Honda Motor Co. a récemment annoncé une augmentation significative de ses dépenses en recherche et développement (R&D) dans le but de renforcer sa position sur le marché des véhicules hybrides et électrifiés. Cette décision stratégique intervient alors que l’entreprise prévoit une augmentation de 2,8% de son bénéfice d’exploitation pour l’exercice financier 2024/25.

Honda Envisage un Avenir Hybride et Électrique

Dans le cadre de cette initiative, le deuxième plus grand constructeur automobile japonais envisage d’accroître ses investissements en R&D de près d’un quart. Cette augmentation vise à consolider son avantage concurrentiel dans le domaine des véhicules hybrides et électrifiés, où la demande est en constante augmentation.

Réponse Positive du Marché

Cette annonce a été suivie d’un rachat massif d’actions d’une valeur pouvant atteindre 300 milliards de yens, suite à des résultats trimestriels supérieurs aux attentes des analystes. La forte croissance des ventes aux États-Unis a compensé le déclin en Chine, contribuant ainsi à la rentabilité de l’entreprise.

Objectifs Ambitieux pour l’Avenir

Honda a également révélé ses plans ambitieux pour l’avenir, notamment la création d’un environnement permettant de produire jusqu’à 2 millions de modèles hybrides par an d’ici 2030. Le PDG, Toshihiro Mibe, a souligné l’importance d’une stratégie commerciale bien pensée, intégrant les investissements nécessaires pour atteindre ces objectifs.

Collaborations et Expansion

Dans le cadre de son expansion sur le marché des véhicules électriques, Honda est engagée dans des discussions avec Nissan Motor en vue d’un partenariat potentiel pour la production de composants EV. De plus, la société prévoit de construire une base de production de véhicules électriques en Ontario, au Canada, et d’introduire six modèles de VE sous la marque “Ye” en Chine d’ici 2027.

Défis sur le Marché Chinois

Cependant, malgré ces initiatives ambitieuses, Honda fait face à des défis sur le marché chinois. Les ventes ont chuté de plus de 6%, ce qui reflète la concurrence intense des marques locales offrant des véhicules électriques à faible coût et technologiquement avancés. En conclusion, Honda Motor Co. poursuit activement son engagement en faveur de l’innovation dans le domaine des véhicules hybrides et électrifiés, tout en cherchant à surmonter les défis du marché mondial de l’automobile.

Avec des renseignements d’autoblog

Le texte Honda augmente ses dépenses en R&D pour renforcer sa position dans les véhicules écologiques provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les États-Unis s’apprêtent à intensifier les droits de douane sur les produits chinois associés à l’énergie propre, révèle un article du Wall Street Journal. Les véhicules électriques pourraient voir leurs taxes multipliées par quatre dans le cadre de cette décision, qui fait suite à une réévaluation prolongée des droits de douane instaurés pendant la guerre commerciale entre Washington et Pékin.

Révision des droits de douane et contexte politique

Initiée sous l’administration Trump, cette révision concerne quelque 300 milliards de dollars de marchandises en provenance de Chine. Le gouvernement Biden avait entrepris de réévaluer ces mesures, une décision qui devrait être annoncée mardi prochain, selon les médias. Cette annonce coïncide avec les préparatifs pour l’élection présidentielle de novembre, où Joe Biden devra affronter son adversaire républicain.

Une taxe qui passerait de 25 à 100 % sur les VÉS

L’augmentation des droits de douane toucherait particulièrement les minéraux essentiels, les produits liés à l’énergie solaire et les batteries chinoises, selon le WSJ. Les taxes sur les véhicules électriques passeraient également de 25 % à environ 100 %. Bien que cela puisse ne pas immédiatement affecter les constructeurs automobiles chinois, les autorités américaines semblent se prémunir contre les importations futures. La secrétaire au Trésor, Janet Yellen, a récemment mis en garde contre la surcapacité de la Chine, qui pourrait inonder le marché mondial de produits à bas prix et nuire aux industries américaines.

Continuité des mesures et réactions de la Chine

Ces mesures s’inscrivent dans la lignée d’initiatives antérieures, telles que les enquêtes sur les risques pour la sécurité nationale liés aux technologies automobiles chinoises. De plus, Washington a lancé une enquête sur les pratiques commerciales chinoises dans le secteur de la construction navale, ce qui a provoqué une réaction indignée de Pékin. Le mois dernier, Joe Biden avait déjà appelé à tripler les droits de douane sur l’acier et l’aluminium chinois, tout en niant l’existence d’une guerre commerciale avec la Chine.

On ferme le marché au VÉS abordable

Cette augmentation prévue des droits de douane marque une escalade dans les tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine, avec des implications potentiellement significatives pour les industries des deux pays. Les observateurs surveillent de près la réaction de la Chine et les impacts économiques à venir de ces mesures tarifaires.

Avec des renseignements de la Presse

Le texte Les États-Unis veulent quadrupler les droits de douane sur les véhicules électriques chinois provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ford a commencé à réduire ses commandes auprès de ses fournisseurs de batteries pour endiguer les pertes croissantes dans les véhicules électriques, selon des sources proches du dossier. Cette décision intervient alors que la société réduit ses ambitions dans un marché des modèles rechargeables en forte décélération.

Les partenariats tiennent toujours

La société maintient des partenariats avec ses fournisseurs de batteries, notamment SK On Co. et LG Energy Solution Ltd. de Corée du Sud, ainsi que Contemporary Amperex Technology Co. Ltd. de Chine, ont déclaré les sources, qui ont préféré rester anonymes.

Un repli stratégique

Cette démarche s’inscrit dans le cadre d’un repli de la stratégie EV de Ford, comprenant une réduction des dépenses de 12 milliards de dollars sur les modèles à batterie, le report de nouveaux EV, la réduction des prix et le report ainsi que la réduction des usines de batteries prévues. Ford a prévu des pertes liées aux EV pouvant atteindre 5,5 milliards de dollars cette année et le PDG Jim Farley a récemment déclaré que son unité EV, Model e, “est le principal frein de toute l’entreprise en ce moment.”

Des pertes croissantes et des défis persistants

À mesure que les prix des véhicules électriques ont chuté et que la demande a fléchi, les pertes de Ford par EV ont dépassé 100 000 dollars au premier trimestre, plus que doublant le déficit de l’année dernière, selon l’une des sources. L’estimation de Bloomberg Intelligence des pertes que Ford prévoit de subir dans son unité EV cette année approcheraient presque des bénéfices qu’elle tire de sa division Ford Blue, qui fabrique des véhicules à moteur à combustion interne traditionnels comme le VUS Bronco et des hybrides essence-électrique comme le camion Maverick. La réduction des commandes est un signe frais des maux de tête qui tourmentent l’industrie. Les constructeurs automobiles aux États-Unis font face à une demande de véhicules électriques qui continue de ne pas répondre aux attentes. Pendant ce temps, les fabricants de batteries en Corée du Sud, en Chine et ailleurs sont confrontés à un excédent d’inventaire invendu.

Une voie vers la rentabilité critique

Trouver une voie vers la rentabilité des véhicules électriques est crucial pour la survie à long terme de l’entreprise. Il doit être rentable et doit offrir un retour sur le capital investi.

Avec des renseignements de Bloomberg

Le texte Ford perd 100 000 $ pour chaque véhicule électrique vendu provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ram prévoit de présenter un camion lourd 5500 alimenté à l’hydrogène sur le marché nord-américain. Dans une interview accordée à la publication allemande Welt Am Sonntag, Jean-Michel Billig, responsable des efforts hydrogène chez Stellantis, a déclaré que la production du camion à pile à combustible débutera cette année. Billig a précisé que les premiers véhicules seront fabriqués en Pologne plus tard cette année, avec un développement suivant en Amérique du Nord peu après. “L’hydrogène sera un élément essentiel de la mobilité sans CO2 à l’avenir.

La pile à combustible pourrait remplacer les moteurs V8 et Cummins diesel gourmands

Actuellement, le 5500 est vendu en tant que cabine-châssis et est équipé en standard d’un moteur V8 de 6,4 litres. En option, les clients peuvent choisir un turbodiesel Cummins en ligne de 6,7 litres. Bien que ces motorisations soient excellentes et tirent facilement ces gros camions (et leurs lourdes charges), elles ne sont pas exactement économes ou efficaces. L’introduction d’une version à pile à combustible offrirait aux consommateurs une alternative aussi puissante mais respectueuse de l’environnement aux gros moteurs V8 et diesel.

L’hydrogène serait logique pour un camion de cette taille

Des preuves suggèrent que le 5500 alimenté à l’hydrogène comblera un vide sur le marché local. Sur le configurateur du 5500 de Ram, un message indique : “Non enregistrable dans tous les 50 États. À partir du 1er janvier 2024, les véhicules 2024 Ram Chassis Cab 4500 et 5500 avec transmissions Aisin ne seront plus disponibles à l’immatriculation dans l’État de Californie.” Il est à noter que Toyota travaille également sur un pickup à pile à combustible à hydrogène basé sur le Hilux.

La transition vers l’électrique serait impraticable

Passer à l’électrique serait impraticable, car la batterie nécessaire pour tracter ces gros camions (et offrir une autonomie décente) devrait être massive. Cela serait très coûteux et lourd, ce qui pose plusieurs autres problèmes. C’est pourquoi des entreprises comme Hyundai utilisent également l’hydrogène pour les tracteurs poids lourds. Des rapports suggèrent que le Ram 5500 FCEV sera construit au Mexique, mais cela reste à confirmer. Le constructeur de camions est l’un des derniers à présenter des camions électrifiés, avec des concurrents tels que Ford, GM, Rivian et Tesla qui ont tous lancé des pickups électriques plus tôt sur le marché. Cependant, cela changera avec le Ram 1500 REV et le prochain camion à hydrogène.

Avec des renseignements de Carbuzz

Le texte Ram amènera un camion 5500 à hydrogène en Amérique du Nord provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

BYD, le constructeur automobile chinois (Build Your Dreams), a dévoilé les premières images officielles du Shark, un pickup électrifié qui sera vendu à l’échelle mondiale.

Inspiration américaine

Inspiré par l’Occident, les phares semblent très similaires à ceux que l’on trouve sur le Ford F-150 Lightning, tandis que l’arrière présente une ressemblance avec le l’ancien Chevrolet Avalanche . Une barre lumineuse, qui s’étend sur la porte arrière, relie les feux arrière entre eux.

Prévu pour faire ses débuts le 14 mai

Par ailleurs, nous pouvons voir que le Shark arbore des garnitures en plastique noir autour des passages de roue et des parties inférieures des portes. Des jantes en alliage finition diamant, enveloppées de pneus toutes saisons, sont également visibles. Enfin, le Shark est équipé d’un arceau de sport, qui sera probablement proposé en option.

BYD n’a pas révélé beaucoup d’informations sur le Shark mais décrit ses capacités tout-terrain comme “robustes” et note qu’il disposera de la technologie DMO. Cette technologie hybride super robuste à double mode hors route permet une autonomie supérieure et des performances impressionnantes. Initialement appliquée au VUS Fangchengbao Bao 5, l’architecture utilise la technologie Cell to Chassis (CTC). Cela intègre le pack batterie dans le châssis, réduisant le poids et améliorant la sécurité du véhicule.

Adoption d’une configuration hybride rechargeable

Initialement considéré comme un pickup entièrement électrique comme le Rivian R1T, le Shark adoptera une configuration hybride (probablement rechargeable) mieux adaptée à un véhicule utilitaire. Bien que les camions électriques soient agréables à conduire et efficaces, leur autonomie reste un obstacle, notamment lorsqu’il s’agit de s’aventurer dans des zones reculées ou de remorquer une lourde charge.

Des rapports suggèrent que le Shark utilisera un moteur quatre cylindres de 1,5 litre associé à un moteur électrique. Une autonomie combinée dde plus de 1 000 km est prévue, bien que cela ait probablement été calculé sur le cycle CLTC optimiste. BYD n’a pas l’intention d’entrer sur le marché américain, mais nous nous attendrions à des estimations EPA plus basses s’il le faisait. À son arrivée, il rivalisera avec le Ford Ranger PHEV et le prochain Gladiator 4XE, que le PDG de Jeep, Antonio Filosa, a confirmé pour 2025.

Avec des renseignements de Carbuzz

Le texte BYD dévoile les premières images officielles du pickup Shark provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La NHTSA a annoncé l’ouverture d’une évaluation préliminaire sur 210 960 véhicules Ford suite à des plaintes faisant état de fuites de carburant diesel susceptibles de provoquer un incendie.

Risque de feu sur les véhicules Ford Super Duty équipés de moteurs diesel 6.7L

L’Administration nationale de la sécurité routière (NHTSA) a déclaré que son Bureau des enquêtes sur les défauts avait reçu 27 plaintes, dont 12 faisant état d’incendies et un total de quatre blessures. Elle enquêtera sur les véhicules Ford F-250, 350, 450 et 550 Super Duty équipés de moteurs diesel 6.7L des années-modèles 2015 à 2021.

Problème de filtrage du carburant identifié

L’agence a déclaré qu’une fracture dans le filtre à carburant secondaire des véhicules pourrait entraîner un incendie, car la proximité du filtre avec des sources de chaleur élevées crée un potentiel d’auto-inflammation et d’incendie.

Collaboration avec les fabricants et préoccupations de sécurité

La NHTSA a contacté le fabricant du filtre, Allevard Sogefi USA, et a découvert que le filtre à carburant secondaire est testé pour fonctionner à des niveaux de pression réduits pendant le processus de fabrication, par rapport à la pression de fonctionnement maximale possible dans le système de carburant du véhicule.

Réponse de Ford et préoccupations supplémentaires

Ford a déclaré qu’elle travaillait avec la NHTSA pour soutenir son enquête. La maison mère d’Allevard Sogefi USA, Sogefi, n’était pas immédiatement disponible pour un commentaire.

Évaluation préliminaire et préoccupations de sécurité supplémentaires

L’évaluation préliminaire de l’agence est la première étape pour déterminer si les véhicules présentent un risque déraisonnable pour la sécurité. Elle pourrait clore l’enquête sans prendre de mesures potentielles.

Préoccupations supplémentaires concernant les rappels de Ford

À part cela, la NHTSA a déclaré jeudi avoir des “préoccupations importantes en matière de sécurité” concernant le rappel par Ford de plus de 42 000 VUS en raison de préoccupations concernant des fuites de carburant pouvant entraîner un incendie moteur.

Alors que Ford avait proposé une mise à jour du logiciel de contrôle du moteur et l’installation d’un drain, la NHTSA a déclaré que le plan de l’entreprise “ne résout pas la cause profonde du problème et ne demande pas de manière proactive le remplacement des injecteurs de carburant défectueux avant leur défaillance”.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Ford rappelle plus de 200 000 camions de Série F pour fuite de carburant provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Depuis 20 ans, on a vu trop de véhicules à caractère sportif quitter l’industrie. Heureusement, certains constructeurs persistent et signent avec des modèles qui sont d’abord et avant tout pensés pour nous offrir de l’agrément lorsqu’on en prend le volant.

C’est le cas de la Subaru avec le coupé BRZ, le cousin de la Toyota GR86, que les deux constructeurs ont développé conjointement.

En 2022, le modèle subissait sa première refonte et pour l’occasion, on nous a proposé un produit plus puissant, plus confortable, mais toujours construit sur des bases simples ; une configuration à propulsion, un poids minimum, un centre de gravité très bas et un moteur 4-cylindres à aspiration naturelle.

Tout ça fait qu’on a pu offrir un véhicule à un prix abordable.

Pour 2024, deux ans après la refonte de 2022, Subaru nous arrive avec une nouvelle variante nommée tS (Tuned by STI). Celle-ci vient proposer des améliorations qui rendent la BRZ encore plus performante sur la route, mais surtout, sur piste. Et l’on ne parle pas de puissance brute ici, mais bien d’un comportement routier plus aiguisé.

Pour faire l’essai du modèle, Subaru nous a invités à faire un détour à Shannonville, où nous avons pu rouler cette BRZ tS sur piste.

Une demande de la clientèle

Premier truc intéressant concernant les changements apportés, il s’agit d’une réponse de Subaru à une demande de sa clientèle. Cette dernière réclamait un modèle un peu plus pointu, encore plus raffiné pour des séances en piste. C’est ce que la compagnie s’est affairée à leur offrir, avec des changements d’ordre structuraux, soit des ajustements au châssis, à la suspension et aux freins. Même le choix de pneus a été revu pour offrir des gommes encore plus à la hauteur.

Voyons ce qui change.

Design

Le design de la voiture demeure évidemment le même, mais quelques signes vont vous permettre de reconnaître cette version tS, à commencer par un logo à la grille, avec la lettre S bien en évidence, en rouge. Même les phares portent les lettres BRZ en rouge. Autre signe, les coques de rétroviseurs et l’aile de requin sur le toit sont noires. Quant aux pneus, Subaru fait appel à des Michelin Pilot Sport 4. Ces derniers ceinturent des jantes de 18 pouces.

À bord, on retrouve aussi du rouge avec les jauges et le bouton de démarrage, mais les accents sont bleus partout ailleurs, ce qui va représenter une signature pour cette variante.

Mécaniquement

Sous le capot, rien ne change. La BRZ profite toujours de son 4-cylindres de 2,4 litres, lequel propose une cavalerie de 228 chevaux et un couple de 184 livres-pieds. Une boîte manuelle à six rapports équipe la version tS. Ceux qui veulent une transmission automatique peuvent en trouver une dans la gamme, mais, croyez-le ou non, cette dernière ne séduit qu’environ 20 % des acheteurs.

Les changements d’importance avec cette variante tS, on les trouve ailleurs. La suspension, notamment, profite d’améliorations avec la greffe d’amortisseurs mécaniques Hitachi Astemo. Ceux-ci travaillent selon deux fréquences pour toujours offrir la meilleure stabilité possible, que le revêtement propose de petites imperfections, ou de plus importantes. L’objectif ici est de toujours offrir un rendement optimal.

Les freins, une composante essentielle pour des séances en piste réussies, ont aussi profité de retouches. On a en fait grossi les disques de 32 mm à l’avant, 26 mm à l’arrière, pour des unités qui font désormais 326 et 316 mm, respectivement. Des étriers dorés signés Brembo vendent aussi la mèche concernant l’identité de cette nouvelle déclinaison. Selon ce qu’on nous expliquait concernant les freins, la réponse est plus mordante au début de la course, mais mieux calibrée tout au long de celle-ci.

Sur la piste

Nous avons pu essayer le modèle sur la route, mais c’est sur le circuit de Shannonville que l’on a pu se rappeler à quel point la BRZ était une voiture livrant un niveau de plaisir constant. Ce qui ne change pas avec cette variante, c’est l’équilibre du modèle. On a beau le malmener, la moindre dérobade du train arrière est facile à contrôler et les sensations qui nous sont transmises dans le siège du conducteur nous facilitent la vie. On ressent très bien toutes les subtilités du comportement de la voiture, si bien qu’il est facile de faire les ajustements nécessaires… lorsqu’ils sont nécessaires.

Car la BRZ colle à la route. Les nouveaux ajustements de suspension la rendent encore plus efficace de ce côté, un effet qui n’est qu’accentué par le travail des pneus qui adhèrent au bitume comme du velcro. Le freinage, aussi, s’est avéré impressionnant et très stable. On peut littéralement sauter sur la pédale et réduire sa zone de freinage avant d’attaquer les virages. Et lorsque vient le temps de remettre les gaz, le train arrière répond avec enthousiasme. Nous avons eu le temps de réaliser quelques séances et plus d’une dizaine de tours à plein régime en piste, assez pour réaliser que Subaru propose ici aux amateurs un modèle qu’ils vont tout simplement adorer.

La seule chose qu’il ne faut pas oublier avec une Subaru BRZ, c’est de conserver les révolutions du moteur assez élevées pour toujours profiter d’un couple généreux, surtout en sortie de virage. C’est le secret pour une expérience en piste réussie.

Les prix

La BRZ 2024 est offerte de quatre façons. La version de base (BRZ) est livrable en échange de 31 895 $. Vient ensuite la variante Sport-tech à 34 895 $. La nouvelle livrée tS suit à 36 295 $. Notez que toutes ces moutures sont servies avec la boîte manuelle. La dernière version au menu, c’est un modèle Sport-tech, mais équipée de la transmission automatique à six rapports. Son prix est de 36 695 $.

Si une sportive vous intéresse, le rapport qualité-prix est imbattable ici.

Le texte Subaru BRZ tS 2024 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Vous cherchez un véhicule unique, offrant plus de luxe et de sophistication qu’une moto ou un Spider de Can-Am; un véhicule avec lequel vous pourrez faire corps et qui ne passera jamais inaperçu ? Alors, allez faire un petit tour à Victoriaville. C’est dans cette ville des Bois-Francs que vous trouverez la Vanderhall Carmel, une 3-roues qui ne ressemble à rien d’autre. C’est une nouveauté provenant des États-Unis que propose désormais le Groupe Roy Auto, une entreprise de cette localité.

Cette petite biplace à l’apparence sophistiquée est fabriquée par Vanderhall Motor Works, une entreprise de Provo, en Utah, qui a été fondée en 2010. C’est aussi le premier modèle de cette marque qui a reçu le sceau d’approbation de Transports Canada pour être vendu au pays.

Longue de 3,02 m, sa carrosserie est un tantinet plus courte que celle d’une T-Rex de Campagna (3,5 m) ou d’une Polaris Slingshot (3,8 m). Comme cette dernière toutefois, la Carmel est animé par un moteur logé à l’avant de l’habitacle.

Ce 4-cylindres Ecotec de 1,5 L à turbocompresseur préparé par Vanderhall transmet 194 ch à la roue arrière unique par le biais d’une boîte de vitesses automatique à 6 rapports. Cette harde de chevaux s’avère substantielle compte tenu du poids de cette puce qui culmine à 712 ou 723 kg, selon la version. Voilà pourquoi elle peut abattre les 100 km/h en 4,5 s et des poussières !

Dotation sophistiquée

Cette accélération s’effectue sans heurts, puisque Vanderhall ne se soucie pas d’offrir une boîte manuelle pour ce modèle. L’acheteur typique d’une Carmel priorise plutôt l’agrément de conduite, le confort et une finition soignée. Voilà pourquoi certaines versions se parent d’un volant à boudin en bois, d’une planche de bord en bois, ou encore d’une sellerie de cuir. Et c’est sans oublier que la carrosserie a des portières, qui s’ouvrent de l’avant vers l’arrière, pour faciliter l’embarquement.

La dotation de série, qui se veut étoffée, comprend aussi un régulateur de vitesse, une direction assistée, un coffre à gants verrouillable, une chaîne audio compatible avec Bluetooth, une chaufferette et même des sièges chauffants.

Un toit léger amovible baptisé Cap shade fait également partie de cette dotation, du moins pour trois des quatre versions : les Carmel, Carmel GT et Carmel GTS. Avec son esthétique plus excentrique, la Carmel Blackjack se contente d’un saut-vent, comme la T-Rex et la Polaris, et d’une carrosserie découverte.

Des prix allant de 64 950 $ à 79 950 $

Groupe Roy Auto, une entreprise qui a des concessions Hyundai, Toyota, Mitsubishi et Kia à Victoriaville, propose les Vanderhall Carmel à des prix allant de 64 950 $ à 79 950 $, ce à quoi s’ajoutent des frais de transport et de préparation de 1 850 $. L’acheteur peut aussi profiter d’un plan de financement pour véhicules récréatifs qui étale les paiements sur 15 ans.

Ce qui va en ravir plus d’un, c’est de savoir qu’au Québec, la SAAQ considère la Carmel comme une automobile. Le concessionnaire nous confirme qu’il n’est pas nécessaire d’avoir un permis de conduire avec une classe pour moto, ni un casque pour conduire cette adorable biplace. Le bonheur, quoi !

Photos : Groupe Roy Auto et Vanderhall

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Dans le monde moderne, où l’automobile règne en maître sur les routes, les dangers ne se limitent pas aux accidents de la circulation. Une étude alarmante révèle que les conducteurs et les passagers sont exposés à des risques pour leur santé sans même s’en rendre compte.

Les coupables cachés dans les sièges

Les retardateurs de flamme, des substances chimiques censées prévenir les incendies, sont les principaux coupables de cette menace invisible. Leur utilisation généralisée dans la fabrication des sièges de voiture expose les occupants à un risque toxique, même sans collision.

Les conséquences néfastes sur la santé

Un étude pubnliée par la revue Environmental Science & Technologies a établi un lien entre l’exposition aux retardateurs de flamme et divers problèmes de santé, notamment le cancer, les troubles de la fertilité, les affections thyroïdiennes et les altérations du système nerveux. Les effets nocifs se font sentir particulièrement lors des trajets prolongés.

L’été, une saison à risque

Les températures élevées exacerbent le problème en augmentant la libération de ces substances toxiques dans l’habitacle des voitures. Les conducteurs sont donc exposés à un risque accru lors des journées ensoleillées, surtout après que le véhicule a été stationné sous le soleil.

Des solutions à envisager

Pour limiter l’exposition aux retardateurs de flamme, des mesures simples peuvent être prises, telles que l’aération régulière de l’habitacle en évitant le mode « recirculation » de la climatisation. Cependant, des solutions à long terme nécessitent l’intervention des constructeurs pour trouver des alternatives moins nocives dans la conception des sièges automobiles.

Avec des renseignements de Slate.fr

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Des engins incendiaires ont été découverts sur le site de construction de la giga-usine de batteries de Northvolt, située en Montérégie. Les bureaux d’un sous-traitant ont également été endommagés lors d’incidents distincts. Ces actes de vandalisme ont semé l’inquiétude, bien qu’aucune revendication n’ait été faite dans l’immédiat.

Interruption des travaux

Lundi matin, la découverte de deux engins incendiaires sous les pneus d’engins de chantier a entraîné l’interruption des travaux pour la journée. Cette interruption a eu lieu sur le site chevauchant Saint-Basile-le-Grand et McMasterville, où Northvolt mène la construction de sa giga-usine de batteries.

Des engins rudimentaires

Initialement qualifiés de “bombes artisanales” par la multinationale, ces engins étaient composés de bouteilles remplies d’un liquide inflammable. Heureusement, les mécanismes de mise à feu rudimentaires n’ont pas fonctionné, évitant ainsi une catastrophe, comme l’a souligné Paolo Cerruti, PDG de Northvolt Amérique du Nord.

Sécurité déjouée, sécurité renforcée

Malgré la présence d’un système de sécurité, la possibilité qu’une ou plusieurs personnes aient pu déjouer ce dispositif n’a pas surpris le PDG, compte tenu de l’immensité du périmètre du site. Bien que les détails sur le renforcement de la sécurité n’aient pas été divulgués, des mesures supplémentaires seront prises pour assurer la protection des employés.

Les auteurs restent inconnus

Bien que la coalition écologiste Rage climatique ait nié toute implication, un groupe anonyme à l’origine des actes de sabotage n’a pas été identifié. Les motivations derrière ces actes demeurent floues, mais Northvolt reste déterminé à poursuivre son projet.

Condoléances des autorités et enquête en cours

Les ministres québécois et canadien ont condamné ces actes de vandalisme, soulignant que le dialogue est essentiel dans un débat sociétal. La Régie intermunicipale de police Richelieu–Saint-Laurent mène une enquête pour retrouver les responsables.

Entreprise locale également ciblée

Outre les incidents sur le site de Northvolt, le Centre de valorisation du bois urbain, un sous-traitant de Northvolt, a également été vandalisé. Les locaux de cette entreprise locale ont été endommagés par de la peinture, suscitant des préoccupations supplémentaires quant à la sécurité des entreprises associées au projet.

Avec des renseignements de la Presse

Le texte Des actes de vandalisme perturbent les travaux à l’usine Northvolt provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile