• Mazda songe à ramener une camionnette sur le marché nord-américain.

Mazda ne propose plus de camionnette depuis plus de 15 ans aux consommateurs nord-américains. On se souviendra que lors des années 2000, la compagnie offrait une version à peine retouchée du Ford Ranger. Le modèle était connu sous le nom de Série B chez Mazda.

Avec les tendances actuelles, où l’on voit les constructeurs qui commercialisent des camionnettes de taille intermédiaire faire de bonnes affaires, on aimerait participer à la fête du côté de Mazda. Le grand patron de la marque, Masahiro Moro, y a fait allusion lors d’un récent entretien qu’il a accordé au magazine Car and Driver.

Évidemment, puisque Mazda ne possède pas de plateforme pensée pour ce genre de véhicule, ça vient compliquer les choses un peu, et l’on peut pratiquement éliminer l’idée de développer un modèle en interne, considérant les coûts que cela engendrerait.

Cependant, la compagnie pourrait faire ce qu’elle a déjà fait, c’est-à-dire collaborer avec un autre constructeur.

« Nous pourrions travailler avec d’autres groupes pour l’obtenir. Notre couverture de l’ensemble de l’industrie n’est que de 50 %, car nous n’avons pas de camionnette. C’est le bon moment pour réfléchir à un futur portfolio qui en inclurait une », a-t-il précisé.

La compagnie n’est pas étrangère à ce genre de démarche. Le site Car and Driver rapporte que Mazda travaille déjà avec un équipementier sur une camionnette appelée BT-50. Elle est basée sur le D-Max d’Isuzu et elle est construite en Thaïlande pour une poignée de marchés, dont l’Australie. Le modèle BT-50 est livrable en trois configurations de cabine (simple, allongée ou double), avec des rouages 2×4 et 4×4.

Bien sûr, il est difficile d’imaginer une possibilité chez nous pour un tel modèle en raison des normes qui sont probablement très différentes.

Le Mazda B4000 2008
Le Mazda B4000 2008 | Auto123.com

Ce qu’on peut envisager, c’est plutôt un partenariat avec un fabricant qui propose déjà une camionnette sur notre marché. Reste à voir quelle avenue pourrait intéresser Mazda. La compagnie voit bien ce qui se passe avec la Ford Maverick. Est-ce que Mazda pourrait retourner à ses anciens amours ?

Des solutions plus robustes sont aussi envisageables dans la catégorie des modèles intermédiaires, notamment avec Toyota qui propose le Tacoma. On sait que les deux compagnies ont déjà des ententes de partenariats.

Tout cela n’est que spéculation, bien sûr. Ce qu’il faut retenir, c’est que la haute direction ne semble pas fermée à l’idée, loin de là. Nous verrons bien si le tout se concrétise au cours des prochaines années.

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Le texte Mazda aimerait ramener une camionnette en Amérique du Nord provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

• Nissan songerait à offrir une mécanique hybride rechargeable pour sa camionnette Frontier.

Le Nissan Frontier a été renouvelé pour l’année 2022, mais il peine à faire la lutte aux modèles de sa catégorie qui se déclinent en plus de versions et qui ont des motorisations plus variées et plus intéressantes.

La compagnie lui a offert une mise à jour en 2025, un rafraîchissement de mi-parcours qui a modernisé l’extérieur, augmenté la capacité de remorquage, ajouté un volant télescopique à l’intérieur, en plus d’offrir la connexion sans fil aux applications Apple CarPlay et Android Auto, entre autres choses.

Nissan aurait toutefois un plan en tête pour donner un second élan à ce modèle, soit une éventuelle version hybride rechargeable. En fait, la prochaine cuvée de ce produit pourrait profiter d’une telle motorisation et être harmonisée avec le modèle que Nissan propose en Amérique latine, en Asie, ainsi que sur d’autres marchés à travers la planète.

Le responsable de la planification pour Nissan en Amérique du Nord, Ponz Pandikuthira, a confié au site Motor Trend qu’une mise à niveau du groupe motopropulseur du Frontier est nécessaire. « Pour que son cycle de vie ait un sens et soit conforme, il devra être électrifié », a-t-il précisé.

Une version hybride rechargeable serait la solution la plus intéressante pour permettre à Nissan de toujours offrir un modèle doté d’une excellente capacité de remorquage, mais aussi la robustesse nécessaire et attendue dans cette catégorie. Avec une telle approche mécanique, le modèle continuerait à respecter les normes d’émissions polluantes, un autre élément impondérable qu’il faut toujours considérer.

Le Nissan Frontier 2025, avant
Le Nissan Frontier 2025, avant | Auto123.com

Le Nissan Frontier est animé par un moteur V6 de 3,8 litres qui propose une puissance de 310 chevaux et un couple de 281 livres-pieds. Sa consommation d’essence demeure importante à 12,8 litres aux 100 km en ville, 10,2 litres sur l’autoroute. Il est clair qu’une solution hybride rechargeable viendrait changer la donne.

Et si Nissan est la première à offrir une telle approche dans cette catégorie, ça pourrait vraiment relancer son modèle.

Si la compagnie veut faire un pas en avant, elle n’aura pas le choix d’innover.

Et quand est-ce qu’un tel modèle pourrait être offert ? Autour de 2028, selon Ponz Pandikuthira.

Nissan commercialise actuellement deux camionnettes de taille intermédiaire à travers le monde. Le Frontier, qui est assemblé à l’usine américaine de Canton, au Mississippi. La compagnie construit une autre camionnette, la Navara, qui est destinée entre autres à l’Amérique latine. Elle profite d’une plateforme différente et elle est assemblée au Mexique.

On pourrait assister à une stratégie différente, cependant. Explique Ponz Pandikuthira,

« Idéalement, nous aimerions disposer d’une solution de convergence mondiale. »

Autrement dit, un modèle mondial qui reposerait sur une nouvelle structure, capable d’accueillir toutes les motorisations nécessaires pour satisfaire les différents marchés de la planète, y compris une solution hybride rechargeable.

La perspective est très intéressante. Reste à voir si elle se concrétisera, ce qui représenterait une excellente nouvelle pour Nissan.

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Le texte Un Nissan Frontier hybride rechargeable en 2028 ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

C’était un secret de polichinelle ; Cadillac va offrir une version V de son VUS électrique Optiq en 2026. La nouvelle a été confirmée par la compagnie alors qu’elle a publié deux images montrant une partie du véhicule qui est appelé à rejoindre la gamme cet été.

Un secret qui n’était pas très bien gardé, car il était facile d’imaginer qu’après le Lyriq-V, la compagnie allait profiter de l’occasion pour aussi lancer une version de performance de son plus petit Optiq.

Tout cela alors que le Chevrolet Blazer EV SS vient de faire ses débuts, ce modèle étant la version la plus enragée de la gamme.

À quand un Chevrolet Equinox EV SS pour boucler la boucle ? On n’a bien sûr rien voulu nous dire là-dessus au lancement du Blazer, auquel nous assistions la semaine dernière, mais il est facile d’imaginer que c’est une possibilité. L’Equinox EV est la version Chevrolet du Cadillac Optiq.

Le Cadillac Optiq-V 2026, calandre
Le Cadillac Optiq-V 2026, calandre | Auto123.com
Le Cadillac Optiq-V 2026, hayon
Le Cadillac Optiq-V 2026, hayon | Auto123.com

Design du Cadillac Optiq-V 2026

Les images publiées ne nous fournissent pas beaucoup d’informations sur le modèle. On voit bien le logo V flanqué sur le côté droit du hayon, ainsi que la signature lumineuse qui va définir cette déclinaison à l’avant.

Motorisation du Cadillac Optiq-V 2026

Bien sûr, il faudra attendre pour les informations concernant la fiche technique, mais on peut s’attendre à bien plus que les 300 chevaux de la version régulière, mais bien moins que les 615 étalons du Blazer EV SS. Imaginons quelque chose autour de 450 chevaux et l’on vous promet qu’on ne sera pas trop loin de la réalité.

Le châssis, les freins et la suspension devraient aussi être retouchés pour offrir un petit plus à celui ou celle qui sera derrière le volant, sans compter qu’on peut s’attendre à quelques touches plus luxueuses et distinctives à l’intérieur, avec des coloris des accents et certains matériaux plus chics.

Le Cadillac Optiq-V sera dévoilé cet été, bien que Cadillac n’ait pas encore communiqué de date ou d’heure officielle. Nous devrons attendre pour connaître le prix et les autres caractéristiques de l’Optiq-V, mais si l’on se fie au prix du Lyriq-V, nous pensons que l’Optiq plus sportive pourrait démarrer à plus de 70 000 $.

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Le texte Cadillac confirme l’Optiq-V 2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Cette semaine, sur la colline parlementaire, l’Association des Détaillants d’Automobiles du Canada (CADA) a dévoilé le « Cadre canadien de compétitivité automobile ». Ce document expose les mesures concrètes que, selon l’association, le prochain gouvernement fédéral devra adopter pour que le pays et son industrie automobile demeurent compétitifs, tout en évitant une crise d’accessibilité pour les consommateurs.

« Le Cadre de la CADA énonce des actions réglementaires claires que nous exhortons le prochain gouvernement fédéral à prendre pour protéger les consommateurs, les concessionnaires indépendants et l’économie », a déclaré Tim Reuss, le PDG de la CADA, qui représente plus de 3200 concessionnaires à travers le pays, employant collectivement 178 000 personnes.

Une crise d’accessibilité en approche

Selon Tim Reuss, les répercussions des tarifs douaniers américains plongent le secteur dans l’incertitude. « Nous saluons la retenue du gouvernement canadien dans sa réponse, mais il est clair que nous nous dirigeons vers une crise de l’accessibilité automobile », a-t-il averti.

La CADA presse Ottawa d’agir pour sauver la compétitivité automobile au Canada | Auto123.com

Face à cette urgence, la CADA propose cinq mesures prioritaires :

1. Abandonner les quotas de véhicules électriques (VÉ)

Alors que le Canada a connu un succès notable dans l’adoption des VÉ grâce à un alignement efficace entre la demande, l’infrastructure de recharge et les incitatifs, la dynamique est en train de s’effriter. L’infrastructure n’évolue plus au même rythme, et les aides à l’achat, tant fédérales que provinciales, sont réduites, voire supprimées.

La CADA demande donc la fin des mandats imposant des quotas de ventes de VÉ.

2. Élargir l’horizon réglementaire canadien

Le Canada est encore trop dépendant des normes américaines en matière de sécurité et d’environnement, ce qui limite le choix des véhicules pour les Canadiens.

La CADA suggère de reconnaître les certifications de conformité des véhicules provenant du Japon, de la Corée du Sud et de l’Union européenne. Cela ouvrirait le marché sans représailles commerciales envers les États-Unis, tout en élargissant les choix pour les consommateurs.

La CADA presse Ottawa d’agir pour sauver la compétitivité automobile au Canada | Auto123.com

3. Empêcher les grandes banques de concurrencer leurs propres clients

Alors que la Loi sur les banques est en cours de révision, certaines grandes institutions souhaitent pouvoir offrir du crédit-bail directement aux consommateurs. Pour la CADA, cela créerait un conflit d’intérêt, les banques ayant accès aux données financières complètes des concessionnaires qu’elles financent.

Rappelons qu’en 2008, ces mêmes banques s’étaient retirées du marché du financement automobile. La CADA demande donc qu’aucune nouvelle latitude ne leur soit accordée.

4. Abolir la taxe de luxe inefficace sur les véhicules

Imposée récemment, la taxe de luxe sur les véhicules s’est révélée coûteuse, inefficace et imprévisible, selon la CADA. Les consommateurs ont rapidement adapté leurs comportements pour l’éviter. Sa gestion par un tout nouveau système, distinct de la TPS/TVH, en fait une taxe coûteuse pour tous — gouvernement, manufacturiers et détaillants.

La CADA demande son abolition pure et simple.

5. Rembourser les dettes liées aux incitatifs iZEV

En janvier 2025, Transports Canada annonçait à la hâte que le programme d’incitatifs pour les VÉ pourrait manquer de fonds. Le week-end même, une entreprise américaine peu implantée au Canada a pu soumettre pour plus de 48 millions de dollars de demandes. Le lundi, le programme était fermé. Les concessionnaires canadiens ont avancé environ 10 millions CAD pour leurs clients, sans compensation à ce jour.

La CADA exige que le gouvernement rembourse immédiatement cette dette.

Un appel à l’action pour l’avenir de l’automobile au Canada

Le Cadre de compétitivité automobile de la CADA se veut un guide pragmatique pour aider le prochain gouvernement à naviguer dans une période de transition majeure. Selon la CADA, d’entreprendre les mesures suggérées assurerait une politique automobile équilibrée, accessible et durable.

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General Motors a officiellement ordonné l’arrêt de vente et le rappel complet de tous ses camions et VUS pleine grandeur des années-modèles 2021 à 2024 équipés du moteur V8 6,2 litres L87. Cette mesure intervient après une vague de rapports d’utilisateurs signalant des pannes moteur totales, entraînant une enquête de la NHTSA dès janvier. Dans un bulletin aux concessionnaires, GM a précisé que les modèles Cadillac Escalade, Escalade ESV, Chevrolet Silverado 1500, Suburban, Tahoe ainsi que les GMC Sierra 1500, Yukon et Yukon XL étaient concernés.
« Les composants du moteur, notamment la bielle et/ou le vilebrequin, peuvent présenter des défauts de fabrication pouvant causer des dommages au moteur et une panne en cours de route, augmentant ainsi le risque d’accident », a indiqué GM dans sa communication.

Les mesures correctives en place

Les véhicules qui passent l’inspection devront recevoir une huile moteur plus lourde (0W-40 au lieu de 0W-20), un nouveau bouchon d’huile, ainsi qu’un insert d’information pour le manuel du propriétaire avant d’être remis en vente. Un porte-parole de GM a confirmé que « la sécurité et la satisfaction des clients demeurent les priorités absolues de l’entreprise », ajoutant que GM travaille activement à résoudre ce problème de fabrication.

Une enquête fédérale et des impacts à long terme

La National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) avait ouvert plus tôt cette année une « évaluation préliminaire » portant sur les véhicules GM de 2019 à 2024 équipés du moteur L87, après avoir reçu près de 350 plaintes de consommateurs. Bonne nouvelle pour les acheteurs potentiels : les modèles 2025 semblent épargnés. Une source interne indique que les moteurs 6,2 L des modèles 2025 sont issus d’outillages mis à jour, éliminant le défaut initial.

Une pénurie persistante de modèles 2025 équipés du V8 6.2 litres

Cependant, l’impact sur la chaîne d’approvisionnement est tangible. Alors que les inventaires de camions et VUS GM 2025 sont disponibles chez les concessionnaires, les exemplaires dotés du V8 6,2 L sont rares. Cela s’explique par le traitement simultané du remplacement des moteurs défectueux pour les clients existants.

Avec des renseignements de The Drive

Le texte GM ordonne un arrêt de vente pour les V8 6,2 L défectueux dans les camions et VUS 2021-2024 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Hyundai Motor Co. a récemment confirmé avoir transféré une partie de la production du Hyundai Tucson destiné au marché canadien des États-Unis vers le Mexique. Cette décision vise à limiter les effets des nouveaux tarifs douaniers sur son activité, comme l’a annoncé le constructeur lors de son appel de résultats du premier trimestre, le 24 avril. Hyundai Auto Canada a validé ce changement d’approvisionnement sans toutefois préciser le nombre exact de véhicules concernés.

L’impact des tarifs douaniers nord-américains

Au premier trimestre 2025, Hyundai Canada avait importé 3 598 Tucson de son usine de Montgomery, en Alabama, selon l’Automotive News Research & Data Center de Détroit. À cela s’ajoutaient 4 636 unités provenant d’outre-mer, sans aucune importation depuis le Mexique à ce moment-là. Ce changement de stratégie est une réponse directe aux nouvelles barrières commerciales instaurées en Amérique du Nord. Depuis le 3 avril, le président américain Donald Trump a mis en place des tarifs allant jusqu’à 25 % sur les véhicules importés aux États-Unis. Le Canada a rapidement répliqué avec des contre-mesures le 9 avril.

Production adaptée sans réduire l’activité américaine

Bien que Hyundai réduira les exportations du Tucson des États-Unis vers le Canada, la production de l’usine d’Alabama ne devrait pas diminuer. En effet, Hyundai a aussi réaffecté une partie de la production de Tucson fabriqués au Mexique, destinés initialement aux États-Unis, vers Montgomery, en Alabama, pour contourner les tarifs américains.

Le Tucson, un modèle clé pour Hyundai Canada

Le Tucson reste un pilier des ventes pour Hyundai au Canada, représentant environ 25 % des ventes au premier trimestre 2025. C’est aussi l’un des trois modèles produits en Alabama pour le marché canadien, aux côtés du Santa Fe et du Santa Cruz. Toutefois, ces deux derniers ne sont pas fabriqués au Mexique. Hyundai continue donc d’évaluer l’impact des tarifs sur leur importation.

Brad Ross souligne que Hyundai Canada, qui compte plus de 250 concessionnaires à travers le pays, est « bien positionnée pour s’adapter aux changements et pivoter en fonction de la demande du marché ».

Un contexte qui bouleverse l’industrie automobile

Hyundai n’est pas seul à ajuster sa production. Mazda Canada a annoncé une pause dans la production de son CX-50 à son usine d’Alabama à compter du 12 mai, à moins d’un changement rapide dans les politiques tarifaires. De son côté, Subaru Canada augmentera ses importations en provenance du Japon dès l’année-modèle 2026 pour réduire sa dépendance à son usine américaine de Lafayette, Indiana.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte Hyundai Canada déplacera l’importation de certains Tucson vers le Mexique pour éviter les tarifs douaniers provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

On a parlé dernièrement comment acheter une voiture ancienne chez un marchand spécialisé, ou sur MarketPlace. Maintenant on va discuter de comment acheter une voiture ancienne en pièces, démontée entièrement sur MarketPlace ou autres plateformes semblables.

La voiture que vous convoitée se trouve dans un rayon assez large, et c’est LE modèle que vous voulez, alors vous vous dites ‘’ ça me tente, ça a l’air correct’’. Vous contacter le vendeur…

Pour ceux qui n’ont pas vue l’annonce, le descriptif le voici : Pontiac 1948 convertible, a toutes les pièces, moteur rebâtie, et transmission aussi, carrosserie décapée et antirouille appliquée. Et très important, a les papiers.

Bien sûr, il y a des photos, mais, la carrosserie est dehors…premier drapeau rouge.

Vous contactez le vendeur, et dans votre discussion, vous lui demandez si toutes les pièces sont là. Il répond qu’elles ne sont pas toutes en bon états. Ce n’était pas la question de l’état des pièces que vous avez demandé. Vous reprenez votre question, et là il répond, ‘’ouais il en manque peut-être une ou deux’’ deuxième drapeau rouge.

Vous choisissez d’aller voir quand même. Vous vous donnez rendez-vous dans un Tim dans un village des Bois-Francs pour 10:00 un samedi matin. Après 2 heures de route, vous rencontrez le vendeur qui vous invite à le suivre sur une route sinueuse, et qui finit en gravier. Là vous montez une petite côte, et vous arrivez devant un garage de campagne. Le vendeur vous dit que vous êtes chez son frère. Alors vous sortez de votre voiture et vous serrez la main du frère.

Il vous dirige vers l’objet principal, soit la voiture, ou plutôt la carrosserie. Il y a un contre-plaqué et une toile percée. Les ailes sont dans le fond du plancher, et on peut y voir des trous à travers ce plancher. Tout a été passé au sable puis, enduit d’un antirouille par la suite, mais tout est dehors… Et c’est là depuis longtemps…

Il vous dirige ensuite pour voir le moteur rebâti, comme écrit dans l’annonce. Il vous invite à contourner une vieille roulotte abritée sous un appentis. Le moteur est là, par terre. Sans aucune preuve, à l’œil, qu’il a été restauré dans les règles de l’art. Si ce moteur a été restauré pour vrai, il ne faut pas le voir trainer depuis des années dans ces conditions qui ne ferons que le ruiner. ‘’ je l’ai tourné avec mon wrench, il n’est pas jammé!!’’ C’est n’est pas parce qu’il tourne avec un outil qu’il est forcément en bon état. Un autre drapeau rouge… et évident car il traine dehors finalement depuis longtemps après sa supposée restauration.

Et tant qu’à y être, pourquoi pas demander à voir la balance des pièces !! Alors les 2 frères disent ‘’ ben oui, suit nous’’. Alors on retourne dans la voiture, fait grimper le chien et hop on repart! Mais où?

Après 10 km, on arrive à un autre garage, plancher en terre, pas chauffé. La transmission traine sur le sol depuis 1994… drapeau rouge, encore. Et les pièces sont sur la mezzanine duquel il faut grimper par une échelle un peu bancale. Une fois en haut, on trouve 4 tablettes de pièces mélangées, comme les bonbons mélangés de notre jeunesse dans les anciens dépanneurs. Comme Chez Georgette sur le boulevard Gouin à Rivière des Prairies en 1974.

Rien de classé, rien d’archivé. Les boulons sont dans des fonds de bidons de lave-glace que vous ne pouvez pas toucher car ils s’effritent comme des biscuit soda tellement ils sont vieux. Les boulons, à cette occasion, tombent par terre. Autre drapeau rouge…

Vous ne pouvez pas espérer réussir une restauration de voiture ancienne avec un lot de pièces en vrac, non inventoriées, non archivées. Même si le prix est bas à l’achat et malgré qu’il a les papiers. Vous ne pouvez pas vous rendre au bout d’un projet du genre pour finir cette restauration dans un état d’origine. Dans un état modifié certes, mais pas d’origine sans effectuer de longues recherches pour retrouver les pièces manquantes.

Ce genre d’annonce est pour les initiés du modèle, et encore. L’initié verra tout de suite que ce fouillis est une perte de temps et d’argent. Un autre projet qui va changer de mains plusieurs fois, et qui, pour finir, se vendra par morceaux. Cette voiture sera perdue.

Évitez ce genre de projet. Optez pour une voiture complète. Et de surcroit, demandé au vendeur d’accepter de pouvoir faire une inspection avant achat. Cela vous évitera beaucoup d’argent mal dépensé.

Le texte Une voiture en pièces à vendre? Comment éviter les pièges… provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Nissan revoit sa feuille de route électrique aux États-Unis. La marque japonaise a officiellement annulé le développement de ses berlines électriques Altima et Maxima, qui étaient pour être construites à son usine de Canton, au Mississippi. La décision s’accompagne également de la mise au rancart de deux VUS électriques.

Christian Meunier, président de Nissan Amériques, a déclaré plus tôt ce mois-ci que « le marché des berlines est en déclin, il faut faire face à la réalité. » Une notification interne, relayée par le site Automotive News, a confirmé cette réorientation stratégique. Nissan invoque des « changements récents dans les conditions du marché » pour justifier l’abandon des projets de berlines codés LZ1F et LZ1E.

Les projets de VÉ de Canton revus en profondeur

Outre les Altima et Maxima électriques, un VUS compact à batterie nommé PZ1L, l’équivalent électrique du Rogue, a également été supprimé de la planification de produits. Cela ne veut pas dire que Nissan tourne le dos à l’électrification. L’usine de Canton va produire une nouvelle génération de VUS électriques à partir de 2028.

Le Nissan Ariya
Le Nissan Ariya | Auto123.com

Un « nouveau » Xterra ?

Le virage s’oriente désormais vers un modèle plus « musclé » inspiré du défunt Nissan Xterra, connu sous le nom de code PZ1K. Sa production débutera en janvier 2028, suivi en mai par une variante haut de gamme signée Infiniti, baptisée PZ1J.

Ces nouveaux modèles s’appuieront sur une plateforme modulaire capable de servir pour des VUS, des berlines et potentiellement une camionnette légère. Cette nouvelle architecture promet par ailleurs des moteurs électriques plus performants, une recharge accélérée et des batteries lithium-ion plus abordables.

La Chine, encore friande de berlines électriques

Bien que les États-Unis délaissent les berlines, Nissan observe de près les marchés asiatiques. En partenariat avec Dongfeng, le constructeur vient de dévoiler en Chine la Nissan N7, une berline électrique construite sur une plateforme 400 volts. Offerte avec des batteries de 58 et 73 kWh, elle développe entre 215 et 268 chevaux.

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Le texte Nissan abandonne son projet de berlines électriques Altima et Maxima provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Oubliez tout ce que vous croyez savoir sur les fourgonnettes. Avec la Vision V, Mercedes-Benz veut faire voler en éclats les codes de ce segment. Présenté au salon de Shanghai, ce concept audacieux annonce une nouvelle ère du transport de luxe, aussi confortable qu’un jet privé… mais sur quatre roues.

Et surtout, ne prononcez jamais le mot « fourgonnette » devant les dirigeants de Mercedes. Ici, on parle d’un salon roulant VIP, d’un statut automobile, pas d’un simple utilitaire familial.

La Mercedes-Benz Vision V, de profil
La Mercedes-Benz Vision V, de profil | Auto123.com

Redéfinir le segment

La Vision V repose sur la nouvelle plateforme VAN.EA (Van Electric Architecture), dédiée aux véhicules électriques privés et commerciaux. Cette architecture modulaire permettra à Mercedes de lancer une gamme complète de fourgonnettes électriques dès 2026, à commencer par les VLS et VLE.

Mercedes vise un segment encore peu exploité : celui des véhicules de luxe avec chauffeur, à mi-chemin entre la berline de Classe S et les utilitaires convertis en limousine.

L'habitacle de la Mercedes-Benz Vision V, sièges
L’habitacle de la Mercedes-Benz Vision V, sièges | Auto123.com
L'habitacle de la Mercedes-Benz Vision V, écran
L’habitacle de la Mercedes-Benz Vision V, écran | Auto123.com
L'habitacle de la Mercedes-Benz Vision V, écran multimedia
L’habitacle de la Mercedes-Benz Vision V, écran multimedia | Auto123.com

Un intérieur digne d’un palace sur roues

À bord, tout est fait pour sublimer l’expérience des passagers arrière :

  • • Deux fauteuils de première classe inclinables à 152 degrés, avec repose-pieds intégrés servant aussi de rangement.
  • • Sellerie en cuir Nappa blanc cristal et soie, boiseries en loupe sombre, consoles vitrées et touches d’aluminium poli.
  • • Écran de projection 4K de 65 pouces, dissimulé dans le plancher et piloté via un pavé tactile.
  • • Sonorisation Dolby Atmos à 42 haut-parleurs, ambiance lumineuse dynamique, cloison vitrée à opacité variable pour l’intimité.

Une véritable suite connectée avec options de karaoké, bureau mobile, boutique virtuelle et navigation en réalité augmentée.

La Mercedes-Benz Vision V, trois quarts avant
La Mercedes-Benz Vision V, trois quarts avant | Auto123.com

Extérieur : quand le fonctionnel devient sculptural

D’abord on dénote des lignes tendues, une immense calandre rétroéclairée, des jantes de 24 pouces, un toit panoramique géant et des centaines d’étoiles illuminées intégrées à la carrosserie.

Le design conjugue aérodynamisme, raffinement et présence imposante, avec l’étoile à trois branches dressée sur le capot.

Des versions hybrides et thermiques aussi au programme

Même si les premières versions prévues seront 100 % électriques, Mercedes introduira ensuite des variantes hybrides sur une base baptisée VAN.CA (Van Combustion Architecture). Ces dernières partageront 70 % des composants avec les versions électriques, et seront produites sur les mêmes chaînes d’assemblage.

Une offensive mondiale, portée par la Chine et les États-Unis

Le concept Vision V préfigure les VLS et VLE, qui seront d’abord lancés en Chine, puis en Europe, aux États-Unis et au Canada. Mercedes-Benz prévoit deux empattements, une plateforme 800 volts, des configurations de quatre et à huit places et une autonomie estimée à plus de 480 km (300 milles), selon les versions.

Les États-Unis seraient le deuxième marché mondial visé, après la Chine. Mercedes pourrait même envisager une version Maybach, mais rien n’est confirmé… sauf que l’objectif est clair : remplacer la Classe V et rivaliser avec la Classe S sur le terrain du luxe mobile.

La Mercedes-Ben Vision V, portes ouvertes
La Mercedes-Ben Vision V, portes ouvertes | Auto123.com
La Mercedes-Benz Vision V, vue vers l'avant
La Mercedes-Benz Vision V, vue vers l’avant | Auto123.com
La Mercedes-Benz Vision V, de haut
La Mercedes-Benz Vision V, de haut | Auto123.com

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Le texte Mercedes Vision V : la fourgonnette la plus luxueuse du monde ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Hyundai Canada a annoncé cette semaine le lancement d’une aventure ambitieuse. Ce qui porte le titre officiel de « La traversée du Canada en VÉ Hyundai » sera un périple de plus de 15 000 km qui mènera un courageux conducteur de Markham, en Ontario, jusqu’aux rives de l’océan Arctique, au volant d’un Hyundai Ioniq 5 2025, un modèle 100 % électrique, rappelons-le.

Le départ de cette expédition a eu lieu hier, le jeudi 24 avril, depuis le siège social de Hyundai Canada à Markham. Le véhicule électrique traversera cinq provinces et deux territoires canadiens pour atteindre le hameau de Tuktoyaktuk, dans les Territoires du Nord-Ouest.

Patrick Nadeau et le Hyundai Ioniq 5, lors du jour un de son aventure
Patrick Nadeau et le Hyundai Ioniq 5, lors du jour un de son aventure | Auto123.com

Au volant de l’Ioniq 5, Patrick Nadeau. Si vous connaissez ce nom, c’est peut-être parce que ce passionné de véhicules électriques entreprend ce voyage après avoir déjà parcouru le trajet du Québec au Mexique avec son propre Ioniq 5 en 2022. Cette précédente aventure avait suscité un vif intérêt et démontré le potentiel des véhicules électriques pour les longs trajets.

Bien sûr, il y aura des défis : trouver des bornes de recharge au milieu de nulle part, des routes qui ressemblent à des pistes de ski en été, et des horaires de traversiers qui changent plus vite que la météo. Mais Hyundai Canada et Patrick Nadeau vont nous tenir au courant de tout cela sur les réseaux sociaux, avec même un documentaire à la clé.

L’espoir sur roues

En parallèle, en collaboration avec L’espoir sur roues de Hyundai, Patrick Nadeau créera du contenu en réalité virtuelle pour les jeunes patients atteints de cancer dans les hôpitaux canadiens, leur permettant ainsi d’explorer virtuellement l’Arctique.

Le Hyundai Ioniq 5 2025 Preferred avec l’ensemble Ultimate
Le Hyundai Ioniq 5 2025 Preferred avec l’ensemble Ultimate | Auto123.com

Le véhicule utilisé pour cette expédition est un Hyundai Ioniq 5 2025 Preferred avec l’ensemble Ultimate. Seules des modifications mineures, comme un habillage personnalisé et l’ajout d’une tente de toit, ont été apportées au véhicule. Patrick Nadeau souligne sa confiance en la capacité du véhicule à atteindre sa destination en toute sécurité, basée sur son expérience personnelle avec son propre Ioniq 5.

Le Hyundai Ioniq 5 est un véhicule électrique reconnu, ayant remporté plusieurs prix prestigieux, dont Voiture mondiale de l’année, Voiture électrique mondiale de l’année et Design mondial de l’année en 2022. La version 2025 du Ioniq 5 a été mise à jour avec une batterie de 84 kWh offrant une autonomie allant jusqu’à 504 km.

Pour suivre l’aventure de Patrick Nadeau, Hyundai Canada invite le public à consulter ses pages Facebook, YouTube et Instagram.

Le trajet que suivra Patrik Nadeau au volant du Hyundai Ioniq 5 2025
Le trajet que suivra Patrik Nadeau au volant du Hyundai Ioniq 5 2025 | Auto123.com

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Le texte De l’Ontario à l’Arctique canadien avec un Hyundai Ioniq 5 2025 : une épopée électrique comme projet de printemps provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile