Certains se rappellent peut-être d’une époque où les voitures neuves les plus abordables sur le marché canadien coûtaient environ 10 000 $. C’est une époque révolue. Aujourd’hui, une voiture de 20 000 $ est devenue une rareté… Mais ça existe encore, et la preuve se trouve chez Nissan, qui met en marché une berline Versa toute neuve — visuellement, en tout cas — et dont le prix de détail démarre à 20 213 $, frais de transport et tout ça inclus.

La Versa 2023 est un difficile exercice de compromis. Nissan voulait clairement offrir quelque chose d’attrayant et d’assez moderne à des acheteurs qui veulent à tout prix un véhicule neuf, mais qui ne veulent pas payer 40 000 $. Ça donne une berline sous-compacte animée par un moteur à 4 cylindres de 122 chevaux, ce qui en 2023 est somme toute très modeste, et dont le chargement maximal est de 425 litres, ce qui est correct, sans être superflu.

Notez d’ailleurs que c’est la même cylindrée de 1,6 litre qu’on trouvait sous le capot de la Versa 2022. Il est encore cette année jumelé à une boîte automatique à cinq rapports. C’est une combinaison correcte, à défaut d’être très moderne. On peut appuyer sur un très petit bouton logé au bas du pommeau de transmission qui fait passer la boîte en mode Sport, mais ça ne change pas grand-chose au comportement d’ensemble de la voiture.

Côté utilité, rappelons qu’il s’agit d’une berline, donc d’une voiture dont le coffre est fermé. Une version 5 portes, à hayon, aurait peut-être rendu ce modèle-là plus attrayant, mais Nissan aurait probablement perdu au change, vu le nombre de petits VUS qui sont déjà présents dans son catalogue (pensons au Kicks…).

Aussi, Nissan annonce une consommation moyenne de carburant de 6,7 litres aux 100 kilomètres, mais n’espérez pas de miracle de ce côté-là non plus. Durant une semaine d’essai, le mieux qu’on a pu faire en passant beaucoup de temps sur l’autoroute est d’abaisser notre moyenne à 7,7 litres aux 100 kilomètres. Cela dit, c’est quand même assez chouette de ne pas payer 100 $ ou plus pour faire le plein…

À bord, c’est assez simple. Et en fait, c’est assez rapidement qu’on repère la nouveauté la plus notoire sur ce véhicule : l’écran multimédia de 8 pouces situé sur la console centrale. C’est un écran qui est compatible avec les interfaces connectées Apple CarPlay et Android Auto, chose que Nissan a pris un peu de temps à adopter, et qui sera très apprécié des plus jeunes acheteurs, qui sont dans la ligne de mire de Nissan avec la Versa.

L’interface du système multimédia est correcte, mais très basique. On est loin d’une révolution, mais encore là, Nissan n’est pas exactement en avance sur la parade à ce chapitre.

Nissan ajoute aussi quelques éléments de sécurité rendre la Versa un peu plus sûre à conduire, en ville surtout. On remarque rapidement que la voiture peut repérer les lignes entre les voies au sol. Elle envoie une petite vibration dans le volant quand on essaie de franchir une de ces lignes-là sans avoir mis son clignotant. La voiture peut aussi ajuster la direction ou freiner si elle détecte un risque d’accrochage imminent.

Tout ça mis ensemble, on a quand même une belle offre, pour 20 000 $. Parmi les voitures les plus abordables vendues au Canada, c’est certainement un modèle à considérer, surtout qu’il s’agit d’une voiture neuve. Ces jours-ci, il est assez difficile de trouver une voiture usagée à 20 000 $ qui sera une aubaine, alors c’est assez tentant d’aller du côté d’un nouveau véhicule comme la Versa.

Le texte Nissan Versa 2023 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Un VUS et un véhicule multisegments électriques seraient dans les plans pour la gamme bZ de Toyota, si on se fie à ce que le groupe japonais a présenté au Salon de l’auto de Shanghai. Les nouveautés font partie de la stratégie globale de Toyota qui consiste à mettre en marché dix nouveaux véhicules entièrement électriques d’ici 2026, ce qui, quand on y pense, s’en vient vite.

Toyota espère vendre 1,5 million de véhicules électriques sur une base annuelle au plus tard dans trois ans, ce qui est tout aussi ambitieux.

Et les deux nouveaux venus devraient l’aider à atteindre cette cible-là en séduisant des acheteurs situés en Chine, là où ils seront éventuellement vendus. On n’a pas parlé du marché nord-américain, autrement que pour dire qu’un VUS tout électrique à trois rangées de sièges sera lancé chez nous au plus tard en 2025.

D’ailleurs, parlant du marché nord-américain, Toyota a révélé que la prochaine génération de sa technologie hybride branchable permettra à des modèles comme la Prius Prime d’atteindre une autonomie électrique de 200 kilomètres par charge. C’est plus que le double de ce que la toute nouvelle Prius Prime peut parcourir sur une seule charge à l’heure actuelle. On a hâte de voir quand cette technologie-là sera mise en marché.

Pour en revenir aux deux modèles bZ dévoilés à Shanghai, il s’agit de deux véhicules concepts, appelés Sport Crossover Concept et FlexSpace Concept. Le Crossover Concept est un véhicule d’allure plus sportive qui s’adressera à de jeunes acheteurs qui recherchent un véhicule plus amusant à conduire que pratique à utiliser.

Le FlexSpace Concept est un peu l’inverse. Il s’agit d’un véhicule familial qui se veut très utile. Toyota promet beaucoup d’espace utile et surtout, une très longue autonomie entre deux charges.

Ces deux nouveaux modèles devraient être mis en marché en Chine au courant de 2024, et peut-être en Europe ensuite. Tout indique qu’ils ne seront pas vendus chez nous, mais ça peut changer.

Le texte Toyota dévoile deux nouveaux modèles pour sa gamme bZ provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ça continue de bouger au sein de Polestar, la division tout électrique du groupe chinois Geely. Ses dirigeants ont profité du Salon de l’auto de Shanghai pour dévoiler le Polestar 4, un VUS coupé électrique dont la production va commencer en novembre prochain, et qui sera vendu chez nous plus tard en 2024. D’ailleurs, Polestar se laisse jusqu’au début 2024 pour nous livrer les derniers détails exacts concernant ce modèle.

Ce que nous savons

Ce qu’on sait déjà, c’est qu’il coûtera environ 60 000 $US, soit 80 000 $CA, du moins en version de base. On verra rendu là si Polestar prévoit commercialiser d’abord des versions plus équipées et donc, plus coûteuses que ce prix de base suggéré, mais quand même, ça situe un peu le modèle dans le marché encore tout jeune des petits VUS électriques de luxe. Au sein de la gamme Polestar, le nouveau venu se situe, en termes de dimensions, entre la Polestar 2, qu’on connait déjà assez bien, et le Polestar 3, qui est un VUS aux formes plus classiques. Le 4 est environ 1,5 centimètre moins long que le 3, pour vous donner une idée.

Mais pour vous mélanger un peu, parce que pourquoi pas, si on nomme les véhicules Polestar par ordre de grandeur, on a donc : Polestar 2, Polestar 4 et Polestar 3. J’ai hâte de voir si les Polestar 5 et 6, un coupé GT et un roadster, vont mêler un peu plus les cartes de ce côté-là…

Mais peu importe. Le Polestar 4 est conçu pour accueillir très confortablement quatre passagers, et même à l’arrière, la banquette s’incline pour plus de confort (et de dégagement pour la tête). La forme coupée fait qu’on ne voit rien vers l’arrière, et pour compenser, Polestar a remplacé le rétroviseur par un petit écran qui affiche l’image qui provient d’une caméra logée à l’arrière, au haut du hayon.

Polestar promet une meilleure visibilité, vu que l’image a un plus grand angle de vision que ce qu’une lunette arrière offre, généralement. Mais les conducteurs qui aiment voir avec les yeux où ils s’en vont, ça risque d’être agaçant.

Côté écolo, Polestar dit que le véhicule est composé de matériaux fabriqués selon une méthode à faible émission en carbone. Il y a beaucoup de matières recyclées, aussi.

Sous le capot, pour dire ça comme ça, on a droit à deux moteurs, pour une puissance de 544 chevaux et un couple de 506 livres-pied. Une version à un seul moteur, d’une puissance de 272 chevaux, est aussi offerte. Les deux moteurs permettent de boucler le 0-100 km/h en 3,8 secondes, ce qui est très rapide.

La pile fait 102 kilowatts-heure, qu’on opte pour un ou deux moteurs. L’autonomie maximale anticipée par Polestar est de 480 km par charge. La voiture est aussi dotée d’un chargeur bidirectionnel, ce qui lui permettra de redonner de l’électricité à votre maison ou votre chalet s’il y a une panne de courant.

Le texte Un VUS du nom de Polestar 4 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La Compagnie québécoise Lion Électrique a procédé à l’inauguration officielle de sa nouvelle usine de fabrication de batteries au lithium-ion pour véhicules moyens et lourds à Mirabel.

Première du genre au Canada

Cette installation de 175 000 pieds carrés récemment construite sur le site de l’Aérocité internationale de Mirabel, permettra d’alimenter les véhicules électriques assemblés par Lion dans ses usines de Saint-Jérôme, et de Joliet, en Illinois. Après l’installation de la première portion de la chaîne de montage des batteries à Mirabel, le premier bloc-batterie a été produit à la fin de 2022. La certification finale du premier modèle de bloc-batterie est attendue au premier semestre de 2023, suivie d’une augmentation progressive de la production en 2023.

Pour les autobus et les camions

Les premières batteries Lion serviront à alimenter les autobus scolaires LionC et LionD, ainsi que les camions Lion5. Lion prévoit atteindre, d’ici la fin de l’année, une capacité de production de 1,7 gigawattheure, à pleine capacité, la production annuelle devrait s’élever à 5 gigawattheures, ce qui permettrait à la compagnie d’électrifier environ 14 000 véhicules moyens et lourds par an, dépendamment du type de véhicules assemblés. À ce jour, Lion a livré plus de 950 véhicules moyens et lourds entièrement électriques en Amérique du Nord, qui ont collectivement parcouru plus de 16 millions de kilomètres.

En intégrant verticalement les composants du système de gestion des batteries, la Compagnie, qui compte environ 1 400 employés, entend réaffirmer sa position de chef de file dans l’industrie des transports en Amérique du Nord.

Le texte Lion électrique inaugure son usine de fabrication de batteries provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les préparatifs d’Audi pour entrer en Formule 1 en 2026 s’accélèrent et un prototype de moteur passera au banc d’essai avant la fin de l’année, a déclaré le constructeur allemand.

Avec le groupe Sauber

La marque détenue par Volkswagen a annoncé en octobre dernier qu’elle prenait une participation dans le groupe Sauber, dont l’équipe basée en Suisse court cette saison sous le nom d’Alfa Romeo avec des moteurs Ferrari. La Formule 1 disposera d’une nouvelle unité de puissance à partir de 2026, l’accent étant mis sur la durabilité et un avenir plus rentable, lorsque Sauber deviendra l’équipe d’usine Audi.

Présentation au Salon de Shanghai

Lors d’une présentation à Shanghai, Oliver Hoffmann, membre du conseil d’administration d’Audi, a déclaré que le projet de Formule 1 avait “vraiment pris son envol ces derniers mois”. Le choix de Shanghai pour les débuts publics de l’équipe de Formule 1 est stratégique, a déclaré Audi. La Chine est le plus grand marché de la marque du groupe VW et possède en même temps une énorme base d’amateurs de Formule 1, a déclaré le constructeur automobile.

Plus de 250 employés déjà au travail

Plus de 260 spécialistes travaillaient déjà sur le site du groupe motopropulseur à Neuburg an der Donau, près du siège du constructeur automobile à Ingolstadt, le cœur de l’équipe de développement étant constitué de membres du personnel d’Audi. “Ils sont rejoints par des spécialistes de la Formule 1 qui ont été recrutés à l’extérieur et qui renforceront l’équipe de manière ciblée”, a déclaré Audi. “D’ici la fin de l’année, l’embauche du personnel devrait être terminée et l’équipe comptera plus de 300 employés.

Avec des renseignements d’Automotive News Europe

Le texte Audi testera un moteur de Formule 1 d’ici la fin de l’année provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ceux qui pleuraient le départ de la Passat peuvent se réjouir avec l’arrivée de l’ID.7 qui devient la nouvelle berline grand format de la famille. La version ID Aero, qui devrait arriver en Europe et en Chine cette année, sera exportée d’Allemagne vers les concessionnaires canadiens en 2024, en tant que modèle 2025.

Une version Pro

La version nord-américaine, la VW ID7 Pro, sera équipée d’une batterie de 82 kWh capable de se recharger rapidement à 170 kW. Elle sera propulsée par un moteur synchrone à aimant permanent de 282 chevaux . En Europe, l’ID7, de la taille de la Passat, devrait avoir une autonomie de 700 km. Toutefois, le porte-parole a déclaré que la marque visait une autonomie de 500 km selon le cycle d’essai EPA pour l’ID7 2025, bien qu’une note spécifique ne soit pas encore disponible.

Beaucoup d’espace

En termes de style extérieur, l’ID7 fait 4,96 mètres de long arbore un design fastback et d’autres caractéristiques visant à améliorer l’aérodynamisme, et ne mesure que 1,51 mètre de haut. Son coefficient de traînée est de 0,23, identique à celui de la Tesla Model 3 de la génération actuelle. Le design est complété par des éclairages à DEL et des baguettes lumineuses distinctives sur le bouclier et à l’arrière.

Intérieur

Dans l’habitacle, la VW ID7 2025 sera équipée de série de ce que la marque appelle un affichage tête haute à réalité augmentée, projetant les détails du trajet, notamment la vitesse, les panneaux routiers et l’aide à la navigation à venir, à hauteur des yeux sur le pare-brise. L’affichage s’adapte à ce qui se trouve devant lui, de sorte que des informations telles que la vitesse actuelle et la limitation de vitesse apparaissent au premier plan, tandis que l’aide à la navigation et d’autres fonctionnalités apparaissent projetées plus loin. Au-dessus de la console centrale, l’ID7 sera équipé d’un écran tactile personnalisable de 15 pouces qui commande la plupart des fonctions de l’ID7, y compris l’infodivertissement et le confort de l’habitacle. Une paire de barres coulissantes tactiles situées sous l’écran permet de régler la température et le volume du système d’infodivertissement, selon VW.

Un toit en verre intelligent

Le toit en “verre intelligent” de l’ID7 peut se transformer électroniquement de clair à opaque, ce qui contribue à maintenir des températures intérieures confortables tout en offrant des vues panoramiques. Il est encore trop tôt pour parler de prix et nous ne savons quelle quantité de ce modèle sera réservée pour le Canada.

Source: Volkswagen

Le texte La Volkswagen ID.7 2025 annonce 500 km d’autonomie provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Vous ne verrez peut-être pas tous les changements au premier coup d’œil. Porsche a l’habitude depuis longtemps d’évolué en douceur. Le Cayenne fait toutefois peau neuve pour 2024. De l’extérieur, la partie avant redessinée présente des ailes plus arquées et semble plus large grâce au nouveau capot et aux phares attrayants. L’arrière du Cayenne présente des feux arrière tridimensionnels, des lignes épurées et un tablier arrière au goût du jour avec support de plaque d’immatriculation intégré. Le Cayenne est offert en trois nouvelles couleurs et peut maintenant être chaussé de roues de 20, 21 et 22 po. Également, des ensembles sport légers permettant d’économiser jusqu’à 33 kilogrammes sont offerts pour le Cayenne Coupé. vous avez des phares à matrice de DEL haute définition qui s’adaptent à toutes les situations de conduite, un système de qualité de l’air qui filtre les polluants atmosphériques dans l’habitacle et, pour la première fois sur ce modèle, un écran d’infodivertissement spécialement pour le passager avant pour qu’il puisse écouter des vidéos pendant le voyage, par exemple.

Présentation intérieure repensée

La nouvelle architecture Porsche Driver Experience, lancée d’abord pour le Taycan se retrouve maintenant dans le Cayenne. Il est centrée sur l’axe de vision du conducteur et est facile à utiliser. Les fonctions fréquemment utilisées par le conducteur sont situées directement sur le volant ou près de celui-ci. Par exemple, le levier situé à gauche, derrière le volant, comporte maintenant des commandes supplémentaires pour les systèmes d’aide à la conduite. Le levier sélecteur de la boîte automatique se trouve désormais sur le tableau de bord, libérant de l’espace dans la console centrale.

Bloc instrument numérique

Pour la première fois, le tableau de bord comprend un bloc-instruments entièrement numérique de 12,6 po incurvé et autoportant offrant différentes options d’affichage. Un affichage tête haute optimisé est également offert en option. L’écran central de 12,3 po du système de gestion des communications Porsche (PCM) offert de série s’intègre au nouveau tableau de bord et donne accès à toutes les fonctions pertinentes du véhicule. Des applications natives comme celles de Spotify et d’Apple Music sont intégrées au système pour optimiser la connectivité dans le Cayenne.Conduite optimiséeLe Cayenne est maintenant équipé d’une suspension à ressorts à lame d’acier installé à l’usine comprenant le système Porsche Active Suspension Management (PASM). Il est également équipé d’amortisseurs dotés de la technologie à deux soupapes, qui permettent de régler le rebondissement et la compression séparément, offrant une performance optimisée dans toutes les situations de conduite. Le confort à basse vitesse, la maniabilité dans les virages et le soutien au tangage et au roulis ont notamment été nettement améliorés. L’expérience de conduite est encore plus agréable grâce à la suspension pneumatique adaptative à deux chambres et deux soupapes (option).

Quatre choix de moteurs

Quatre versions de groupe motopropulseur sont offertes pour le nouveau Cayenne. Dans le Cayenne S, le moteur V6 a été remplacé par un moteur V8 biturbo de 4 L mis au point par Porsche. Avec une puissance maximale de 468 ch. et un couple de 442 lb-pi (soit 34 ch. et 37 lb-pi de plus que ses prédécesseurs), la version de base et la version coupé du Cayenne passent de 0 à 100 km/h en 4,7 secondes. La vitesse de pointe est de 273 km/h. Le Cayenne d’entrée de gamme est équipé d’un moteur V6 turbo optimisé de 3 L. Il génère maintenant 348 ch. et 368 lb-pi, soit 13 ch. et 36 lb-pi de plus qu’auparavant. Ce moteur à six cylindres se retrouve également sur le Cayenne E-Hybrid. Il est accompagné d’un moteur électrique amélioré de 40 ch. à 174 ch. Il offre donc une puissance combinée de 468 ch. Il est muni d’une batterie haute tension d’une capacité améliorée de 25,9 kWh (auparavant 17,9 kWh). Malgré la grande capacité de la batterie, le nouveau chargeur embarqué de 9.6 kW permet de recharger le véhicule plus rapidement qu’avant, soit en moins de deux heures et demie s’il est branché à une source d’alimentation appropriée. Pendant les déplacements, les modes de conduite E-Hybrid optimisés augmentent l’efficacité du véhicule.

Et toujours le turbo

Le Turbo GT, conçu pour offrir une performance maximale sur route, demeure le modèle haut de gamme de la famille Cayenne dans la plupart des marchés de Porsche. Il est offert exclusivement en version coupé et bénéficie de toutes les optimisations et améliorations des autres modèles. De plus, la puissance du moteur V8 biturbo de 4 L du Turbo GT a été augmentée de 19 ch. pour atteindre 650 ch. Le Cayenne Turbo GT accélère de zéro à 100 km/h en 3,3 secondes et atteint une vitesse de pointe de 305 km/h.

À partir de 89 800 $

Au Canada, Porsche offre le nouveau Cayenne à partir de 89 800 $ (version coupé à partir de 95 400 $). Le Cayenne E-Hybrid est offert à partir de 104 800 $ (version coupé à partir de 109 400 $) et le Cayenne S, à partir de 107 500 $ (version coupé à partir de 114 600 $). Le Cayenne Turbo GT haut de gamme est offert à partir de 218 300 $. Les nouveaux modèles peuvent être commandés dès maintenant, et les livraisons débuteront au milieu de l’été.

Source : Porsche

Le texte Porsche présente un nouveau Cayenne pour 2024 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

  • Environ 800 modèles de VF 8 en route pour le Canada
  • Le VF 8 est déjà en route à bord du Silver Queen

La deuxième cargaison de véhicules VinFast à destination de l’Amérique du Nord vient de quitter le port du Viêt Nam. Environ la moitié est destinée aux États-Unis et l’autre moitié au Canada. Il s’agit de la première cargaison de véhicules électriques à venir au pays.

Débarquement à Vancouver

Le Silver Queen a quitté Haiphong plus tôt dans la journée, en direction du port de Benicia, en Californie. À son arrivée, 1 098 modèles seront déchargés pour le marché américain. Il s’agit de la deuxième cargaison de VinFast destinée aux États-Unis.
Une fois ces modèles déchargés, le navire sans doute vers Vancouver.. Lorsque le Silver Queen atteindra le Canada, il déchargera les 781 VF8 pour le Canada.

20 jours en mer

La traversée prendra 20 jours, plus quelques jours supplémentaires pour arriver au Canada. Vinfast a indiqué que les livraisons aux États-Unis devraient commencer en mai. Les livraisons canadiennes devraient débuter en juin. Vinfast s’attend à ce qu’un lot de voitures exportées arrive en Europe à la mi-juillet. Le navire sera chargé de 700 modèles VF 8. VinFast prend encore des réservations pour les VF 8 et VF 9. La première vise une puissance de 402 ch et un couple de 457 lb-pi avec une autonomie électrique de 471 km. Le second est un VUS plus grand avec une batterie plus importante, visant une autonomie totale de 594 km.

Le nouveau constructeur automobile possède huit magasins au Canada, notamment en Colombie-Britannique, en Ontario et au Québec.

Avec des renseignements de Motor Illustrated

Le texte La première cargaison de Voitures Vinfast en route pour le Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Si vous êtes parmi les heureux élus qui ont été en mesure de se procurer une voiture de collection avant que les prix ne deviennent complètement fous, accrochez-vous à votre investissement, car au cours de la dernière décennie, la valeur des voitures anciennes a augmenté de 185 %.

Un exemple populaire

Une Ferrari 250 GTO neuve en 1962 coûtait 18 000 $, soit environ 180 000 $ en argent d’aujourd’hui. Dans les années 70, il était possible d’en acheter une pour moi de 10 000 $. La valeur du modèle a commencé à grimper dans les centaines de milliers de dollars dans les années 80 puis a atteint le million de dollars dans les années 90 pour ensuite grimper dans les dizaines de millions de dollars dans les années 2000. En 2018, ce même modèle de Ferrari est devenu la voiture la plus chère jamais vendue en atteignant 48 millions de dollars lors d’une vente aux enchères. Ce record a depuis été pulvérisé par une Mercedes-Benz 300 SLR Uhlenhaut Coupé de 1955 qui a atteint 135 millions d’euros (149 millions de dollars US).

Trouver la bonne affaire

L’exemple de la Ferrari est un exemple extrême et depuis quelques années, le marché s’est étendu au-delà d’une communauté relativement restreinte de collectionneurs pour inclure des investisseurs attirés par la perspective de rendements élevés et par l’absence de corrélation avec les actifs des portefeuilles traditionnels tels que les actions et les obligations. Comme il y a plus de monde qui s’intéresse au phénomène, les bonnes affaires sont plus rares et le pris de certains modèles s’enflamment dès la mise en marché du modèle, prenez comme exemple la Challenger Demon 170 qui sera le dernier modèle de sa race. Des concessionnaires américains demandent déjà 350 000 $ pour un modèle neuf alors que le prix suggéré de Dodge est d’environ 100 000 $.

Des fonds d’investissement

Des fonds investissent dans les voitures anciennes et misent sur leurs valeurs à la hausse pour obtenir des rendements parfois meilleurs que ceux de la bourse. Plus d’une centaine de fonds de partout dans le monde mise sur la hausse de valeur de certains modèles uniques pour une retraite confortable. Mais, attention, il fait être fin connaisseur et des gens très connaissant pour choisir le bon modèle. Par exemple, le fonds Hetica, qui vise des rendements de 9 à 15 % après sept ans, a acheté une douzaine de voitures jusqu’à présent et vise à atteindre 30 à 35 voitures d’ici la cinquième année, ce qui laisse les deux dernières années pour vendre les véhicules et payer les investisseurs.

Les plans sont audacieux.

“Nous avons vu plus de 100 tentatives de création de fonds dans le passé. Personne n’a réussi à constituer à la fois une base d’investisseurs diversifiée et un portefeuille de voitures diversifié”, a déclaré Dietrich Hatlapa, fondateur de la société de recherche sur les voitures classiques HAGI, qui fournit les données sectorielles utilisées par Knight Frank. Il ne s’agit pas non plus d’un secteur pour les personnes ayant le cœur fragile sur le plan financier. Enregistrés au Luxembourg, les fonds Azimut et Hetica exigent tous deux un investissement minimum de 125 000 euros (184 000 $).

Garder les voitures en bon état

Les frais de fonctionnement des collections de voitures, y compris les frais de stockage et d’assurance, peuvent facilement s’élever à 5-6 % de la valeur du portefeuille par an. Il faut garder les voitures en parfait état pour les revendre et il faut dépenser beaucoup d’argent pour maintenir toutes ces voitures en état de marche. Le processus de certification à lui seul peut coûter environ 30 000 à 40 0000 $, selon Peter Becker de Mercedes-Benz Classic, qui a déclaré que seuls les experts du constructeur, ayant accès à ses archives, pouvaient confirmer l’originalité d’un modèle classique. Selon Knight Frank, la valeur des voitures de collection a augmenté de 25 % en 2022, ce qui représente la meilleure performance en neuf ans, juste derrière l’augmentation de 29 % des œuvres d’art. L’assureur de véhicules classiques Hagerty estime qu’il y a environ 80 milliards de dollars de transactions de véhicules de collection par an dans le monde, y compris toutes les ventes aux enchères et les ventes privées. Si l’Amérique du Nord reste le plus grand marché pour les ventes aux enchères, Hagerty ayant enregistré 3,4 milliards de dollars de ventes aux enchères en 2022 contre 774 millions de dollars en 2007, M. Zimmermann a déclaré qu’un nombre croissant d’acheteurs étaient apparus ces dernières années au Moyen-Orient, en Inde et en Chine.

Une course vers la collection à la hausse

La course mondiale à l’abandon des voitures à moteur à combustion ne fera que renforcer l’intérêt pour ces modèles d’une époque révolue, affirment certains acteurs du marché. Les Ferrari demeurent les voitures de collection les plus prisées, selon les experts. Les Ferrari ont atteint une valeur moyenne aux enchères de 589 000 dollars US en 2021-22, suivies par les Mercedes-Benz avec 378 000 dollars et les Porsche avec 348 000 dollars.

Avec des renseignements d’Autoblog

Le texte Les voitures de collection constituent désormais une alternative viable aux fonds d’investissement classiques ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les nouvelles règles proposées le 12 avril par l’Environmental Protection Agency (EPA) des États-Unis ont le potentiel de réduire les émissions de gaz à effet de serre et d’accélérer l’adoption des VZE aux États-Unis. Ces nouvelles règles obligeront Ottawa soit à réduire son calendrier d’adoption des véhicules à émission zéro pour s’aligner sur celui de Washington, soit à doubler son propre mandat de vente de véhicules à émission zéro, plus rigoureux, selon les parties prenantes de l’industrie.

Quelle est la teneur de ces normes

Si elles sont adoptées, les normes américaines restreindront les émissions autorisées pour l’ensemble du parc automobile pour les années modèles 2027-2032 et permettront aux véhicules électriques de représenter 67 % des nouvelles ventes de véhicules légers d’ici à 2032, selon les estimations de l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA). À titre de comparaison, un mandat de vente prévu au Canada exigerait que 83 % des nouvelles ventes de véhicules légers soient des ZEV d’ici à 2032.

Le Canada va sans doute suivre l’exemple américain

Le gouvernement fédéral s’aligne depuis longtemps sur les exigences de l’EPA en matière d’émissions des véhicules, bien qu’il se soit partiellement dissocié de Washington en 2019 en faveur de réglementations étatiques plus agressives en Californie. Cecelia Parsons, porte-parole d’Environnement et Changement climatique Canada, a déclaré qu’Ottawa n’avait pas l’intention de changer cela. Le pays continuera à aligner ses normes d’émissions des véhicules sur “les normes les plus strictes d’Amérique du Nord”, a-t-elle déclaré dans un courriel.

On vise la Californie

Ottawa travaille donc à la mise en œuvre d’un mandat de vente de ZEV, similaire à celui approuvé l’été dernier en Californie, qui exigera que tous les nouveaux véhicules légers soient électrifiés d’ici 2035. Contrairement aux gouvernements californien et canadien, l’administration Biden ne s’est pas engagée à interdire les véhicules à moteur à combustion interne (MCI) d’ici 2035.

L’industrie craint une pénurie de matériaux

Le fait d’imposer un mandat ne garantit pas qu’il sera respecté. L’industrie automobile craint une pénurie mondiale de ZEV qui ne fera que s’aggraver à mesure que les règles de l’EPA attireront davantage de véhicules aux États-Unis, le Canada pourrait voir les constructeurs automobiles limiter leurs ventes globales de véhicules pour respecter leurs obligations en matière de ZEV – au détriment des concessionnaires, des constructeurs automobiles et des consommateurs, a-t-il ajouté. Un mandat indépendant et plus fort permettrait au Canada de ne pas être aux crochets des États-Unis et avoir plus de VÉS chez nous.

Une histoire à suivre

Avec des renseignememts d’Automotive News Canada

Le texte Comment les nouvelles normes d’émission américaines pourraient-elles affecter le Canada ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile