformé la manière dont les véhicules sont conçus, fabriqués, et entretenus. Cette évolution affecte également les pièces détachées, en particulier les composants électroniques qui sont de plus en plus présents dans nos voitures. Si ces innovations améliorent la performance et la sécurité des véhicules, elles introduisent également de nouveaux défis, notamment en matière de remplacement et de programmation des pièces.

Des pièces électroniques plus complexes

De nos jours, de nombreux systèmes dans une voiture dépendent de composants électroniques sophistiqués. Des systèmes de freinage ABS aux capteurs de stationnement, en passant par les modules de contrôle du moteur, les pièces électroniques sont devenues indispensables pour assurer le bon fonctionnement des véhicules modernes. Cependant, contrairement aux pièces mécaniques traditionnelles, ces composants nécessitent souvent une programmation spécifique après leur remplacement pour fonctionner correctement avec le reste du système du véhicule.

Réapprentissage et programmation des pièces électroniques

Un défi majeur posé par les pièces électroniques est qu’elles doivent souvent être “réapprises” ou reprogrammées après leur installation. Par exemple, un capteur ou un module de contrôle moteur doit être synchronisé avec le système de gestion du véhicule. Cette étape est essentielle pour que la pièce fonctionne correctement, mais elle est parfois négligée, entraînant des dysfonctionnements apparents.

Cela peut se produire lorsque les utilisateurs ou les techniciens ne disposent pas des outils appropriés ou ne suivent pas les procédures correctes pour programmer la nouvelle pièce. En conséquence, la pièce peut sembler défectueuse, alors qu’en réalité, elle n’a pas été correctement configurée.

Retour de pièces électroniques en magasin : un problème fréquent

Dans les magasins de pièces détachées, il est courant de voir des retours de pièces électroniques qui ne sont pas réellement défectueuses. Ces retours sont souvent dus à une mauvaise programmation ou à un manque de réapprentissage de la pièce avec le système du véhicule. Chez Pièces d’auto Super, nous constatons régulièrement que ces pièces retournées fonctionnent parfaitement lorsqu’elles sont correctement installées et programmées.

Il est donc essentiel de bien comprendre que certaines pièces électroniques nécessitent un processus de calibration ou de configuration après leur remplacement. Cela peut inclure l’utilisation d’outils de diagnostic spécifiques pour réinitialiser les systèmes électroniques du véhicule ou suivre les instructions précises du fabricant.

L’importance de la formation et des outils adaptés

Avec l’intégration croissante de l’électronique dans les véhicules, il est crucial que les mécaniciens et les utilisateurs soient formés aux bonnes pratiques de remplacement et de programmation des pièces électroniques. L’utilisation d’outils de diagnostic appropriés devient indispensable pour assurer que chaque pièce est correctement installée et calibrée.

Conclusion

L’évolution des technologies dans l’industrie automobile a un impact significatif sur les pièces détachées, en particulier les composants électroniques. Bien que ces nouvelles pièces améliorent la performance et la sécurité des véhicules, elles nécessitent souvent une programmation spécifique après installation. Il est essentiel de bien comprendre cette étape pour éviter des retours inutiles et des erreurs d’installation. Chez Pièces d’auto Super, nous sommes là pour vous fournir les pièces adaptées pour vous assurer qu’elles fonctionnent de manière optimale dès leur installation.

Le texte L’impact des nouvelles technologies sur les pièces détachées automobiles provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Il y a les pertes d’huile et, ou de liquide de refroidissement. Mais les pertes de courant ça arrive aussi, par contre elles, on les trouve pas par terre…….

Que ce soit 6 ou 12 volts, le courant dans une voiture ancienne est là pour produire, ou aider à effectuer un travail.

Utilisons comme exemple les phares avant. Les phares avant consomment une certaine quantité d’ampères. Ces ampères, ou courant, est ni plus ni moins que l’unité de mesure du nombre d’électrons qui circulent dans le circuit. Revenons à nos phares, disons qu’en 12 volts les 2 phares avant consomment environ 5 ampères pour 55 watts de puissances chacun.

Pour que les phares éclairent correctement, le courant doit se rendre parfaitement aux phares, logique. Si avec le temps, les phares ont tendance à moins bien éclairer, la grande majorité du temps, les lampes ne sont pas en faute, le coupable est le filage. Sur les circuits 6 volts, le problème est amplifié puisque le voltage disponible de base est plus bas, mais, au final c’est la même situation.

Le filage lorsque neuf, est d’une grosseur, ou calibre assez gros pour laisser passer assez d’électrons pour faire plaisir aux phares en avant, mais voilà, 50 ou 60 ans de loyaux service ont rendu le filage un peu fatigué. Ce qui se passe est que, malgré que son calibre n’ait pas changé, sa capacité à transporter le courant, lui a diminué.

Avant de conclure trop rapidement, comme le king de votre forum préféré, qui veut être le premier à écrire quelques choses avant les autres, mais qu’en fait, n’est souvent même pas proche de la réelle solution, en vous disant par exemple, que c’est pas bon ces phares et qu’il faut mettre des DEL…

Ne changer aucunes pièces avant d’avoir fait votre preuve.

Par preuve j’entends de vérifier pourquoi ça ne fonctionne plus bien. Ces voitures pourtant éclairaient bien lors de leurs années de jeunesses, alors ça se doit de bien fonctionner à nouveau, mais faut comprendre pourquoi…

L’oxydation des connections sur les phares ou autres jonctions électriques peuvent causer une perte de courant certes. Mais si le filage est en faute, c’est moins facile pour les yeux de voir le problème. Je vais vous donner un truc plutôt facile pour découvrir si c’est la source de votre problème.

Allumer les phares et aller prendre le voltage sur les connections des phares qui éclairent mal. Si le filage est en faute, vous n’aurez pas le voltage égal à celui de la batterie. Neuf votre filage qui alimente les phares pouvait supporter 10 ampères sans sourciller, mais en vieillissant, si le filage ne supporte plus l’ampérage requis pour le phare, il va alors moins bien éclairer.

Vous avez bien remarqué que le voltage est plus bas aux phares que sur la batterie? Vous pouvez passer un fil neuf, et le brancher entre le + de la batterie et sur le côté positif du phare (l’autre connexion du phare est négatif), vous allez remarquer que le phare éclaire mieux. Si tel est le cas, votre preuve est faite. Le fil neuf transporte la différence de courant que le fil d’origine ne peut plus transporter. Votre filage est donc à remplacer.

Ne dépenser pas dans des gadgets qui ne feront que masquer le problème. Régler le à la source, c’est-à-dire, remplacer votre filage s’il n’est plus adéquat.

Les pertes d’huile se retrouvent par terre bien sûr, mais les pertes de courant se traduisent en chaleur. Si de la corrosion est visible sur un terminal et que le phare correspondant est faiblement allumée, vous pourrez sentir cette chaleur sur le terminal corrodé, puisqu’elle est localisée. Dans le cas du filage usé, la chaleur équivalente à la perte de courant se répand généralement dans le circuit fautif, on ne pourra donc pas ressentir la chaleur. À noter que cette usure naturelle du filage ne causera pas d’incendie. Ce qui cause un incendie dans un véhicule est plutôt l’isolant des fils qui disparait et qui se court-circuite sur la masse ou autre circuit.

Les véhicules 6 volts bénéficient beaucoup d’un remplacement de faisceau électrique. Tout s’améliore, du démarrage à l’éclairage bien sûr, mais aussi l’allumage, c’est logique….

Le texte Le courant électrique et ses pertes provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le constructeur japonais Nissan s’apprête à annoncer un important remaniement de sa direction le 12 mars prochain. Selon Bloomberg, le PDG Makoto Uchida, en poste depuis 2019, pourrait être remplacé, bien que d’autres sources rapportées par Reuters suggèrent qu’il pourrait conserver son poste. Les administrateurs de Nissan seraient en train d’évaluer différents candidats potentiels pour prendre la relève.

Une situation financière préoccupante

Makoto Uchida est actuellement sous pression en raison des résultats financiers décevants de l’entreprise. Le constructeur a annoncé une prévision de perte nette de 80 milliards de yens (536 millions de dollars) pour l’exercice se terminant en mars, alors qu’il anticipait encore un bénéfice de 380 milliards de yens il y a neuf mois.

Par ailleurs, Nissan fait face à une dette record arrivant à échéance en 2025. Les agences de notation ont dégradé la note de Nissan en catégorie « junk », rendant encore plus difficile l’obtention de financements.

Lors de l'annonce des négotiations entre Nissan et Honda
Lors de l’annonce des négotiations entre Nissan et Honda | Auto123.com

L’échec de la fusion avec Honda

Un autre revers majeur pour Uchida a été l’échec des négociations de fusion avec Honda. Les discussions, initiées en décembre dernier, devaient aboutir à la création d’un géant automobile dont la valeur aurait été de 60 milliards de dollars. Cependant, Honda souhaitait transformer Nissan en filiale, une condition inacceptable pour ce dernier. Cette impasse a mené à l’abandon du projet.

Plus récemment, il a été rapporté que Honda était prêt à reprendre les négociations en vue d’une fusion, mais à une condition : que Makoto Uchida se retire.

Nissan en difficulté sur le marché

En plus de ses problèmes financiers, Nissan peine à s’imposer sur le marché. Son catalogue vieillissant n’attire pas suffisamment les consommateurs, ce qui oblige la marque à multiplier les promotions et incitations financières. Pour redresser la situation, Uchida a annoncé en novembre dernier une réduction de 9000 emplois et une baisse de 20 % de la capacité de production.

Des alliances stratégiques à définir

Malgré l’échec avec Honda, Nissan continue de rechercher des partenariats. Un accord de collaboration avec Mitsubishi a été évoqué, notamment pour le développement de batteries et de logiciels pour véhicules électriques. Lors d’une conférence de presse tenue le 13 février dernier, Uchida a souligné l’importance de ces alliances pour la survie de Nissan.

D’autre part, le partenariat historique avec Renault semble s’affaiblir. Luca de Meo, le grand patron de Renault, a déclaré que la firme française pourrait davantage se tourner vers Zhejiang Geely pour ses projets.

Des investisseurs intéressés par Nissan

L’avenir de Nissan attire l’attention de plusieurs investisseurs. La société taïwanaise Foxconn a manifesté son intérêt pour acquérir une participation dans Nissan et envisage même de racheter les 36 % d’actions de Renault. De plus, le fonds d’investissement américain KKR & Co. étudierait une prise de participation dans le constructeur pour améliorer sa situation financière.

Un avenir incertain pour Makoto Uchida

Bien qu’il ait déclaré être prêt à quitter son poste si nécessaire, Makoto Uchida souhaite stabiliser Nissan avant de partir. La restructuration annoncée le 12 mars sera cruciale pour déterminer son avenir et celui de l’entreprise. Nissan pourra-t-elle rebondir et retrouver sa place parmi les chefs de file de l’industrie automobile ? Réponse dans les mois à venir.

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Le texte L’avenir du PDG de Nissan en suspens provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Carlos Tavares a quitté en queue de poisson son poste de chef de la direction de Stellantis en décembre, bien avant l’expiration de son contrat prévue en 2026. À la tête du géant automobile depuis sa création en janvier 2021, il a profité d’une rémunération faramineuse durant ses quatre années de règne.

Un salaire à couper le souffle

Les rapports financiers de Stellantis entre 2021 et 2024 révèlent que Tavares a touché des sommes colossales chaque année (les sommes sont en devises canadiennes) :

  • • 2021 : 28,2 millions
  • • 2022 : 34,6 millions
  • • 2023 : 54,0 millions
  • • 2024 : 34,0 millions

Sur quatre ans, il a ainsi cumulé 151 millions CAD, un pactole impressionnant. Pourtant, son salaire de base était relativement modeste en comparaison, soit environ trois millions CAD par an. Le reste provenait d’incitations à court et long terme, de primes de retraite et d’avantages divers.

Une indemnité de départ conséquente

Même après son départ, Tavares continue de toucher des millions :

  • • 3,0 millions CAD en 2024 au titre de son indemnité de séparation.
  • • 15 millions CAD cette année pour avoir atteint un « deuxième jalon » dans ses objectifs.
  • • 800 000 actions de Stellantis qu’il recevra en janvier 2026.

Carlos Tavares et John Elkann, lors de l'établissement de la compagnie Stellantis, en 2021
Carlos Tavares et John Elkann, lors de l’établissement de la compagnie Stellantis, en 2021 | Auto123.com

Une entreprise en crise malgré les rémunérations record

Alors que Tavares engrangeait des sommes folles, Stellantis a connu une année 2024 catastrophique :

  • • Baisse de 70 % du bénéfice net
  • • Chiffre d’affaires en recul de 17 %
  • • Ventes en chute de 12 %, notamment à cause d’un portefeuille de produits jugé insuffisant

Le début de 2025 ne s’annonce pas meilleur : sur les 27 pays de l’Union européenne, en plus de l’Islande, du Liechtenstein, de la Norvège, de la Suisse et du Royaume-Uni, Stellantis affiche une baisse de 16 % de ses ventes en janvier, selon l’Association des constructeurs automobiles européens (ACEA). Seule Alfa Romeo échappe à la dégringolade.

Un PDG riche, une entreprise en difficulté

Carlos Tavares quitte Stellantis avec un compte en banque bien garni, tandis que le groupe traverse l’une des périodes les plus incertaines de son histoire. Reste à voir si son successeur pourra redresser la barre dans un contexte économique tendu.

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Le texte Carlos Tavares quitte Stellantis avec les poches pleines provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le design automobile tel que nous le connaissons pourrait être bouleversé d’ici dix ans. Gorden Wagener, chef du design chez Mercedes-Benz, estime que l’intelligence artificielle (IA) jouera un rôle prédominant dans la conception des véhicules, au point de rendre la plupart des designers obsolètes.

L’IA, un outil déjà intégré chez Mercedes

Lors d’une entrevue accordée au réseau ABC News cette semaine, Gorden Wagener a confirmé que Mercedes-Benz utilise déjà l’intelligence artificielle dans son processus de conception. Il reconnaît cependant que cette technologie en est encore à ses débuts :

« 99 % des créations générées par l’IA sont inutilisables… mais le 1 % restant est prometteur et s’améliore chaque jour. »

Il prévoit qu’en moins de dix ans, l’IA pourrait s’imposer au point de concevoir presque intégralement les nouveaux modèles. Avec humour, il ajoute :

« Mon successeur sera une machine… et coûtera bien moins cher que mon salaire. »

L'écran Hyperscreen dans le Mercedes-Benz EQS SUV 2024
L’écran Hyperscreen dans le Mercedes-Benz EQS SUV 2024 | Auto123.com

Fin des écrans, retour à l’artisanat

Mercedes-Benz a longtemps misé sur les écrans numériques imposants, notamment avec son célèbre Hyperscreen de 56 pouces. Pourtant, Wagener affirme que ce n’est pas du luxe :

« Les écrans ne sont pas synonymes de raffinement. Le vrai luxe, c’est l’artisanat et la sophistication. »

Mercedes-Benz prévoit donc de réorienter ses futurs intérieurs vers des matériaux nobles et une finition haut de gamme, plutôt que vers une surenchère d’écrans numériques.

La Mercedes-Benz EQS 2025
La Mercedes-Benz EQS 2025 | Auto123.com

Un design en mutation pour les futurs modèles électriques

Le design de la Mercedes-Benz EQS a fait couler beaucoup d’encre avec son style tout en rondeurs, axé sur l’aérodynamisme. Wagener défend cette approche, la qualifiant de « progressive » et peut-être en avance sur son temps.

Cependant, face aux ventes mitigées du modèle, Mercedes-Benz change de cap : les prochains véhicules électriques adopteront un design plus proche de celui des modèles thermiques.

L’avenir de l’automobile : une maison intelligente sur roues

Gorden Wagener observe que les consommateurs perçoivent aujourd’hui les véhicules électriques comme de simples gadgets électroniques, alors que les voitures à essence sont assimilées à des objets intemporels, comme une montre de luxe.

Pour se démarquer, Mercedes veut donner à ses futurs véhicules électriques une ambiance rappelant une « maison intelligente », plutôt qu’un simple téléphone intelligent sur roues.

« L’ère des véhicules 100 % autonomes est encore lointaine, mais l’IA transformera notre manière de concevoir les véhicules. »

L’IA révolutionnera-t-elle le design automobile ?

Si l’intelligence artificielle continue de progresser, elle pourrait remodeler en profondeur le design des véhicules. Mercedes-Benz semble déjà prendre une longueur d’avance en intégrant l’IA à son processus créatif, tout en recentrant le luxe sur l’artisanat et la sophistication. Reste à voir si cette vision séduira les acheteurs dans les années à venir.

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