Dans le monde très en vogue des VUS électriques de luxe, le Porsche Macan avance avec assurance. Construit sur la plateforme PPE à 800 volts, il entend conjuguer performance brute, raffinement technologique et habitabilité. Mais à près de 110 000 $, est-il à la hauteur de son écusson ?

Un design affûté pour adultes pressés

Bien qu’il partage son nom avec le Macan à essence, ce 4S électrique est entièrement repensé. Lignes dynamiques, proportions abaissées, arrière musclé et phares DEL sophistiqués : le design reste fidèle à Porsche tout en affichant une personnalité modernisée. Les jantes de 21 pouces, de série sur le 4S, remplissent les arches avec autorité, et l’aérodynamisme est peaufiné jusque dans les poignées affleurantes.

Un habitacle soigné, mais pas irréprochable

L’intérieur offre un bel équilibre entre luxe minimaliste et fonctionnalité. Trois écrans numériques, un éclairage d’ambiance personnalisable et des sièges sport chauffants et ventilés créent un cocon sophistiqué. Toutefois, dans un véhicule dont le prix avoisine les 110 000 $ avec options, on tique sur la présence de plastiques durs visibles autour de la console centrale. À ce tarif, on s’attend à une finition à la hauteur de la Taycan, ce qui n’est pas tout à fait le cas. En plus d’un bon espace de rangement sur la console, le Macan 4S dispose d’un espace de chargement de 540 litres lorsque les sièges arrière sont relevés, et ils se rabattent 40/20/40 pour accueillir des objets plus longs et un volume de chargement total de 1 348 litres. Un coffre avant d’un volume de 82 litres est également disponible. Si vous avez besoin de transporter plus, la capacité de remorquage est de 4 409 livres maximum.

Technologie et recharge à haut débit

Le Macan 4S utilise une batterie de 95 kWh nets, combinée à une architecture 800V lui permettant de charger de 10 à 80 % en environ 20 minutes sur une borne rapide de 270 kW. Sur une borne de niveau 2, deux prises latérales (une de chaque côté) facilitent la recharge à domicile. L’autonomie officielle est de 460 km, mais nos essais réels à vitesse autoroutière (115 km constantes) ont plutôt donné environ 420 km, ce qui reste solide.

Une conduite électrisante… et civilisée

C’est ici que le Macan 4S fait honneur à son blason. Malgré un poids de 2 380 kg, il accélère comme une bête : 0 à 100 km/h en seulement 3,9 secondes, grâce à ses deux moteurs synchrones produisant ensemble 509 chevaux . La poussée est immédiate, linéaire, violente même en mode sport. Pour comparaison, le Macan 4 de base offre 402 chevaux et le Macan Turbo est à 630 chevaux. En mode Sport Plus, le châssis se raffermit, la direction devient plus directe, et l’on retrouve ce ressenti typiquement Porsche : l’auto semble rapetisser autour de vous. Le freinage, quant à lui, impressionne par sa constance malgré l’absence de vrai mode à une pédale. Le constructeur veut que ses véhicules électriques conservent une « signature thermique » au volant, quitte à déplaire aux habitués de la régénération active.

Sur une route sinueuse, le Macan 4S se montre agile, précis et étonnamment communicatif. La direction est vive et ultra réactive, même si elle manque encore un brin de ressenti par rapport à une 911 ou un Cayman. Le roulis est quasi inexistant, l’adhérence phénoménale. Le système de gestion de la motricité répartit le couple entre les essieux en quelques millisecondes, permettant une motricité exemplaire même sur chaussée mouillée. En ville ou sur autoroute, la suspension pneumatique adaptative vous sauve la colonne vertébrale. Le confort est princier, le silence remarquable. En mode Normal, le Macan absorbe les imperfections comme une grande routière allemande. Les sièges, fermes mais enveloppants, permettent de longs trajets sans fatigue.

Prix canadiens : entre exclusivité et justification

Le Macan 4S Électrique 2025 débute à 106 900 $ au Canada. Notre modèle d’essai, avec le groupe Premium (phares matriciels, sièges ventilés, audio Bose, 4 zones climatiques) et quelques options de personnalisation, grimpe à plus de 120 000$ avant frais de livraison (2 950 $). À ce niveau de prix, la compétition est rude : BMW iX xDrive60 (94 900 $), Mercedes EQE 500 SUV (104 900 $), Audi SQ6 e-tron (env. 99 000 $) et même le Genesis Electrified GV70 (80 000 $ tout inclus).

Conclusion

Le Porsche Macan 4S EVest un tour de force d’ingénierie : rapide, précis, sécurisant et diablement efficace, il incarne une forme de rationalité sportive à l’allemande. Il n’a pas la folie d’une 911, ni l’éclat d’un Taycan, mais il réussit l’exploit de combiner utilité, luxe et performance sans compromis majeur. Ceux qui rêvent d’un GTI version adulte, mûr et électrifié, y trouveront un allié fidèle. Mais pour que la magie opère pleinement, il faudra signer un chèque bien garni.

Forces :
Accélérations fulgurantes et tenue de route exemplaire
Confort de roulement haut de gamme
Recharge rapide et technologie embarquée raffinée
Polyvalence quotidienne malgré des performances sportives

Faiblesses :
Prix très élevé une fois bien équipé
Trop de plastiques rigides dans l’habitacle
Absence de vraie conduite à une pédale
Manque d’émotion brute pour un véhicule de cette trempe

Le texte Porsche Macan EV 4S provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Vous êtes arrêté à une intersection, vous voyez une voiture arriver de côté, clignotant activé… mais ralentit-elle vraiment? Est-ce sécuritaire de s’engager? Sans pouvoir voir ses feux de frein, la décision repose sur un mélange de devinettes et d’instinct. Une équipe de chercheurs européens croit avoir une solution simple et efficace : installer des feux de freinage à l’avant des voitures.

Un problème quotidien pour les automobilistes

C’est une situation que vivent des millions de conducteurs : on tente de deviner si un véhicule qui approche ralentit vraiment. À distance, il est difficile de lire les indices visuels — surtout avec les véhicules modernes dont la suspension dissimule bien les mouvements de caisse. Et comme les feux de freinage sont uniquement à l’arrière, il est presque impossible de confirmer l’intention d’un autre conducteur si on ne voit que l’avant de son véhicule.

Une lumière verte pour indiquer que l’auto freine

L’étude menée par l’Université de Graz (Autriche), l’Université Comenius (Slovaquie) et l’Institut Bonn (Allemagne) propose d’installer des feux de freinage verts à l’avant. Pourquoi vert? Parce que cette couleur évoque l’idée qu’un autre usager peut agir en toute sécurité, comme un feu de circulation. Et contrairement aux feux rouges (interdits à l’avant par la réglementation nord-américaine), le vert pourrait faire consensus… si la loi s’ajuste.

Moins d’accidents, moins de blessures

Les chercheurs ont recréé plusieurs collisions réelles en simulation, avec différentes réactions temporelles (de 0,5 à 1,5 seconde). Résultat? Jusqu’à 17 % des collisions auraient pu être évitées, et les blessures réduites dans 25 % des cas, surtout en diminuant la vitesse moyenne d’impact d’environ 44 %. Une baisse de 16 km/h peut faire toute la différence dans une zone urbaine.

Des obstacles réglementaires majeurs

Le problème? La législation nord-américaine n’autorise que le blanc à l’avant et l’ambre sur les côtés. Les feux rouges ou verts sont interdits. Même Mercedes-Benz, qui a reçu le feu vert dans certains États américains pour des feux turquoise sur ses prototypes autonomes, fonctionne sous des dérogations limitées. Ajouter une telle fonction de série exigerait une révision des règles nationales, probablement à travers le Congrès américain, comme ce fut le cas pour les phares adaptatifs avec la loi HR 3684 (Infrastructure Bill de 2022). Pour l’instant, les véhicules existants ne pourraient pas être rétroéquipés, et seuls les modèles à venir pourraient théoriquement intégrer ces innovations.

Une bonne idée, mais pas pour demain

En clair, bien que l’idée semble simple, logique et efficace, elle se heurte à un mur réglementaire. Il faudra encore du temps, de la volonté politique et des essais sur le terrain pour qu’on voie apparaître des feux de freinage frontaux dans nos rues. D’ici là, les intersections continueront d’être des zones grises… et parfois dangereuses.

Le texte Des feux de freinage… à l’avant de votre voiture? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après avoir couronné le XC60 comme son véhicule le plus vendu de tous les temps, Volvo s’apprête à tourner la page avec une version 100 % électrique : le EX60. Ce tout nouveau VUS électrique de taille intermédiaire fera ses débuts officiels début 2026, mais Volvo en a déjà dévoilé quelques éléments clés.

Un design Volvo repensé, mais fidèle

Un premier aperçu diffusé sur les réseaux sociaux montre une silhouette typiquement Volvo, avec un nouveau feu arrière vertical et l’emblème EX60 bien en évidence. Contrairement à la tendance actuelle, aucune barre lumineuse complète ne relie les feux arrière. On peut aussi s’attendre à retrouver les phares à DEL “Marteau de Thor”, une calandre fermée, et des poignées de porte affleurantes.

Une nouvelle plateforme technologique : SPA3

Le EX60 sera le premier modèle à utiliser la plateforme SPA3, une base ultra-flexible capable de supporter des véhicules plus petits que le EX30 et plus gros que le EX90, selon Volvo. Cette architecture permettra des mises à jour continues, des performances optimisées, et un gain d’efficacité. Elle repose sur la nouvelle pile technologique Superset que Volvo qualifie de « révolutionnaire ».

Ceinture multi-adaptative et batterie structurelle

Volvo a aussi confirmé que le EX60 sera le premier véhicule à intégrer sa nouvelle ceinture de sécurité multi-adaptative, une innovation axée sur la sécurité intelligente. Côté performance, le EX60 bénéficiera d’un bloc-batterie structurel, semblable à ceux utilisés par Tesla et BYD, pour alléger le véhicule tout en augmentant la rigidité et l’autonomie. On peut s’attendre à une batterie plus petite que celle du EX90 (107 kWh, 600 km WLTP), avec des dimensions comparables au XC60 actuel : 4 708 mm de long, 1 902 mm de large, 1 655 mm de haut.

Et le LiDAR ?

Aucun détail officiel n’a encore été dévoilé sur l’intégration possible du système d’aide à la conduite par LiDAR, comme sur le EX90. Mais selon le chef de la stratégie produit chez Volvo, Erik Severinson, l’exploration de nouveaux types de capteurs est bel et bien en cours. Le EX60 marquera un tournant dans l’électrification de la gamme Volvo, avec une approche qui combine technologie évolutive, sécurité active et design scandinave minimaliste. Le dévoilement complet est prévu pour début 2026, et on surveillera de près cette nouveauté pour le marché canadien.

Avec des renseignements d’Electrek

Le texte Le Volvo EX60 : un nouveau VUS électrique pour 2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La course à l’autonomie électrique vient de passer à la vitesse supérieure. BMW, Mercedes-Benz et Stellantis misent gros sur une technologie qui pourrait tout changer : les batteries à électrolyte solide. Leur objectif? Dépasser les 1 000 km d’autonomie, tout en réduisant le poids, le risque de surchauffe et le temps de recharge.

Mercedes : des prototypes EQS testés avec des cellules solides

Mercedes-Benz a intégré une batterie solide développée par Factorial Energy dans un prototype EQS, avec l’appui de sa division AMG High Performance Powertrains, issue de la Formule 1. Après des essais en laboratoire fin 2024, des tests routiers ont commencé en février 2025.

Résultat : 25 % de densité énergétique en plus, permettant un design plus léger et plus épuré. « Cela affecte non seulement l’autonomie, mais aussi l’architecture du véhicule », a expliqué Uwe Keller, directeur du développement des batteries chez Mercedes-Benz. Aucune date ferme n’a été annoncée, mais l’objectif est une production en série d’ici la fin de la décennie.

BMW expérimente dans une i7… mais vise plus loin

Du côté de BMW, on teste actuellement des cellules 100 % solides à électrolyte au sulfure dans une i7 prototype à Munich. Développées avec la firme américaine Solid Power, ces cellules seront intégrées plus tard à la plateforme Neue Klasse. Toutefois, la production à grande échelle ne devrait pas débuter avant les années 2030.

Stellantis : une flotte de démonstration en 2026

Stellantis prépare une flotte de démonstration pour 2026, en collaboration avec Factorial, afin de tester la technologie dans des conditions climatiques extrêmes. Investisseur depuis 2021, le groupe intègre des équipes communes en chimie et en ingénierie pour assurer une intégration complète dès la conception.

Selon Anne Laliron, vice-présidente principale de la recherche technologique chez Stellantis, « la batterie solide est notre étoile polaire. Elle nous permet de choisir : plus d’autonomie ou moins de matériaux — dans les deux cas, on réduit les coûts et l’empreinte carbone ».

Des recharges éclair et une densité record

Les batteries solides de Factorial peuvent atteindre une densité énergétique de 375 Wh/kg et se rechargent de 15 % à 90 % en 18 minutes. Une avancée majeure, bien que la production industrielle reste encore difficile à atteindre.

Les autres joueurs : Nissan, Toyota, Volkswagen

Nissan vise une mise en marché dès 2028, avec une batterie deux fois plus dense qu’une cellule lithium-ion actuelle, et qui se recharge trois fois plus vite. Toyota espère frapper plus tôt, en 2027. Volkswagen, de son côté, a lancé une ligne pilote à Salzgitter (Allemagne) pour développer des batteries solides et LFP, en partenariat avec Gotion High-Tech (Chine).

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte La course aux 1 000 km d’autonomie électrique est en marche provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le nom Tremor commence à être reconnu ailleurs que chez Ford à travers l’industrie lorsqu’il est question de compétences hors route. La prolifération des versions portant cette signature à travers la gamme aide en ce sens et vous pouvez ajouter le VUS Explorer à la liste des modèles qui seront déclinables en configuration Tremor. 

La variante Tremor du Ford Explorer 2026 sera la plus puissante de la famille et sera apte à s’aventurer plus loin que jamais hors des sentiers battus. 

 

 

Ford Explorer 2026 : une version Tremor s’ajoute à la gamme | Auto123.com

Ford Explorer Tremor 2026 – quoi de neuf ?

Le modèle subit au passage quelques transformations. Il va, entre autres, adopter une posture plus affirmée, et gagner un pouce en hauteur, ce qui va lui permettre d’offrir de meilleurs angles d’attaque et de sortie à la rencontre d’obstacles.

Le véhicule va aussi reposer sur des roues de 18 pouces qui seront ceinturées de pneus tout-terrain. Un différentiel à glissement limité signé par Torsen sera de la partie, afin d’assurer une meilleure motricité en toutes circonstances. Une suspension calibrée pour la conduite hors route avec des barres antiroulis et des amortisseurs spécifiques à ce modèle sera également de la partie. Enfin, des crochets de remorquage, des plaques de protection avant et arrière, ainsi que des feux à DEL, vont venir compléter l’essentiel des transformations. 

Ford Explorer 2026 : une version Tremor s’ajoute à la gamme | Auto123.com

Motorisation du Ford Explorer Tremor 2026

De série, la déclinaison Tremor sera animée par le 4-cylindres EcoBoost de 2,3 litres de Ford, un bloc offrant 300 chevaux. Pour ceux qui souhaitent un peu plus de punch, le V6 EcoBoost de 3,0 litres, déjà au service de l’Explorer ST, sera proposé en option, portant la puissance à 400 chevaux. 

 

Ford Explorer 2026 : une version Tremor s’ajoute à la gamme | Auto123.com

Technologie du Ford Explorer Tremor 2026

Le modèle sera équipé du système de conduite semi-autonome BlueCruise 1.5, la plus récente version qui inclut le changement de voie automatisé. Les assistants de Google, y compris Google Maps et Google Play seront de la partie avec le forfait de connectivité. Le Wi-Fi embarqué, une chaîne audio Bang & Olufsen à 14 haut-parleurs, tout comme des sièges avant offrant le massage, seront également inclus dans la dotation. 

Prix canadiens du Ford Explorer Tremor 2026

La version Tremor du Ford Explorer 2026 est attendue chez les concessionnaires avant la fin de la présente année. Nous aurons plus d’informations sur les prix à l’approche des débuts du modèle.

Ford Explorer 2026 : une version Tremor s’ajoute à la gamme | Auto123.com
Ford Explorer 2026 : une version Tremor s’ajoute à la gamme | Auto123.com
Ford Explorer 2026 : une version Tremor s’ajoute à la gamme | Auto123.com

Contenu original de auto123.

Le texte Ford Explorer 2026 : une version Tremor s’ajoute à la gamme provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

On sait que Tesla procède à ses premiers tests pour ses robotaxis. Le tout se produit à Austin, au Texas. Selon les premières informations qui circulent, le tout ne se déroulerait pas comme prévu, au point où la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) américaine, l’équivalent de Transports Canada, pose des questions. 

Sur plusieurs vidéos partagées en ligne, on peut voir les robotaxis enfreindre le Code de la route, que ce soit en roulant trop rapidement, en effectuant des manœuvres illégales ou en hésitant à tourner à certaines intersections. 

Dans un cas en particulier, on peut voir une des voitures s’engager dans une voie réservée à un virage à gauche, puis continuer tout droit à travers l’intersection en traversant deux lignes jaunes continues, commettant au passage deux infractions au code de la sécurité routière.

Premiers pépins pour les robotaxis de Tesla | Auto123.com

Concernant la NHTSA, il est intéressant de savoir que l’organisme gouvernemental ne préapprouve pas les nouvelles technologies ou les systèmes mis de l’avant par les constructeurs avec leurs véhicules. Les fabricants les certifient et mentionnent qu’ils répondent aux normes de sécurité de la NHTSA. L’agence enquête sur les incidents impliquant des défauts de sécurité potentiels.

Et c’est là qu’elle intervient. Elle n’a pas approuvé les robotaxis de Tesla. Mais avec les informations rapportées, elle commence à poser des questions. 

« La NHTSA est au courant des incidents mentionnés et est en contact avec le fabricant pour recueillir des informations supplémentaires », a déclaré un porte-parole à Yahoo Finance.

La NHTSA a déclaré qu’après une évaluation des incidents, elle prendrait toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité routière pour tous, ajoutant que son enquête sur le logiciel de conduite totalement autonome de Tesla reste ouverte.

Les tests que Tesla mène à Austin, au Texas, sont pour le moment limités alors qu’environ 10 à 20 robotaxis Model Y sont en service. Un humain est pour le moment présent à bord et l’on trie les clients sur le volet. 

Tesla n’a rien précisé pour le moment concernant les prochaines étapes ni quand le grand public sera autorisé à se commander un robotaxi à Austin. 

Elon Musk, le grand patron de Tesla, a déclaré qu’il s’attendait à ce que des « millions » de robotaxis circulent d’ici la seconde moitié de 2026. Nous verrons bien, car les promesses du milliardaire sont souvent exagérées. 

Concernant les problèmes rencontrés, on peut imaginer que la compagnie va travailler sur la chose pour effectuer les correctifs nécessaires. Elle voudra rapidement en arriver au niveau d’efficacité de son rival Waymo, qui opère déjà dans certaines villes américaines, dont Austin. 

Contenu original de auto123.

Le texte Premiers pépins pour les robotaxis de Tesla provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

•    Lamborghini pourrait dévoiler à Pebble Beach la Fenomeno, la voiture la plus puissante de son histoire.

Chaque mois d’août, la péninsule de Monterey, en Californie, devient le terrain de jeu des gens ultra-riches. Entre cafés à 30 $ US, lunettes à 3000 $ US et voitures de rêve de tout pris, la semaine automobile de Monterey est aussi devenue l’endroit par excellence pour dévoiler des bolides rarissimes. 

Cette année, Lamborghini compte bien faire sensation avec ce qui pourrait être son modèle le plus puissant à ce jour : la Fenomeno. 

Un nom évocateur pour un phénomène roulant

Selon plusieurs rumeurs crédibles, le constructeur italien dévoilera un modèle unique lors du Concours d’Élégance de Pebble Beach. Même si Lamborghini n’a encore rien confirmé officiellement, l’enregistrement du nom Fenomeno auprès de l’Office de la propriété intellectuelle de l’Union européenne laisse peu de doute.

 

La Lamborghini Fenomeno : la plus puissante exotique de la marque italienne | Auto123.com

Basée sur la Revuelto, mais poussée à fond

Selon The Supercar Blog, cette sportive serait basée sur la Lamborghini Revuelto et son V12 hybride de 6,5 litres. Toutefois, le moteur aurait été revu pour dépasser les 1001 chevaux. Cela en ferait la plus puissante Lamborghini jamais produite. Elle pourrait ainsi répondre à la Ferrari SF90 XX, bien que le positionnement semble plus exclusif encore.

Une production limitée à 29 unités

La Fenomeno suivrait la voie tracée par les Centenario, Sian 37 FKP et Countach contemporaine : une série ultra-limitée, probablement à 29 exemplaires, avec un design unique inspiré des plus grandes icônes de Sant’Agata — la Miura vient naturellement à l’esprit. Un petit groupe de clients VIP aurait déjà pu la voir en avant-première.

Un prix à la hauteur de l’exclusivité

Évidemment, cette Lamborghini affichera un prix à sept chiffres. Mais comme on dit : si vous devez poser la question, c’est que vous n’avez pas reçu l’invitation pour vous rendre à Pebble Beach…

Contenu original de auto123.

Le texte La Lamborghini Fenomeno : la plus puissante exotique de la marque italienne provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le Nissan Armada 2026, déjà reconnu pour son confort, ses trois rangées de sièges et ses capacités de remorquage, s’offre maintenant une cure de muscles avec l’arrivée d’une version NISMO. Conçu par la division de performance maison de Nissan, ce VUS pleine grandeur se transforme en véritable bête de route, sans sacrifier ses attributs utilitaires.

Un design tape-à-l’œil, typiquement NISMO

Visuellement, l’Armada NISMO se distingue nettement : ailes élargies, pare-chocs avant et arrière exclusifs, marchepieds redessinés, calandre spécifique, aileron proéminent, et les fameux accents rouges NISMO. Un look audacieux, presque exagéré, mais qui colle parfaitement à l’esprit de cette version à caractère sportif.

Un V6 biturbo retravaillé pour plus de puissance

Sous le capot, le V6 biturbo de 3,5 litres passe de 425 à 460 chevaux, grâce à une programmation revue et un ajustement minutieux des jeux de soupapes. La direction et la suspension ont aussi été retravaillées pour favoriser la conduite sur route, tandis que l’échappement produit désormais une sonorité plus expressive. Des pneus quatre saisons à haute performance viennent compléter l’ensemble.

Malgré tout, l’aptitude au remorquage de 8 500 lb reste intacte, ce qui permettrait théoriquement de tracter une Nissan Z NISMO jusqu’à la piste… pour les plus audacieux.

Inspiré du Patrol NISMO, déjà populaire ailleurs

Ce n’est pas la première fois que Nissan pousse un gros VUS dans cette direction. Le concept trouve ses racines dans le Patrol NISMO, offert au Moyen-Orient depuis 2015. Là-bas, ce modèle a trouvé preneur auprès d’une clientèle friande de performance et de luxe en format XXL. Nissan espère maintenant répliquer ce succès en Amérique du Nord, avec un modèle plus abordable que le très coûteux Cadillac Escalade-V.

Une gamme Armada plus complète que jamais

L’arrivée de la version NISMO élargit une gamme déjà bien fournie, qui comprend désormais les versions SL, PRO-4X, Platinum, Platinum Reserve, et NISMO. Le tout nouveau Armada 2025 avait déjà marqué un tournant pour Nissan, et ce dérivé 2026 vient confirmer la volonté de la marque de concilier performance, luxe et polyvalence dans un seul et même véhicule.

Source: Nissan

Le texte Le Nissan Armada 2026 débarque en version NISMO provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ford est de retour à la case rappel, cette fois pour son VUS de luxe Lincoln Aviator. Plus de 132 000 exemplaires au Canada et aux États-Unis des années-modèles 2020 à 2025 sont concernés en raison de garnitures de montant C qui pourraient se détacher des portières arrière en pleine conduite. Certaines de ces pièces seraient même en verre, ce qui soulève des inquiétudes en matière de sécurité.

Une mauvaise pression d’assemblage en cause

Selon la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration), le problème provient d’une pression d’application inadéquate lors de l’assemblage. En clair, les garnitures décoratives ne tiennent pas correctement et pourraient se détacher avec le temps. Bien que Ford estime que seulement 3,2 % des véhicules pourraient vraiment rencontrer le problème, le risque reste suffisant pour justifier une action de rappel.

Des morceaux qui pourraient causer des dommages ou des accidents

Ford indique que les propriétaires peuvent remarquer que la garniture du montant C ou la barre de séparation de la vitre commence à se décaler avant qu’elle ne tombe complètement. Étant donné que certaines pièces sont faites de verre, elles pourraient endommager des pneus ou blesser d’autres usagers de la route, en plus d’augmenter les risques d’accident.

Une enquête qui traîne depuis 2022

L’anomalie a été détectée dès avril 2022, mais Ford avait initialement jugé le risque « raisonnable ». Toutefois, après qu’un véhicule de test interne ait montré des signes de détachement, une seconde enquête a été menée au printemps 2025. Résultat : 1 105 réclamations en garantie avaient été enregistrées entre juin 2020 et avril 2025.

Une inspection gratuite chez le concessionnaire

Ford demande maintenant à tous les propriétaires de Lincoln Aviator des années concernées de se présenter en concession pour une inspection gratuite. Si le problème est détecté, la pièce sera réparée ou remplacée sans frais.

Un problème récurrent chez Ford

Ce n’est pas la première fois que Ford rappelle un modèle pour des garnitures mal fixées. Il y a à peine deux semaines, près d’un demi-million d’Explorer ont été rappelés pour une situation similaire. Cette fois, c’est le « jumeau chic » de l’Explorer, le Lincoln Aviator, qui est rappelé à l’ordre.

Avec des renseignements de Road and Track

Le texte Ford rappelle plus de 130 000 Lincoln Aviator pour des garnitures qui peuvent se détacher en roulant provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Pour souligner le cinquantenaire de la légendaire Golf GTI, Volkswagen a dévoilé l’Edition 50, une version spéciale exclusive à certains marchés. 

Présentée lors des 24 Heures du Nürburgring, cette GTI marque l’histoire avec une puissance inédite de 321 chevaux et 310 lb-pi de couple, devenant ainsi la plus puissante GTI de série jamais produite. Elle surclasse la GTI Clubsport européenne, et se rapproche dangereusement de la Golf R en matière de performances. 

Un chrono impressionnant au Nürburgring

Mise à l’épreuve sur l’exigeant circuit du Nürburgring Nordschleife, la GTI Edition 50 a signé un temps record de 7 m 46,13 s, grâce au pilote et ingénieur maison Benjamin Leuchter. Ce chrono établit la GTI Edition 50 comme la plus rapide de toutes les Golf de production sur cette piste mythique.

La Volkswagen Golf GTI Edition 50 : une bombe pour les 50 ans… qui ne viendra pas au Canada | Auto123.com

Une mécanique raffinée, mais sans boîte manuelle

La mécanique repose sur un moteur 4-cylindres turbo de 2,0 litres, couplé à la transmission automatique DSG à sept rapports. Aucune version à boîte manuelle ne sera offerte, une décision qui risque de faire grincer des dents chez les puristes. L’édition spéciale hérite aussi d’un châssis abaissé, raffermi, et d’une suspension revue pour plus de précision. 

Pour ceux qui en veulent encore plus, un ensemble GTI Performance optionnel ajoute des pneus semi-lisses Bridgestone, des roues forgées ultras légères, ainsi qu’un échappement Akrapovič en titane qui réduit le poids total du véhicule.

Design rétro et touches distinctives

Visuellement, la GTI Edition 50 rend hommage à son héritage avec des sièges sport à motif à carreaux, des touches de vert Racing Green, des ceintures de sécurité rouges, un volant sport en cuir orné du logo GTI 50 et plusieurs accents en velours synthétique. À l’extérieur, le style est rehaussé par un toit peint en noir, des embouts d’échappement foncés, une bande latérale à l’effet dégradé et plusieurs logos spécifiques à cette édition.

La Volkswagen Golf GTI Edition 50 : une bombe pour les 50 ans… qui ne viendra pas au Canada | Auto123.com

Une palette de couleurs qui rappelle les modèles cultes

La voiture sera offerte en cinq couleurs, dont l’iconique Rouge Tornado, utilisée sur des modèles GTI légendaires comme la Golf II GTI 16V et la GTI TCR. Les autres teintes incluent le Blanc Pur, le Gris Moonstone, le Noir métallisé Grenadilla et le Vert foncé métallisé Dark Moss.

Mauvaise nouvelle : le Canada n’y aura pas droit

Malheureusement pour les amateurs québécois et canadiens, Volkswagen Canada a confirmé que la GTI Edition 50 ne sera pas importée. Le constructeur invoque un coût trop élevé qui dépasserait le prix déjà salé de la Golf R 2025, actuellement à 50 995 $. le résultat : les quelques exemplaires produits seront réservés à d’autres marchés.

Début imminent de la production

La production de la Golf GTI Edition 50 débutera d’ici la fin de 2025 à l’usine Volkswagen de Wolfsburg, en Allemagne. Les livraisons sont prévues au premier trimestre de 2026. En attendant, les passionnés d’ici devront se contenter d’admirer cette GTI anniversaire de loin… et rêver au retour de la boîte de vitesses manuelle à six rapports.

La Volkswagen Golf GTI Edition 50 : une bombe pour les 50 ans… qui ne viendra pas au Canada | Auto123.com
La Volkswagen Golf GTI Edition 50 : une bombe pour les 50 ans… qui ne viendra pas au Canada | Auto123.com
La Volkswagen Golf GTI Edition 50 : une bombe pour les 50 ans… qui ne viendra pas au Canada | Auto123.com
La Volkswagen Golf GTI Edition 50 : une bombe pour les 50 ans… qui ne viendra pas au Canada | Auto123.com

Contenu original de auto123.

Le texte La Volkswagen Golf GTI Edition 50 : une bombe pour les 50 ans… qui ne viendra pas au Canada provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile