Aux États-Unis, cette icône fait sourire les gens depuis plusieurs décennies. Elle fait vendre des saucisses aussi. Des tas. Or, un vulgaire communiqué diffusé ces derniers jours dans le pays de l’Oncle Sam nous a appris qu’elle change de nom. Rien de moins. Le véhicule promotionnel d’Oscar Mayer que tout le monde connaissait sous le nom de Wienermobile s’appellera désormais Frankmobile. Mais ce n’est pas à cause d’un dénommé Frank. Détrompez-vous !

La décision de changer le nom d’un des véhicules les plus connus aux États-Unis provient des idéateurs de Kraft Heinz, la multinationale qui possède cette marque de charcuterie. À leur avis, ce sera un moyen efficace pour mettre en valeur le slogan « 100 % beef franks » associé à la nouvelle recette des saucisses Oscar Mayer, dont les Étatsuniens découvriront la saveur cet été. Car ils sont avides de chiens-chauds, nos voisins du sud. En 2015, le magazine Fortune affirmait qu’ils en achetaient près d’un milliard de paquets par année. Parions qu’en huit ans, ce chiffre faramineux n’aura fait qu’augmenter !

Et que vient faire la Wienermobile dans tout cela ? Oups ! S’cusez… la… Frankmobile… Eh bien cette saucisse sur quatre roues sillonne les États-Unis pour promouvoir les produits Oscar Mayer depuis 1936. Voilà pourquoi elle est si connue.

La Wienermobile du New Deal

Deux années après l’implantation du New Deal par Franklin Delano Roosevelt, Carl G. Mayer, a eu l’idée de créer un véhicule devant servir à annoncer ces produits dans les rues de Chicago, où l’entreprise était installée depuis le tournant du siècle.

Carl était le neveu du fondateur de la marque : Oscar F. Mayer (1859-1955), un immigrant allemand. Car il y a bel et bien eu un Oscar; celui-là, mais aussi son fils et son petit-fils, Oscar G. Mayer Sr. (1888-1965) et Oscar G. Mayer Jr. (1914-2009), qui ont tous deux suivi ses traces dans l’entreprise.

Carl s’est donc adressé à la General Body Company de Chicago pour construite ce véhicule hétéroclite, la Wienermobile originelle. Longue de près de 4 mètres, on lui avait fait un habitacle découvert qui s’avérait si peu spacieux que seules des personnes de petite taille peuvent y prendre place. Ces porte-parole d’Oscar Mayer deviendront les Little Oscar. Exposés aux intempéries, ces conducteurs devront cependant attendre 1940 pour bénéficier d’un toit en matière transparente.

Un modèle d’après-guerre qui inspirera plusieurs générations

Au lendemain de la Deuxième Guerre, Carl conçoit une nouvelle Wienermobile. Celle-là aura une carrosserie carénée avec poste de conduite à l’avant. Mise en service en 1952, elle sera fabriquée en petit nombre et deviendra le modèle de la dizaine de générations de Wienermobile qui suivront jusqu’à ce jour.

Le modèle actuel arbore, pour sa part, une silhouette plus moderne imaginée par le designer américain Harry Bentley Bradley, celui-là même qui a dessiné la Dodge Deora, un véhicule de rêve des années 60, mais aussi les premières miniatures Hot Wheels fabriquées par Mattel en 1968.

Sa carrosserie couleur ketchup et moutarde à portes-papillons mesure 55 hot dogs de long (plus de 8 mètres), 18 de large et 25 de haut, selon le service de presse d’Oscar Mayer. Elle est faite en fibre de verre et, pour les six véhicules qui forment la flotte actuelle, elle habille un châssis de GMC Série W (un camion poids moyen) doté d’un V8 Vortec 5700 de 6,0 L produisant 300 ch.

Elle a servi à toutes les… sauces

Cette icône de la route qui aura bientôt 90 ans a marqué l’imaginaire américain de multiples façons. Au cinéma, elle a figuré dans au moins deux longs métrages (Ladybugs avec Rodney Dangerfield et Another You avec Richard Pryor et Gene Wilder), en plus d’avoir fait de nombreuses apparitions dans les émissions de la télé américaine, notamment aux The Tonight Show de Jay Leno et The Late Show avec David Letterman.

Récemment, il a aussi servi à toutes sortes de… sauces ! En 2019, un des véhicules de la flotte a été transformé en gîte et offert sur le réseau Airbnb. En 2021, durant quelques jours, une Wienermobile a servi brièvement au covoiturage pour Lyft dans les villes de New York, Chicago, Los Angeles et Atlanta. Puis, en avril dernier, un de ces véhicules est même devenu la Wienermobile of Love : une chapelle servant à célébrer des mariages à Las Vegas !

Maintenant, des millions d’Américains vont devoir se faire à cette nouvelle appellation : Frankmobile, qui est bien moins amusante. À tout le moins, les opérateurs de ces véhicules, eux, ne changeront pas de nom. Ils resteront les Hotdoggers. Au moins, une partie du mythe demeure intact…

Photos : Kraft Heinz et archives LG

Le texte La Wienermobile devient la Frankmobile provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Conduire un véhicule électrique au Texas va bientôt coûter plus cher. Le 13 mai, le gouverneur Greg Abbott a signé une loi (SB 505) instituant de nouvelles taxes pour l’immatriculation et la possession de VÉS dans l’État. En vertu de cette loi, les propriétaires de voitures électriques devront payer 400 dollars lors de l’immatriculation de leur véhicule. Ensuite, chaque année, les conducteurs de VÉS devront débourser 200 dollars supplémentaires. Ces deux frais s’ajoutent aux frais de renouvellement de l’immatriculation, qui s’élèvent à 50,75 dollars par an pour la plupart des voitures particulières et des camions.

Certaines exceptions

La loi exempte les cyclomoteurs, les motos et les autres véhicules électriques qui ne sont pas des voitures, et elle entrera en vigueur le 1er septembre 2023. En ce moment, au moins 32 États américains ont actuellement des frais d’immatriculation spéciaux pour les véhicules électriques, selon les données de la National Conference of State Legislatures. Ces droits vont de 50 à un futur 274 dollars au Tennessee à partie de 2028.

Préparer l’avenir

Pour le moment, les taxes à la pompe sont le principal moyen pour la plupart des États, dont le Texas, de collecter des fonds pour la construction et l’entretien des routes, ainsi que pour d’autres infrastructures liées à la conduite. Avec la montée des véhicules électriques, il faudra aller chercher ses taxes ailleurs. On trouve tout de même la facture salée, car le conducteur texan moyen a consommé ~55 millions de BTU d’essence en 2018, selon les données de l’Administration américaine d’information sur l’énergie. Cela équivaut à environ 440 gallons de carburant. À 0,20 $ le gallon, le propriétaire d’une voiture standard au Texas ne paie que 88 $ par an en taxes sur l’essence, soit beaucoup moins que les conducteurs de VÉS.

Pas une solution parfaite

Les véhicules électriques personnels ne sont pas une solution parfaite au problème permanent des voitures à pétrole. Remplacer tous les véhicules à essence par des véhicules électriques nécessiterait une quantité extraordinaire de ressources et ne ferait que déplacer le problème. L’investissement public dans les transports en commun serait incontestablement une meilleure stratégie environnementale. Mais tant que l’Amérique sera dominée par la voiture et que la plupart des Nord-Américains n’auront pas accès à des transports en commun adéquats, l’adoption des VÉS restera importante pour réduire les émissions de carbone du pays. D’ores et déjà, les coûts initiaux d’achat d’une voiture électrique sont nettement plus élevés que ceux d’un véhicule à essence. Une taxe salée ajoute à ce fardeau et pourrait dissuader les gens de passer aux VÉS.

Avec des renseignements d’Autoblog

Le texte Le Texas impose une taxe annuelle sur les véhicules électriques provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Prince Edward County, Ontario- Le Seltos, arrivé en 2020, est le meilleur vendeur de la marque Coréene. Au Canada, le Seltos représente 25 % des ventes de la compagnie est aussi le modèle le plus populaire su segments des VUS sous-compacts. Après quatre ans, Kia a décidé de moderniser son approche. Essentiellement, le Seltos conserve la même plateforme et les mêmes bases mécaniques.

Un habitacle plus moderne

À l’intérieur, l’habitacle a été redessiné pour présenter un tableau de bord numérique avec de larges écrans positionnés horizontalement devant le conducteur et s’étendant vers l’écran tactile central pour abriter le système d’infodivertissement bien conçu de Kia. Les modèles LX de base sont équipés d’un combiné d’instruments de 4,2 pouces encadré par des jauges numériques et un écran central de 8 pouces. Les versions SX et le nouveau X-Line ont droit à deux écrans de 10,25 pouces proposés de série. Rien n’a changé en ce qui concerne les dimensions intérieures et extérieures. Il est assez spacieux pour la petite famille de 4. Les modèles équipés de la combinaison tissu et synthétique peuvent être commandés dans un mélange de bleu et de noir, et les niveaux de finition supérieurs avec le SynTex intégral bénéficient d’options marron et vertes en plus du noir standard. Vous avez aussi droit en option à une clé digitale qui via une application sur votre téléphone intelligent vous permet mettre les fonctions de la voiture sur votre téléphone. Une option rare dans ce segment.

Quelques petits changements sous le capot

Le moteur quatre cylindres de base de 2,0 litres ne change pas. Il développe toujours 147 chevaux et 132 livres-pieds de couple par le biais d’une transmission à variation continue. Un peu dommage, car ce moteur manque un peu de « pep » face à certains modèles du segment. Les versions SX et X-Line ont droit au moteur 1,6 litre turbo qui passe de 175 à 195 chevaux pour 2024. La boîte DSG est aussi remplacée par une boîte automatique à huit rapports. Ce que cette boîte gagne en fiabilité, elle le perd en agrément. Cette boîte est plus lente à se mettre en marche et met du temps à rétrograder, un défaut que l’on ne retrouvait pas avec la boîte DSG. Toutefois, elle sera plus fiable que la boîte à double embrayage fragile.

Une conduite sans histoire

Pas de différence notoire dans la conduite. La version de base LX qui débute à 25 195 $ est toujours la seule avec les roues motrices avant. Pour 2 000 $ de plus, vous avez une version LX 4 RM. Viennent ensuite les versions EX et et EX Premium à 30 195 $ et 33 495 $. La version SX est à 35 795 et finalement le modèle X-Line à 38 395 $. Au volant, on met de l’avant le confort plutôt que la performance. La direction est souple sans être trop légère. La suspension est bien amortie et Kia a ajouté du verre insonorisant pour améliorer l’expérience de conduite. Il y a un mode sport qui ajoute un brin de fermeté. Nous avons été un peu déçus de la consommation qui n’a pas diminué sous la barre dxes 12 litres aux 100 km dans notre journée d’essai sur des routes secondaires en Ontario. Les VUS de ce segment sont en général sous la barre des 10 litres aux 100 km. Il va y avoir un peu de travail à faire à ce chapitre.

Conclusion

Kia ait choisi de proposer les Seltos 2024 avec des couleurs amusantes à l’intérieur et à l’extérieur. Les carrosseries bleu Pluton et vert valais ou encore orange sont la bienvenue. Le Seltos n’excelle en rien, mais n’a pas beaucoup de défauts non plus. Kia a choisi de resserrer les boulons et d’offrir un produit plus solide. Il était bon, et il s’est amélioré, comme c’est censé être le cas (mais ce n’est pas toujours le cas) lorsqu’un modèle populaire est rafraîchi. Il est élégamment plus stylé et plus confortable que nombre de ses principaux rivaux, et son prix est compétitif. Dans l’ensemble, il s’agit d’un petit VUS tout à fait recommandable.

Forces

Spacieux pour sa taille

Excellente garantie

Équipement complet

Faiblesses

Performances sans éclat avec le moteur de base

Consommation élevée pour un petit VUS

Boîte automatique un peu lente

Le texte Kia Seltos 2024 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le concept Pony avait été présenté en 1974 au Salon de l’auto de Turin. Le concept de cette voiture avait été confié à la célèbre maison Giugiaro. Hyundai a revisité ce concept et l’a présenté au concours d’élégance der Villa d’Este au Lac de Côme. Pour l’occasion Hyundai a invité l’homme derrière le concept Giorgetto Giugiaro et son fils Fabrizio Giugiaro, lui-même designer depuis de nombreuses années. Ils sont venus souligner la restauration achevée par GFG Style – le pôle de création qui s’appuie sur l’expertise artistique de Fabrizio et de Giorgetto – du véhicule qui a mené à la création de la fameuse gamme Pony.

Un modèle qui en a inspiré un autre

Cette voiture est aujourd’hui reconnue comme un classique rétro futuriste qui a inspiré le design des modèles plus récents de Hyundai Motor tels que le N Vision 74, un véhicule de développement hybride hydrogène/électrique qui se veut un véritable « laboratoire sur roues », ainsi que le VE concept 45 qui a influencé directement l’IONIQ 5 entièrement électrique.

Un modèle minimaliste

L’extérieur du concept Pony Coupe aux allures d’origami se caractérise par des lignes géométriques fluides, une ligne de toit élégante, des surfaces épurées, des proportions dynamiques et un pilier B à la forme unique. Il arbore un traitement de surface particulièrement graphique avec des pare-chocs peints de la couleur de la carrosserie. Son museau biseauté et ses phares circulaires le distinguaient en 1974 et lui confèrent encore aujourd’hui un caractère stylé. L’intérieur minimaliste exprime la sensibilité iconique de la voiture en mettant en valeur le design monocoque et l’architecture flottante axée sur le conducteur. Un volant à un seul rayon et des sièges baquets étroits deux tons accentuent ce qui était, dans les années 1970, une esthétique futuriste.

Dans le cadre du projet sur le patrimoine international, Hyundai Motor développera sa nouvelle plateforme de marque, Hyundai Reunion, afin de mieux faire connaître la vision et l’orientation de sa marque.

Le texte Le concept de la Pony revisité 50 ans plus tard provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

  • Le moteur i-FORCE 4 cylindres turbocompressé de 2,4 L qui équipe de série le Tacoma développe jusqu’à 278 chevaux et un couple de 317 lb-pi

  • Le groupe propulseur hybride i-FORCE MAX en option avec moteur 4 cylindres turbocompressé de 2,4 L produit 326 chevaux et un couple de 465 lb-pi

  • L’écran tactile de 14 po disponible en option est animé par le plus récent système audio multimédia Toyota

  • La suite de sécurité Toyota Safety Sense 3.0 est offerte de série sur tous les Tacoma

Cela faisait presque 20 ans que Toyota n’avait pas changé le Tacoma. Il a été refait de fond en comble pour 2024 et partage la plateforme du Tundra et Sequoia. Pour sa quatrième génération, le Tacoma utilise un nouveau cadre en échelle en acier à haute résistance, ajoute de nombreuses caractéristiques destinées aux amateurs de conduite hors route, propose en option une suspension arrière multibras à ressorts qui améliore la conduite et la tenue de route, et offre un choix de deux moteurs. Le Tacoma sera également disponible en version Trailhunter, un véhicule conçu spécialement pour les excursions et disponible directement chez nos concessionnaires. Le tout nouveau Tacoma 2024 sera mis en vente plus tard cette année et les modèles i-FORCE MAX arriveront au début de l’année 2024. Les prix de vente suggérés par le fabricant seront annoncés avant les dates de mise en vente.

Capable de remorquer 6 500 livres

La capacité de remorquage maximale du Tacoma est de 6 500 lb et la charge utile maximale passe à 1 709 lb. Pour faciliter le remorquage, le Tacoma est proposé avec une variété d’accessoires, dont un contrôleur de frein de remorque, un guide de recul de remorque et un rétroviseur intérieur à affichage numérique.

Deux moteurs 4 cylindres

Le Tacoma propose deux moteurs 4 cylindres de 2,4 L. Au Canada, sur toutes les versions, ce moteur développe 278 chevaux et un couple de 317 lb-pi lorsqu’il est associé à la boite à 8 rapports. Les amateurs de conduite manuelle peuvent se réjouir : une boîte manuelle intelligente à 6 vitesses (iMT2) avec correspondance automatique du régime et technologie anti-calage est disponible. Les modèles à boîte manuelle développent une puissance de 270 chevaux et un couple de 310 lb-pi. En option sur les modèles TRD Hors route et Limited, et de série sur les modèles TRD Pro et Trailhunter, le groupe propulseur i-FORCE MAX associe le moteur de 2,4 L à un moteur électrique de 48 chevaux intégré à la boîte à 8 rapports et alimenté par une batterie NiMH de 1,87 kWh, pour une puissance totale de 326 chevaux et un couple de 465 lb-pi,

Au Canada, le Tacoma est exclusivement proposé en versions à quatre roues motrices, avec un boîtier de transfert à deux vitesses à commande électronique avec gamme haute/basse et régulateur de traction actif (A-TRAC). Les modèles TRD Hors route, TRD Pro et Trailhunter reçoivent de série un différentiel arrière à verrouillage électronique. La nouvelle et luxueuse version Limited est désormais équipée de quatre roues motrices permanentes avec un différentiel central verrouillable sur les modèles i-FORCE MAX.

Une cabine plus moderne

Les technologies et les écrans d’information dernier cri qui équipent le tout nouveau Tacoma modifient sensiblement la cabine par rapport aux modèles de génération précédente. Un nouvel écran tactile multimédia de 8 po ou de 14 po en option est animé par le tout dernier système audio multimédia Toyota. Inauguré sur le Tundra 2022, ce système a été conçu et mis au point par l’équipe des technologies connectées de Toyota. Il offre la compatibilité avec Apple CarPlayMD et Android AutoMC, et s’associe parfaitement avec la surface de recharge sans fil Qi avec puissance de sortie améliorée disponible en option. Un port de données et de charge USB-C est intégré à droite de l’écran et deux ports de charge USB-C sont inclus dans la rangée avant et à la disposition des passagers arrière. Un groupe d’instruments numériques de 12,3 po avec quatre styles d’affichage différents équipe de série les versions supérieures du Tacoma, tandis qu’un groupe d’instruments de 7 po équipe de série les autres versions.

Le Tacoma se décline en plusieurs versions : SR5, TRD Sport, TRD Hors route, Limited, TRD Pro et Trailhunter. Pour un style et des sensations plus sportives, le TRD Sport reçoit toute la panoplie TRD : roues noires de 18 po, poignées de portière et ailes arrière de couleur assortie, prise d’air sur le capot, emblème extérieur noir et pédales en aluminium. La version TRD Hors route est plus performante que jamais grâce aux nouveaux amortisseurs monotubes Bilstein à réservoirs externes pour une meilleure dissipation de la chaleur, et au système de désaccouplement de la barre stabilisatrice avant en option.

Les versions Limited offrent plus de raffinement que jamais avec un intérieur luxueux et des équipements de série tels que des marchepieds rétractables assistés, un affichage tête haute, un écran tactile de 14 po, un système audio JBL, un rétroviseur intérieur à affichage numérique et un toit ouvrant assisté, ainsi que la nouvelle suspension variable adaptative et quatre roues motrices permanentes sur les modèles i-FORCE MAX. Le Trailhunter est également tout nouveau pour 2024 et met à la disposition des aventuriers un véhicule d’excursions bien équipé qui est prêt pour l’aventure.

Le Tacoma offrira une solide palette de couleurs comprenant : Rouge supersonique, Bleu choc métallisé, Gris Underground, Frisson glacé nacré, Orange solaire, Argent céleste métallisé, Noir, Calotte glaciaire et Bronze oxyde. Une nouvelle couleur exclusive TRD Pro pour l’année modèle 2024 sera annoncée cet été.

Toyota Safety Sense 3.0 de série sur tous les Tacoma

Tous les modèles Tacoma 2024 sont équipés de série de Toyota Safety Sense 3.0, le système de sécurité active et de commodité de Toyota. Les améliorations apportées au TSS qui équipe le Tacoma sont rendues possibles par des capteurs dotés d’une meilleure capacité de détection. Cette suite comprend :

Le texte Toyota présente le nouveau Tacoma 2024 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

On en a parlé un peu depuis trois ans, la vague de popularité du camping motorisé ne semble pas vouloir se calmer et la présentation par Mercedes-Benz plus tôt cette semaine de la prochaine génération de sa gamme de véhicules électriques pourrait titiller la corde sensible des amateurs de ce qu’on appelle la «vanlife». Elle comprend un nouveau fourgon de format intermédiaire qui semble tout indiqué pour devenir un futur véhicule récréatif tout électrique.

Mercedes-Benz n’a pas donné le nom officiel du véhicule en question, mais il a indiqué qu’il serait produit à partir d’une toute nouvelle plateforme électrique modulaire, un concept populaire au sein des constructeurs d’automobiles ces jours-ci, et qu’il serait d’un format un peu plus compact que le Metris. Mercedes-Benz vend aussi le Sprinter, un fourgon plus axé sur le marché commercial et qui est d’un format supérieur aux deux autres.

La nouvelle plateforme en question s’appelle tout simplemnet Van.EA. Elle est composée de trois sections, ou trois «modules», si on veut, qui permettent d’en ajuster la longueur selon le véhicule désiré. Le premier module, à l’avant, englobe la plupart des composants mécaniques, y compris un éventuel moteur électrique. Le module central est celui où seraient installées les batteries. Il s’allonge ou se raccourcit selon la quantité de batteries qu’on veut installer sur le véhicule. Le troisième module loge les roues arrière et, dans le cas de véhicules à quatre roues motrices, un deuxième moteur électrique.

Avis à tous ceux qui rêvent à un Westfalia tout électrique et qui ont les moyens de leur ambition, donc. Car évidemment, le véhicule ne sera pas donné. Mais contrairement au Metris et au Sprinter, il cible les consommateurs. Plus particulièrement, les familles qui comptent plusieurs membres, les amateurs de camping et, oui, les gens qui rêvent d’un véhicule récréatif tout électrique.

Si ce véhicule vous intéresse, sachez que vous avez le temps pour mettre des sous de côté étant donné que les premiers véhicules qui seront mis sur la route à partir de la plateforme de prochaine génération présentée par Mercedes-Benz arriveront au Canada quelque part en 2025 ou en 2026.

Le texte Camping de luxe en mode électrique signé Mercedes Benz provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Une situation inhabituelle pour Ford qui avait déjà fait un rappel pour un problème similaire. Il s’agit d’une sortie de prise vidéo qui peut tomber en panne même après une réparation antérieure dans le cadre d’un rappel antérieur, empêchant l’affichage de l’image de la caméra de recul.

Les véhicules concernés

Le nouveau rappel concerne les Ford Explorer, Lincoln Aviator et Lincoln Corsair 2020-2022 équipés d’une caméra à 360 degrés.

On étend le rappel

Le rappel touche un plus grand nombre de véhicules et remplace les rappels antérieurs de Ford pour le même problème en 2021 et 2023. L’année dernière, Ford a mis à jour le logiciel du module de traitement de l’image (IPMB) afin de résoudre le problème. Ford a déclaré jeudi qu’il “travaillait en collaboration avec ses fournisseurs pour identifier la cause première et fournir le remède adéquat le plus rapidement possible”.

La National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) a déclaré que la perte de l’image de la caméra de recul peut réduire la visibilité arrière du conducteur, augmentant ainsi le risque d’accident. Les lettres de notification aux propriétaires devraient être envoyées le 26 juin. L’année dernière, Ford a déclaré avoir reçu des rapports sur 17 accidents mineurs liés au problème du rappel et plus de 2 100 rapports de garantie.

En août 2021, la NHTSA avait ouvert une enquête après que Ford ait rappelé 620 246 véhicules en 2020 pour un autre problème de caméra arrière. L’enquête vise à déterminer si Ford a rappelé les véhicules en temps voulu et si le nombre de véhicules rappelés est suffisant.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Ford rappelle 422 000 VUS pour des problèmes de caméra de recul provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Bonne nouvelle pour les propriétaires de véhicules électriques qui voyagent vers les États-Unis. L’état du Michigan et le gouvernement canadien et l’état du Michigan ont conclu une entente pour un corridor de recharge qui reliera la ville de Kalamazoo, au Michigan, à la ville de Québec en passant par Toronto et Montréal. On retrouvera ainsi des bornes de recharge tous les 80 km un peu à la manière de la bannière On Route en Ontario qui longe la 401. Cette annonce a été faite par le ministre fédéral des Transports, Omar Alghabra, et le secrétaire américain aux Transports, Pete Buttigieg et il s’agit du premier corridor électrique entre le Canada et les États-Unis.

On veut rattraper Tesla

Avec le nombre grandissant de propriétaires de véhicules électriques, la nécessité de corridors comme celui-ci devient une évidence. Jusqu’à maintenant, ce sont les propriétaires de Tesla qui sont les mieux desservis. Depuis plusieurs années, il existe un corridor Montréal-Floride très populaire auprès des voyageurs. Ce corridor est devenu tellement populaire que l’attente pour la recharge est parfois très longue. Si le réseau de recharge doit suivre la courbe des ventes, il faudra selon plusieurs études multipliées le nombre de bornes par 10. Il faudra aussi créer un système uniforme de recharge qui répond aux besoins de tous. Tesla a déjà commencé à partager ses bornes et Europe et aux États-Unis. Il faudra s’entendre sur un système de recharge universelle. Il faudra aussi s’assurer du bon fonctionnement des bornes qui sont très souvent en panne et d’un service de qualité. En ce moment c’est un peu le Far West dans ce domaine. Il faut être membre de certains réseaux, la carte de crédit ne fonctionne pas toujours lorsque vous êtes aux États-Unis. Ces problèmes rendent les voyageurs frileux.

Les experts estiment que, si l’expérience des usagers est négative au lancement du projet, il sera difficile de les convaincre de la poursuivre par la suite.

Avec des renseignements de Radio-Canada

Le texte Un nouveau corridor de bornes de recharge entre le Canada et les États-Unis provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Tesla a publié plus tôt cette semaine une vidéo qui met en vedette une poignée de ses robots humanoïdes, appelés Tesla Bot ou Tesla Optimus, au choix. Les images publiées donnent l’impression qu’on est moins devant un projet farfelu qui sert à occuper les ingénieurs à l’interne qui ont trop de temps à perdre, et plus devant un projet qui pourrait réellement voir le jour.

Le PDG de Tesla Elon Musk a déjà expliqué qu’il voyait des robots de forme humaine comme ceux-là être rapidement adoptés dans plusieurs industries pour combler le manque de travailleurs humains.

Il faut dire que des robots sont utilisés depuis des années déjà pour effectuer certaines tâches répétitives dans des environnements comme des entrepôts et des usines d’assemblage. Un robot un peu plus polyvalent pourrait effectuer plus d’une tâche à la fois, et on comprend l’attrait de ces appareils pour les entreprises manufacturières qui peinent à trouver assez de monde pour faire tourner leurs usines.

D’ailleurs, Tesla elle-même pourrait en bénéficier, étant donné qu’une très grande partie de son processus d’assemblage est déjà fortement automatisé.

Quand Musk expliquait sa vision d’un futur robotisé, tout ce que Tesla avait sous la main pour démontrer le sérieux de cette affirmation était un prototype qui a été dévoilé sur scène et qui avait beaucoup de difficulté à simplement effectuer quelques pas de façon purement autonome.

Selon Musk, le développement de robots est devenu au fil des derniers mois une véritable priorité au sein de Tesla. Il semblerait que plusieurs technologies utilisées à bord de ses véhicules peuvent être rapidement adaptées pour être appliquées dans un appareil qui a une tête, deux bras et deux jambes.

Évidemment, de là à ce que ces robots deviennent réalité, il y a encore un bon bout de chemin à parcourir. Mais ce que disait Elon Musk plus tôt cette semaine, c’est que c’est une des raisons pour lesquelles il tient à demeurer à la tête de Tesla : pour mener à terme l’accouchement d’une première génération de robots à forme humaine capables de remplacer les humains dans leur milieu de travail.

Il ne manquera plus que ces robots-là puissent gagner un salaire suffisant pour acheter leur propre Tesla ensuite…

https://www.youtube.com/watch?v=XiQkeWOFwmk

Le texte Tesla Bot : des robots humanoïdes pour remplacer les travailleurs de demain provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les camionnettes électriques suscitent autant d’intérêt en Amérique du Nord qu’ailleurs dans le monde, même en Espagne. Il y a quelques jours, dans le cadre du Salon de l’auto de Barcelone, un consortium d’entreprises a dévoilé l’Ebro en première mondiale. Une nouveauté dont le nom résonne fort dans le coeur des Espagnols.

En 1954, la société espagnole Motor Ibérica se lance dans l’assemblage de camions légers, de camions poids moyen et d’autobus de divers grands constructeurs d’alors (Ford UK, Alfa Romeo, Jeep, Viasa, etc.) produits sous licence. De ses quatre usines, dont la principale située à Barcelone, sortent des véhicules appelés Ebro, nom basque de l’Èbre, le deuxième fleuve le plus long du pays. Motor Ibérica fabriquera aussi des tracteurs agricoles Massey Ferguson et Kubota. Puis, en 1979, Nissan devient son partenaire, pour ensuite prendre le contrôle de l’entreprise en 1987.

Nom connu pour un nouveau véhicule

Le prototype de l’Ebro montré à Barcelone n’a naturellement aucun lien avec les produits d’antan, si ce n’est son nom et l’origine de son futur modèle de série.

Dotée de quatre portes, cette camionnette sera un peu plus courte que l’actuelle Nissan Frontier à caisse courte (5 218 mm contre 5 339). Elle pourra accueillir cinq occupants.

Grâce à ses deux moteurs électriques, elle aura deux ou quatre roues motrices au choix du conducteur. Ces moteurs livreront 299 ch. Ils seront alimentés par une batterie au lithium-ion de 100 kWh de CATL offrant une autonomie de 440 kilomètres, affirme le constructeur.

Plutôt avare de renseignements sur son véhicule, le constructeur promet néanmoins d’amorcer sa production dès le quatrième trimestre 2024. L’Ebro sera assemblée dans l’ancienne usine Nissan dans la zone franche de Barcelone, celle-là même où Motor Ibérica a produit une partie de ses véhicules autrefois.

Entre 1983 et 2021, ces installations ont aussi permis à Nissan d’assembler plus de 3,3 millions de véhicules, des autos, des utilitaires et des véhicules commerciaux. Au moment de sa fermeture, en décembre 2021, l’usine produisait des camionnettes Navara, un modèle vendu en Europe qui s’apparente à notre Frontier. Le prototype électrique Ebro est d’ailleurs basé sur cette camionnette. On lui a simplement greffé une partie avant différente.

Fruit du projet D-Hub

L’Ebro est le fruit du projet Decarbonisation Hub (ou D-Hub) lancé en 2021 par l’équipementier espagnol QEV Technologies, un spécialiste de l’électrification des véhicules. Ce projet implique une dizaine d’entreprises principalement européennes, notamment Btech (Barcelona Technical Center) qui sera responsable du développement et de la production de l’Ebro.

Le démarrage des activités de la nouvelle marque vise à ranimer l’ancienne usine Nissan en permettant l’embauche d’environ 1 200 de ses anciens travailleurs. Le consortium, qui utilisera le tiers des installations, espère y produire 60 000 véhicules par année d’ici 2026. En marge des camionnettes Ebro, QEV y assemblera des fourgons électriques vendus sous la marque Zeroid (des clones de modèles chinois).

« C’est un moment historique pour nous et pour le secteur automobile en Espagne et en Catalogne », a dit Pedro Calef, président et directeur général d’Ebro au moment de dévoiler la camionnette électrique au salon.

« Ebro a marqué une époque dans notre pays, en plus de contribuer à l’industrialisation de l’un des secteurs industriels les plus productifs », a-t-il ajouté en faisant référence à la zone franche de Barcelone.

« Des initiatives comme la nôtre permettront à la zone franche de reprendre sa vivacité. Nous avons un projet passionnant qui générera des emplois pour produire des véhicules industriels électriques contribuant de plus à la mobilité durable dans le secteur professionnel », a conclu le PDG.

Rappelons que le Salon de l’auto de Barcelone est présenté au hall Montjuïc du centre de foires Fira de Barcelona jusqu’au 21 mai.

Photos : Ebro et Fira de Barcelona

Le texte Voici l’Ebro, la nouvelle camionnette électrique espagnole provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile