On commence à avoir un portrait assez clair de la situation dans le secteur encore très émergent des batteries pour véhicules électriques, et le constat n’est pas celui qu’on pensait. On sait désormais que la planète a plus que suffisamment de matériaux pour électrifier l’ensemble du transport, et même plus encore. Le problème, en fait, est plutôt du côté de la main-d’œuvre. Il manque de travailleurs qualifiés pour assembler des batteries!

C’est d’ailleurs pourquoi les départements américains du Travail et de l’Énergie ont annoncé il y a quelques jours un nouveau programme axé sur la formation de travailleurs spécialisés dans la fabrication de batteries. Ce programme s’ajoute à une stratégie qui devrait se déployer au moins jusqu’en 2025 et qui s’appelle la « Battery Workforce Initiative ».

Cette initiative vise à accélérer la formation de travailleurs pour combler les postes ouverts dans les quelque 400 nouvelles usines de fabrication de batteries qui ont été annoncées aux États-Unis au cours des trois dernières années seulement.

C’est un problème assez grave. Un sondage mené dans l’industrie révèle qu’environ la moitié des travailleurs actuels qui touchent de près ou de loin au secteur des batteries pour véhicules électriques n’ont pas les compétences requises pour assembler les batteries de prochaine génération.

Un autre problème, et celui-là est assez complexe, c’est qu’il manque de travailleurs assez expérimentés dans la fabrication de batteries pour encadrer les nouveaux venus. Souvent, les conditions d’embauche dans les usines sont assez peu attrayantes que les gens quittent rapidement vers un emploi dans une autre industrie.

Sans donner de directives claires, le nouveau programme fédéral américain sur la main-d’œuvre du secteur des batteries vise à corriger cette situation.

C’est un programme qui devrait inspirer les gouvernements du Québec et du Canada, sinon on risque fort de se buter aux mêmes problèmes chez nous quand des usines comme celle de Northvolt à McMasterville vont ouvrir leurs portes…

Le texte La vraie raison derrière la pénurie de batteries pour véhicules électriques est… provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les tables pliantes. On les voit dans les avions, où elles permettent de déposer un cabaret, un verre, un ordinateur portable ou plein d’autres choses, dans un équilibre pas toujours évident. Or, voilà que Ford songe à développer le même genre de tablettes repliables et qui s’installeraient à l’avant de ses véhicules, entre le siège du conducteur et celui du passager.

C’est en tout cas le contenu d’une demande de brevet faite par Ford auprès du Bureau américain des brevets, et que celui-ci vient de publier. La demande en question prend la forme d’une console centrale comme celles qu’on trouve entre les sièges avant d’à peu près tous les véhicules modernes, y compris des camionnettes comme la F-150. On trouve deux porte-gobelets à l’avant, un espace de rangement en son centre et deux porte-gobelets à l’arrière, pour les occupants de la banquette.

Et sur la portion supérieure du rangement central, on trouve un appuie-coude qui peut être déplié des deux côtés pour créer une espèce de table qui déborderait à la fois du côté conducteur et du côté passager.

On n’a pas mentionné le F-150 par hasard. Ford semble avoir réalisé que bien des propriétaires d’une camionnette étaient des travailleurs qui passaient de nombreuses heures à bord de leur véhicule pour remplir de la paperasse, entre autres. On a d’ailleurs déjà un F-150 dont le levier de transmission peut être rabattu pour faire de la place pour une grande surface de travail.

On peut facilement imaginer un F-150 de prochaine génération, électrique ou à essence, qui n’aura pas de levier de transmission et qui aura donc plus de place disponible pour installer un accessoire comme cette table repliable.

On peut aussi imaginer que Ford pourrait mousser sa technologie d’aide avancée à la conduite BlueCruise en suggérant qu’il sera possible de laisser le véhicule se conduire par lui-même sur certaines distances, ce qui permettra au conducteur de faire autre chose alors qu’il est en déplacement. Par exemple, casser la croûte, ou compléter les mots croisés du journal du jour.

À suivre…

Le texte Ford songe à installer des tables pliantes à l’avant de ses véhicules provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

C’est de la bouche – ou du compte Twitter – d’Elon Musk qu’on l’a su : Tesla va présenter sa stratégie de taxis robotisés et autonomes le 8 août prochain. On a bien hâte de voir quelle forme prendront ce qu’il appelle ses «robotaxis»…

Nous ne sommes pas les seuls que ça intrigue. Les investisseurs ont fait bondir la valeur de l’action de Tesla en Bourse dans la journée qui a suivi cette annonce. Il faut dire que Musk a peut-être choisi ce moment pour parler de taxis robotisés pour freiner une descente de son titre. Dans les jours précédents, bien des analystes se sont dit déçus d’un rapport publié par Reuters selon lequel le projet d’une fameuse Model 2 à 25 000 $US, une voiture électrique très bon marché, n’était plus dans les plans de Tesla.

Musk a rapidement réagi à cette nouvelle sur son réseau social préféré en traitant Reuters de «menteur«. On verra bien. Entre temps, on peut dire que le sentiment généralisé est que les gens semblent avoir hâte de voir les premiers véhicules Tesla sans conducteur accueillir leurs premiers clients.

Pour Tesla, ce serait un prix de consolation, en quelque sorte. Dans le marché des véhicules électriques, le premier constructeur qui arrivera avec un véhicule vraiment bon marché risque fort de s’imposer comme le joueur dominant, et plusieurs pensaient que Tesla serait ce constructeur. Ça semble tout à coup moins évident.

Si Tesla arrive à être le premier constructeur à mettre en service des taxis robotisés, la marque aurait à nouveau un avantage sur ses rivaux, étant donné que personne n’a présentement un système de conduite autonome assez avancé pour qu’on lui fasse confiance à 100 %. On a vu d’ailleurs les difficultés rencontrées par les taxis Cruise de GM, l’été dernier en Californie.

Il faudra donc patienter jusqu’en août prochain pour voir ce qui devrait être une mise à jour assez costaude du système Autopilot, ou Full Self-Drive, de Tesla. Et peut-être, sait-on jamais, que Tesla se réserve une petite surprise et qu’on aura une Model 2 à se mettre sous la dent d’ici là?

Le texte Tesla Robotaxi : on saura tout le 8 août prochain provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Notre sport national a maintenant un équivalent automobile. Un VUS arborant le logo de votre équipe préférée de la LNH. Hyundai Canada a annoncé les prix de son Santa Fe Hybrid NHL Edition à tirage limité, dont le PDSF commence à 56 998 $. Limitée à seulement 500 unités, cette édition spéciale célèbre le partenariat de Hyundai avec la LNH et l’AJLNH. Mais ce n’est pas tout.

Choisir son équipe avec un cadeau

Chaque Santa Fe Hybrid NHL Edition offrira aux acheteurs la possibilité de choisir l’un des 32 logos d’équipe de la LNH, permettant ainsi aux fans de conduire un modèle de leur équipe préférée. Pour couronner le tout, Hyundai offre un cadeau exclusif à chaque acheteur : un chandail signé par Connor Bedard, le choix numéro un de la LNH en 2023 – une pièce tangible de l’histoire du hockey.

Un geste de bienfaisance

La collaboration s’étend au-delà de la patinoire, puisque Hyundai Canada s’engage à faire un geste de bienfaisance pour chaque unité vendue. Un don de 500 $ US sera fait à la Chicago Blackhawks Foundation, pour une contribution totale potentielle de 250 000 $ US. Cette initiative souligne l’engagement de Hyundai à encourager les jeunes talents et à soutenir les familles au sein de la communauté de la LNH. Les acheteurs potentiels devront contacter leur concessionnaire Hyundai local pour se renseigner sur cette offre unique.

À propos du Santa Fe Hybrid NHL Edition

Cette édition spéciale est habillée d’une finition mate exclusive “Creamy White” et ornée de jantes en alliage noires multibranches de 20 pouces. Le véhicule est propulsé par le moteur hybride turbo de Hyundai, qui délivre une puissance robuste de 231 ch et un couple pouvant atteindre 271 lb-pi, ce qui le différencie de son homologue Ultimate Calligraphy qui offre le moteur 2,5 litres turbo.

Intérieur unique

À l’intérieur, le Santa Fe NHL Edition offrira un luxueux habitacle pour 6 passagers avec des sièges en cuir Nappa “Pecan Brown”. La technologie avancée comprend des caractéristiques telles que des systèmes de chargement sans fil doubles, une borne USB-C et un compartiment de stérilisation UV-C intégré. L’expérience audio haut de gamme est rendue possible grâce à un système audio Bose à 12 haut-parleurs.

Un objet de collection

L’édition 2024 Santa Fe Hybrid NHL Edition est une occasion rare pour les amateurs de hockey canadiens d’arborer fièrement et audacieusement leurs vraies couleurs sur leur nouveau VUS déjà tout à fait unique. Avec sa disponibilité limitée et ses caractéristiques exclusives, ce SUV édition spéciale devrait devenir un objet de convoitise parmi les passionnés de hockey.

Le texte Hyundai dévoile le Santa Fe Hybrid NHL Edition, une exclusivité canadienne, à partir de 56 998 $. provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

C’est cette semaine que Toyota présente le Land Cruiser à la presse automobile. Nous aurons bientôt un résumé complet. Question de vous donner l’eau à la bouche, voici les informations que vous devez savoir.

Une base connue

Le Land Cruiser est construit sur la plate-forme qui sous-tend également le Tundra, le Tacoma, le Sequoia, le futur 4Runner, le Lexus LX et le Lexus GX.

Troisvariantes sont disponibles (plus une première édition limitée très chic) qui se résument essentiellement à un tout-terrain de la vieille école (le Land Cruiser 1958) et à un tout-terrain de la nouvelle école, teinté de luxe (littéralement juste “Land Cruiser”). Leur style est également différent, notamment en ce qui concerne les phares. Différents coups, différentes personnes.

À quoi ressemblent l’intérieur du Land Cruiser et la technologie embarquée ?

Bien que le design général soit le même, le Land Cruiser 1958 et les autres diffèrent considérablement en termes de technologie et d’aménagement intérieur. En gros, considérez le 1958 comme le tout-terrain de base et le plus dépouillé. Outre les sièges en tissu ou en cuir, chaque modèle est équipé d’un écran différent : un écran tactile de 8 pouces pour la 1958 et de 12,3 pouces pour la Land Cruiser. Les deux modèles sont équipés de série d’Apple CarPlay et d’Android Auto sans fil, et Toyota indique qu’ils peuvent recevoir des mises à jour over-the-air au fur et à mesure que l’entreprise les diffuse. Le modèle 1958 dispose également d’un combiné d’instruments numérique plus petit flanqué de jauges analogiques, tandis que les autres versions disposent d’un combiné plein écran sans jauges analogiques. La première édition est comparable au Land Cruiser, bien qu’elle soit dotée d’équipements qui seraient normalement des options.

Quelle est la taille du Land Cruiser ?

La carrosserie carrée et la position droite sont des caractéristiques intemporelles du tout-terrain, et nous pensons qu’elles conviennent parfaitement au nouveau Land Cruiser. Contrairement au GX, cependant, le Land Cruiser est strictement un véhicule à deux rangées de sièges et cinq passagers.

Quelles sont les caractéristiques du Land Cruiser en matière de consommation de carburant et de performances ?

Le Toyota Land Cruiser 1958 2024 est un modèle d’inspiration rétro doté de phares ronds à DEL et d’une calandre patrimoniale avec TOYOTA en toutes lettres. Les autres caractéristiques de ce modèle comprennent le système multimédia Toyota avec Service Connect, Safety Connect et Remote Connect, un écran tactile de huit pouces et un système audio à six haut-parleurs, un écran multi-information de sept pouces, des jantes en alliage de 18 pouces, une sellerie en tissu, des sièges avant chauffants, un volant chauffant, une climatisation automatique à deux zones et une prise de courant alternatif de 2400 watts dans l’espace de chargement. Des caractéristiques tout-terrain telles que le contrôle CRAWL, le contrôle d’assistance en descente ou le différentiel arrière à verrouillage électronique sont également de série.

Sous le capot

Chaque Land Cruiser est électrifié et équipé de série du groupe motopropulseur hybride i-FORCE MAX de Toyota. Ce système s’articule autour d’un moteur turbo de 2,4 litres relié à une transmission automatique à huit vitesses par l’intermédiaire d’un moteur électrique situé dans le carter d’embrayage. Cette conception offre des performances maximales, permettant au Land Cruiser d’atteindre une puissance combinée de 326 chevaux et un couple de 465 lb-pi. Avec un attelage de remorque de série sur toutes les versions, le Land Cruiser peut remorquer jusqu’à 6 000 livres.

Caractéristiques

Ce modèle commence par la version 1958, avec les changements et améliorations suivants : Phares DEL rectangulaires, antibrouillards rigides, rétroviseurs extérieurs chauffants, jantes en alliage de 18 pouces, toit ouvrant électrique inclinable et coulissant, porte arrière électrique, système multimédia Toyota avec Service Connect, Safety Connect et Remote Connect, ainsi qu’un écran tactile de 12. 3 pouces et système audio à 10 haut-parleurs, siège du conducteur à réglage électrique, colonne de direction à réglage électrique, sellerie Softex, sièges avant chauffants et ventilés, climatisation automatique à trois zones, indicateurs numériques complets de 12,3 pouces, station d’accueil pour le chargement sans fil des téléphones intelligents, systèmes Multi-Terrain Monitor et Multi-Terrain Select, et mécanisme de déconnexion des stabilisateurs qui augmente la flexibilité de la suspension sur simple pression d’un bouton.

Le groupe Premium du Toyota Land Cruiser 2024 offre des jantes en alliage de 20 pouces, des palettes de changement de vitesse montées sur le volant, le système multimédia Toyota avec Drive Connect, le système audio JBL Premium à 14 haut-parleurs, l’affichage tête haute, la clé numérique, l’alerte de trafic transversal avant, l’aide au changement de voie, le moniteur de conduite, l’aide aux embouteillages, une glacière dans la console centrale, une sellerie en cuir, des sièges avant à réglage électrique, le système de mémorisation du siège du conducteur et un rétroviseur intérieur à affichage numérique.

Le Toyota Land Cruiser 2024 Première Édition est un modèle de production limitée à 290 unités pour tout le Canada. Ce modèle comporte plusieurs éléments exclusifs, notamment des plaques de protection avant et de transfert, des garde-corps, une galerie de toit unique, des jantes en alliage de 18 pouces avec finition unique, des garde-boue inspirés du rallye, une porte arrière avec protection d’ouverture et lampe à DEL, ainsi que des accents intérieurs exclusifs tels que le lettrage en relief sur les épaulements de porte. Les autres caractéristiques de ce modèle comprennent des phares ronds à DEL, le système multimédia Toyota avec Service Connect, Safety Connect et Remote Connect, un écran tactile de 12,3 pouces et un système audio JBL Premium à 14 haut-parleurs, un affichage tête haute, des palettes de changement de vitesse sur le volant, une sellerie en cuir, des sièges avant à réglage électrique, un système de mémorisation du siège conducteur et un rétroviseur numérique, ainsi que d’autres équipements de série de la catégorie Land Cruiser. Ce modèle est également proposé dans des couleurs de carrosserie bicolores exclusives.

Liste de prix

Model Prix *
Land Cruiser 1958 $72,921
Land Cruiser $80,921
Land Cruiser Premium Package $86,921
Land Cruiser First Edition $94,001

  • Le prix du véhicule inclut le PDSF/le PDI du fret/les frais de climatisation/les frais maximaux du concessionnaire/les autres frais et charges maximaux, et exclut les taxes, l’immatriculation, l’assurance.

Le texte Le retour du Land Cruiser au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le récent ralentissement des ventes de véhicules électriques (VE), illustré par les derniers résultats de Tesla et BYD, suscite des interrogations sur l’avenir de cette révolution dans le secteur automobile. Il faut sortir du vase clos du Québec pour constater que l’acceptation des VÉS n’est pas partout la même.

Tesla : Un déclin des ventes inattendu

Tesla, figure emblématique de l’industrie des VE, a récemment atteint un jalon significatif en produisant six millions de véhicules électriques, à peine six mois après avoir franchi le cap des cinq millions. Cependant, malgré ces succès, les derniers chiffres ont surpris : une baisse de 20,2 % des livraisons au premier trimestre 2024 par rapport au trimestre précédent, et une diminution de 8,5 % sur un an. Cette baisse survient malgré une production accrue, ce qui a conduit à une accumulation de stocks et à des perspectives de réductions de prix.

Facteurs de ralentissement du marché des VE

Plusieurs facteurs contribuent au ralentissement observé sur le marché des VE. L’augmentation des primes d’assurance, les retards dans le déploiement des infrastructures de recharge ailleurs au Canada et aux États-Unis et le manque de modèles abordables ont tous joué un rôle. De plus, la stabilisation des tensions liées à l’approvisionnement en pétrole et la crise énergétique sont des éléments à considérer. Des études révèlent également une dépréciation rapide des VE, ce qui impacte leur attractivité sur le marché.

BYD et le marché chinois

Le constructeur chinois BYD, autre acteur majeur du marché des VE, a également subi une chute des ventes, perdant ainsi sa position de premier producteur mondial. Cette tendance remet en question la menace que les constructeurs chinois semblaient représenter pour les acteurs traditionnels.

Perspectives futures

Malgré ce ralentissement, les VES restent une force montante. Des initiatives telles que l’interdiction des nouvelles ventes de voitures à essence ou diesel dans certains pays, comme la Norvège, soulignent le potentiel continu des VE. De nouveaux acteurs, comme Xiaomi, entrent sur le marché avec des offres compétitives, tandis que des constructeurs établis, dont Tesla, ajustent leur stratégie pour s’adapter à cette évolution.

Un tournant dans l’évolution des VE ?

Alors que certains considèrent ce ralentissement comme le début de la fin de la révolution des VE, d’autres y voient une pause temporaire pour se réorienter sur le marché de l’automobile. Les véhicules zéro émission continuent de susciter un intérêt croissant, bien que leur trajectoire future reste à déterminer.

Le texte Le ralentissement du marché des véhicules électriques : Un simple hoquet ou un signe précurseur ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La Tesla 2 promise depuis longtemps par la firme américaine sera finalement abandonnée. Jusqu’à tout récemment, Elon Musk laissait entendre qu’elle pourrait entrer en production à la fin de l’année prochaine, devait être commercialisée à moins de 25 000 dollars US pour rivaliser avec des modèles d’entrée de gamme du marché.

La plateforme récupérée pour des robotaxis.

Citant trois sources familières avec le sujet et des messages internes à l’entreprise, Reuters affirme que le projet a été abandonné et que la plateforme qui devait sous-tendre le VE sera désormais utilisée pour une ligne de robotaxis autonomes, produits à des volumes beaucoup plus faibles.

La voiture à rabais va-t-elle survivre ?

Tesla a longtemps fait allusion à des plans pour une nouvelle voiture à prix réduit qui se situerait en dessous de la Model 3 et du Model Y, mais n’a donné que des indications limitées sur son positionnement au cours des dernières années. Plus récemment, l’entreprise a publié une image de sa silhouette, suggérant qu’il s’agirait en fait d’une version réduite de la Model 3.

La porte ouverte à la concurrence

L’abandon par Tesla du marché des véhicules électriques les moins chers intervient à un moment où des voitures chinoises abordables, telles que la BYD Dolphin, arrivent en Europe. Le prix plus bas reposait sur un nouveau processus de production appelé Unboxed, qui consistait essentiellement à réduire la quantité de travail effectuée à chaque étape de la chaîne de production, en évitant tout mouvement ou démontage inutile de la voiture ou de ses composants au cours de son parcours sur la chaîne de production. Par exemple, les sièges sont montés directement sur le bloc-batterie situé sous le plancher, l’ensemble étant ensuite soulevé dans une carrosserie peinte par sections afin d’éviter le démontage et la réinstallation des portes.

D’abord l’Europe

La production initiale du modèle 2 était prévue pour l’Allemagne. On pensait que la plateforme de la voiture n’était pas liée aux autres Teslas. Reuters suggère que ce processus de production et la plateforme à laquelle il s’applique seront plutôt déployés pour le véhicule autonome de covoiturage de Tesla, dont on parle depuis longtemps, mais qui ne sera pas produit dans les mêmes volumes colossaux. L’agence cite une source selon laquelle “la directive d’Elon est de tout miser sur Robotaxi”.

Avec des renseignements d’Autocar

Le texte Tesla abandonne son projet de Model 2 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La NASA a sélectionné trois entreprises qui vont développer le véhicule tout-terrain permettant aux astronautes de la mission Artemis de se déplacer sur la Lune, à partir de 2030. Dans un communiqué publié plus tôt cette semaine, on apprend que des contrats d’une valeur totale de 4,6 milliards de dollars US leur ont été accordés.

La première de ces trois entreprises est Intuitive Machines de Houston, au Texas. Associée, entre autres, à Boeing, Northrop Grumman et Michelin, elle a présenté le concept du Moon RACER (pour Reusable Autonomous Crewed Exploration Rover). Pour sa part, Lunar Outpost de Golden, au Colorado, s’est associé à GM, Goodyear et Lockheed Martin, notamment, pour développer le Lunar Dawn.

Enfin, Venturi Astrolab de Hawthorne, en Californie, une filiale du constructeur monégasque Venturi, travaille sur le FLEX (pour Flexible Logistics and EXploration) en collaboration avec ses partenaires dont Axiom Space et Odyssey Space Research. Un prototype fonctionnel de ce véhicule a d’ailleurs été dévoilé en mars 2022.

De ces trois entreprises, une seule remportera le contrat final de démonstration, de fabrication et d’entretien du véhicule qui servira à l’agence spatiale jusqu’en 2039.

Un record à battre

Au cours de la mission Apollo 17, en 1972, le commandant Eugene Cernan a établi un record de vitesse lunaire de 18,0 km/h en conduisant le LRV (pour Lunar Roving Vehicle), ce tout-terrain lunaire biplace que lui et Harrison Schmitt, le pilote du module lunaire, ont partagé pour leurs tâches d’exploration sur la surface lunaire.

Bien qu’il n’y ait pas de quoi se vanter d’un record pareil, il tient toujours puisque, depuis leur passage sur l’astre lunaire, aucun autre véhicule semblable n’y a été déposé ! C’est cependant sur le point de changer, puisque le programme Artemis de la NASA vise à établir bientôt une présence humaine permanente sur la Lune, en prévision de futures missions d’exploration de la planète Mars.

La NASA prévoit donc commencer à y utiliser son nouveau véhicule surnommé LTV (pour Lunar Terrain Vehicle) à partir d’Artemis V. Le décollage de la fusée qui servira à cette cinquième mission du programme est prévu pour 2030 et elle sera la première à envoyer un équipage avec un atterrisseur lunaire Blue Moon.

Des véhicules très différents

Le véhicule qui deviendra ce nouveau LTV sera très différent de celui des missions Apollo. Ce dernier ne devait fonctionner que quelques heures durant les quelques jours que durait la mission.

Au contraire, ce nouveau véhicule devra permettre aux astronautes de parcourir plus de terrain plus rapidement, en transportant plus d’équipement sans s’épuiser. Il devra aussi être conçu pour encaisser les conditions extrêmes qu’impose le pôle Sud de la Lune, destination des missions Artemis.

Il sera doté de pneus increvables, d’un système de gestion d’énergie efficace, de la conduite autonome et de systèmes de communication et de navigation de pointe. Les équipages l’utiliseront pour explorer les lieux, transporter du matériel scientifique et collecter des échantillons de la surface lunaire.

De plus, entre les missions Artemis, lorsqu’il n’y aura pas d’équipage sur la Lune, le LTV pourra être commandé à distance pour divers besoins de la NASA. Durant ces périodes, son constructeur aura la possibilité de s’en servir pour ses propres activités commerciales.

Photos : NASA, Lunar Outpost, Venturi Astrolab et Intuitive Machines

Le texte La NASA a choisi trois entreprises qui développent le tout-terrain lunaire d’Artemis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Une responsable du design nous avait confirmé la chose au Portugal il y a quelques mois, BMW a par la suite démenti cette information. Voilà maintenant que la nouvelle devient officielle.

Un beau modèle

BMW vient de confirmer ce que nous savions déjà. La BMW M5 Touring 2025 arrivera au Canada, marquant la première fois que la grande familiale de BMW sera officiellement vendue dans ce pays. BMW avait lancé une campagne le mois dernier pour tâter l’intérêt des amateurs. BMW Canada a déclaré avoir reçu plus de 7 200 pétitions et avoir enregistré un taux d’engagement record sur ses canaux sociaux. Dire non, à ce stade, aurait pu conduire à une révolte.

La nouvelle M5 familiale arrivera au Canada vers la fin de l’année. La production commencera au quatrième trimestre. Bien entendu, nous ne savons toujours pas ce que la M5 Touring, ou la berline, offrira. Elle pourrait être équipée du groupe motopropulseur PHEV de 735 chevaux de la XM, ou d’une version améliorée du V8 4,4 L de 600 chevaux de la voiture actuelle.

Quoi qu’il en soit, il faut s’attendre à ce qu’il soit cher. La seule véritable concurrente est la RS6 Avant d’Audi, un véhicule familial de 621 chevaux proposé à partir de 146 492 euros.

Avec des renseignements de Motor Illustrated

Le texte La BMW M5 Touring sera officiellement vendue au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les ventes de véhicules électrifiés de Toyota sont en hausse, tandis que celles de Tesla sont en baisse. Est-ce que l’histoire va encore donné raison à Toyota, ou Tesla est-elle simplement confrontée à une véritable concurrence pour la première fois ?

Toyota en hausse, Tesla en baisse

En début de semaine, Tesla a annoncé ses livraisons de véhicules pour le premier trimestre et les nouvelles n’étaient pas bonnes. Les analystes s’attendaient à près de 457 000 véhicules et la société s’attendait à quelque chose de similaire, mais les chiffres réels ont été de 386 810. Il s’agit d’une baisse de 8,5 % par rapport au premier trimestre 2023 et de la première baisse d’une année sur l’autre depuis les arrêts pour cause de pandémie. Toyota Motor North America a déclaré 565 098 ventes, soit une augmentation de 21,8 % par rapport à l’année précédente. Les ventes de modèles électrifiés, qui sont un mélange d’hybrides, de véhicules hybrides rechargeables et de véhicules électriques, ont augmenté de 74 %. 36,6 % du volume total de l’entreprise était électrifié.

Je vous l’avais dit

Si vous êtes Toyota, qui affirme depuis longtemps que les VE ne sont pas prêts et ne le seront jamais pour la plupart des acheteurs, cela peut sembler être une justification. Depuis le début de l’année, l’action de Toyota a bondi de 41 %, tandis que celle de Tesla a baissé de 35 % sur la même période. Mais l’histoire ne se résume pas à cela. Les ventes de Tesla sont peut-être en difficulté, mais d’autres constructeurs de véhicules électriques se portent bien. Le concurrent chinois BYD a vu ses ventes s’effondrer au cours des deux premiers mois de l’année, mais les réductions de prix les ont fait rebondir en mars à des niveaux presque record.

La concurrence est plus forte

Hyundai USA a fait état d’une hausse significative de ses ventes de VE au premier trimestre, la Ioniq 5 ayant progressé de 18 % et la Ioniq 6 de 1 542 %. Kia USA a vendu 4 000 exemplaires de l’EV6 et de l’EV9, ce qui témoigne également d’une croissance significative. Même chez Ford et GM, qui se sont montrés très réticents à l’égard des VE ces derniers temps, les ventes sont en hausse. La Ford Mach-E a augmenté de 77 % et la Lightning de 80 %, ce qui fait de la marque le deuxième vendeur de VE en Amérique. Les ventes de Cadillac Lyriq ont dépassé les 5 000 unités au cours du trimestre, et GM prévoit d’autres VE cet été. Même les BEV de Toyota se vendent bien. La bZ4X et la RZ ont toutes deux atteint des records de vente avec 1 897 et 1 603 unités sur le trimestre.

Qui aura le dernier mot

Ainsi, alors que Toyota se vante de ses chiffres sur les hybrides et dénigre les VE, et que Tesla déçoit avec ses chiffres de livraison, l’histoire ne s’arrête pas là. Les ventes de VE continuent de croître, et même Toyota cherche à obtenir plus de cellules de batterie en urgence et travaille sur des batteries à l’état solide pour la prochaine génération de véhicules hybrides. tech.

Avec des renseignements de Motor Illustrated

Le texte Pendant que les ventes électrifiées de Toyota augmente, celles de Tesla baisse provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile