Si vous envisagez d’acheter une Chevrolet Bolt, vous devriez vous dépêcher de le faire. Un courriel envoyé aux clients de la Bolt et un par un porte-parole de GM, confirme que la voiture électrique d’entrée de gamme de Chevrolet électrique d’entrée de gamme de Chevrolet sera abandonnée après 2023. Les derniers modèles seront fabriqués en novembre de cette année.

Encore un des meilleurs achats en ce moment

La Bolt fait partie de ces rares voitures qui ont atteint leur vitesse de croisière plus tard dans leur vie. Malgré un rappel massif de batteries, le modèle n’avait pas perdu de sa popularité. Chevrolet avait aussi diminué le prix aux États-Unis.

Un départ attendu

Ce n’est pas tout à fait pas tout à fait inattendu, puisque GM a annoncé cette initiative depuis l’année dernière. La Bolt devrait être remplacée par le nouveau Chevrolet Equinox EV, qui offrira plus d’espace et de technologie à un prix qui reste encore à confirmer. L’An dernier GM avait laissé entendre que l’Equinox de base serait à 37 500 $. Depuis, pas de confirmation de ce prix. L’Equinox va aussi utiliser la plus récente technologie des piles Ultium de GM et devrait offrir une autonomie supérieure.

Avec des renseignements : The Autopian

Le texte La Chevrolet Bolt est officiellement morte provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Un juge de la Cour d’État de Californie a tranché la semaine dernière et a mis fin à la poursuite intentée contre Tesla par la propriétaire d’une Model S qui a eu un accident de voiture en 2020 et qui accusait le système Autopilot de sa voiture d’être responsable de ses nombreuses blessures. Son jugement : Tesla n’est pas responsable.

Justine Hsu dit que sa Model S a soudainement donné un coup de volant et s’est retrouvée sur l’accotement de la route où elle circulait avec le système d’aide avancée à la conduite bien activé, ce qui a provoqué le déclenchement du coussin gonflable. Le coussin a éclaté si brusquement qu’il aurait fracturé la mâchoire de la conductrice, lui a brisé quelques dents et a endommagé certains nerfs dans son visage.

Mme Hsu recevra exactement zéro dollar en conséquence d’une poursuite pour un montant de 3 millions $ US. Le juge de la Cour supérieure de Los Angeles a déclaré que sa voiture n’avait pas été défaillante, et que ses dispositifs de sécurité s’étaient comportés de façon tout à fait sécuritaire. Il a ajouté que Tesla n’avait pas omis de partager de l’information sur le comportement des systèmes à bord de ses voitures.

Ce qui a donné raison à Tesla est plutôt simple : malgré qu’il se nomme Autopilot et qu’il comporte une technologie appelée «Full Self-Driving System», Tesla indique clairement dans la documentation fournie avec ses véhicules que leur système d’aide à la conduite avancée n’est pas un système de pilotage entièrement automatique.

L’erreur de Mme Hsu est d’avoir utilisé son système en situation urbaine, malgré qu’il soit clairement indiqué par Tesla que son système est conçu pour l’autoroute, et pas les routes en ville.

C’est un dossier qui peut sembler banal, mais il s’agit de la première poursuite du genre à être réglée par la justice américaine, et le PDG de Tesla Elon Musk avait déjà dit qu’il pourrait avoir un impact crucial sur l’avenir de la technologie des véhicules autonomes.

L’impact ne sera donc pas si négatif que ça, même qu’au contraire, le jugement a fait réagir positivement jusque les investisseurs à la bourse de New York, qui ont fait bondir de 1,3% la valeur de l’action de Tesla dans les heures suivant le jugement.

Le texte Un juge tranche : Tesla pas responsable des erreurs de son Autopilot provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

CAA-Québec a calculé ce qu’il peut en coûter en frais de réparation cette année si les automobilistes endommagent leur véhicule dans un nid-de-poule. Rareté de la main-d’œuvre, inflation galopante et plusieurs autres facteurs peuvent expliquer pourquoi abîmer son véhicule dans les trop nombreux nids-de-poule de la province fera encore plus mal au portefeuille cette année.

Une étude de la CAA réalisée en 2021 a conclu que le coût supplémentaire moyen lié au mauvais état des routes (surtout au Québec) était de 258 $ annuellement par véhicule au Québec. Cela inclut les frais de réparation et d’entretien imprévus, la dépréciation du véhicule, les coûts supplémentaires en essence ainsi que l’usure prématurée des composants mécaniques. À titre comparatif, la moyenne canadienne se situait plutôt à 126 $.

Comme rien n’échappe au coût de la vie, ces frais ont augmenté et la facture pour les réparations aussi. En 2023, endommager son véhicule dans un nid-de-poule entraîne généralement des dommages allant de 200 $ à 600 $, et parfois beaucoup plus! CAA Québec a dressé une liste des bris les plus fréquents, et les coûts approximatifs qui y sont associés selon le marché actuel. Ces coûts ont augmenté de 20 à 35 % depuis 2020.

• Pneu : 150 $ à 350 $
• Roue en acier : 100 $
• Roue en alliage : 600 $
• Bras de suspension : 200 $ à 400 $
• Embout de direction : 100 $ à 250 $
• Amortisseur : 200 $ à 400 $
• Jambe de force : 200 $ à 400 $
• Rotule de suspension : 150 $ à 300 $
• Parallélisme (alignement) : 100 $ à 200 $

Réclamer à son assurance auto ou non?

La facture salée suivant un bris causé par un nid-de-poule vaut-elle une réclamation auprès de votre assureur? Pas forcément! CAA-Québec ne recommande pas de faire affaire avec un assureur pour les réclamations d’un montant de moins de 1000 $.

Source: CAA-Québec

Le texte Les nids-de-poule coûte encore plus cher en 2023 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Buick est une marque ressuscitée ces dernières années grâce évidemment à sa popularité en Chine, mais aussi grâce à une gamme de petits VUS plus luxueux qui ont connu leur part de succès en Amérique du Nord. Et pour poursuivre, la division de GM vient de dévoiler la plateforme Envista sur laquelle pourront être créés des VUS compacts luxueux au comportement plus près de celui d’une berline.

Le concept Envista présente un empattement allongé, des roues assez imposantes et un habitacle reculé au toit tout en courbe. Sa silhouette est moderne et son format très peu vertical confirme que ce véhicule devrait avoir un centre de gravité plutôt bas et donc, pourrait effectivement présenter un profil dynamique comparable à celui d’une petite familiale, plutôt que celui d’un petit camion.

L’objectif de Buick avec ce véhicule est d’attirer le regard – et ensuite, le portefeuille – des gens qui pensent à passer d’une berline à un VUS pour leur prochain véhicule. Ça peut être de jeunes professionnels, ou même des jeunes familles qui ont les moyens de s’offrir autre chose que le modèle de base d’une marque meilleur marché.

Il faut dire qu’à 32 000 $ environ (23 500 $US), l’Envista n’est pas le plus coûteux des VUS compacts vendus par des marques de luxe. Je pense même que Buick se frotte plus à Mazda ou Toyota ici qu’à BMW ou Lexus, disons. Une des raisons qui expliquent son prix relativement bas est que le véhicule est assemblé dans une usine de GM en Corée, où les coûts d’assemblage sont peu élevés.

D’ailleurs, le nouvel Envista va remplacer le Buick Encore, un VUS compact aux lignes plus classiques qui rivalisait avec des modèles comme le Kia Seltos, le Volkswagen Taos et le Mazda CX-30.

Sous le capot de ce concept se trouve un moteur turbo à 3 cylindres de 1,2 litre capable de produire 136 chevaux jumelé à une boîte automatique à 6 rapports. GM promet une consommation moyenne de 7,8 l/100 km

On a hâte de voir comment réagiront les acheteurs à cette proposition, les moteurs à 3 cylindres n’étant pas particulièrement nombreux sur nos routes, outre certains modèles Ford et Mini… L’Envista est millésimé 2024 et peut être précommandé dès cet été. Les livraisons devraient débuter quelque part cet automne.

Le texte Envista : Buick se dote d’une plateforme pour ses futurs VUS compacts provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Tesla prépare l’exportation du Modèle Y vers le Canada depuis la Chine

  • Cette nouvelle version est à propulsion arrière et dispose d’une batterie plus petite.
  • Le prix sera abaissé de 10 000 dollars face à un modèle à deux moteurs
  • Le véhicule aura droit aux 12 000 $ de subventions
  • L’autonomie est estimée à 394 kilomètres et les livraisons pourraient avoir lieu d’ici juillet.

Tesla a commencé à produire à Shanghai une version de la Model Y qui sera vendue au Canada cette année. C’est la première fois que Tesla expédie des voitures en Amérique du Nord depuis la Chine, selon une personne ayant une connaissance directe du projet.

Baisser le prix pour avoir droit au rabais

Tesla a baissé de ses véhicules à plusieurs reprises depuis quelques mois et l’usine chinoise de la marque est celle qui offre les coûts de fabrication le plus bas. Le site web de Tesla indique que les clients canadiens pourront prendre livraison de la nouvelle version du Model Y entre mai et juillet. Le site web du gouvernement canadien a été mis à jour vendredi pour indiquer que la nouvelle version de la Model Y et la variante à longue autonomie, plus chère, sont toutes deux éligibles à des incitations de 5 000 dollars canadiens à l’achat ou pour un contrat de location de quatre ans.

La production canadienne a débuté

Tesla Shanghai a commencé la production de la version canadienne de la Model Y au début du mois, a déclaré une personne ayant connaissance du développement. Le mémo de production examiné par l’agence Reuters montre que les véhicules ont été conçus et testés pour l’exportation vers l’Amérique du Nord, avec un objectif de production de près de 9 000 unités ce trimestre.

Une baisse de prix de 10 000 $

L’usine Tesla de Shanghai utilise des batteries au phosphate de fer-lithium (LFP) pour la version du modèle Y qui y est produite pour être vendue en Chine et exportée vers l’Europe et d’autres marchés. Dans ses usines du Texas et de Californie, Tesla a mis en place une configuration de batterie plus puissante, connue sous le nom de 4680. Le site web de Tesla indique que la nouvelle version de la Model Y, spécifique au Canada, a une autonomie équivalente à 394 km. Cette version du Model Y est proposée à 59 990 dollars au Canada, soit exactement 10 000 dollars de moins que le modèle à longue autonomie qui était auparavant le VUS Tesla le plus abordable du pays. Vous avez aussi droit aux deux subventions qui totalisent 12 000$. Un prix qui risque de faire mal à la concurrence.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Le prochain Tesla Modèle Y vendu au Canada sera fabriqué en Chine et 10 000$ moins cher provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Polestar qui appartient à la Chinoise Geely qui contrôle également Volvo utilisera les locaux de son ancien rival SAAB à Trollhattan dans le cadre du développement de groupe motopropulseur de la Polestar 5, une rivale de la Tesla Model S, et du roadster Polestar 6 dans un bâtiment de 15 000 mètres carrés, a rapporté Automobilwoche, la publication sœur d’Automotive News Europe.

Un centre de recherche et de développement

Polestar testera également les groupes motopropulseurs, les moteurs électriques et les batteries pour les modèles à venir dans le nouveau centre de recherche et de développement. Polestar louera le bâtiment à la ville de Trollhattan, selon Automobilwoche. Le site était auparavant utilisé pour le développement des groupes motopropulseurs par Saab, puis par National Electric Vehicle Sweden (NEVS).

Plus rien depuis 2011

Saab s’est effondrée en 2011 et NEVS a fermé ses portes le mois dernier. Polestar possède également des installations de recherche et développement à Göteborg, en Suède, à environ 90 km au sud de Trollhattan, et à Coventry, en Angleterre. En Angleterre, le constructeur automobile développe sa propre plate-forme légère en aluminium collé, sur laquelle reposeront les modèles Polestar 5 et Polestar 6. La Polestar 5, qui sera également en concurrence avec la Porsche Taycan, devrait entrer en production en 2024 dans une usine située à Chongqing, en Chine. Le cabriolet à toit rigide Polestar 6 sera également construit dans cette usine, probablement à partir de 2025. L’usine appartient à Geely et est exploitée par Polestar. La nouvelle plateforme de Polestar n’a pas encore été nommée.

Une architecture de 800 Volts

Les voitures partageront une architecture électrique de 800 volts qui, outre une puissance de près de 900 chevaux, une accélération de 0 à 100 km/h en 3,2 secondes, une vitesse maximale de 250 km/h et une autonomie estimée à plus de 480 km, a indiqué le constructeur automobile.

Va-t-on produire des voitures à Trolhatten ?

Tous les modèles Polestar sont construits dans des usines appartenant à Volvo et Geely, Le Polestar 2 est construit à Luqiao, en Chine, sur la plateforme CMA dans une usine appartenant à Geely et exploitée par Volvo. Le Polestar 3 reposera sur la plate-forme SPA2 et sera fabriqué dans les usines Volvo de Chengdu, en Chine, et aux États-Unis, près de Charleston, en Caroline du Sud. Le Polestar 4 sera construit dans l’usine Geely de Hangzhou Bay, en Chine, sur la base du SEA. Polestar a pour objectif d’augmenter ses ventes mondiales de 60 % cette année, pour atteindre 80 000 unités. Ce chiffre est inférieur à ce que le constructeur automobile avait prévu d’atteindre dans les documents préparés avant son entrée en bourse. L’objectif pour 2023 était de 124 000 unités.

Avec des renseignements d’Automotive News Europe

Le texte Polestar utilisera le site de l’ancienne usine Saab en Suède provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le géant chinois des batteries CATL, qui s’est récemment associé à Ford, a lancé un nouveau type de cellule radicale avec une densité énergétique de 500 Wh par kilos qui pourrait permettre aux voitures électriques d’utiliser des batteries beaucoup plus légères et d’offrir presque le double d’autonomie.

Une avancée significative

Il s’agit d’une avancée importante dans la technologie des batteries : les cellules 2170 de Panasonic utilisées dans la Tesla Model 3 ont une densité d’environ 260 Wh par kilos, et sont parmi les plus performantes sur le marché en ce moment. CATL promet le double de ce rendement. Selon le fabricant chinois, une version “de qualité automobile” des nouvelles cellules condensées entrera en production de masse d’ici la fin de l’année. Dans un premier temps, l’accent est mis sur l’expérimentation de la nouvelle technologie dans le domaine de l’aviation. Selon CATL, ces nouvelles batteries pourraient permettre de réaliser le premier avion de ligne électrique.

Une batterie plus légère

La nouvelle technologie pourrait permettre d’obtenir des batteries de 100 kWh ne pesant que 200 kg, ce qui représente une réduction significative par rapport aux cellules actuelles. À titre de comparaison, la batterie lithium-ion de 83,7 kWh qui équipe l’Audi E-tron GT pèse 630 kg. Des batteries plus petites et plus légères ouvrent un monde d’opportunités pour les constructeurs de voitures électriques, créant un potentiel pour des véhicules électriques urbains compacts avec une plus grande autonomie et des voitures de sport légères, par exemple, et dans tous les segments, elles pourraient permettre une réduction de la hauteur de conduite et une augmentation de l’espace intérieur.

Des ententes avec BMW et Ford

CATL a conclu plusieurs partenariats avec des fabricants de véhicules électriques, dont BMW (à qui il fournira des cellules cylindriques à partir de 2025) et Ford (qui utilisera sous licence la technologie lithium-fer-phosphate de CATL pour fabriquer des cellules dans le Michigan, aux États-Unis). Les nouvelles cellules condensées pourraient donc être destinées à un grand nombre de modèles. Toutefois, la première série sera très probablement utilisée dans des voitures de luxe à faible volume, et les prix devraient être élevés lorsque la production commencera à s’intensifier.

Avec des renseignements d’Autocar

Le texte Une batterie deux fois plus dense et deux plus légère provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Encore une autre affirmation farfelue du grand patron de Tesla. Je me permets d’intervenir dans ce dossier simplement pour avertir les automobilistes que nous sommes encore très loin de l’autonomie à bord d’une voiture. À en croire le PDG de Tesla, qui a fait cette déclaration lors d’une conférence téléphonique sur les résultats du premier trimestre de cette année, “La tendance est très clairement à la conduite autonome, à l’autonomie complète”, a déclaré M. Musk. “Et j’hésite à le dire, mais je pense que nous y parviendrons cette année. Heureusement qu’il a hésité à le dire, car personne dans l’industrie n’est prêt à l’autonomie.

La situation sur l’autonomie au volant

Elon Musk a tendance à promettre trop et à ne pas tenir ses promesses. À la fin de l’année 2021, il a affirmé que Tesla atteindrait “très probablement” l’autonomie de niveau 4 en 2022. En 2023, Tesla n’a toujours pas atteint le niveau 3. Dans les faits, la seule compagnie automobile qui a atteint le niveau 3 en ce moment est le groupe Mercedes en Allemagne et bientôt aux États-Unis. Rappelons qu’une autonomie de niveau 3 permet au conducteur de laisser le volant, sans quitter la route des yeux en demeurant en contrôle à tout moment. Le niveau 4 est le début de la pleine autonomie ou vous pouvez quitter les yeux de la route et faire autre chose et un niveau 5 n’a plus besoin de volant. Nous sommes encore très loin de cette réalité.

Pas d’autonomie complète à court ou moyen terme

La grande majorité des systèmes d’aide à la conduite qui ont été largement adoptés se situent entre le niveau 1 et le niveau 2, où des fonctions telles que l’assistance au maintien de la trajectoire et le contrôle adaptatif sont utilisées. Tesla, malgré toutes les affirmations de son PDG offre autonomie de niveau 2 même avec l’option FSD. Sachez qu’au niveau 3, un constructeur est tenu responsable en cas de panne des systèmes et aussi responsable en cas d’accident. C’est pour cela que les compagnies hésitent à faire le saut au niveau 3. Il faut être profondément convaincu que tout l’électronique est sans faille et seul Mercedes s’est aventuré dans cette voie à ce jour.

Tesla a tendance à surpromettre

Les affirmations relatives à la conduite autonome doivent être prises très au sérieux, car des gens boivent les paroles d’Elon Musk et croient qu’une tesla peut rouler sans intervention humaine. Les caméras et les radars ne suffisent pas à identifier les obstacles potentiels, et c’est là que le LiDAR devient crucial. Pire encore, Tesla a supprimé les capteurs à ultrasons de ses petites Model 3 et Model Y l’année dernière, choisissant de s’appuyer exclusivement sur les caméras. Alors, si vous achetez une Tesla, garder vos yeux sur la route et les mains sur le volant.

Avec des renseignements de Carbuzz

Le texte Elon Musk affirme qu’une Tesla entièrement autonome sera disponible cette année provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le gouvernement du Québec hausse sa cible de 1,6 à 2 millions de véhicules électriques sur la route en 2030. Le ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, Benoît Charette, a profité de la tenue du Salon du véhicule électrique au Stade olympique de Montréal pour annoncer un rehaussement des exigences de la norme sur les véhicules zéro émission (VZE) ciblant les constructeurs d’automobiles présents dans la province.

Resserrer les normes VZE pour accélérer le rythme

« Il y a une disponibilité, mais pas encore assez forte pour la demande des automobilistes québécois », a dit en entrevue au Devoir Benoît Charette. « Ils doivent attendre encore trop longtemps. C’est pourquoi on vient resserrer la norme VZE pour rendre disponibles par les constructeurs plus de leurs véhicules électriques. » Étant donné qu’on compte à l’heure actuelle environ 200 000 véhicules zéro émission sur les routes du Québec, « on multipliera par dix en quelques années seulement le nombre de ces véhicules sur nos routes », se réjouit le ministre. « Quand on sera 100 % électrique en 2035, ce sont 20 % de nos émissions de GES qui auront été éliminées et c’est majeur. »

Les ventes de véhicules électriques représentent à l’heure actuelle environ 12 % des ventes de tous les véhicules neufs immatriculés au Québec. Pour que la province atteigne cette cible de 2 millions de véhicules, il faudra que plus de la moitié des ventes de véhicules légers neufs en 2027 soient électrifiées, et plus des deux tiers des ventes en 2030.

Bonifier l’infrastructure

Tous les constructeurs ne sont pas au même niveau dans leur propre virage électrique et c’est certainement une occasion à saisir pour ceux qui ont investi plus tôt dans des technologies zéro émission. C’est en tout cas la position prise par le groupe coréen Hyundai, à qui appartient la marque éponyme, la marque Kia et la marque Genesis, plus luxueuse.

Le ministre Charette se félicite également d’avoir obligé les constructeurs d’autobus scolaires à effectuer un virage électrique qui n’était pas à leur agenda dans les prochaines années. Il cite Autobus Thomas, « qui sans cette réglementation-là n’aurait probablement pas voulu se convertir à l’électrique ».

Le texte Québec vise 2 millions de véhicules électriques sur la route d’ici 2030 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

  • L’usine crée des milliers d’emplois pour les travailleurs canadiens
  • Des milliards d’euros d’incitations fédérales sont prévus

Le groupe Volkswagen dépensera environ 7 milliards de dollars pour construire l’usine, qui sera ensuite gérée par sa filiale PowerCo SE. Le site créera jusqu’à 3 000 emplois qualifiés dans la production de batteries. Il devrait également créer plus de 30 000 emplois indirects dans la région de St Thomas, en Ontario.

Le gouvernement va accorder 13 milliards en subventions

Ottawa va octroyer de 8 à 13 milliards sur 10 ans pour la construction et le fonctionnement de l’usine, soit un investissement initial de 700 millions et des subventions subséquentes pour chaque batterie fabriquée et vendue par Volkswagen. De son côté, l’Ontario fournira 500 millions, en plus d’investir des millions supplémentaires dans les infrastructures dans la région de St Thomas, entre autres pour les autoroutes.

Un catalyseur pour la région

L’usine de fabrication de cellules est construite sur une superficie d’environ 150 hectares, ce qui correspond à plus de 210 terrains de football. L’ensemble du parc industriel et des fournisseurs s’étend sur 1 500 acres (600 hectares). Sa situation stratégique, à environ 30 km au sud de London (Ontario), est au cœur du corridor automobile des Grands Lacs et à proximité de grandes villes telles que Toronto et Detroit. PowerCo bénéficie ainsi d’un accès privilégié au pôle régional de recherche et d’innovation, à une main-d’œuvre talentueuse, à de bonnes infrastructures de transport et à des chaînes d’approvisionnement bien établies. En outre, l’usine de fabrication de cellules sera alimentée par une énergie 100 % exempte de CO2.

Première grande usine du groupe hors de l’Allemagne

L’usine est la première gigafactory de batteries de VW construite à l’étranger. Elle fournira des cellules de batterie aux véhicules électriques construits par VW à partir d’autres usines nord-américaines. Volkswagen planifie avoir 25 nouveaux modèles de véhicules électriques au cours des prochaines décennies. La plupart des batteries pour ces véhicules viendront de St Thomas.

Les sources de CBC indiquent que les subventions seront liées à la loi américaine sur la réduction de l’inflation (Inflation Reduction Act), qui prévoit des milliards de subventions pour l’énergie propre dans ce pays.

Avec des renseignements de Radio-Canada

Le texte Volkswagen annonce un investissement de 7 milliards de dollars et 3 000 emplois pour la Gigafactory en Ontario provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile