Depuis maintenant un demi-siècle, le constructeur d’autos sport Caterham Cars fabrique la Seven, un roadster étroitement lié à la Lotus du même nom conçue par Colin Chapman. Toutes ces années durant, cette icône britannique a conservé l’essence du concept original, mais elle pourrait bientôt aborder l’ère de l’électrification. En effet, il y a quelques jours, Caterham a diffusé les premières photos d’un prototype électrique qui préfigure vraisemblablement un modèle de série.

Appelé EV Seven, ce prototype a été mis au point en partenariat avec la société Swindon Powertrain. Dès sa fondation en 1971, ce motoriste s’est spécialisé dans l’entretien et l’amélioration des moteurs Cosworth DFV de Formule 1, mais plus récemment il s’est consacré au développement d’une gamme de moteurs, de composantes et d’accessoires servant à l’électrification de véhicules anciens et modernes.

Deux prototypes EV Seven

Le projet de Caterham a donné naissance à deux prototypes qui seront montrés en première mondiale lors du Festival de la vitesse à Goodwood en Angleterre, en juillet. Un de ces prototypes participera, entre autres, à la course de côte. On les verra aussi aux essais sur piste qui auront lieu à Goodwood et, par la suite, dans divers événements, notamment les célébrations du 50e anniversaire de Caterham à Donington Park, les 2 et 3 septembre prochains.

Car il faut se rappeler que l’histoire de Caterham, en tant que constructeur, remonte aux débuts des années 70. Dans les années 60, la Caterham Car Sales & Coachworks de Graham Nearn vendait déjà les produits Lotus et rapidement elle a développé une spécialité autour de la Seven.

Une rencontre avec Colin Chapman, le fondateur de Lotus, à Londres en 1973 a permis à Nearn de mettre la main sur les droits de fabrication de la Lotus Seven. Puis, en mai, cette année-là, son l’entreprise a reçu l’outillage et les plans nécessaires à sa fabrication. Un mois plus tard, les premières Caterham étaient produites dans une petite usine de Town End.

22 000 Caterham produites en 50 ans

Caterham a vendu plus de 22 000 voitures sous forme de kit à assembler ou entièrement assemblées et plus de 35 types de moteurs différents ont servi jusqu’ici. De plus, en 2021, le petit constructeur a livré un nombre record de voitures, soit 670.

Comme les modèles de série produits durant ces 50 années, l’EV Seven est de type poids plume puisqu’elle a une masse inférieure à 700 kg. Elle sera animée par un moteur électrique Swindon HPDE E Axle modifié. Il sera alimenté par une batterie au lithium de 52 kWh. Caterham n’a jusqu’ici fourni aucune information sur l’autonomie ou le temps de recharge.

En revanche, on sait que l’EV Seven disposera de 240 ch et 184 lb-pi de couple. De plus, sa vitesse de pointe sera 209 km/h et elle pourra accélérer de 0 à 96 km/h en 4 secondes.

Le constructeur affirme que l’EV Seven servira essentiellement de banc d’essai pour évaluer ses performances en regard des attentes de la clientèle. Cela ne l’a pas empêché d’ajouter une page à son site internet où d’éventuels acheteurs peuvent s’enregistrer… au cas où !

Photos : Caterham

Le texte Caterham présentera l’EV Seven électrique à Goodwood en première mondiale provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Uber calcule à 1,6 milliard $ les revenus de ses chauffeurs et de ses livreurs, ainsi que les revenus additionnels générés grâce à son application par les commerçants et les restaurateurs partout au Québec en 2022. Elle conclut donc que sa présence au Québec est positive, ce qui est quand même un peu débattable.

Car pour plusieurs, Uber a encore beaucoup à se faire pardonner. Le service de taxi par application mobile incarne un modèle économique qu’on a appelé «l’économie des petites jobines» ces 10 dernières années, où les gens doivent accumuler des petits boulots très précaires et pas très payants pour subvenir à leurs besoins. Puis, durant la pandémie, le service de livraison de repas Uber Eats a été pointé du doigt pour ses frais élevés imposés aux restaurateurs, qui refilaient la facture aux clients, qui finissaient par trouver tout ça trop cher.

Alors, pour redorer un peu son blason, Uber a publié plus tôt cette semaine un rapport détaillant ce que le service californien estime être son impact économique au Québec. L’entreprise dit avoir observé un regain de popularité en 2022, notamment du côté du nombre de chauffeurs et de livreurs qui utilisaient sa plateforme, notamment en raison de la hausse du coût de la vie provoquée par l’inflation élevée qu’on connaît depuis environ un an.

D’ailleurs, Uber est dans la grande majorité des cas un deuxième emploi. 66 % des chauffeurs disent utiliser Uber pour faire des revenus supplémentaires, la plupart ayant déjà un véritable boulot plus payant que ce qu’ils tirent en offrant leurs services sur Uber.

Cela dit, Uber estime que les restaurateurs ont empoché 201 millions $ en revenus de plus que ce qu’ils auraient empoché sans utiliser Uber Eats. Des épiciers aussi en profitent, puisque la moitié des utilisateurs d’Uber Eats se sont aussi fait livrer des articles d’épicerie à au moins une reprise en 2022.

Enfin, du côté du transport de personnes, Uber continue son virage électrique. Le service promet que tous ses chauffeurs auront des véhicules électriques au plus tard en 2030. On dit que les Québécois sont avec les gens de Colombie-Britannique les Canadiens plus susceptibles de payer un peu plus pour se déplacer à bord d’un taxi électrique, ce qui est une bonne nouvelle pour Uber.

Le texte Uber évalue à 1,6 milliard $ son impact économique au Québec en 2022 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Il s’est vendu 267 171 exemplaires du Model Y de Tesla durant les trois premiers mois de 2023, ce qui lui permet de surpasser en termes de popularité la Toyota Corolla et de devenir l’automobile la plus vendue sur la planète, pour au moins trois mois. Ça pourrait évidemment s’étirer sur une plus longue période, mais on verra pour la suite.

Entre temps, cette nouvelle est indicatrice d’au moins trois tendances. La première et la plus évidente : peu importe ce que diront leurs détracteurs, les véhicules électriques, les consommateurs en veulent. On peut dire sans trop se tromper que le virage électrique de l’industrie automobile est bien parti pour se faire. Peut-être qu’il ne se fera pas tout à fait dans les temps, vu les échéances très rapprochées imposées par plusieurs gouvernements, dont celui du Canada, mais quand même, on sent que les acheteurs sont au rendez-vous.

Autre tendance majeure, plus les prix baissent, évidemment, plus les acheteurs s’empressent d’acheter un véhicule électrique. Déjà, Tesla a coupé les prix à plusieurs reprises depuis la fin 2022, et ça n’a pas nui à sa popularité, au contraire. En ce moment, les analystes pensent que la stratégie de Tesla est suffisante pour que le Model Y devienne le véhicule le plus vendu dans le monde pour l’ensemble de 2023.

Ajoutons à cela l’entrée en service de nouvelles usines Tesla au Texas et en Allemagne, ce qui rendra plus facilement disponibles les modèles les plus abordables présents dans son catalogue, soit les Model 3 et Model Y. On peut imaginer que la vision d’Elon Musk, qui est de produire une voiture électrique de 25 000 $US d’ici la fin de la décennie, est en voie de se réaliser.

Enfin, dernière tendance à remarquer : les VUS ont la cote partout sur la planète. Le Model Y coûte sensiblement plus cher que la Model 3, la petite berline électrique qui est quand même assez logeable. Normalement, la Model 3 devrait être plus populaire, vu le prix, mais ce n’est pas comme ça que ça se passe.

Bref, ça va plutôt bien pour Tesla en ce moment. Mais ça pourrait se compliquer sous peu. Des analystes s’inquiètent que son succès repose trop lourdement sur seulement deux modèles, les Model 3 et Model Y, alors que les autres constructeurs s’en viennent avec leurs propres nouveautés.

Ce n’est pas la première fois qu’on l’entend, celle-là. C’est à suivre, donc…

Le texte La Model Y de Tesla devient la voiture la plus vendue dans le monde provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

L’histoire du Munro Mark 1 s’apparente à celle des Bollinger B1 et B2. Dans les deux cas, on a affaire à des 4×4 d’un nouveau constructeur de véhicules électriques, le premier étant écossais et le second étatsunien. Dans les deux cas, il s’agit de tout-terrains ayant une conception sans compromis qui se reflète dans des formes anguleuses aussi sophistiquées que celles d’une boîte à chaussures. Il y a cependant une différence majeure entre ces deux marques. L’écossaise a abouti à la commercialisation de ses véhicules, mais pas l’autre.

C’est en juillet 2019 que Russell Peterson et Ross Anderson ont fondé la société All Terrain All Electric Ltd à Glasgow pour fabriquer les utilitaires électriques à quatre roues motrices Munro, un nom qui désigne les montagnes de plus de 914 mètres dans cette région du Royaume-Uni.

Ces 4×4 sont d’ailleurs les premiers véhicules conçus et fabriqués par une entreprise écossaise depuis la disparition des taxis Beardmore, en 1966.

Le premier modèle de cette marque, l’utilitaire à 5 portes Munro Mark 1, a fait ses débuts le 5 décembre 2022. Doté d’une carrosserie tout-aluminium fixée à un châssis à longerons, il a une capacité de charge de 1 000 kg, une capacité de remorquage de 3 500 kg et une garde au sol de 480 mm. Cet imposant véhicule à cinq places bénéficie également d’une capacité de franchissement de 800 mm dans les plans d’eau.

Choix de deux moteurs et deux batteries

L’acheteur a le choix d’un moteur monté en position centrale de 220 ou 280 kW (293 ou 373 ch) alimentés par une batterie de 61 ou 82 kWh. Dans les meilleures conditions, ce Munro pourra parcourir jusqu’à 306 km ou fonctionner 16 heures durant avant de devoir être rechargé. C’est ce qu’affirme son constructeur qui le destine avant tout à un usage commercial et industriel : les mines, la construction, les services publics, l’agriculture, etc.

L’utilitaire Mark 1 est offert à partir de 49 995 £ (environ 84 000 $) et les premières livraisons auront lieu cette année. Mais depuis peu, il y a du nouveau. En effet, plus tôt ce mois-ci, Munro a dévoilé la seconde variante du Mark 1 : une camionnette à 4 portes.

Adoptant la même architecture tout aluminium, cette camionnette partage aussi le prix de base de l’utilitaire. Elle a la même cote de remorquage, mais sa capacité de charge atteint 1 050 kg. En outre, pour ce modèle, le constructeur n’offre que le moteur le plus puissant (280 kW) et la batterie de grande capacité (82kWh).

Un communiqué publié lors de son lancement précise, par ailleurs, que plus de 200 commandes ont déjà été enregistrées pour cette camionnette, ce qui représenterait une année et demie de production !

Car Munro, qui est le seul fabricant de véhicules automobiles en activité en Écosse actuellement, entend produire 50 véhicules en 2023 avant d’emménager dans de nouvelles installations d’assemblage près de Glasgow, en 2024. La production devrait alors passer à 250 véhicules par année et créer 300 emplois. Puis, d’ici 2027, l’entreprise espère atteindre une production annuelle de 2 500 unités.

Photos : Munro

Le texte Munro, les nouveaux 4×4 écossais provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Alors que la construction est en cours sur le site de l’usine de matériaux cathodiques actifs prévue par General Motors et Posco Future M à Bécancour, le gouvernement fédéral et provincial ont dévoilé l’important tribut financier payé pour attirer dans la ville cet élément important de la chaîne d’approvisionnement des batteries pour véhicules électriques.

150 millions chaque

Les deux paliers de gouvernement ont convenu de soutenir l’usine par des contributions équivalentes de 150 millions de dollars, ce qui représente environ la moitié des 600 millions de dollars que coûtera le projet, ont annoncé les parties le 29 mai. Le constructeur automobile américain et son partenaire de coentreprise basé en Corée du Sud, anciennement Posco Chemical, ont choisi Bécancour pour construire la nouvelle usine en mars dernier. La construction de l’usine, officiellement baptisée Ultium CAM Assembly, a débuté au début de l’année.

Une composante essentielle des batteries Ultium

Le matériau actif de la cathode, ou CAM, est utilisé pour l’électrode positive des batteries lithium-ion. Aujourd’hui, il s’agit généralement d’un mélange de lithium, de nickel, de manganèse et de cobalt, qui représente environ 40 % du coût total des batteries, selon GM. Le CAM produit par l’équipe de la coentreprise au Québec approvisionnera les usines de batteries Ultium Cells aux États-Unis et sera finalement intégré dans les cellules de véhicules tels que le Chevrolet Silverado EV, le Cadillac Lyriq et les camionnettes de livraison BrightDrop fabriquées en Ontario.

200 emplois

Selon Posco, l’usine québécoise aura une capacité initiale de production de 30 000 tonnes de CAM. Elle emploiera environ 200 personnes une fois opérationnelle, et le site aura « la possibilité de se développer », a déclaré Marissa West, présidente de GM Canada. Bécancour, à mi-chemin entre Montréal et Québec, est en train de devenir rapidement une plaque tournante pour la production de matériaux de batteries.

Endroit de choix pour l’implantation d’usine

Cette année et l’année dernière, Bécancour a fait l’objet d’un grand nombre d’annonces d’usines, confirmées ou provisoires. Entre autres, la société chimique BASF, basée en Allemagne, a fait part en mars 2022 de ses plans pour une usine CAM distincte dans la ville ; le géant minier Vale a déclaré en juin dernier qu’il étudiait une usine de traitement du nickel ; et la société minière locale Nemaska Lithium a entamé en janvier dernier des travaux de défrichage pour une usine de production d’hydroxyde de lithium.

Augmentation de coûts

Les coûts ont augmenté depuis que le projet a été annoncé pour la première fois avec un budget de 540 millions de dollars canadiens. Posco reste néanmoins « dévouée » au projet et à l’expansion de sa chaîne d’approvisionnement en batteries pour véhicules électriques en Amérique du Nord, a-t-il ajouté. L’usine devrait commencer à produire en 2025.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

Le texte GM reçoit une aide gouvernementale de 300 millions de dollars pour son usine de matériaux pour batteries à Bécancour provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ressources naturelles Canada a fait le point sur l’infrastructure de recharge des VÉS dans le pays révélant que Tesla va ouvrir une partie de son réseau de Superchargeurs aux véhicules non Tesla en 2023. On parle de 750 bornes au pays d’ici la fin 2025.

On débute en Ontario

Selon le communiqué de presse, les premières stations – entre Sudbury et Ottawa – seront ouvertes dans le courant de l’année. Le programme pilote de superchargeurs non-Tesla devrait s’étendre progressivement à l’ensemble du Canada (y compris à la route transcanadienne entre Ottawa et Calgary) et, d’ici quelques années, comprendre des centaines de bornes de recharge.

Un réseau étendu d’ici la fin de 2025

Les informations officielles font état de 750 bornes individuelles qui devraient être prêtes pour les VÉS non-Tesla d’ici à la fin de 2025. Au moins 350 de ces bornes offriront une puissance allant jusqu’à 250 kilowatts. Les chargeurs ouverts seront répartis dans tout le Canada, et l’itinéraire comprendra l’autoroute transcanadienne d’Ottawa à Calgary”. Il est intéressant de noter que Tesla reste silencieux sur le projet, et que toutes les informations proviennent du gouvernement canadien.

Une bonne nouvelle pour les voyageurs

C’est assurément une très bonne nouvelle pour ceux qui voudraient utiliser le réseau Supercharging de Tesla qui est puissant et très fiable. Le projet pilote aux États-Unis est déjà en cours (initialement à New York et en Californie). Il a également été lancé récemment en Australie et en Chine. En Europe, le projet pilote non-Tesla a été lancé en 2021 et s’est depuis étendu à 15 marchés.

Transformer les bornes

Tesla devra équiper ses bornes existantes de l’adaptateur CCS1 intégré Magic Dock, qui permet d’utiliser la prise North American Charging Standard (NACS) de Tesla ou la prise avec adaptateur CCS1 attaché pour les VE non Tesla. À l’avenir, Tesla devrait passer des bornes de recharge V3 aux bornes V4 dans le monde entier. Des installations sont en cours en Europe. Les superchargeurs V4 devraient également être installés aux États-Unis et porteront leur puissance à 350 kilowatts. Ford a, il y a quelques années, mis en place un système de superchargeurs de type V4.

Source : Ressources naturelles Canada

Le texte Le réseau de recharge de Tesla ouvert aux autres voitures électriques au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Un partenariat entre des producteurs de lait du Michigan et une distillerie canadienne prévoit de produire 2,2 millions de gallons d’éthanol pour les voitures et les camions d’ici à 2025.

Le lait devient en un investissement de 41,1 millions de dollars dans les biocarburants.

La Michigan Milk Producers Association, une coopérative de plus de 1 000 producteurs laitiers qui possède deux usines de transformation dans l’État, a créé une coentreprise avec Dairy Distillery, de l’Ontario, qui produit une vodka à base de lait appelée Vodkow. Les deux partenaires envisagent de transformer.

Déjà un projet d’agrandissement

L’entreprise prévoit d’agrandir une installation de 30 000 pieds carrés dans le sud-ouest du Michigan afin de pouvoir transformer un sous-produit appelé perméat de lait en 2,2 millions de gallons d’éthanol par an, qui seront utilisés dans les voitures et les camions à partir de 2025, a rapporté le journal Crain’s Detroit Business. Cette quantité d’éthanol, mélangée à l’essence, peut compenser 14 500 tonnes de carbone par an.

Les vaches au service de l’industrie automobile

En utilisant la technologie développée par Dairy Distillery, qui a commencé à transformer le perméat de lait en vodka en 2018 et en désinfectant pour les mains pendant la pandémie de COVID-19, les producteurs laitiers du Michigan espèrent créer plus de valeur pour le lait transformé de leurs vaches.

“Il n’y a qu’une quantité limitée de vodka que les gens peuvent boire, et il y a tellement de ce produit sur le marché”, a déclaré le fondateur de Dairy Distillery, Omid McDonald, à la chaîne de télévision WOOD à Grand Rapids, dans le Michigan. “Nous nous sommes demandé quelles étaient les autres utilisations possibles en grande quantité. C’est alors que nous avons commencé à nous intéresser aux biocarburants”.

Le sous-produit du lait sera acheminé directement de l’usine de traitement du lait vers une usine d’éthanol de 8 500 pieds carrés, où il sera fermenté à l’aide de la technologie Dairy Distillery pour produire de l’éthanol. L’éthanol sera ensuite traité pour éliminer l’eau restante.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Vous aurez bientôt du lait dans votre réservoir à essence provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le journal économique allemand Handelsblatt a rapporté jeudi que la société Tesla d’Elon Musk n’aurait pas réussi à protéger de manière adéquate les données des clients, des employés et des partenaires commerciaux, citant 100 gigaoctets de données confidentielles divulguées par un dénonciateur. L’organisme de surveillance de la protection des données des Pays-Bas a déclaré vendredi qu’il était au courant d’éventuelles violations de la protection des données de Tesla, mais qu’il était trop tôt pour faire d’autres commentaires.

Encore peu d’information

Le porte-parole a refusé de dire si l’agence pouvait lancer ou avait lancé une enquête, pour des raisons de politique générale. L’agence néerlandaise a été informée par son homologue de l’État allemand de Brandenberg, où se trouve la gigafactory européenne de Tesla, juste à l’extérieur de Berlin. Handelsblatt a déclaré que Tesla avait informé les autorités néerlandaises de la violation, mais le porte-parole de l’AP a déclaré qu’il ne savait pas si l’entreprise avait fait des démarches auprès de l’agence.

Violation massive des données

Le bureau de protection des données de Brandebourg, où se trouve la gigafactory européenne de Tesla, a qualifié la fuite de données de « massive ». Les fichiers comprennent des tableaux contenant plus de 100 000 noms d’anciens employés et d’employés actuels, y compris le numéro de sécurité sociale du PDG de Tesla, Elon. Musk, ainsi que des adresses électroniques privées, des numéros de téléphone, des salaires d’employés, des coordonnées bancaires de clients et des détails secrets de la production, a rapporté Handelsblatt.

Une amende salée

Si une telle violation était prouvée, Tesla pourrait se voir infliger une amende allant jusqu’à 4 % de son chiffre d’affaires annuel, soit 3,26 milliards d’euros. Le syndicat allemand IG Metall a déclaré que ces révélations étaient « inquiétantes » et a demandé à Tesla d’informer les employés de toutes les violations de la protection des données et de promouvoir une culture dans laquelle le personnel pourrait soulever des problèmes et des griefs ouvertement et sans crainte. Le journal fait état de milliers de plaintes de clients concernant les systèmes d’aide à la conduite du constructeur automobile, dont environ 4 000 plaintes relatives à des accélérations soudaines ou à des freinages fantômes.Le mois dernier, un rapport de Reuters a montré que des groupes d’employés de Tesla ont partagé en privé via un système de messagerie interne des vidéos et des images parfois très invasives enregistrées par les caméras des voitures des clients entre 2019 et 2022.

Demander à Fascebook

Cette semaine, Meta, la société mère de Facebook, a été condamnée à une amende record de 1,2 milliard d’euros (1,75 milliard de dollars) par l’autorité de régulation de la vie privée de l’Union européenne dont elle dépend, en raison de sa gestion des informations sur les utilisateurs, et s’est vu accorder cinq mois pour cesser de transférer des données d’utilisateurs aux États-Unis. Tesla fait face aux mêmes genres d’accusation

Avec des renseignements d’Automotive News Europe

Le texte Une possible fuite « massive » de données de Tesla examinée par un organisme de surveillance néerlandais provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Pendant de nombreuses années, la Chine et ses constructeurs automobiles ont fonctionné uniquement pour satisfaire les demandes de production nationale de véhicules. Aujourd’hui, le géant économique déclare avoir dépassé le Japon en tant que premier exportateur mondial de voitures. À la fin du premier trimestre 2023, les chiffres des exportations chinoises de voitures placent le pays devant le Japon. Plus précisément, la Chine déclare avoir exporté 1,07 million de voitures au premier trimestre 2023, soit une hausse vertigineuse de 58 % par rapport au premier trimestre 2022. Selon la BBC, le Japon a vendu 954 185 véhicules au premier trimestre, soit environ 115 815 de moins que la Chine. Le Japon a été le premier exportateur de voitures sur le marché en 2022.

Devant l’Allemagne aussi

Les exportations automobiles de la Chine ont dépassé celles de l’Allemagne en 2022 pour prendre la deuxième place. En 2022, la Chine a exporté 3,2 millions de véhicules, tandis que l’Allemagne en a expédié 2,6 millions vers les marchés internationaux.

Quelles sont les voitures exportées par la Chine ?

La Chine exporte de nombreux véhicules de ses marques les plus rentables, telles que SAIC, BYD et Zhejiang Geely. En outre, certains des plus grands constructeurs automobiles chinois ont vu leurs exportations de véhicules électriques (VE) augmenter. Toutefois, les médias du pays affirment que c’est Tesla qui a connu l’augmentation la plus importante du trafic d’exportation. Les activités chinoises de la marque ont expédié 90 000 véhicules au premier trimestre, devant les 50 000 véhicules de SAIC. En outre, les principales destinations des exportations de VÉS du pays sont la Thaïlande, l’Australie et la Belgique. Et plusieurs Tesla vendus au Canada proviennent aussi de Chine

Un grand merci à la Russie

Le pic le plus notable dans le trafic d’exportation chinois est dû à une augmentation des expéditions vers la Russie. Après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, de grandes marques internationales comme Toyota, Volkswagen, Nissan, Mercedes-Benz ont réduit et cessé leur production et leurs ventes sur le marché russe. En conséquence, l’industrie automobile chinoise a comblé les lacunes, les commandes russes triplant entre les chiffres d’avant et d’après l’invasion, selon Nikkei Asia.

Nous achetons aussi des voitures fabriquées en Chine

Outre les modèles Tesla, General Motors fabrique des modèles en Chine comme la Buick Envision et la future Envista. Mais, en général, nous sommes moins victimes de l’invasion chinoise que l’Europe, par exemple.

Avec des renseignements de Motor Biscuit

Le texte La Chine est devenue le plus grand exportateur d’automobiles dans le monde provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Il ne s’agira pas d’une refonte du Hyundai Santa Cruz.

Selon un rapport de la publication australienne Drive, Kia a tenu une réunion confidentielle avec ses concessionnaires pour les informer qu’un nouveau pick-up à double cabine arriverait en concession en 2025. Les concessionnaires auraient été informés qu’ils devaient s’attendre à un “véritable et sérieux rival” des Toyota Tacoma et Ford Ranger. Kia a aussi laissé entendre qu’il travaille sur le projet depuis 2020 et que le modèle est propre à Kia et n’a rien à voir avec un cousin chez Hyundai.

Pas encore trouvé de nom

Le même rapport affirme que le pick-up, dont le nom n’a pas encore été dévoilé et qui est en cours de développement sous le code interne “TK”, aura une capacité de remorquage et de transport équivalente à celle des pick-up les plus vendus, mais il reste à savoir quels moteurs seront proposés. Une variante électrique pourrait également voir le jour, éventuellement sur le même châssis robuste que celui de ce nouveau pick-up (à moteur thermique).

Pas de photos officielles non plus

Le pick-up a déjà été aperçu recouvert d’un camouflage, mais il semble présenter un design robuste basé sur le VUS Mohave à carrosserie sur châssis vendu sur les marchés étrangers. Les choses semblent prometteuses, mais nous restons prudents quant aux perspectives de succès de Kia. Le marché des camions est très différent de celui des autres voitures, et les acheteurs ont tendance à être fidèles à une marque. Il faudra aussi voir quels marchés seront visés par ce modèle. L’Australie est en ligne de mire. Reste à savoir si les États-Unis et le Canada seront aussi de la partie.

Avec des renseignements de Carbuzz

Le texte Kia confirme l’arrivée d’un pick-up en 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile