Toyota vient d’annoncer la fourchette de prix canadienne et les détails complets concernant son Toyota 4Runner 2025. Le prix de base (PDSF) du modèle est fixé à 54 200 $.

Toyota 4Runner 2025 — quoi de neuf ?

Le Toyota 4Runner 2025 profite d’un design complètement revu. La gamme du gros VUS inclut huit versions, dont les toutes premières options hybrides.

On note également l’arrivée de deux nouvelles versions, Premium et Trailhunter. On peut facilement deviner la vocation de chacune…

Voir aussi : Toyota 4Runner 2025, premier contact : l’attente est enfin terminée

Une plateforme robuste

Basé sur la plateforme mondiale TNGA-F de Toyota, le 4Runner 2025 partage ses fondations avec d’autres modèles comme le Tacoma et le Land Cruiser. Cette plateforme offre une structure renforcée, une meilleure tenue de route et un confort accru.

Le Toyota 4Runner TrailHunter 2025
Le Toyota 4Runner TrailHunter 2025 | Auto123.com

Design du Toyota 4Runner 2025

Le design extérieur conserve son allure athlétique et son célèbre hayon à ouverture verticale, tandis que l’intérieur privilégie fonctionnalité et confort avec des configurations à cinq ou sept places.

Le Toyota 4Runner TRD Pro 2025, intérieur
Le Toyota 4Runner TRD Pro 2025, intérieur | Auto123.com

Technologies du Toyota 4Runner 2025

Chaque 4Runner 2025 intègre la suite de sécurité Toyota Safety Sense 3.0, un ensemble de technologies avancées comme l’alerte de circulation transversale arrière, le moniteur d’angles morts et des caméras de recul intelligentes. Côté multimédia, l’intégration sans fil d’Apple CarPlay et d’Android Auto simplifie la connectivité, tandis que des écrans tactiles allant jusqu’à 14 pouces améliorent l’expérience utilisateur.

Motorisations du Toyota 4Runner 2025

Moteur 4-cylindres turbo i-Force de 2,4 litres développant 278 chevaux et un couple de 317 lb-pi. Ce bloc est couplé à une boîte automatique à huit rapports. Les options de rouage 4×4 incluent des systèmes sur demande ou permanents.

Moteur 4-cylindres turbo i-Force Max de 2,4 litres. Aidé d’un moteur électrique, on trouve ici notre solution hybride qui offre une puissance combinée de 326 chevaux et un couple impressionnant de 465 lb-pi, faisant de ce moteur le plus puissant de l’histoire du 4Runner.

Le Toyota 4Runner Limited 2025
Le Toyota 4Runner Limited 2025 | Auto123.com

Versions et prix canadiens du Toyota 4Runner 2025

Toyota propose huit versions adaptées aux préférences et aux budgets variés, du modèle SR5 d’entrée de gamme aux éditions haut de gamme Platinum et Trailhunter. Voici un aperçu des variantes et de leurs prix :

  • – 4Runner SR5 7 places – 54 200 $
  • – 4Runner TRD Sport 5 places – 59 002 $
  • – 4Runner Limited 7 places – 68 999 $
  • – 4Runner TRD Hors route Premium 5 places – 63 702 $
  • – 4Runner i-Force Max TRD Hors route Premium 5 places – 67 336 $
  • – 4Runner i-Force Max TRD Pro 5 places – 80 498 $
  • – 4Runner i-Force Max Trailhunter 5 places – 84 201 $
  • – 4Runner i-Force Max Platinum 5 places – 73 698 $

Le Toyota 4Runner 2025 arrivera dans les concessions canadiennes en mars 2025.

Le Toyota 4Runner Limited 2025, écusson 4Runner
Le Toyota 4Runner Limited 2025, écusson 4Runner | Auto123.com

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Le texte Un prix de base de 54 200 $ pour le Toyota 4 Runner 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

À l’été 2025, les collectionneurs vont sans doute se ruer chez leurs détaillants favoris de Hot Wheels pour mettre la main sur une voiture de collection qui sera sans doute très prisée : la première miniature de marque Polestar. Cette Hot Wheels est le résultat de l’édition 2024 du concours de design de Polestar, un événement organisé en collaboration avec la célèbre marque de Mattel et dont le nom du gagnant a été annoncé hier.

Il s’agit de Shashank Shekhar. Ce designer professionnel indien a remporté le premier prix de ce concours grâce au Polestar TRX, un design de véhicule tout-terrain issu de son imagination.

D’après le constructeur, « les proportions exagérées et les surfaces épurées du TRX offrent une interprétation audacieuse de la philosophie de design habituellement subtile de Polestar. »

Le TRX passera donc au stade de la fabrication pour devenir une voiture miniature Hot Wheels à l’échelle 1:64, qui sera en vente au cours de l’été 2025.

Le designer indien s’est dit ravi d’avoir remporté ce concours. « Ce sera le premier design de ma carrière à être produit. C’est donc un événement important pour moi. Je n’aurais jamais pensé qu’un jour, un de mes designs finisse par donner vie à une miniature Hot Wheels. C’est une aventure formidable et j’ai vécu des moments incroyables jusqu’à présent. Une telle reconnaissance ne peut que booster la confiance d’un jeune designer comme moi », ajoute Shekhar.

Quatre autre créateurs primés

L’édition 2024 du concours a attiré plus de 1 200 participants du monde entier. Outre Shashank Shekhar, les juges ont accordé la deuxième place du concours à l’Italien Powei Chen pour son bolide coloré baptisé Cyber Shaker, alors que l’Allemand Roman Moor a reçu une mention honorable (la troisième place) pour le Polestar Track Toy, un design classique qui puise son inspiration dans les 24 Heures du Mans.

Les juges ont également nommé Manish Konda et Mateusz Piorun finalistes. Le premier a créé le H2 Hotrod, un classique américain distillé dans sa forme la plus pure, alors que le second a pondu le Modular Racer, une voiture de course futuriste inspirée de la passion qu’il vouait aux Hot Wheels dans son enfance.

Premier véhicule Polestar de Hot Wheels

Créé en 2020, le concours de design de Polestar en est à sa quatrième édition. Dans le cadre de l’édition précédente (2022-2023), le design primé, un bolide électrique imaginaire appelé Polestar Synergy, avait été construit en format grandeur nature grâce à un premier partenariat avec Hot Wheels.

Pour ce qui est du tout-terrain TRX de Shashank Shekhar, qui a été primé cette année sera, il sera le premier véhicule de marque Polestar à faire partie de la gamme des miniatures de collection Hot Wheels.

Photos : Polestar

Le texte Bientôt en magasin, la première miniature Polestar de Hot Wheels provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Nissan s’apprête à tourner la page de la Leaf, premier véhicule électrique produit en série aux États-Unis. En 2025, la marque japonaise dévoilera un nouveau modèle électrique au style radicalement différent, selon des photos espionnes récemment publiées.

Un genre de VUS

Le futur modèle abandonnera la silhouette de berline compacte de la Leaf pour adopter une esthétique de crossover-coupé. Malgré un lourd camouflage, les images révèlent des proportions dynamiques, avec des porte-à-faux courts et une ligne de toit fluide. Ce nouveau design s’inspire des modèles récents de Nissan, notamment les phares du Murano et de l’Armada.

Le port de charge est positionné sur le côté passager avant, à la différence de la Leaf actuelle qui avait son port à l’avant.

Plus de Performance et d’Autonomie

Basé sur la plateforme CMF-EV, déjà utilisée pour le Nissan Ariya et la Renault Megane E-Tech, ce nouveau modèle offrira une autonomie augmentée de 25 % par rapport à la génération actuelle. Cette avancée pourrait séduire une clientèle à la recherche d’une meilleure performance énergétique.

L’Avenir du Nom “Leaf” En Discussion

Le nom de ce nouveau modèle reste incertain. Selon Ponz Pandikuthira, responsable de la planification chez Nissan Americas, la question est toujours en débat. Bien que la Leaf ait marqué l’histoire des véhicules électriques, Nissan pourrait vouloir adopter une nouvelle identité pour ce chapitre.

Une Réinvention Stratégiquement Placée

Prévu pour une commercialisation en 2025, ce crossover-coupé renforcera l’offre électrique de Nissan et contribuera à son engagement vers un futur plus durable. Avec un design audacieux et des performances améliorées, ce modèle semble destiné à séduire un large public.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Nissan Prépare le Successeur de la Leaf provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Stellantis et le fabricant chinois de batteries CATL ont annoncé un investissement colossal de 6,1 milliards de dollars pour construire l’une des plus grandes usines de batteries pour véhicules électriques (VÉS) en Europe. Située à côté de l’usine de Stellantis à Saragosse, dans le nord-est de l’Espagne, cette installation produira des batteries au phosphate de fer et de lithium (LFP) dès la fin de 2026. Cette gigafactory pourrait atteindre une capacité de 50 gigawattheures (GWh), soit de quoi alimenter en moyenne 700 000 véhicules par jour, selon la base de données des véhicules électriques basée aux Pays-Bas.

Pourquoi l’Espagne?

L’Espagne, deuxième producteur automobile européen après l’Allemagne, s’impose comme un emplacement stratégique pour les usines de batteries grâce à ses ressources abondantes en énergie solaire et éolienne. L’énergie solaire y est 20 % à 25 % moins chère qu’en Europe centrale, et les ressources éoliennes de la péninsule ibérique surpassent la moyenne de l’UE de 5 % à 10 %, selon une étude de McKinsey.

Cette usine s’inscrit dans un plan plus vaste de 5 milliards € annoncé en 2020 par l’Espagne pour attirer la production de VÉ et de batteries grâce à des fonds de relance de l’UE. Stellantis a déjà reçu environ 300 millions € dans le cadre de ce programme.

Une réponse aux défis du marché européen

Avec cette initiative, Stellantis et CATL visent à répondre aux défis de l’industrie des VÉ en Europe :

  • Coût élevé des véhicules électriques : Les batteries LFP, moins chères et plus durables, pourraient séduire une clientèle encore réticente à adopter les VÉS.
  • Souveraineté industrielle européenne : L’Europe cherche à réduire sa dépendance vis-à-vis de la Chine dans le secteur des batteries, même si des obstacles bureaucratiques et une demande plus lente que prévue freinent certains projets ailleurs dans l’UE.

Stellantis renforce ainsi son portefeuille de VÉ abordables dans les segments des berlines compactes (B) et des SUV (C) en Europe.

Un projet ambitieux, mais prudent

Stellantis et CATL ont précisé que la capacité de l’usine dépendra de l’évolution du marché des VÉ en Europe et du soutien des autorités locales. Alors que d’autres projets européens peinent à décoller, ce partenariat s’inscrit dans une stratégie plus large :

  • Gigafactory en France : Stellantis, via son joint-venture ACC avec Mercedes-Benz et TotalEnergies, a démarré la production en France. Cependant, des projets similaires en Italie et en Allemagne sont ralentis par une faible demande de VÉ.
  • Expansion de CATL en Europe : La future usine de Saragosse sera la troisième de CATL en Europe, après une usine en Allemagne et une autre en Hongrie.

L’Espagne récompensée pour sa diplomatie commerciale

Le choix de l’Espagne pour cette usine reflète également sa position dans le débat sur les tarifs de l’UE pour les importations de VÉS chinois. Contrairement à l’Italie et à la France, qui ont soutenu ces mesures, l’Espagne s’est abstenue, évitant ainsi une éventuelle guerre commerciale avec la Chine.

Un projet clé pour l’avenir des VÉS en Europe

Cet investissement majeur entre Stellantis et CATL marque un tournant dans l’électrification du parc automobile européen, avec l’Espagne en tête de cette transition grâce à ses atouts géographiques, industriels et diplomatiques.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Stellantis et CATL investiront 6,1 milliards dans une usine de batteries en Espagne provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les routes du Québec, et du Canada, sont de plus en plus peuplées de voitures âgées. L’âge moyen d’un véhicule au Québec avoisine maintenant 11 ans, un chiffre similaire à la tendance nord-américaine où l’âge moyen a grimpé à 13,6 ans contre 8,4 ans il y a trois décennies. Cette évolution s’explique en partie par l’amélioration de la durabilité des véhicules et par des coûts croissants d’acquisition. Cependant, malgré cette longévité accrue, plusieurs propriétaires québécois négligent l’entretien et les réparations, une décision qui pourrait leur coûter cher à long terme.

Pourquoi les voitures durent plus longtemps

Les véhicules modernes sont mieux conçus, avec des composants plus résistants. Auparavant, atteindre 160 000 km (100 000 milles) relevait de l’exploit; aujourd’hui, c’est la norme. De plus, l’inflation, les perturbations des chaînes d’approvisionnement et la hausse des taux d’intérêt rendent les véhicules neufs moins abordables.

En conséquence, les ventes de véhicules neufs au Canada ont chuté de près de 15 % depuis la pandémie. Les Québécois, comme leurs voisins américains, préfèrent conserver leurs voitures et effectuer des réparations plutôt que d’assumer les coûts élevés d’un nouveau véhicule.

Réduire les coûts d’entretien : un pari risqué

Au Québec, plus de 25 % des automobilistes reportent l’entretien de base, comme la rotation des pneus ou les changements d’huile, selon des données de Carfax Canada. Cette tendance s’est accentuée avec l’augmentation des coûts de la vie.

Les détaillants de pièces automobiles, comme Napa et AutoZone, observent une baisse des ventes de pneus premium ou de services tels que les réparations de freins. Or, différer ces entretiens peut transformer des problèmes mineurs en réparations coûteuses. Par exemple, négliger des pneus de qualité pourrait entraîner un remplacement plus fréquent ou des risques accrus sur la route.

Les véhicules électriques : une solution partielle

Les véhicules électriques (VÉS) pourraient modifier cette dynamique, car ils nécessitent moins d’entretien (pas de changements d’huile moteur, moins de pièces mobiles). Cependant, avec une part de marché encore limitée au Québec, leur impact sur la demande d’entretien reste marginal pour l’instant.

Un retour inévitable à l’entretien

Les tendances passées montrent que le report des réparations n’est souvent qu’une étape temporaire. Durant la récession de 2008-2009, les détaillants de pièces et services automobiles avaient rebondi rapidement lorsque les consommateurs réalisaient que reporter l’entretien devenait plus coûteux à long terme.

Selon des experts de l’industrie, un entretien régulier reste la meilleure façon de prolonger la vie d’un véhicule et de réduire les frais imprévus. Comme le souligne Philip Daniele, PDG d’AutoZone :

« Reporter l’entretien d’aujourd’hui mène à des réparations majeures demain. »

Conclusion : Entretien régulier ou réparations coûteuses

Garder une voiture plus longtemps est économiquement judicieux, mais à condition de ne pas négliger l’entretien. Au Québec, où l’automobile est essentielle pour de nombreuses familles, un entretien régulier est un petit investissement pour éviter de grandes dépenses.

Le texte Les Québécois gardent leurs voitures plus longtemps : un bon ou un mauvais calcul? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Un retour stratégique pour relancer Nissan et Infiniti

Christian Meunier, ancien président mondial de Jeep, ancien patron mondial d’infiniti et ancien PDG de Nissan Canada s’apprête à revenir chez Nissan en tant que président de Nissan Amériques. Cette nomination, rapportée par Automotive News, lui confierait la gestion des marques Nissan et Infiniti en Amérique du Nord et du Sud. Meunier, qui a déjà occupé le poste de président mondial d’Infiniti avant de rejoindre Jeep en 2019, succéderait à Jérémie Papin. Ce dernier serait promu directeur financier de Nissan, remplaçant Stephen Ma. Ces changements, prévus pour le 1er janvier, pourraient s’accompagner d’autres réorganisations internes. Pour le moment Meunier occuper toujours le poste de CEO chez Jeep et est basé à Franklin, au Tennesse, tout juste à côté du siège social de Nissan.

Un défi de taille

Les ventes de Nissan et Infiniti ont chuté de manière significative ces dernières années. En 2022, Nissan a vendu 834 097 véhicules aux États-Unis, soit près de 300 000 de moins qu’il y a dix ans, représentant une baisse de 26,3 %. Infiniti souffre encore plus, avec une baisse de 45 % des ventes sur la même période. Le futur s’annonce compliqué pour Infiniti, notamment avec la disparition de la berline Q50 en 2025. Christian Meunier connaît bien le défi qui l’attend et il a la cote d”amour des gens de Nissan qu’il a fréquenté durant des années.

Des projets pour redresser la barre

Malgré les difficultés, Nissan mise sur des modèles renouvelés et des partenariats stratégiques pour se relancer. Un rapprochement avec Honda est en cours, et selon Automotive News, Nissan pourrait même acquérir une participation dans son ancien rival. Une annonce officielle pourrait intervenir dès le mois prochain. Avec son expérience chez Infiniti et Jeep, Meunier pourrait jouer un rôle clé dans cette transformation. Ses compétences seront mises à rude épreuve pour relancer les ventes et moderniser les deux marques.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte Christian Meunier : l’ancien patron de Jeep revient chez Nissan provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Honda doit procéder au rappel de 205 760 VUS Pilot et Passport en raison d’un problème qui peut potentiellement entraîner une fuite de carburant.

On parle en fait d’un problème de production concernant les Pilot des années 2023 à 2025, ainsi que les Passport des millésimes 2023 et 2024. Le problème qui a été rapporté a trait aux étapes de production. Une erreur dans le processus fait que le tube et le tuyau du goulot de remplissage de carburant pourraient ne pas pouvoir se raccorder correctement. Si un des véhicules visés est accidenté, l’impact peut entraîner la séparation des deux pièces, ce qui peut provoquer la fuite.

Honda Pilot 2024
Honda Pilot 2024 | Auto123.com

C’est une enquête de Honda qui a révélé qu’un processus hors séquence lors de l’assemblage du véhicule empêchait les deux pièces de se raccorder complètement. Le constructeur a amélioré sa méthode d’assemblage le 18 octobre dernier.

Le problème a été décelé une première fois le 13 mai 2024. C’est en fait un concessionnaire qui a informé Honda de l’existence d’un problème potentiel lors d’une inspection avant livraison. Le 20 mai, Honda découvrait dans ses stocks six véhicules dont les raccords de tuyaux de carburant étaient incomplets.

Au cours des mois suivants, la compagnie a continué à analyser le problème avant de décider, le 21 novembre dernier, de procéder à un rappel de sécurité. Aucun cas de blessure ou de décès n’a été signalé en lien avec cette situation, selon Honda.

La compagnie va contacter les propriétaires concernés par courrier et ce, à partir de janvier 2025. Chez le concessionnaire, un technicien va inspecter la connexion et raccordera les deux pièces de la bonne façon, en cas de problème décelé.

Contenu original de auto123.

Le texte Honda rappelle 205 000 Pilot et Passport pour risque de fuite d’essence provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le Tesla Cybertruck qui commence à faire ses premières apparitions en sol québécois est déjà au centre de nombreuses controverses aux États-Unis et fait face à une nouvelle épreuve. Un accident tragique survenu le 27 novembre a coûté la vie à trois étudiants, poussant la NHTSA à ouvrir une enquête sur ce véhicule électrique au design unique.

Un accident qui relance les interrogations

L’accident impliquant un Tesla Cybertruck a attiré l’attention du public et des médias. Alors que les enquêtes initiales suggèrent qu’une vitesse excessive pourrait être en cause, l’incident soulève des inquiétudes plus larges concernant la sécurité du véhicule. La NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) a déclaré : “La NHTSA est au courant de l’accident et recueille des informations auprès du fabricant et des forces de l’ordre.”

Bien que l’enquête soit encore à ses débuts, les conclusions pourraient conduire à un rappel potentiel du Cybertruck, une perspective qui pourrait encore accentuer la polémique autour du modèle.

Le Cybertruck déjà sous les projecteurs

Le Tesla Cybertruck n’est pas étranger aux critiques :

  • Des rappels antérieurs : Plusieurs problèmes techniques ont déjà affecté sa réputation.
  • Un design controversé : Sa conception futuriste polarise les opinions.

Cet incident est le deuxième accident mortel impliquant un Cybertruck en quelques mois. En août, un autre véhicule avait pris feu après une sortie de route.

Un enjeu de sécurité publique

Même si la vitesse excessive est un facteur probable dans l’accident du 27 novembre, cela n’élimine pas la nécessité de revoir la conception et les fonctionnalités de sécurité du véhicule. Toute amélioration pouvant prévenir ce type de drames est essentielle.

L’enquête en cours

En l’état actuel, l’enquête vise à établir si des problèmes mécaniques ou structurels du Cybertruck ont contribué à l’accident. Si tel est le cas, Tesla pourrait être contraint de procéder à un rappel pour améliorer la sécurité du véhicule.

Avec des renseignements de Motor Biscuit

Le texte La NHTSA enquête sur le Tesla Cybertruck après un accident mortel provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Suite à la chute du régime syrien, des vidéos ont révélé une impressionnante collection de voitures abandonnée par le dictateur Bachar el-Assad. Si les modèles exposés fascinent les amateurs, ils rappellent aussi le contraste criant entre le luxe du dirigeant et la souffrance de son peuple.

La chute du régime et la fuite d’Assad

Ce matin, Damas est tombée aux mains des rebelles, marquant l’effondrement du gouvernement syrien. Après 24 ans de règne autoritaire, Bachar el-Assad a fui, obtenant l’asile politique en Russie. Dans sa fuite précipitée, il a laissé derrière lui de nombreux biens, dont une collection automobile qui témoigne de son opulence. Des combattants syriens ont découvert cette collection dans un entrepôt situé dans l’ancien palais présidentiel. Les vidéos partagées sur les réseaux sociaux dévoilent des dizaines de véhicules, des classiques aux supercars, en passant par des modèles rares.

Des joyaux automobiles aux modèles insolites

Parmi les voitures exposées, certaines attirent immédiatement l’attention :

  • Supercars iconiques : Lamborghini Diablo, Ferrari F50, Audi R8, Mercedes-Benz SLS AMG et SL65 Black Series.
  • SUVs et véhicules tout-terrain : Plusieurs Toyota FJ Cruisers et Land Cruisers, ainsi qu’un nouveau Land Rover Defender.
  • Modèles rares : Lamborghini LM002, surnommé le “Rambo Lambo”, et une limousine Mercedes 600 Grosser, souvent associée aux dictateurs du Moyen-Orient.
  • L’étrangeté du lot : Un camping-car Revcon Trailblazer des années 1990, un modèle à six roues basé sur un Ford F-350 OBS.

https://www.youtube.com/watch?v=L4sabPZOIKg&t=11s

Une collection “modeste” pour un despote

Contrairement à d’autres dirigeants autoritaires, comme le Sultan de Brunei, la collection d’Assad ne contient pas de modèles uniques en usine ni une flotte interminable de Rolls-Royce. Toutefois, les voitures semblent en bon état, prêtes à rouler, ce qui les rend particulièrement intrigantes.

Un contraste avec la réalité syrienne

Cette découverte met en lumière un contraste saisissant : le luxe dans lequel vivait el-Assad et la réalité du peuple syrien, marqué par une guerre civile de 13 ans. Pendant qu’il accumulait des biens somptueux, son régime perpétrait des atrocités : massacres, famine et attaques chimiques. Ces voitures ne sont pas seulement des objets de fascination pour les amateurs d’automobile. Elles incarnent aussi les inégalités et les excès d’un dirigeant qui a vécu dans une opulence déconnectée des souffrances de ses concitoyens.

Avec des renseignements de The Drive

Le texte La collection automobile abandonnée de Bachar el-Assad provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les plus vieux se souviendront qu’à l’époque, les constructeurs américains (surtout) apportaient des changements au design de leurs modèles chaque année. Et lorsqu’on mentionne chaque année, c’est véritablement le cas.

Prenez une Oldsmobile de format pleine grandeur des années 60, par exemple. C’est simple, pour chaque millésime de cette décennie, vous ne trouverez pas deux modèles identiques. Certes, on utilisait la même structure pendant plusieurs années, mais lorsqu’on présentait une nouvelle cuvée à l’automne, il y avait toujours des nouveautés à se mettre sous la dent sur le plan stylistique.

C’était bien sûr destiné à garder l’acheteur constamment sur le qui-vive et intéressé aux nouveaux modèles. Souvent, les plus fortunés changeaient chaque année ou tous les deux ans… ce qui était souvent le temps que duraient les garanties automobiles à l’époque.

Le présent article est présenté en collaboration avec Fitzback Garage, spécialisé dans la restauration d’origine de voitures anciennes. Fitzback Garage est situé à Sainte-Madeleine, en Montérégie.

Publicité de 1965

Prenez cette publicité d’Oldsmobile en 1965. Elle traite de la jalousie (entre voisins), certes, mais elle met en lumière les changements qui étaient apportés à l’année 1965.

Dans les cinq bonnes raisons que la compagnie donne pour que vous ne jalousiez pas votre voisin qui vient de se procurer une nouvelle Oldsmobile, la deuxième est fort intéressante. Elle mentionne que même « si vous conduisez une Oldsmobile 64, son auto (parlant du voisin et de sa 1965) est un peu plus longue et un peu plus large que la vôtre ; ça lui prendra plus de temps à laver sa nouvelle 65 ! »

Il était vrai qu’à l’époque, il était très facile de voir lorsque le voisin s’achetait une voiture de l’année ; elle détonnait en raison de sa différence.

La raison numéro trois vante l’incroyable confort de l’Oldsmobile 1965 qui profite du montage « Vibra Tuned » qui offrait, disait-on, une douceur de roulement améliorée. « Vibra-Tuned », vraiment ? En fait, Oldsmobile a introduit la suspension Vibra-Tuned en 1961 dans le cadre de son engagement à fournir une conduite plus douce et plus raffinée. En 1965, le système évoluait pour inclure des améliorations ayant pour objectif de réduire les bruits, les vibrations et la fermeté de l’expérience au volant, tout en améliorant la maniabilité et le confort.

La raison numéro quatre est aussi amusante ; la nouvelle Oldsmobile du voisin va donner plus de cachet au voisinage. Est-ce que les choses ont changé aujourd’hui ? On vous laisse réfléchir là-dessus.

La cinquième raison donnée vise à faire réaliser à l’envieux potentiel qu’il a les moyens, comme son voisin, de rouler en Oldsmobile. On l’invite d’ailleurs à contacter son dépositaire Oldsmobile afin d’en discuter.

Et la première raison ? Elle renvoie à l’image qu’Oldsmobile a toujours véhiculée, soit le luxe, mais à travers la discrétion. Le grand luxe, en fait, mais sans l’apparat. La publicité mentionne que le voisin n’essaie pas de vous impressionner ni d’épater le quartier ; « Il a tout simplement misé sur une Oldsmobile au lieu d’acheter une voiture de moindre classe qui coûterait aussi cher. »

La Oldsmobile Holiday Delta 88 en 1965

En 1965, Oldsmobile propose essentiellement quatre séries de modèles aux consommateurs. La version de base, F-85 (Standard, Deluxe et Cutlass), la ligne Jetstar Eighty-Eight, les modèles Dynamic Eighty-Eight et la série Ninety-Eight.

Le véhicule affiché dans la pub appartient à la série Dynamic qui proposait la sous-série Delta. Le coupé montré dans la réclame a été fabriqué à raison de 23 194 exemplaires en 1965. Son prix était de 3253 $ US.

Sous le capot de ce modèle se cachait un immense V8 de 425 pouces cubes offrant 300 chevaux, ce qui était nécessaire pour déplacer les 3907 livres du produit.

Oldsmobile a assemblé 592 900 véhicules de l’année 1965.

Dans notre prochaine publicité rétro, on vous parle d’une compagnie qui ne changeait pas le design de ses véhicules chaque année… et qui était fière de le crier sur tous les toits.

Le texte Publicité de la Oldsmobile Holiday Delta 88 1965 : provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile