Stellantis vient d’annoncer un changement de stratégie important concernant la planification de commercialisation de ses produits Ram. En effet, on devait avoir droit en premier lieu à la version tout électrique de la camionnette du constructeur, le modèle Ram 1500 REV.

Ce dernier était attendu lors de la première moitié de 2025. Il devait être suivi du Ram 1500 Ramcharger, une version électrique à autonomie prolongée qui va aussi profiter du moteur V6 Pentastar de 3,6 litres du constructeur. On inverse le tout.

Le pourquoi

La décision découle de trois facteurs clefs. D’abord, explique Ram, l’intérêt des consommateurs pour le Ramcharger. Ce dernier, rappelons-le, devrait proposer une autonomie électrique importante (autour de 250 kilomètres) avant de voir le moteur V6 entrer en action. En tout, le modèle promet une autonomie totale (essence/électrique) de 1110 kilomètres.

Ensuite, Ram cite la concurrence technologique ; la compagnie souhaite avoir une longueur d’avance sur ses rivaux dans le segment des camionnettes à motorisation électrifiées. Enfin, la compagnie s’inquiète d’un ralentissement de la demande pour le tout électrique.

Conséquemment, le Ramcharger pourra être commandé lors de la première année de 2025. La date est à confirmer. Le modèle tout électrique Ram 1500 REV va suivre en 2026.

Chassis du Ram 1500 Ramcharger 2025
Chassis du Ram 1500 Ramcharger 2025 | Auto123.com

Rappelons que le Ramcharger sera équipé d’une batterie de 92 kWh (la taille de bien des batteries de modèles tout électriques moins lourds). Elle sera couplée à un générateur embarqué de 130 kW.

Le modèle va profiter d’un système de transmission composé de deux modules électriques (250 kW à l’avant et 238 kW à l’arrière), ce qui devrait assurer une puissance de 663 chevaux et un couple de 615 livres-pieds. La capacité de remorquage sera à 14 400 livres, alors que la charge utile est annoncée à 2625 livres.

Oh, il sera possible d’effacer le 0-100 km/h en seulement 4,4 secondes.

Le modèle va aussi proposer la recharge bidirectionnelle, c’est-à-dire qu’il pourra alimenter un autre véhicule électrique ou votre domicile.

Le geste est facile à comprendre et pourrait s’avérer très important pour Ram qui connaît une période plus difficile depuis quelque temps. Avec un modèle fournissant une bonne autonomie électrique et étant toujours doté d’un moteur à essence, la marque pourrait damner le pion à ses rivaux auprès de certains acheteurs.

Le Ram 1500 Ramcharger 2025, arrière
Le Ram 1500 Ramcharger 2025, arrière | Auto123.com

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Le texte Ram va lancer sa camionnette hybride rechargeable avant sa tout électrique provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après des mois de tensions avec le gouvernement italien, Stellantis a annoncé un investissement massif de deux milliards d’euros pour renforcer ses activités en Italie. Cette décision, qui marque un tournant dans les relations entre le constructeur et l’État, vise à moderniser les usines locales et à préparer l’arrivée de nouveaux modèles électrifiés et hybrides.

Trois nouveaux modèles Alfa Romeo à Cassino

L’usine de Cassino accueillera la production de trois modèles Alfa Romeo. Dès 2024, la nouvelle génération du Stelvio et la remplaçante de la Giulia (attendue en 2026) seront assemblées sur ce site. Ces deux véhicules seront proposés en versions électriques et hybrides.

Par ailleurs, un modèle phare, encore non identifié, viendra enrichir la gamme Alfa Romeo.

Dans l'usine Mirafiori, en Italie
Dans l’usine Mirafiori, en Italie | Auto123.com

Pomigliano D’Arco, Melfi et Mirafiori : des sites clés

Pomigliano D’Arco produira deux modèles compacts sur la plateforme STLA Small à partir de 2028. Le Fiat Panda actuel verra sa production continuer jusqu’en 2030 avant de la voir être remplacée par celle d’une nouvelle génération.

L’usine de Melfi se concentrera sur les versions hybrides et électriques des Jeep Compass, Lancia Gamma fastback et DS 7.

Elle accueillera également la production de la DS 8, un modèle 100 % électrique.

À l’usine de Mirafiori, la Fiat 500 hybride sera produite dès la fin de 2025 avec la promesse d’une production jusqu’en 2032 ou en 2033. La fabrication de transmissions électrifiées à double embrayage augmentera également sur ce site, passant de 600 000 à 900 000 unités par an.

L'écusson Maserati, sur le VUS Grecale
L’écusson Maserati, sur le VUS Grecale | Auto123.com

Maserati et les véhicules haut de gamme

Stellantis a confirmé que l’usine Maserati de Modène sera transformée en un centre consacré aux véhicules haut de gamme du groupe. Ce repositionnement reflète une volonté de renforcer l’image de luxe et de performance associée à la marque italienne.

Des véhicules utilitaires et un avenir électrique

L’usine d’Atessa continuera de produire des fourgons électriques, avec une nouvelle génération prévue pour 2027. Stellantis a également rassuré sur le rôle stratégique des installations de Turin, qui resteront le siège des activités de Fiat.

Un avenir sans subventions publiques

Jean-Philippe Imparato, directeur européen de Stellantis, a précisé que le groupe n’aura pas besoin de fonds publics pour ses investissements. Bien que le siège fiscal reste aux Pays-Bas, Stellantis réaffirme son engagement envers le marché italien à travers cette série d’annonces ambitieuses.

Le mot de la fin

Avec cet investissement, Stellantis cherche à moderniser ses activités en Italie tout en renforçant son portefeuille de véhicules électriques et hybrides. D’autre part, la promesse de maintenir toutes les usines opérationnelles rassurera certainement les partenaires sociaux.

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Le texte Stellantis investit deux milliards d’euros en Italie provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La marque GMC célèbre aujourd’hui le 25e anniversaire de ses versions Denali. Pour souligner le succès de ces versions qui dure depuis un quart de siècle, une version commémorative sera offerte à la clientèle.

Au sein d’une marque, certains modèles font bonne figure plus que d’autres, naturellement. Cependant, il est rare qu’une variante d’un modèle devienne très populaire et, surtout, qu’elle perdure au fil des ans. C’est le cas des versions Denali que GMC offre aujourd’hui pour tous les modèles de sa gamme.

Depuis l’introduction de ce vocable qui servait initialement à désigner la version haut de gamme du Yukon 1999, l’attrait des Denali auprès des consommateurs et la valeur commerciale de ce nom pour le constructeur n’ont cessé de croître.

Popularité croissante

En 2010, les gens de General Motors du Canada nous apprenaient que les versions Denali représentaient environ 15 % de l’ensemble des ventes des produits GMC. Cinq ans plus tard, ce pourcentage frôlait les 25 %.

Or, ce pourcentage n’a cessé d’augmenter. Un communiqué publié aujourd’hui par GM aux États-Unis nous apprend que plus de deux millions de Denali ont été vendus au sud de la frontière depuis 1999. De plus, cette année, à elles seules, ces versions ont généré plus de 30 % des ventes de GMC.

Au Canada, la proportion serait légèrement inférieure si l’on se fie à une entrevue accordée par Shane Peever, le vice-président Ventes, Service et Marketing de GM Canada, au mensuel Automotive News Canada en juillet dernier. En effet, il affirmait que ces versions représentent désormais plus du quart des ventes de l’ensemble des modèles de la marque, et plus encore lorsqu’on considère uniquement les camionnettes.

Vocable d’abord réservé au Yukon

Emprunté à la plus haute montagne d’Amérique du Nord, qui se trouve en Alaska, ce nom a d’abord servi à désigner le GMC Yukon 1999 le plus cossu; un véhicule qui était en quelque sorte le pendant d’un Cadillac Escalade.

Le succès remporté par cette variante du Yukon combiné à l’engouement croissant des consommateurs à l’égard des camionnettes de grand format, au début du 21e siècle, a poussé les gurus du marketing de GMC à créer pour la Sierra 2002 une première version Denali.

Puis, ce genre d’habillage s’est progressivement répandu à l’ensemble de la gamme : pour le GMC Envoy (2005-2009), l’Acadia (2011 à aujourd’hui), la Sierra HD (2011 à aujourd’hui), le Terrain (2013 à aujourd’hui) et, plus récemment, la camionnette de taille moyenne Canyon (2017 à aujourd’hui). Naturellement, la camionnette électrique Sierra EV apparue sur le marché récemment a suivi la même règle.

Curieusement, les Hummer électriques ont fait exception à cette règles jusqu’ici. Les fourgons Savana aussi… très logiquement, d’ailleurs !

Vocable bientôt mondial

À l’origine, les versions Denali étaient réservées aux automobilistes des États-Unis et du Canada. Récemment, elles ont fait leur apparition au sein du catalogue de produits offerts dans quelques autres pays : la Corée du Sud, le Mexique et le Moyen-Orient. En 2025, ce nom fera son entrée sur trois nouveaux marchés : la Chine, l’Australie et la Nouvelle-Zélande où le Yukon Denali sera lancé.

Version anniversaire à venir

Entre-temps, pour souligner le 25e anniversaire des versions Denali, GMC offrira un habillage commémoratif pour les GMC Yukon Denali et Denali Ultimate 2025.

On les reconnaîtra à quelques attributs de couleur noire : les roues de 24 po, la grille de la calandre et son emblème lumineux de la marque, quelques autres écussons, de même que les boîtiers des rétroviseurs. Des broutilles, quoi…

GMC produira tout juste 3 000 exemplaires de cette version commémorative pour le marché mondial. Le constructeur n’a cependant pas précisé combien d’entre elles aboutiront au Canada.

Photos : General Motors

Le texte GMC souligne les 25 ans de ses versions Denali provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

À partir de septembre 2027, tous les nouveaux véhicules de tourisme vendus aux États-Unis (et probablement au Canada) devront être équipés d’avertisseurs sonores et visuels pour les ceintures de sécurité arrière, selon une annonce de la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA).

Une Extension des Systèmes Actuels

Cette nouvelle réglementation vise les voitures de tourisme, camions, bus (hors bus scolaires) et véhicules utilitaires pesant jusqu’à 10 000 livres. Elle élargit les systèmes d’avertissement existants, auparavant réservés au conducteur, à tous les passagers. Les véhicules devront également émettre des alertes pour les passagers des sièges avant extérieurs qui ne bouclent pas leur ceinture. Cependant, les sièges centraux avant ne seront pas concernés, la NHTSA ayant jugé cette mesure peu rentable. Les avertisseurs pour les sièges avant entreront en vigueur un an plus tôt, le 1er septembre 2026. Les systèmes actuels pour les ceintures des conducteurs devront également être prolongés dans le temps.

Pourquoi Cette Nouvelle Règle ?

Selon les données de la NHTSA, les passagers arrière utilisent moins souvent leur ceinture de sécurité que ceux à l’avant. En 2022, 92 % des passagers avant bouclaient leur ceinture, contre seulement 82 % à l’arrière. De plus, environ la moitié des passagers décédés dans des accidents cette année-là ne portaient pas leur ceinture. La NHTSA estime que cette nouvelle règle pourrait sauver 50 vies par an et prévenir 500 blessures une fois pleinement mise en œuvre.

Une Nouvelle Ère pour la Sécurité Automobile

Ce règlement s’inscrit dans une série de mesures récentes visant à améliorer la sécurité routière. En novembre, la NHTSA a mis à jour son système de notation des véhicules (cinq étoiles) pour inclure des technologies d’assistance à la conduite et des normes de protection des piétons. Des défenseurs de la sécurité, comme Cathy Chase, présidente des Advocates for Highway and Auto Safety, appellent le Département des Transports à adopter d’autres règlements avant la fin du mandat du président Joe Biden. Parmi les priorités figurent l’introduction de freins automatiques d’urgence pour les poids lourds et des technologies pour prévenir la conduite en état d’ivresse.

Avec des renseignements de Motor Illustrated

Le texte Avertisseurs de Ceinture de Sécurité Obligatoires à l’Arrière dès 2027 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après une absence prolongée, la Honda Prelude fera son retour sur le marché américain à la fin de 2025. Cette sixième génération du coupé sportif adoptera un système hybride-électrique à deux moteurs et introduira le nouveau mode de conduite S+ Shift, conçu pour simuler des changements de vitesse dynamiques.

Des performances hybrides avec des ambitions sportives

Sous sa carrosserie, la nouvelle Prelude reposera probablement sur la plateforme partagée avec la Civic, mais bénéficiera d’un châssis affiné pour un comportement plus sportif. La motorisation hybride e:HEV combine un moteur essence quatre cylindres de 2,0 litres à deux moteurs électriques, l’un entraînant directement les roues avant. Honda promet que le mode S+ Shift offrira une expérience de conduite plus immersive grâce à une gestion précise des régimes moteur en fonction des conditions de conduite. Ce mode active également des sons artificiels pour renforcer les sensations au volant.

Qu’est-ce que le mode S+ Shift ?

Le mode S+ Shift représente une évolution du système Linear Shift Control, déjà présent sur d’autres hybrides Honda. Il simule des changements de vitesse pour imiter une transmission classique, tout en ajoutant des réponses plus directes et un contrôle sonore actif. Un bouton dédié sur la console centrale permettra d’activer ce mode, donnant une impression de conduite sportive grâce à des palettes derrière le volant. Ces innovations visent à offrir une expérience sensorielle riche, synchronisant le conducteur et le véhicule.

Un héritage à perpétuer

La Prelude a marqué l’histoire de Honda depuis son lancement en 1978, avant d’être abandonnée après cinq générations en 2001. Cette nouvelle version espère raviver cet héritage, en se positionnant comme une alternative coupé à la Civic. Les prototypes récemment aperçus laissent penser que le design final sera très proche du concept présenté en 2023, avec une silhouette élégante et moderne.

Honda et l’avenir électrifié

Ce lancement s’inscrit dans une stratégie plus large de Honda, qui fête cette année les 25 ans de ses ventes hybrides aux États-Unis. Les hybrides représentent désormais plus d’un quart des ventes de Honda en Amérique du Nord. En parallèle, Honda prépare un futur électrique ambitieux avec le crossover Prologue, bientôt rejoint par la berline électrique Honda 0 Series prévue pour 2026. La marque prévoit également sept modèles électriques d’ici 2030 et vise une neutralité carbone complète d’ici 2050.

Conclusion

Bien qu’elle ne soit ni une NSX ni une S2000, la nouvelle Prelude est une proposition rafraîchissante dans un marché saturé de VUS. Avec son style sportif et ses innovations hybrides, elle offre une alternative bienvenue aux amateurs de coupés.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte Le retour de la Honda Prelude pour la fin 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le groupe Renault, principal actionnaire de Nissan avec une participation de 36 %, se montre ouvert à l’idée que le constructeur japonais entame des discussions avec Honda pour une éventuelle fusion. Selon des sources proches du dossier, cette ouverture reflète la volonté de Renault de renforcer Nissan sans devoir injecter de fonds supplémentaires. Bien que Renault soutienne en principe toute démarche visant à solidifier Nissan, le groupe français évalue avec prudence chaque proposition pour protéger ses propres intérêts financiers et stratégiques.

Nissan et Honda : discussions en phase préliminaire

Les discussions entre Nissan et Honda en sont encore à leurs débuts. Parmi les autres acteurs intéressés par Nissan, Foxconn, géant taïwanais de la technologie, aurait également exprimé le souhait de prendre une participation majoritaire. Malgré ces pourparlers, Nissan et Honda continuent de faire face à des défis, notamment en Chine, où des marques locales comme BYD dominent un marché en pleine croissance pour les véhicules électriques (VÉ).

Renault et Nissan : une alliance à redéfinir

L’alliance historique entre Renault, Nissan et Mitsubishi Motors a déjà été remaniée en 2020, entraînant une réduction des projets communs. Cependant, plusieurs collaborations demeurent, comme la production de petits véhicules électriques Nissan dans les usines de Renault en France. Toute alliance stratégique entre Nissan et Honda pourrait remettre en question ces projets partagés.

Une opportunité pour Renault malgré les incertitudes

Même en cas de vente partielle de sa participation, Renault pourrait profiter de la hausse des actions de Nissan. Suite aux rumeurs de discussions avec Honda, l’action de Nissan a bondi de 24 % le 18 décembre, tandis que Renault a enregistré une hausse de 7,4 %. Pour autant, Nissan reste confronté à des défis majeurs. En novembre, la société a réduit ses prévisions de bénéfices, annoncé la suppression de 9 000 postes et réduit sa production mondiale de 20 %, signalant un désintérêt croissant des consommateurs pour ses modèles.

Honda et Nissan : quel avenir pour leur collaboration ?

Selon Shinji Aoyama, vice-président exécutif de Honda, plusieurs options sont envisagées, dont une fusion, un partenariat capitalistique ou la création d’une société holding. Ces discussions reflètent l’urgence pour Nissan de trouver des solutions à ses problèmes structurels et à sa transition tardive vers les VÉ.

Conclusion

Une éventuelle collaboration entre Nissan et Honda pourrait marquer un tournant dans l’industrie automobile japonaise, tout en posant des défis pour Renault et ses intérêts dans Nissan. Cette évolution, si elle se concrétise, pourrait redéfinir l’équilibre des forces dans un secteur en pleine mutation.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Renault soutient les discussions de fusion entre Nissan et Honda provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Porsche rappelle 2941 Macan électriques des années 2024 et 2025 en raison de phares qui sont trop puissants. Ils sont en fait non conformes aux normes américaines. Ce défaut pourrait réduire la visibilité des conducteurs venant en sens inverse et augmenter le risque d’accident.

Au Canada, 10 véhicules sont concernés par cette campagne.

Les véhicules concernés ont été fabriqués entre le 15 mars 2024 et le 4 novembre 2024. Selon la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) américaine, l’équivalent de Transports Canada, le logiciel de contrôle des phares de ces modèles a été programmé selon les normes européennes plutôt que celles des États-Unis. En conséquence, l’intensité lumineuse dépasse les limites fixées.

The Porsche Macan EV
The Porsche Macan EV | Auto123.com

Solution logicielle, mais chez le concessionnaire

Porsche dit que cette erreur a été corrigée pour les véhicules produits ultérieurement, mais que 100 % des unités rappelées sont susceptibles d’avoir le logiciel défectueux. Bien qu’il s’agisse d’un problème purement logiciel, la mise à jour ne peut pas être réalisée via la voie des airs. Une visite en concession sera nécessaire.

Les techniciens reprogrammeront gratuitement les unités de contrôle des phares.

Les propriétaires recevront des lettres de notification à partir du 24 janvier 2025.

Basé sur la plateforme PPE (Premium Platform Electric) développée avec Audi, le Macan électrique a été lancé pour l’année-modèle 2024.

Un rappel nécessaire pour garantir la sécurité

Malgré son impact limité, ce rappel souligne l’importance des normes de sécurité et de l’adaptation des véhicules aux réglementations locales.

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Le texte Rappel des Porsche Macan électriques pour phares trop puissants provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Depuis quelques semaines, il est question dans l’actualité de la possibilité que Volkswagen ferme des usines en Allemagne, une possibilité qui a entraîné des débuts de grèves alors que le syndicat IG Metall fait tout en son pouvoir pour repousser ou éviter cette éventualité.

Parallèlement, la division Audi de Volkswagen vient de prendre une décision en ce sens concernant l’usine qu’elle opère à Bruxelles, en Belgique. Cette dernière, a annoncé l’entreprise, va fermer ses portes à la fin du mois de février prochain. C’est là que sont assemblés les modèles Q8 e-tron et Q8 e-tron Sportback. Non, leur production n’a pas été déplacée ailleurs. De fait, ils vont être retirés du catalogue, simplement parce que leurs ventes ne sont pas suffisamment importantes pour justifier le maintien des opérations de cette usine.

La compagnie a essayé de trouver un acheteur pour ses installations, mais ses efforts n’ont pas été couronnés de succès. Gerd Walker, membre du conseil d’administration d’Audi et responsable de la production, a déclaré ceci, comme le rapporte le groupe Reuters : « La décision de fermer l’usine de Bruxelles est douloureuse. Personnellement, c’est la plus difficile que j’aie eu à prendre dans ma carrière professionnelle. »

Audi Q8 e-tron 2024
Audi Q8 e-tron 2024 | Auto123.com

Le Q8 e-tron est la version tout électrique du VUS Q8. Il a été lancé en 2018 sous le nom e-tron. La version Sportback a suivi. Puis, en 2022, on profitait de la refonte de mi-parcours qu’on offrait au modèle pour le rebaptiser afin d’inclure le préfixe Q8 dans son appellation. L’usine de Bruxelles fabriquait ces deux modèles depuis décembre 2022.

Les dernières unités seront construites le 28 février prochain, selon ce qui est rapporté.

L’an dernier, Audi a vendu 49 001 unités du Q8 e-tron. Cela a représenté une baisse de 4,3 % par rapport à l’année précédente. Ce chiffre ne semble pas catastrophique, mais pour une usine qui devait produire 120 000 véhicules sur une base annuelle, on comprend que l’exercice n’est pas rentable. Le plan, qui a été inauguré en 1949 après la Seconde Guerre mondiale, compte 3000 employés.

Fait amusant, l’usine de Bruxelles a produit des Studebaker à ses débuts, jusqu’en 1960. Au milieu des années 50, elle accueillait la production de ses premiers véhicules Volkswagen, en l’occurrence la célèbre Coccinelle.

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Le texte Audi ferme l’usine qui produit le Q8 e-tron provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Une surprise attendait l’industrie automobile au Québec hier alors que le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs du Québec annonçait qu’il va suspendre le programme Roulez vert qui offre un rabais à l’achat d’un véhicule électrique.

On savait que les rabais applicables au Québec allaient diminuer à compter du 1er janvier 2025. Le montant total de 7000 $ va passer à 4000 $. Pour un véhicule hybride rechargeable doté d’une batterie de plus de 15 kWh, le rabais va passer de 5000 $ à 2000 $. Pour le même type de modèle, mais avec une batterie de moins de 15 kWh, l’incitatif va passer de 2500 $ à 1000 $.

Avec l’annonce d’hier, ils seront inexistants à partir du 1er février 2025. En bref, la raison est que le programme a été victime de son propre succès. La baisse des rabais annoncée pour le 1er janvier a fait en sorte que plusieurs consommateurs ont décidé d’agir plus rapidement pour se procurer un véhicule électrique, et il ne reste tout simplement pas d’argent dans la caisse.

En date du 30 septembre 2024, on retrouvait 335 000 véhicules électriques en circulation au Québec, soit le tiers de tous les modèles immatriculés au Canada.

Le programme Roulez vert sera suspendu le 1er février
Le programme Roulez vert sera suspendu le 1er février | Auto123.com

Une mesure temporaire

Le ministère explique que la mesure est temporaire. Certains affirment que ça pourrait être jusqu’au dépôt du prochain budget au printemps, mais ça pourrait aussi être plus long.

On s’attendait à ce qu’il y ait un impact sur les ventes de modèles électriques dès le 1er janvier 2025 en raison de la baisse des rabais. Avec l’élimination de ces derniers pour un certain temps, il est clair que l’impact sera plus grand.

Il est à noter que les consommateurs pourront toujours compter sur le rabais de 5000 $ du gouvernement fédéral sur les véhicules admissibles.

Certains concessionnaires, désormais avec des stocks de véhicules électriques, devront écouler leurs modèles sans l’aide du programme sur lequel ils comptaient. Les consommateurs pourraient avoir droit à des rabais « détournés ».

Le temps presse

Il est important de rappeler que pour profiter du rabais de 7000 $ présentement disponible via le programme Roulez vert, le véhicule acquis doit être plaqué d’ici le 31 décembre 2024. Ensuite, pour profiter du rabais réduit de 4000 $, le véhicule doit être immatriculé avant la suspension du programme, le 1er février 2025.

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Le texte Suspension temporaire du programme Roulez vert au Québec provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le 11 décembre dernier, Andretti Racing a officiellement changé de nom pour devenir Cadillac Formula Racing, marquant une étape importante dans les préparatifs de General Motors (GM) pour rejoindre la Formule 1 en 2026. Ce changement efface les dernières références au nom Andretti dans le cadre du projet de GM en F1.

Cadillac Formula Racing, qui est basé au Royaume-Uni, est désormais le centre opérationnel de l’équipe Cadillac en F1. Cette structure appartient à TWG Global, l’entreprise mère d’Andretti Global, et se concentre sur la création de partenariats techniques, le renforcement des infrastructures et le recrutement de talents clés pour une entrée réussie en tant que 11ᵉ équipe de la grille de F1.

Un engagement pour la compétition mondiale

Dans un communiqué, l’équipe Cadillac F1 a souligné que « ce changement représente une étape clé dans notre objectif de positionner Cadillac comme une force majeure dans le sport automobile mondial. Il reflète nos ambitions et prépare le terrain pour une entrée réussie en Formule 1. »

Bien que le nouveau nom reflète ces ambitions, Cadillac reste soumis au processus d’approbation réglementaire de la FIA (Fédération Internationale de l’Automobile) et de la F1.

Transition stratégique pour Cadillac

Initialement, GM prévoyait d’entrer en F1 en partenariat avec Andretti Global, dont la candidature avait été acceptée par la FIA en 2023, mais rejetée par Liberty Media, propriétaire de la F1, en janvier suivant. À la suite de ce rejet, Michael Andretti s’est mis en retrait, laissant GM prendre un rôle plus dominant dans le projet. En novembre 2024, un accord de principe entre GM et Liberty Media a ouvert la voie à l’arrivée de l’équipe Cadillac en 2026.

Le logo Cadillac sur la future voiture Formule 1
Le logo Cadillac sur la future voiture Formule 1 | Auto123.com

Des moteurs Ferrari pour commencer

Conformément aux règles de la FIA, GM, qui a déposé sa candidature en tant que fournisseur de groupes motopropulseurs en 2023, ne pourra utiliser ses propres moteurs F1 avant 2028. En attendant, Cadillac s’appuiera sur des moteurs fournis par Ferrari, grâce à un accord conclu récemment entre les deux constructeurs.

Cadillac et les nouveaux règlements de 2026

L’entrée de Cadillac en F1 coïncidera avec l’introduction de nouveaux règlements techniques, notamment pour les groupes motopropulseurs. À partir de 2026, les moteurs resteront des V6 turbo hybrides de 1,6 litre, mais avec une puissance réduite provenant du moteur thermique et une dépendance accrue au système hybride. De plus, ces moteurs devront fonctionner avec un carburant entièrement durable, alignant ainsi la F1 sur ses ambitions écologiques.

Un avenir concurrentiel

Cadillac ne sera pas seule à faire son entrée en 2026. Audi rejoindra également la F1 avec sa propre équipe et son groupe motopropulseur après avoir racheté l’équipe Sauber, qui sera remise aux couleurs d’Audi.

Parallèlement, Ford fera son retour en tant que partenaire technique de Red Bull Racing.

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