En 2024, Audi a écoulé quelque 1,6 million de véhicules à travers la planète. La compagnie est assurément fière de ses résultats, mais elle ne compte pas s’arrêter là. En fait, selon une source au courant des ambitions de l’entreprise, on apprend via le site Automotive News que la compagnie vise le chiffre de 2,0 millions de ventes annuelles.

Du jamais vu

Si le constructeur atteint cet objectif, il établira un record. Pour y arriver, une approche agressive sera nécessaire, car depuis plusieurs années, on fait tantôt du « sur place », tantôt des pas en arrière au chapitre des ventes.

Les défis sont grands pour Audi, ainsi que pour la maison-mère, Volkswagen, qui n’a pas été épargnée par une foule de pépins qui ont entraîné des retards dans le lancement de modèle et des problèmes sur le plan technologique. Les droits de douane américains viennent aussi compliquer les choses pour Audi, qui ne construit présentement pas de modèles en sol américain.

Les choses peuvent changer avec les tarifs, mais voici à quoi ressemble la situation actuelle.

Audi viserait des ventes annuelles de deux millions d’unités | Auto123.com

Remaniements internes

En 2023, Audi se dotait d’un nouveau chef de la direction en Gernot Döllner. C’est sous la gouverne de ce dernier que la compagnie revoit sa stratégie de planification de produits et ses objectifs à long terme en ce qui a trait aux ventes. Le dirigeant n’a rien mentionné concernant l’objectif de deux millions de ventes annuelles.

Pour 2025, Audi vise des ventes se situant entre 1,7 et 1,8 million, après une baisse de 12 % à 1,67 million l’année dernière.

Les États-Unis

Pour atteindre les deux millions d’unités annuellement, Audi va avoir besoin du marché américain, là où l’incertitude règne actuellement. Ce dernier est le deuxième le plus important pour le fabricant allemand, après celui de la Chine. Pour atteindre l’objectif souhaité, la compagnie devra doubler ses ventes annuelles aux États-Unis, pour les faire passer de 200 000 à 400 000.

Il sera certes intéressant de voir ce que va faire la marque qui doit composer avec les tarifs, qui lui ont coûté autour d’un milliard en devise canadienne au cours de la première moitié de 2025.

La compagnie pourrait s’inspirer de ce que son rival BMW fait depuis plus de 30 ans, soit produire aux États-Unis pour ensuite exporter une partie de la production à partir de là.

Contenu original de auto123.

Le texte Audi viserait des ventes annuelles de deux millions d’unités provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Une stratégie pour séduire les acheteurs et regagner des parts de marché

Ram frappe un grand coup pour reconquérir sa clientèle : à partir de l’année-modèle 2026, la marque introduit une garantie limitée du groupe motopropulseur s’étendant sur 10 ans ou 160 000 kilomètres. Cette couverture concerne autant les camionnettes demi-tonne que les modèles Heavy Duty et les fourgons commerciaux.

Une couverture plus généreuse que jamais

Cette nouvelle garantie couvre les composants les plus coûteux du véhicule, incluant le moteur, la boîte de vitesses, le boîtier de transfert, les arbres de transmission, les différentiels et les essieux. Selon Tim Kuniskis, chef de la marque Ram, cette mesure répond à une réalité du marché : « Tout coûte plus cher et les camionnettes ne font pas exception. Près de 80 % des prêts pour l’achat de camions neufs s’échelonnent maintenant sur plus de cinq ans. Il n’est pas rare qu’un propriétaire rembourse encore son véhicule après l’expiration de la garantie originale. » Avec cette nouvelle politique, Ram offre aux consommateurs une tranquillité d’esprit accrue, surtout dans un contexte où le financement s’étire sur des périodes plus longues.

Attention : garantie non transférable

Cette garantie étendue ne s’applique qu’au premier propriétaire. Si vous achetez un Ram 1500 2026 d’occasion après cinq ans, la couverture ne suivra pas. De plus, les flottes commerciales n’auront pas droit à cette protection. Autre effet collatéral : les concessionnaires perdront une source importante de profits provenant de la vente de garanties prolongées, ce qui pourrait changer la dynamique des offres commerciales.

Le retour du V8 HEMI et une stratégie de reconquête

Cette annonce arrive peu après la confirmation du retour du moteur HEMI V8 en option sur les Ram 1500, une réponse directe au mécontentement des amateurs de la marque. En combinant cette motorisation populaire et une garantie prolongée, Ram espère relancer les ventes, en forte baisse depuis le début de l’année.

  • Ventes globales Ram : en recul de 24 % au premier semestre

  • Ventes de camionnettes Ram : chute de 31 %

Ces mesures visent clairement à redresser la barre et repositionner Ram comme un acteur incontournable du marché nord-américain des camionnettes.

Avec des renseignements de Driving.ca

Le texte Ram offre une garantie de 10 ans ou 160 000 km sur ses camionnettes 2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Stellantis annonce un nouveau rappel majeur touchant plus de 219 000 véhicules aux États-Unis en raison d’un problème critique : les caméras de recul peuvent cesser de fonctionner sans avertissement. Une défaillance qui survient au moment où le constructeur lutte déjà avec des pertes financières et une refonte stratégique en Europe.

Ram ProMaster et Dodge Journey parmi les plus touchés

Les modèles concernés incluent plus de 141 000 Ram ProMaster et près de 78 000 Dodge Journey. Contrairement à certains rappels où une simple mise à jour logicielle suffit, une intervention physique en concession est ici nécessaire. Cette panne de caméra touche un élément désormais obligatoire par la réglementation américaine. Pour Stellantis, qui doit rappeler des véhicules aussi populaires que le ProMaster — un pilier pour les flottes commerciales — l’impact sur l’image de marque est considérable.

Un rappel qui s’ajoute à une longue série

Ce rappel n’arrive pas seul. Il y a quelques semaines à peine, Stellantis a déjà annoncé une autre campagne touchant 121 000 Jeep Grand Cherokee pour un problème de sécurité critique. L’an dernier, une opération encore plus vaste avait été lancée pour corriger des défaillances similaires sur les systèmes de caméras de plusieurs modèles. Cette accumulation de rappels commence à soulever des doutes sur les processus de contrôle qualité chez Stellantis. Les consommateurs perdent confiance, les concessionnaires voient leurs ateliers saturés, et la valeur de revente des véhicules concernés pourrait en souffrir.

Pertes financières et refonte stratégique en Europe

Ce rappel survient au pire moment pour Stellantis. Le constructeur vient d’annoncer une perte trimestrielle de 2,7 milliards $ US, en grande partie liée aux tarifs douaniers et aux perturbations dans la chaîne d’approvisionnement. Pour limiter la casse, Stellantis a même retiré ses prévisions financières annuelles. En parallèle, l’entreprise mise sur un renouveau créatif en Europe. En recrutant Gilles Vidal, ex-designer vedette de Peugeot, Stellantis espère redonner un souffle à ses futurs modèles et reconquérir les acheteurs.

Conclusion

La multiplication des rappels — souvent liés à des technologies essentielles — nuit directement à l’image de Stellantis et menace sa fidélité client. Dans un contexte où la transition vers les véhicules électriques exige des investissements colossaux, chaque défaillance technique retarde la stratégie globale et fragilise la compétitivité du groupe sur les marchés nord-américain et européen.

Avec des renseignements d’Autoblog

Le texte Stellantis rappelle 219 000 véhicules pour un problème de caméra de recul provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Kia vient d’annoncer les prix et les spécifications complètes de son tout nouveau EV5 2025, un VUS électrique de taille intermédiaire qui s’attaque directement au Tesla Model Y. Avec un design moderne, une autonomie pouvant atteindre 530 km et un prix de départ d’environ 53 000 $ CA, ce nouveau modèle pourrait devenir l’un des piliers de la stratégie d’électrification de Kia en Amérique du Nord.

Un VUS électrique pensé pour le marché concurrentiel

Le Kia EV5 se positionne dans le segment des VUS compacts électriques, le plus compétitif actuellement au Canada. Avec ses 4 610 mm de long, 1 875 mm de large et 1 675 mm de haut, il se rapproche des dimensions d’un Tesla Model Y et se place légèrement au-dessus du Kia Sportage en gabarit. Basé sur une plateforme 400V, l’EV5 peut recharger sa batterie de 10 % à 80 % en environ 30 minutes. Kia offre trois versions : Air, GT-Line et GT-Line S. Toutes sont équipées d’une batterie de 81,4 kWh et d’un moteur électrique avant développant 214 chevaux permettant un 0 à 100 km/h en 8,4 secondes.

Technologie et habitacle ultra-connecté

L’intérieur du Kia EV5 adopte le Connected Car Navigation Cockpit (ccNC), un système technologique dernier cri. On y retrouve un double écran de 12,3 pouces pour l’instrumentation et la navigation, un écran tactile secondaire de 5,3 pouces pour la gestion de la climatisation, ainsi qu’un affichage tête haute de 12,3 pouces sur les versions haut de gamme. La compatibilité Apple CarPlay et Android Auto sans fil est incluse de série, et l’expérience utilisateur s’annonce fluide grâce à une interface optimisée.

Une pièce maîtresse de la stratégie électrique de Kia

L’EV5 rejoint la famille électrique grandissante de Kia aux côtés des EV3, EV4, EV6 et EV9. Le plus petit des cinq, le Kia EV3, a déjà été le VÉ le plus vendu au détail au Royaume-Uni au premier semestre 2025, et Kia espère répliquer ce succès avec son EV5. Les livraisons devraient débuter d’ici la fin de 2025, et le modèle pourrait séduire les acheteurs en quête d’un VUS électrique spacieux, technologique et plus abordable qu’un Tesla Model Y.

Prix et autonomie

Les prix canadien n’ont pas encore été annoncés, mais le Royaume Uni a publié les prix et l’autonomie en WLTP

Version Prix (livres) Autonomie WLTP
Kia EV5 Air 39 295 530 km
Kia EV5 GT-Line 42 595 503 km
Kia EV5 GT-Line S 47 095 503 km

Le texte Kia EV5 2025 : prix, autonomie et technologie du nouveau VUS électrique pour l’Europe provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Audi a confirmé que les A7 et S7 Sportback ne seront plus offertes à partir de l’année-modèle 2026. Ces berlines fastback, lancées en deuxième génération sur la base de l’A6, tirent leur révérence après un peu plus d’une décennie de carrière. Cependant, la RS7 de 621 chevaux échappe à la refonte et restera au catalogue jusqu’en 2026… du moins pour l’instant.

Une A6 nouvelle génération pour combler le vide

Pour remplacer les A7 et S7, Audi mise sur une nouvelle A6 essence 2026. Cette prochaine génération adoptera une silhouette fastback inspirée de l’A7, tout en conservant le nom A6. L’objectif est clair : réduire le chevauchement des modèles et simplifier la gamme, tout en préparant le terrain à l’électrification massive prévue d’ici 2030. Cette stratégie n’est pas sans rappeler le repositionnement des A4 et A5 : la berline A4 disparaît, remplacée par des A5 et S5 au design fastback, dans une logique de rationalisation des plateformes et de préparation à l’arrivée des modèles électriques.

La RS7 continue… pour l’instant

Alors que les A7 et S7 disparaissent, la RS7 reste une exception. Avec son V8 biturbo de 621 chevaux, elle continue d’incarner le sommet de la sportivité chez Audi. Cette survie pourrait être temporaire, puisqu’une RS6 berline surpuissante pourrait venir reprendre le flambeau dans les prochaines années, en complément de l’actuelle RS6 Avant déjà confirmée pour 2026.

Des salles d’exposition moins encombrées

Audi a récemment été critiquée pour la complexité de son offre, avec des modèles au design et aux dimensions proches. Entre les A5, S5, anciennes A7 et nouvelles A6, le catalogue manquait de clarté pour les clients. Avec cette réorganisation, les concessions Audi devraient présenter une gamme plus lisible dès 2026, mieux adaptée à un marché en pleine transition énergétique.

Virage électrique

Derrière cette décision, Audi prépare un virage stratégique vers l’électrification. La marque prévoit que plus de 50 % de ses ventes mondiales seront électriques d’ici 2030. En rationalisant ses gammes thermiques, Audi se donne les moyens de mieux distinguer ses modèles à essence et ses futures plateformes 100 % électriques.

Avec des renseignements de Car and Driver

Le texte Audi met fin aux A7 et S7 pour 2026, mais la RS7 survit provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Audi a publié par erreur la première image officielle de son nouveau coupé concept électrique, prévue pour être dévoilée le 9 septembre au Salon de Munich 2025. La photo, rapidement supprimée, a tout de même été capturée par des passionnés comme Wilcoblok et Cochespias, puis partagée sur Instagram.

Un design entre TT et R8, avec une touche de Porsche

D’après l’image floue, le profil latéral du concept mélange des influences d’Audi, de Bentley et même du concept Jaguar Type 00. La silhouette marie des courbes fluides et des lignes acérées, mais l’absence de vitre de custode arrière crée un rendu un peu particulier. Les plis visibles sur le toit laissent supposer la présence d’un toit rétractable, possiblement de type targa.

Une sportive électrique inspirée de la Porsche 718 EV

Audi n’a pas révélé de détails techniques, mais Gernot Döllner, PDG d’Audi, a confirmé qu’il s’agissait du projet “TT Moment 2.0”. Le concept se positionnerait entre la TT et la R8 et serait 100 % électrique. Tout indique qu’il pourrait partager sa plateforme avec la future Porsche 718 EV, dont des prototypes ont déjà été aperçus en tests routiers.

Une campagne de présentation bien orchestrée

Même si l’image a fuité, Audi entretient le mystère avec une série de teasers vidéo. Le premier met en vedette la TT et annonce : « Les légendes d’hier sont le plan pour demain ». On y aperçoit également des modèles iconiques comme les bolides Auto Union Type C et D ainsi que le concept Avus, hommage à l’héritage sportif de la marque.

Un modèle clé pour la stratégie électrique d’Audi

Ce futur coupé concept pourrait devenir un pilier de la transition électrique d’Audi. Plus compact qu’une A5 Coupé, il se veut l’héritier spirituel de la TT, tout en flirtant avec les performances de la R8. Le Salon de Munich 2025 s’annonce crucial pour Audi : le constructeur y présentera officiellement ce nouveau coupé électrique et pourrait confirmer ses plans pour un modèle de production.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte Audi dévoile accidentellement son nouveau coupé concept électrique avant le Salon de Munich 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

L’industrie automobile allemande, longtemps considérée comme un pilier de la performance industrielle européenne, traverse une crise profonde. Selon les dernières données de Destatis, plus de 51 500 emplois ont disparu entre juin 2024 et juin 2025, tandis que les exportations de véhicules et de pièces détachées vers les États-Unis ont reculé de 8,6 % au premier semestre 2025.

Une combinaison de facteurs aggravants

Les difficultés de l’industrie ne tiennent pas à un seul facteur. Les constructeurs allemands peinent à suivre la cadence imposée par la concurrence internationale, notamment les marques chinoises qui produisent plus vite et à moindre coût. De plus, la transition vers l’électrification est ralentie par des régulations contraignantes et une lourde bureaucratie fédérale. À cela s’ajoutent les tarifs douaniers imposés par l’administration Trump, qui ont sérieusement freiné les exportations allemandes vers l’un de leurs marchés les plus cruciaux : les États-Unis.

Un impact direct sur l’économie allemande

Cette baisse de régime du secteur automobile s’inscrit dans un contexte économique plus large. Le PIB allemand a reculé en 2023 et 2024, et la croissance demeure fragile en 2025, avec une hausse de seulement 0,3 % au premier trimestre suivie d’un recul équivalent au second. L’industrie automobile, jadis moteur de la prospérité, devient désormais l’un des principaux freins à la reprise économique.

Un graphique révélateur de la crise

Le graphique ci-dessous illustre l’ampleur de la crise : la baisse constante des emplois depuis 2019 et la chute des exportations automobiles vers les États-Unis.Crise automobile allemande

Crise automobile allemande

Conclusion

L’industrie automobile allemande est à un tournant critique. Entre pressions réglementaires, tarifs douaniers, concurrence asiatique et retards dans l’électrification, les grands noms comme Volkswagen, BMW et Mercedes-Benz doivent se réinventer pour survivre. Si aucune stratégie d’adaptation rapide n’est mise en place, l’écart avec les acteurs chinois et américains pourrait encore se creuser dans les prochaines années.

Avec des renseignements de Carscoop

Le texte Crise de l’industrie automobile allemande : 51 000 emplois perdus alors que les tarifs américains frappent fort provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La toute première voiture Nash sortait des chaînes de production : un modèle six-cylindres de 4 litres doté d’une innovation rare pour l’époque, des soupapes en tête actionnées par tiges de poussée. Cette technologie provenait directement de l’héritage technique de Charles W. Nash, ancien président de Buick, une marque qui utilisait exclusivement ce type de moteurs depuis sa fondation en 1903.

Une gamme complète dès le départ

La première gamme de Nash était ambitieuse pour un nouveau constructeur. Elle comprenait :

  • Des voitures à cinq et sept places

  • Un modèle « chummy » (petite deux places sportive)

  • Un coupé

  • Une berline

Pour une marque fraîchement lancée, les ventes furent encourageantes : 10 283 unités furent écoulées pour la saison 1918.

Un constructeur pionnier de l’innovation

Au fil des décennies, Nash Motors s’est imposé comme un précurseur technologique dans l’industrie automobile nord-américaine. Parmi ses contributions majeures :

  • 1938 : introduction du système de chauffage et de ventilation intégré — une innovation dont le principe est encore utilisé aujourd’hui.

  • 1941 : adoption de la carrosserie monocoque pour une meilleure rigidité et sécurité.

  • 1950 : lancement des ceintures de sécurité bien avant qu’elles ne deviennent la norme.

  • 1950 : production de la première voiture compacte américaine.

  • 1957 : participation à l’essor des muscle cars, qui deviendront une icône culturelle.

Héritage et influence dans l’automobile

Même si la marque Nash a disparu en 1954 après sa fusion avec Hudson pour former American Motors Corporation (AMC), son héritage technique et ses innovations ont profondément marqué l’automobile nord-américaine. De la sécurité au confort, en passant par la conception structurelle, Nash a contribué à poser les bases de nombreuses technologies encore présentes aujourd’hui.

Le texte La première automobile Nash voit le jour en 1917 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Pour Ford, on peut parler de cette semaine comme une à oublier. Les rappels se succèdent, et les camionnettes de la marque ne sont pas épargnées. Après avoir vu 355 000 camions être rappelés mercredi, hier, un autre rappel vise 103 000 F-150 pour régler un autre problème, cette fois relié à l’essieu arrière. Au Canada, ce sont 22 663 exemplaires qui sont visés.

Des unités des millésimes 2023, 2024 et 2025 sont visées. Le problème concerne plus précisément les F-150 équipées de l’ensemble de remorquage Trailer Tow Max Duty de Ford et d’un essieu ultra robuste (HD) de 9,75 pouces avec une conception d’essieu semi-flottant trois-quarts.

Le problème

Le rappel concerne un problème au niveau de l’essieu arrière, qui pourrait entraîner le mouvement du véhicule, qui pourrait simplement se mettre à avancer ou reculer sans avertissement.

Le problème, c’est que le boulon du moyeu de l’essieu arrière peut se rompre en raison du stress et de la corrosion au fil du temps, ce qui l’empêcherait d’arrêter les petits mouvements qui se produisent entre les cannelures du moyeu et celles de l’arbre d’essieu.

Ford F-150 2024
Ford F-150 2024 | Auto123.com

Selon les documents qui expliquent le rappel, un environnement corrosif associé aux petits mouvements peut user les cannelures du moyeu, entraînant une perte de transfert du couple aux roues. Si le camion est en mode propulsion, cela peut entraîner une perte totale de la puissance motrice.

Pire, les cannelures dénudées du moyeu d’essieu peuvent créer un risque de déplacement du véhicule lorsque celui-ci est à l’arrêt. Heureusement, il est possible d’éliminer ce risque en utilisant le frein de stationnement de façon régulière.

La solution

Les propriétaires des véhicules concernés seront informés et invités à amener leur véhicule chez un concessionnaire Ford afin que les techniciens puissent procéder à la réparation.

Les documents de rappel indiquent que les véhicules seront équipés de nouveaux ensembles d’essieux arrière gauche et droit, avec une géométrie et des points de fixation revus afin d’éviter que cette situation se reproduise.

Ford a informé les concessionnaires de la solution à la mi-août et prévoit une campagne de notification progressive des propriétaires qui devrait se terminer le 22 mai 2026. Les propriétaires qui craignent que leur camion soit concerné peuvent vérifier sur le site web de la NHTSA.

Contenu original de auto123.

Le texte Ford rappelle 103 000 F-150 pour un problème avec l’essieu arrière provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

L’an dernier, Subaru nous présentait une nouvelle génération de son VUS Forester pour l’année 2025. Au menu, deux variantes étaient à venir, soit la nouvelle déclinaison hybride, ainsi que la version Wilderness, qui nous était promise pour 2026. Pour 2025, le modèle d’ancienne génération était conservé au catalogue.

L’année 2026 approche tranquillement, et la fameuse variante Wilderness sera bientôt en concession. On ne connaît pas son prix canadien pour le moment, mais du côté des États-Unis, la chose vient d’être dévoilée, et elle n’annonce rien de bon pour ce qui risque de se produire de ce côté-ci de la frontière.

Subaru Forester Wilderness 2026
Subaru Forester Wilderness 2026 | Auto123.com

Chez nos voisins, le modèle 2026 est annoncé à 39 835 $ US, soit 2130 $ US de plus que pour 2025. Si c’était le cas pour toutes les versions 2026, on comprendrait, mais ce n’est pas la réalité, alors que la facture est pratiquement la même à travers la famille entre les propositions de 2025 et de 2026. Les factures vont de 31 445 $ US à 43 045 $ US là-bas.

Chez nous, le Subaru Forester Wilderness 2025 est offert à 41 195 $ CA. On peut donc anticiper quelque chose autour de 46 000 $ CA pour notre modèle 2026. C’est bien sûr très spéculatif, car les liens entre les prix américains et canadiens ne sont pas aussi directs. Ça donne une idée de la hausse qui pourrait nous toucher, toutefois.

Et les tarifs?

Concernant les tarifs, le Subaru Forester Wilderness 2026 qui sera vendu aux États-Unis sera fabriqué en sol américain, ce qui fait qu’il ne sera pas touché. Cependant, d’autres modèles Subaru le sont et la compagnie a déjà annoncé des hausses de prix avec certains modèles. Il est possible qu’une partie de la facture soit refilée à la version Wilderness.

Bref, soyons prudents et patients, mais il faut quand même s’attendre à une hausse de prix chez nous pour cette variante qui est fort populaire au sein de la gamme.

Contenu original de auto123.

Le texte Subaru Forester Wilderness 2026 : la facture s’annonce salée provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile