Avant de tirer sa révérence une fois pour tout en 2026, le Dodge Durango Hellcat sera offert une dernière fois en 2025. Mais il faudra sortir son portefeuille. Avant de disparaître, Dodge va y aller d’une dernière célébration avec une édition spéciale appelée Hammerhead. Contrairement à la Silver Bullet introduite le mois dernier, le modèle Hammerhead adopte une approche plus discrète, bien que tout aussi impressionnante.

Dodge Durango SRT Hellcat Hammerhead 2025, avant
Dodge Durango SRT Hellcat Hammerhead 2025, avant | Auto123.com

Méfiez-vous des eaux qui dorment

Le modèle Hammerhead se distingue grâce à une peinture extérieure Night Moves (bleu foncé), agrémentée de jantes de 20 pouces empruntant une teinte argentée nommée Satin Carbon. Il est rafraîchissant de voir un véhicule de performance arborer des roues argentées simples, en contraste avec les finitions noires ou diamantées de plus en plus courantes.

Le capot du Durango Hammerhead est peint en noir (Satin Black), un choix audacieux pour un véhicule bleu foncé, mais le tout se marie bien avec les étriers de frein Brembo, aussi peints en noir. À l’arrière, les sorties d’échappement polies ajoutent une touche de couleur au pare-chocs. L’intérieur, lui aussi, bénéficie de détails propres au modèle.

Dodge Durango SRT Hellcat Hammerhead 2025, intérieur
Dodge Durango SRT Hellcat Hammerhead 2025, intérieur | Auto123.com

Un intérieur luxueux et élégant

À l’intérieur, le Durango SRT Hellcat Hammerhead dévoile un habitacle spacieux avec un volant en cuir et en suède, ainsi qu’un tableau de bord enveloppé de matériaux de première qualité. Les sièges sportifs sont revêtus de cuir Hammerhead Grey Laguna et arborent une broderie SRT Hellcat de couleur Sepia sur les dossiers. La sellerie et les accents en fibre de carbone forgé et chrome noir ajoutent une touche de sophistication, tandis que le pavillon est garni de suède luxueux.

Un prix dans les six chiffres

Comme le Durango SRT Hellcat standard, le modèle Hammerhead est animé par un monstrueux moteur V8 Hemi suralimenté de 6,2 litres. Il développe 710 chevaux et 645 livres-pieds de couple, une puissance transmise aux quatre roues via le travail d’une transmission automatique à huit vitesses. Cette bête peut atteindre 100 km/h en 3,5 secondes et le quart de mile en 11,5 secondes.

Aux États-Unis, le prix du Durango Hammerhead s’élève à 113 720 $ (à part les frais de transports et de préparation de 1595 $), plaçant le modèle dans une gamme de luxe. L’équipement justifie en partie ce prix : une chaîne audio Harman Kardon de 19 haut-parleurs, une multitude de fonctionnalités d’assistances à la conduite, la recharge sans fil, les applications Apple CarPlay/Android Auto sans fil, et un toit ouvrant figurent parmi les équipements de série.

Malgré ce prix élevé, les amateurs de V8 seront ravis de débourser une telle somme. Le Durango SRT Hellcat Hammerhead pourrait en effet être le dernier VUS Dodge équipé d’un moteur V8, la prochaine génération de Durango étant attendue pour 2026 avec des options entièrement électriques et hybrides.

Dodge Durango SRT Hellcat Hammerhead 2025, logo SRT
Dodge Durango SRT Hellcat Hammerhead 2025, logo SRT | Auto123.com
Dodge Durango SRT Hellcat Hammerhead 2025, trois quarts avant
Dodge Durango SRT Hellcat Hammerhead 2025, trois quarts avant | Auto123.com

Contenu original de auto123.

Le texte Un Dodge Durango Hellcat Hammerhead pour 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Volkswagen se trouve à un carrefour difficile. La diminution des ventes de voitures a laissé le constructeur avec environ deux usines de trop. En conséquence, le constructeur automobile prévoit d’abroger divers accords de travail, y compris une garantie d’emploi jusqu’en 2029 pour six de ses usines en Allemagne. Cette décision ouvre la voie à des licenciements dès l’année prochaine, une perspective contre laquelle les représentants des travailleurs ont promis de résister avec force.

Annulation des accords de protection de l’emploi

Volkswagen a annoncé l’annulation de plusieurs accords liés à un pacte vieux de trois décennies, qui avait été mis en place pour protéger les emplois jusqu’en 2029. Ces garanties de sécurité ont effectivement pris fin depuis peu.

Contexte économique difficile pour VW

Le principal objectif de Volkswagen est d’augmenté sa marge bénéficiaire comprimée par une transition rapide vers les véhicules électriques (VÉS) et un ralentissement des dépenses des consommateurs. Les constructeurs européens et nord-américain peinent également à rivaliser avec Tesla et les nouveaux entrants chinois, dirigés par BYD.

Un processus de réduction d’effectifs complexe

La mise en œuvre des réductions chez VW est plus complexe que dans d’autres entreprises. En effet, la moitié des sièges du conseil de surveillance de la société sont occupés par des représentants syndicaux, et l’État allemand de Basse-Saxe, qui détient une participation de 20 %, prend souvent le parti des syndicats. L’automobile, qui emploie près de 300 000 personnes en Allemagne, défend ses plans de fermeture d’usines en arguant que la baisse des ventes de voitures a conduit à un excédent d’usines.

Réactions des syndicats et alternatives proposées

Thorsten Groeger, négociateur en chef du principal syndicat IG Metall, a averti que les plans de VW pourraient entraîner des coûts supplémentaires non désirés pour l’entreprise, proches de 1 milliard d’euros (1,5 milliard de dollars). La fin des garanties entraînerait des salaires plus élevés en vertu des accords collectifs antérieurs, a-t-il expliqué dans une déclaration distincte. Il est donc clair que le syndicat va fortement s’opposer aux plans de Volkswagen.

Négociations salariales en avance

Pour contrer l’incertitude entourant les accords de travail, VW propose d’avancer les négociations salariales. Ces discussions étaient initialement prévues pour débuter entre mi-octobre et fin octobre, avec la possibilité de grèves à partir de fin novembre. Cependant, le comité d’entreprise a appelé à ce que les pourparlers commencent dès ce mois-ci. Volkswagen est donc à un tournant crucial, avec des tensions croissantes entre la direction et les syndicats sur l’avenir de l’emploi et les conditions de travail en Allemagne. La suite des événements déterminera si l’entreprise pourra naviguer à travers ces turbulences tout en préservant sa position sur le marché mondial.

Avec des renseignements d’Automotive News Europe

Le texte Volkswagen envisage des licenciements dans six usines allemandes dès juin 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La traversée du Canada effectuée par Toyota s’est terminée à la fin du mois d’août dernier. En ce qui me concerne, mes derniers jours sur la route ont été les 21, 22 et 23 août, alors qu’une orgie de kilomètres était à l’horaire afin de nous permettre de passer de North Bay, en Ontario, à Winnipeg, au Manitoba, avec des arrêts prévus à Sault-Sainte-Marie, ainsi qu’à Thunder Bay, toujours en Ontario.

Ces journées ont surtout été marquées par beaucoup de temps passé derrière le volant.

Lors de la première journée (North Bay — Sault-Sainte-Marie), c’était un peu moins (434 km) en raison d’un arrêt hyper intéressant effectué tout près de North Bay, là où nous avons eu l’occasion de nous amuser avec de vieux Land Cruiser ; j’y reviens.

La deuxième journée, ce sont un peu plus de 700 bornes qui nous attendaient afin que l’on puisse rallier Thunder Bay. De là, un autre 700 kilomètres à faire le lendemain pour la destination de la quatrième vague de ce voyage, soit Winnipeg, au Manitoba. Les arrêts ont été moins fréquents ; voilà pourquoi je regroupe mes trois dernières journées de périple dans ce dernier texte sur cette aventure.

Allons-y donc avec un bref résumé de ces trois journées sur la route.

Jour 10 : de North Bay à Sault-Sainte-Marie

Notre journée s’est amorcée avec un périple d’environ quatre petits kilomètres, afin d’effectuer un arrêt chez Miller Technology, une entreprise qui se spécialise notamment dans la conversion de vieux Land Cruiser afin de servir l’industrie minière, très présente dans la région. Et lorsqu’on parle de vieux Land Cruiser, on ne ment pas, car on fait référence au modèle introduit en 1984 (Série 70), et qui est toujours fabriqué par Toyota pour être vendus à l’intérieur de certains marchés à travers la planète.

C’est en 1989 que Miller Technology a forgé un partenariat avec Toyota pour être le dépositaire Land Cruiser pour l’industrie minière. Notez que les modèles qu’elle importe, avec l’aide de Toyota, ne sont pas homologués pour la conduite sur les routes canadiennes. Ils prennent plutôt la direction de mines au Canada bien sûr, mais aussi à travers le monde, après avoir été modifiés.

Et pourquoi utilise-t-on de vieux Land Cruiser à moteur 6-cylindres Diesel et à boîte manuelle ? Pour une question de fiabilité, bien sûr, mais aussi de robustesse. Ce qu’on a appris à propos du traitement réservé aux véhicules à l’intérieur des mines nous a littéralement scié les jambes.

Grosso modo, en raison de la forte acidité et des résidus qui se collent aux véhicules à des centaines, voire des milliers de mètres sous terre, les composantes des véhicules sont mises à rude épreuve. Les vieux Land Cruiser de Toyota ont une durée de vie de trois à cinq ans au service des entreprises. Si ça semble peu, dites-vous qu’une camionnette moderne (Ford F-150, Ram 1500, Chevrolet Silverado) peine à survivre plus de six mois dans ces conditions. Les composantes électriques, notamment, flanchent rapidement.

Nous avons eu la chance de prendre le volant de ces vieux Land Cruiser, le temps de faire quelques boucles sur les terrains de Miller Technology. Un plaisir fou à conduire un modèle hyper rudimentaire, au comportement rustique, mais à la simplicité qui séduit.

Les modèles sont acquis au coût d’environ 35 000 $ CA, pour être revendus autour de 100 000 $ CA, une fois les modifications effectuées, toujours selon les spécifications des clients.

En tout point, une visite impressionnante.

En reprenant la route, un arrêt était prévu à l’endroit où se trouve la plus grosse pièce de cinq cents au pays… représentant bien sûr tout le nickel qui est extrait de la terre dans la région.

Amusant.

Jour 11 : de Sault-Sainte-Marie à Thunder Bay

La 11e journée de route du périple nous a vus avaler des kilomètres à la tonne. Elle s’amorçait par une partie de pêche, avec des bateaux tirés bien sûr par des Toyota Tundra. Votre humble serviteur a sauté cette étape pour travailler bien tranquillement à l’hôtel, avant de prendre la route.

Ce qui m’a le plus impressionné de cette portion du voyage, ce sont les paysages. Honnêtement, je n’attendais rien du nord de l’Ontario à ce chapitre, mais j’ai été agréablement surpris. Oui, on compte les arbres par millions, mais le terrain est loin d’être plat, les plans d’eau sont nombreux, et les paysages se laissent admirer.

Bref, la journée a passé plutôt rapidement, principalement au volant de la familiale Crown Signia, ainsi que d’un Corolla Cross hybride. J’aurais l’occasion de vous revenir sur les véhicules essayés lors d’un dernier texte concernant ce voyage.

Jour 12 : de Thunder Bay, Ontario, à Winnipeg, Manitoba

Pour ce qui allait être ma dernière journée avec le groupe, un autre long trajet nous attendait, avec un arrêt à la concession de Wayne Toyota à Thunder Bay, un des dépositaires les plus performantes au pays pour la marque japonaise. Inutile de dire que les propriétaires étaient bien heureux d’accueillir la « visite ».

Notre dernier arrêt d’importance lors de cette journée était le point central du Canada, un endroit situé quelque 20 minutes avant d’arriver à Winnipeg. Rien de bien extraordinaire là, à l’exception d’une immense affiche qui annonce le centre du pays. Il était seulement particulier de réaliser où j’en étais rendu après avoir amorcé le voyage à Saint-Jean, Terre-Neuve, deux semaines auparavant.

Le tout me rappelait un périple réalisé sur la route 66, où une étape à mi-chemin est aussi un endroit de prédilection pour les arrêts-photos.

La fin

En ce qui me concerne, la fin du voyage approchait, et la satisfaction du devoir accompli. Bien heureux de rentrer à la maison, aussi, car après neuf jours sur la route (sur la douzaine réalisée par Toyota jusqu’à ce point), la fatigue commençait à se faire sentir.

Et dire que le groupe n’était rendu qu’à mi-chemin du voyage à travers le pays.

Pour plus de détails sur ce trajet de fou, deux galeries photo vont suivre sur le site Auto123.com, où il vous sera possible de visualiser 60 clichés relatant le voyage d’un océan à l’autre réalisé par Toyota dans le cadre de son 60e anniversaire au pays.

On vous invite à suivre la suite sur nos réseaux sociaux afin de ne rien manquer.

Le texte Les 60 ans de Toyota à travers le Canada, Jours 10 à 12 : de North Bay, Ontario, à Winnipeg, Manitoba provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Adrian Newey, l’un des designers les plus renommés du sport automobile, quitte Red Bull Racing pour rejoindre Aston Martin. Newey assumera le rôle de partenaire technique principal au sein de son équipe de Formule 1 à partir du 1er mars 2025. En plus de ce poste, il deviendra également actionnaire de l’équipe.

Un design innovant pour la voiture F1 2026

Newey sera responsable du développement de la nouvelle voiture F1 d’Aston Martin pour la saison 2026. Cette voiture sera équipée d’un moteur Honda, marquant le retour de Newey à une configuration similaire à celle des voitures Red Bull actuelles, qui utilisent également des moteurs Honda. Cependant, Red Bull passera à ses propres moteurs développés en collaboration avec Ford d’ici la saison 2026, lorsque de nouvelles règles sur les moteurs seront introduites.

Un partenariat de long terme en perspective

L’accord entre Newey et Aston Martin est présenté comme le début d’un partenariat à long terme significatif, bien que les détails temporels précis n’aient pas été divulgués. En avril dernier, Aston Martin avait annoncé la signature d’un nouveau contrat pluriannuel avec Fernando Alonso, mettant fin aux spéculations concernant une éventuelle retraite du pilote. Aucune information n’a été communiquée concernant l’avenir de Lance Stroll, l’actuel coéquipier d’Alonso, qui est également le fils du président de l’équipe, Lawrence Stroll.

Le départ de Newey de Red Bull Racing

Red Bull Racing avait annoncé le départ de Newey en mai. En tant que directeur technique, Newey a été un pilier de l’équipe depuis 2006, contribuant à remporter six titres de Champion des Constructeurs et sept titres de Champion des Pilotes. Newey a confirmé qu’il restera avec Red Bull Racing jusqu’à la fin de la saison en cours et pour le lancement de l’hypercar RB17, qu’il a conçue.

Des collaborations précédentes avec Aston Martin

Newey a déjà collaboré avec Aston Martin dans le passé, mais pas en Formule 1. Il a conçu l’hypercar Aston Martin Valkyrie lorsque Aston Martin était sponsor de l’équipe Red Bull F1. Il est possible qu’il conçoive également un successeur à ce modèle dans le futur. Dans un communiqué, Newey a exprimé son enthousiasme à l’idée de contribuer à faire d’Aston Martin une équipe championne du monde.

Avec des renseignements de Motor Authority

Le texte Adrian Newey quitte Red Bull et rejoint l’équipe Aston Martin F1 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Au deuxième trimestre 2024, les immatriculations de véhicules neufs au Canada ont atteint leur niveau le plus élevé depuis le début de la pandémie de COVID-19. Selon les données publiées par Statistique Canada le 9 septembre, un total de 511 173 véhicules ont été immatriculés entre avril et juin 2024, le chiffre le plus élevé depuis le troisième trimestre de 2019.

Croissance des véhicules à émission zéro (VZE)

Les immatriculations de véhicules à émission zéro (VZE) ont totalisé 65 733 au cours du trimestre, représentant 12,9 % du total des immatriculations. Cette part est en hausse par rapport aux 10,1 % enregistrés au cours du même trimestre en 2023 et aux 11,3 % du premier trimestre de cette année.

Les véhicules hybrides rechargeables (PHEV) ont affiché la plus forte croissance parmi les catégories de carburant, avec une augmentation de 43,1 % des immatriculations par rapport au deuxième trimestre 2023. Les véhicules entièrement électriques (à batteries) ont enregistré une hausse plus modeste de 36,1 %, mais ils continuent de constituer la majorité des ventes de VZE, représentant près de trois VZE immatriculés sur quatre.

Répartition géographique des ventes de VZE

Le Québec a capturé 51,6 % des ventes de VZE au deuxième trimestre, suivi par l’Ontario avec 21,9 % et la Colombie-Britannique avec 18,5 %. Bien que les provinces plus petites soient en retard par rapport aux grands marchés en volume, le Manitoba a connu la plus forte augmentation proportionnelle de l’adoption des VZE parmi les provinces. Les acheteurs de cette province ont immatriculé 736 nouveaux ZEV au cours du deuxième trimestre, soit une hausse de 92,2 % par rapport à l’année précédente. En avril, le Manitoba a introduit un incitatif pour les VZE de 4 000 $ pour les consommateurs.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte Les VZE (véhicules zéro émission) représentent 13 % des ventes canadienne provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Un ancien employé d’un centre d’annotation de données de Tesla a révélé que l’entreprise aurait encouragé ses voitures à « conduire comme un humain le ferait, et non comme un robot qui suit simplement les règles ». Selon ce témoignage, Tesla aurait demandé à ses employés d’Autopilot d’ignorer certains panneaux de signalisation, tels que « Pas de virage à droite » ou « Pas de demi-tour ».

Conditions de travail rigoureuses

Les travailleurs affectés à la tâche de programmation d’Autopilot doivent constamment naviguer entre les règles routières spécifiques de différents pays. Cependant, sept anciens et actuels employés ont affirmé que Tesla adoptait parfois une attitude plus laxiste envers ces règles. Cette approche, axée sur une mentalité de « priorité au conducteur », vise à former le système pour qu’il imite les comportements humains plutôt que de suivre rigidement les panneaux.

Conditions de travail sévères

Outre ces directives controversées, les conditions de travail des employés chargés de l’annotation des vidéos sont sévères. Les travailleurs dans trois centres Tesla aux États-Unis sont surveillés de près :

  • Surveillance stricte :Les employés sont suivis par deux systèmes logiciels différents. L’un, appelé HuMans, évalue le temps alloué à chaque vidéo. Ceux qui dépassent systématiquement le temps imparti risquent des évaluations de performance défavorables ou un plan d’amélioration de performance (PIP). Ce logiciel, conçu initialement pour les pilotes de l’US Air Force, peut également suivre les mouvements oculaires et enregistrer des audio, bien qu’il ne soit pas clair si Tesla utilise ces fonctionnalités pour surveiller ses employés.
  • Suivi du temps de travail : Le second système, « Flide Time », mesure le temps actif des annotateurs sur le logiciel d’annotation, en suivant les frappes clavier et la durée d’utilisation du logiciel, sans surveiller le temps passé sur d’autres outils informatiques. Les travailleurs doivent enregistrer entre cinq et sept heures et demie de Flide Time par jour.

Impact sur la sécurité routière

Le travail des annotateurs vise à améliorer la conduite autonome des véhicules Tesla, mais jusqu’à présent, le logiciel a été associé à de nombreux accidents sur les routes américaines, y compris des collisions avec des voitures de police stationnées et des passages à niveau.

Avec des renseignements de Jalopnik

Le texte Une enquête inquiétante sur le système Autopilot de Tesla provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Toyota a officiellement reçu l’approbation du ministère japonais du Commerce et de l’Industrie (METI) pour développer et fabriquer des batteries pour véhicules électriques (EV) solide de nouvelle génération. Cette certification marque un tournant dans les ambitions de Toyota de renforcer l’approvisionnement domestique en batteries au Japon.

Certification pour la Production de Batteries chez Plusieurs Filiales

La certification obtenue par Toyota lui permet de produire des batteries de nouvelle génération dans plusieurs de ses filiales, notamment Prime Planet Energy Solution et Primeearth EV Energy. Elle comprend également l’autorisation de construire des batteries EV tout-solide.

Contrôle Total de Primeearth EV Energy par Toyota

Toyota a pris le contrôle total de Primeearth EV Energy plus tôt cette année, une ancienne coentreprise avec Panasonic. Ce changement vise à permettre à Toyota de répondre plus efficacement à la demande croissante en batteries, selon l’entreprise.

Planification et Production des Batteries EV

Toyota prévoit de collaborer avec ses filiales pour produire en masse une gamme variée de batteries EV. Son plan de batteries EV dévoilé l’année dernière inclut plusieurs types différents. Les premières batteries « Performance » sont attendues pour 2026, tandis que celles destinées à la « Popularisation » devraient suivre d’ici fin 2027. Les batteries « Performance » offriront une autonomie de près de 800 km WLTP, tandis que les batteries « Popularisation » auront une autonomie d’environ 600 km WLTP.

Lancement des Batteries Haute Performance autour de 2028

À partir de 2028, Toyota prévoit le lancement de ses batteries « Haute Performance », offrant une autonomie de plus de 1 000 km WLTP et un temps de charge rapide de 20 minutes. Toyota a également annoncé avoir réalisé une « percée technologique » avec ses batteries tout-solide, dont les premières devraient arriver autour de 2028, avec une autonomie de plus de 1 000 km WLTP et un temps de charge de 10 minutes.

Objectifs de Production et Investissements

La production en série des batteries EV de nouvelle génération (version Performance) commencera en 2026, avec un objectif de production annuelle de 9 GWh, bien que le calendrier précis ne soit pas encore défini. Toyota, parmi d’autres entreprises japonaises, investit un total de 7 milliards de dollars (1 trillion de yens) pour augmenter la production domestique de batteries.

Un Pas de Géant pour Réduire la Dépendance à la Chine

L’approbation accordée à Toyota pour la production de batteries EV pourrait représenter un grand pas pour le Japon, cherchant à diminuer sa dépendance envers la Chine. Néanmoins, les batteries tout-solide de Toyota, promises depuis un certain temps, ne semblent pas arriver avant 2030. La montée en puissance de la production sera progressive, avec une production de masse envisagée pour 2030 et au-delà.

Avec des renseignements d’Electrek

Le texte Toyota met sur pied son projet de batteries solides au Japon provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le GMC Hummer EV, c’est le jouet préféré de GM, celui qui fait rêver les curieux en concession avant qu’ils ne repartent avec un Equinox ou un Blazer plus raisonnable. Ce mastodonte est la vitrine de la technologie Ultium de GM, censée révolutionner l’avenir électrique… si on met de côté les rappels en série et les ventes en pause. Malgré tout, le Hummer EV brille tel un phare dans la tempête, symbolisant un avenir électrique – ou, du moins, un énorme truc électrique qui ne passe pas inaperçu.

Une forteresse moderne

Le design du Hummer EV est aussi polarisant qu’un débat sur la place de l’ananas sur la pizza. Certains l’adorent, d’autres le détestent. Une chose est sûre : ce VUS impose. Massif, angulaire, il évoque un bloc de béton brut, taillé à la hache. C’est la version mobile d’un bunker, une déclaration d’intimidation silencieuse. Bref, il crie « Je suis gros, je suis ici, et je n’ai pas besoin de toi pour exister. »

Un habitacle plus pratique que luxueux

À l’intérieur, c’est un peu la déception. On s’attend à du luxe, mais on découvre un décor plus utilitaire que raffiné. Les sièges sont enveloppés de cuir, certes, mais tout respire une robustesse un peu rustique. Les commandes sont démesurées, comme si GM s’était dit que ses clients piloteraient le Hummer en gants de ski. C’est un peu l’ambiance « Je suis prêt pour l’apocalypse, mais avec style. »

Tout un arsenal numérique

Niveau techno, le Hummer EV fait dans le lourd : Android Auto, Apple CarPlay sans fil, Alexa, et des gadgets en pagaille. Il est blindé de caméras, capteurs et données, prêt à cartographier Mars s’il le fallait. Avec jusqu’à 17 angles de vue disponibles, vous pouvez littéralement voir tout ce qui se passe autour de vous. C’est presque angoissant, mais fascinant. Mention spéciale à la direction des roues arrière, qui réduit le rayon de braquage à celui d’une citadine. Paradoxe, vous dites ?

Overdose de puissance

Trois moteurs électriques, 830 chevaux, 1 206 lb-pi de couple. Oui, ce n’est pas une faute de frappe. Le mode « Watts to Freedom » permet à cette bête de 3,3 tonnes d’atteindre le 0 à 100 km/h en 3,5 secondes. C’est du délire. Et si ça ne suffit pas, il y a aussi la suspension pneumatique réglable, la fonction CrabWalk et un arsenal de gadgets tout-terrain. Ce Hummer, c’est le Schwarzenegger des VUS. Il existe une version plus modeste avec deux moteurs électriques et un peu moins de force de frappe, mais une fois qu’Mon a les deux mains dans l’excès jusqu’au coudes, pourquoi s’arrêté en si bon chemin.

Paradoxe roulant

Sur la route, la suspension absorbe tout avec une douceur presque irréelle, mais la direction vous rappelle à chaque instant que vous êtes au volant d’un mastodonte. Pourtant, un simple coup d’accélérateur et ce géant s’élance comme un félin. Avec ses quatre roues directrices, il braque comme une petite citadine. Oui, c’est aussi dingue que ça en a l’air. Avec ses 170 kWh, la batterie promet jusqu’à 500 km d’autonomie. En pratique, si vous êtes sage et que vous adoptez des stratégies comme coller aux semi-remorques pour économiser de l’énergie, vous arriverez à atteindre les chiffres annoncés. Mais, vous aurez de la peine à rester tranquille au volant. Question recharge, ma recharge de niveau 2 de 50 ampères à mis 14 heures pour une recharge de 4 à 100 %. Vous oubliez la recharge de niveau 1et si vous voulez faire ça vite sur une recharge rapide, il faudra au minimum trouver une borne de 100 kw.

Conclusion

Le GMC Hummer EV, c’est un peu comme une blague qu’on ne comprend pas, mais qui reste là, imposante. C’est une réponse à une question que personne n’avait vraiment posée, mais qui existe, parce que pourquoi pas ? Il ne cherche pas à être pratique ou rationnel, il cherche juste à être énorme. Et pour ceux qui aiment ça, c’est le jackpot.

Forces

  • Incroyablement agile pour sa taille
  • Capable de tout affronter en tout-terrain
  • Gorgé de technologie

Faiblesses

  • Prix exorbitant
  • Aussi lourd qu’un éléphant
  • Préparez une échelle pour monter à bord

Le texte GMC Hummer EV VUS provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

À quoi pourrait ressembler une Renault 17 (R17 pour les intimes) si ce modèle existait toujours ? Le constructeur français s’est penché sur la question et, à l’aide du designer Ora Ïto, il a réalisé ce joli concept à la sauce « restomod » (une contraction des mots restauration et modification). Dévoilé le 4 septembre dernier au complexe Maison5 de Renault, sur la rue Saint-Dominique dans le 7e arrondissement de Paris, il sera en vedette au Mondial de l’auto, en octobre.

Depuis 2021, chaque année, Renault invite des designers contemporains à créer des concepts inédits qui réinventent certains de ses modèles marquants d’après-guerre. Après le concept fantaisiste R4L Suite N°4 de Mathieu Lehanneur (2021), le prototype 5 Diamant (2022) de Pierre Gonalons et la Twingo électrique imaginée par la designer et artiste néerlandaise Sabine Marcelis (2023), ce nouvel exercice de création a été confié à un chouchou du design européen; le Marseillais qui s’est fait connaître, notamment, par la bouteille d’aluminium qu’il a créé pour Heineken en 2002 : Ora Ïto, de son vrai nom Ito Morabito.

Né à Marseille, ce designer français de 47 ans est le fils du joaillier Pascal Morabito. Véritable touche-à-tout, ses ouvrages récents misent sur un principe qu’il surnomme « simplexité » et qui signifie rendre plus simple ce qui est trop compliqué.

Cette R17 nouveau genre qui a été développée en collaboration avec Sandeep Bhambra et Gilles Vidal du Design de Renault suit « un thème rétrofuturiste, presque cinématographique », explique le Ora Ïto. « J’ai voulu draper la Renault 17 d’une seconde peau pour la magnifier et la ramener dans notre époque avec ma propre grammaire : de la fluidité, du dynamisme, de la rationalité et ma signature. La simplexité. »

En mettant l’accent sur le respect de l’histoire, explique le constructeur, ce concept marie le charme classique de la voiture d’antan aux technologies et matériaux contemporains. C’est ça, le rétrofuturisme.

Faire du neuf avec du vieux

La Renault 17 était un coupé à deux portes avec hayon. Le caractère sportif de son design était mis en valeur par quatre phares circulaires, des portes sans encadrement de vitres, une absence de montant central, des vitres latérales arrière escamotables et une glace de custode agrémentée de jalousies.

Baptisée « R17 électrique restomod x Ora Ïto », cette voiture-concept reprend la structure monocoque d’une R17 d’origine, son habitacle, ses portes, son vitrage et ses surfaces d’appuis techniques. De couleur Brun galactique, il est cependant 17 cm plus large. Le constructeur affirme que ce changement va améliorer la tenue de route. Parions que, s’il roule, ce concept ne se déplacera pas à très haute vitesse sur des routes sinueuses !

À l’intérieur, ce restomod reprend l’univers de la R17 d’antan, qui se voulait confortable, en intégrant des éléments contemporains à la planche de bord et la console centrale, toutes deux d’origine. Les baquets, redessinés autour de la structure des sièges « pétales » d’origine, se parent de nouveaux tissus inspirés de l’ameublement : un satin chiné en laine Mérinos très fine pour le tissu marron et un bouclé de laine léger et délicat, haut et épais pour le tissu beige. Évidemment, pour lui donner une touche moderne, ce concept a été muni d’un incontournable écran numérique central, alors que quatre petits écrans numériques de forme géométrique ont été logés dans les petits logements qui accueillaient les cadrans derrière le volant dans le modèle original.

Un peu d’embonpoint

La grande différence avec la R17 des années 70, c’est naturellement la motorisation électrique. Implantée à l’arrière du véhicule, elle livre 270 chevaux au concept. Renault ne donne cependant aucune information sur la batterie qui l’alimente. En revanche, le constructeur affiche une masse de 1 400 kg. C’est beaucoup d’embonpoint comparativement à la R17 vendue au Canada en 1973, qui ne pesait que 1 075 kg.

Bien entendu, on a affaire à un concept, une voiture fantaisiste. Ce n’est pas un modèle de série. Alors, le surpoids, on s’en fout ! Ce qui compte, c’est l’émerveillement des visiteurs du Mondial de l’auto, à Paris.

Car c’est là qu’on verra ce concept, du 14 au 20 octobre 2024. Auparavant, on l’aura vu au complexe Maison5, jusqu’au 11 septembre, puis au concours Chantilly Arts & Élegance Richard Mille qui sera présenté au château du même nom dans l’Oise, du 12 au 15 septembre.

Renault 17 : un coupé sport au design avant-gardiste

« Véritable icône des années 70, la R17 s’est imposée comme une figure de la pop culture par son design avant-gardiste et son caractère audacieux », affirme Arnaud Belloni, le grand patron du Marketing au Groupe Renault.

Présenté en 1971, ce coupé à hayon reprenait la plateforme de la berline R12. Caractérisé par ses lignes épurées, le constructeur le décrit comme un concentré « de l’explosion idéaliste de l’époque ».

Son intérieur très sculpté et ses sièges grand confort devaient séduire la clientèle. Plus encore les sièges baquets appelés « pétales » qui seront offerts à partir de 1976. Munis de bourrelets ajustables sur les flancs du dossier et les côtés de l’assise, ils figuraient parmi les équipements optionnels de la R17 et de la R15, cette dernière étant « sortie du même œuf », écrit Renault dans un communiqué récent décrivant ces « fausses jumelles ».

Publicités publiées au Québec et en Ontario en 1972 et 1973, à l’époque du lancement de la Renault 17.

Après avoir été la vedette du kiosque de Renault à la quatrième édition du Salon international de l’auto de Montréal, qui était présenté à la Place Bonaventure, la R17 a fait son entrée chez les concessionnaires de la marque au début de l’automne 1972. En avril 1973, Bédard Automobiles, un concessionnaire établi à Hull et Ottawa, l’offrait à partir de 4 399 $ plutôt que 4 899 $, le prix de base.

La version nord-américaine était munie d’un 4-cylindres longitudinal de 1,6 L à injection électronique. Il produisait 107 ch et entraînait les roues avant par le biais d’une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports. Renault affirme que plus de 92 000 exemplaires de ce coupé ont été vendus dans l’ensemble des pays où il a été commercialisé, entre 1971 et 1979.

Photos : Renault

Le texte Renault présente une R17 à la sauce « restomod » provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Au menu pour la neuvième journée de route du périple de Toyota à travers le Canada, effectué dans le cadre des célébrations entourant le 60e anniversaire de sa présence au pays, une visite de l’usine de Cambridge, en Ontario, puis une escapade vers le nord de la province, avec un arrêt plutôt inusité en cours de route.

L’usine de Cambridge a ouvert ses portes en 1988. Sur place, nous avons pu admirer la première voiture fabriquée par Toyota à cet endroit, une Corolla 1989 qui est, évidemment, toujours flambant neuve. Le premier véhicule Lexus assemblé à Cambridge, un RX 2004 (le 26 septembre 2003) était flanqué à ses côtés. Il s’agit du premier modèle de la marque de luxe à avoir été fabriqué à l’extérieur du Japon.

D’ailleurs, c’est à souligner, l’usine canadienne de Toyota est reconnue à travers le monde par l’entreprise pour la grande qualité du travail qu’elle accomplit.

Les choses ont grandement évolué depuis et d’autres modèles se sont succédé (Matrix et Solara) sur les chaînes de montage. Aujourd’hui, ce sont les Lexus NX et RX qui défilent devant les employés, mais aussi le Toyota RAV4, le modèle le plus vendu de l’entreprise à travers la planète, et au Canada bien sûr.

On parle assurément des RAV4 profitant d’un assemblage des plus rigoureux, car ils profitent des normes Lexus.

La visite de l’usine s’est avérée intéressante, mais elle ne nous a pas appris de nouvelles choses, outre le fait qu’on travaille de façon très ordonnée chez Toyota.

Nous avons cependant eu droit à un petit moment « historique », soit la greffe à notre cortège du onze millionième véhicule fabriqué par l’usine depuis 35 ans, soit un Toyota RAV4 fièrement identifié pour l’occasion. Ce dernier est tout frais sorti de l’usine.

Après nos visites des différentes installations de Toyota en Ontario, le temps était venu de faire un peu plus de kilométrage, cette fois pour entreprendre une portion de route qui m’était jusqu’à ce moment inconnue, soit le nord de l’Ontario.

Après un arrêt à Deerhusrt pour casser la croûte, nous nous sommes déplacés tout près pour participer à une aventure hors du commun pour tout chroniqueur automobile, soit l’essai de véhicules tout-terrain (VTT et autoquad biplace, que l’on appelle communément côte à côte).

Et quel est le lien avec Toyota ? En fait, les modèles essayés étaient de marque Yamaha, une entreprise qui collabore étroitement avec le géant japonais depuis les années 60. Yamaha a souvent participé au développement de moteurs Toyota, que ce soit pour des modèles de production ou des concepts. Le dernier en liste est l’exotique LFA avec le moteur 1LR-GUE, un V10 de 4,8 litres.

Et, évidemment, on nous mentionnait à quel point les propriétaires de camionnettes Tacoma et Tundra étaient d’avides amateurs de plein air et que bien souvent, ils sortent des sentiers battus avec leurs jouets Yamaha (bien sûr).

Votre humble serviteur a pour l’occasion pris le volant d’un autoquad biplace pour une première fois, une expérience plutôt intéressante.

Une fois l’exercice terminé, nous avons repris la route pour North Bay, le lieu de notre prochaine halte avant de nous lancer vers l’Ouest, en direction de Winnipeg, avec des arrêts à Sault-Sainte Marie et à Thunder Bay… et quantité d’autres visites au menu.

La suite bientôt.

Le texte Les 60 ans de Toyota à travers le Canada, Jour 9 : de Waterloo à North Bay, en Ontario provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile