Dans un communiqué pour le moins laconique diffusé le 23 décembre, Kosmera annonce le dévoilement d’une paire de prototypes haut de gamme à motorisation électrique au salon CES de Las Vegas, qui ouvre ses portes dans quelques jours. Ce communiqué ne dit pas, toutefois, que ces voitures sont une création de Dreame Technology, un important fabricant chinois d’aspirateurs robotisés !

En effet, même la page LinkedIn de Kosmera fait abstraction de ce « petit » détail. C’est en fouillant les méandres d’internet qu’on découvre que cette nouvelle marque a été créée par la Xing Chen Future (Suzhou) Automotive Technology Co. (aussi connue sous le nom de Star Future (Suzhou) Automobile Technology Co.), une entreprise établie à Suzhou, ville située à l’est de Shanghai. Cette entreprise a d’ailleurs enregistré cette marque de commerce aux États-Unis le 3 décembre dernier.

Or, derrière cette entreprise, on découvre Dreame Technology, un important fabricant d’appareils électroniques en tous genres et un des plus importants fabricants d’aspirateurs robotisés !

C’est en août dernier que Dreame a annoncé son intention de se lancer dans la fabrication des véhicules électriques haut de gamme, comme l’avait fait sa rivale britannique Dyson dans les années 90 (un projet automobile qui a avorté en 2019).

Pour ce faire, une filiale baptisée Dreame Cars a été créée et une équipe de près de 1 000 employés a été constituée afin de livrer un premier modèle de série dès le début de 2027. En outre, un communiqué daté du 11 septembre nous apprend qu’un site a été trouvé à Brandenburg, en Allemagne, pour construire l’usine où seront assemblés ces véhicules.

De Dreame à Kosmera

Voilà qui nous ramène au bref communiqué de Kosmera. Un communiqué qui fait fi des noms attribués par le constructeur, pour l’instant du moins, aux deux prototypes promis pour le CES : α (Alpha) et β (Beta). Deux appellations qui désignent vraisemblablement une berline et un coupé.

Dans ce communiqué, Kosmera explique que « ces prototypes allient un confort exceptionnel au quotidien à des performances extrêmes sur circuit. Ils disposent d’ailleurs d’un système de suspension à moteur linéaire actif révolutionnaire, conçu pour assurer une transition fluide entre une conduite souple et une conduite de compétition qu’autorisera le châssis rigide. » Une technologie sur laquelle on ne sait malheureusement rien de plus.

En outre, on annonce une motorisation électrique capable de produire 469 ch par roue. Cela représenterait une puissance nette d’environ 1 876 ch pour un véhicule à quatre roues motrices et un rapport poids-puissance proche de 1:1. Le châssis de ces véhicules serait d’ailleurs fabriqué avec des matériaux composites de qualité aérospatiale et des métaux imprimés en 3D pour obtenir une grande rigidité torsionnelle et limiter la masse.

De plus, au cœur de l’expérience de conduite de ces voitures, on retrouvera un « Coach d’IA » : un système conçu « pour marier l’IA à une direction électronique et un affichage tête haute en réalité augmentée ». En projetant une trajectoire optimale, cette quincaillerie devrait aider le conducteur à élever ses compétences au volant au niveau d’un pilote professionnel, affirme le constructeur !

Ces affirmations ambitieuses teintées d’un vocabulaire grandiloquent reflètent les commentaires formulés par le PDG de Kosmera, Winter Chen, dans le communiqué de la marque : « Notre présence au CES se veut un message fort. Car, nous ne nous contentons pas de présenter des voitures : nous introduisons un nouveau paradigme pour une mobilité intelligente et performante. Nos prototypes incarnent notre mission, qui consiste à repousser les limites, en remettant en question l’idée que les performances extrêmes doivent se faire au détriment d’une facilité d’utilisation au quotidien et d’une expérience de conduite intelligente. »

Naturellement, on devrait en savoir davantage lors de ce dévoilement au salon CES de Las Vegas, qui aura lieu du 6 au 9 janvier prochains.

Photos : Kosmera

Le texte Kosmera, l’intrigante nouvelle marque d’un fabricant chinois d’aspirateurs robotisés provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les propriétaires de Mercedes EQB pourraient voir leur anxiété d’autonomie grimper d’un cran. Le constructeur allemand vient de lancer un rappel demandant à certains conducteurs de limiter la recharge à 80 % afin d’éviter un possible court-circuit de la batterie pouvant mener à un incendie.

Un risque réel de « thermal event »

Mercedes parle d’un court-circuit à l’intérieur des cellules pourrait déclencher un feu, un scénario qu’on connaît trop bien dans l’univers des VÉ. Le rappel vise 169 véhicules en Amérique du Nord, soit :

  • 100 EQB 300 4MATIC
  • 48 EQB 350 4MATIC
  • 21 EQB 250 à un moteur

Un problème qui n’est pas nouveau

En début de 2025, Mercedes avait déjà rappelé plus de 7 000 EQB aux États-Unis pour un risque similaire, avec exactement la même consigne : ne pas dépasser 80 % de charge jusqu’à l’application d’une mise à jour logicielle.

Les EQB touchés sont des modèles MY2022-2023 dits “early stage”. Les batteries plus récentes seraient, selon Mercedes, plus robustes.

Une simple mise à jour… mais pas avant 2026

Même si les batteries sont jugées moins résistantes, Mercedes ne prévoit pas les remplacer. Les propriétaires devront se rendre chez le concessionnaire au début de 2026 pour une mise à jour logicielle censée éliminer le risque de court-circuit. Pire encore : un EQB stationné pourrait s’enflammer sans avertissement préalable.

Autonomie amputée

L’EQB 350 affiche déjà une autonomie EPA modeste de 227 miles (366 km) à 100 %. En limitant la recharge à 80 %, on tombe à environ 180 miles (290 km), et avec une marge de sécurité, parfois à peine 150 miles (242 km) entre deux recharges. Autrement dit, mieux vaut que la belle-famille habite pas trop loin ou que vous soyez patient aux bornes rapides.

Avec des renseignements de Carscoops

Le texte Mercedes demande de ne pas charger l’EQB à plus de 80 % provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le bolide de Hyundai fait ses débuts dans l’univers de la course automobile virtuelle. Hyundai Motor Company a annoncé les débuts de l’Elantra N TCR dans le jeu de simulation de course Gran Turismo 7.

Cette annonce a été faite lors de la finale mondiale du championnat Gran Turismo World Series 2025 au Centre international des congrès de Fukuoka, au Japon, le 22 décembre. Elle coïncide avec une décennie de collaboration entre Hyundai Motor et Polyphony Digital, l’entreprise qui a créé la série Gran Turismo.

L’Elantra N TCR est une voiture de tourisme de haute performance. Depuis son introduction par Hyundai Motorsport, en septembre 2020, elle a remporté cinq victoires aux 24 Heures du Nürburgring (2021-2025) et trois victoires consécutives au Championnat du monde FIA​ TCR des pilotes (2022-2024). Elle sera intégrée au jeu lors de la mise à jour de janvier 2026 et elle sera appelée « Elantra N TC ».

Ce nouveau partenariat de Hyundai et Polyphony souligne du même coup le 10e anniversaire de la marque « N » de Hyundai, une marque qui avait attiré l’attention du monde entier lors de la présentation de la voiture-concept N 2025 Vision Gran Turismo au Salon de l’auto de Francfort, en septembre 2015.

Une décennie de Hyundai N dans Gran Turismo

Le partenariat entre Hyundai Motor et Polyphony Digital a débuté cette année-là avec le lancement de la N 2025 Vision Gran Turismo, un bolide futuriste à hydrogène qui incarnait les ambitions de la marque sud-coréenne en matière de hautes performances.

Au fil des ans, la marque N de Hyundai est devenue un atout majeur pour Gran Turismo, en offrant aux joueurs la possibilité de piloter des véhicules comme l’Ioniq 5 N et l’Elantra N dans un environnement de course virtuel. L’arrivée de l’Elantra N TCR dans Gran Turismo 7 devrait renforcer la présence de la marque sud-coréenne dans cet univers virtuel de sport automobile.

Photos : Hyundai

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Ford ne se contente pas de freiner ses ambitions dans les véhicules électriques (VÉ) : le constructeur revoit de fond en comble sa stratégie de batteries. En décembre, l’entreprise a mis fin à deux ententes majeures totalisant près de 18 milliards $ US :

  • • Une coentreprise de 11,4 G$ avec SK On (Corée du Sud) ;
  • • Un contrat d’approvisionnement de 6,5 G$ avec LG Energy Solution.

Pendant que plusieurs projets de VÉ sont mis sur la glace, Ford investit désormais dans un tout autre créneau : le stockage d’énergie à grande échelle.

La batterie LFP de la firm chinoise CATL
La batterie LFP de la firm chinoise CATL | Auto123.com

La technologie chinoise CATL rapatriée au Michigan
En 2023, Ford avait signé un accord de licence avec le géant chinois CATL afin d’exploiter sa chimie lithium-fer-phosphate (LFP). Initialement prévue pour les voitures électriques, cette technologie change de destination : les cellules LFP de CATL alimenteront désormais des unités de stockage stationnaires pour le réseau électrique nord-américain.

Elles seront produites dans une nouvelle usine au Michigan, dont l’ouverture est prévue l’an prochain.

Incapable de battre les Chinois, Ford s’allie à eux | Auto123.com

Selon Lisa Drake, vice-présidente des plateformes technologiques chez Ford, il aurait fallu « une décennie » à l’entreprise pour atteindre seule le niveau de performance de CATL en matière de batteries LFP.

Du véhicule vers le réseau électrique
Ces batteries grand format ne seront pas installées dans des F-150 Lightning, mais dans des unités de stockage destinées aux producteurs d’électricité et aux gestionnaires de réseaux.

Ford affirme avoir consulté ses clients potentiels du secteur énergétique, et la réponse aurait été unanime : la demande est bien réelle. Les batteries LFP sont réputées pour leur durabilité, leur sécurité thermique et leur faible coût, des qualités idéales pour stabiliser les réseaux électriques.

Un projet hautement politique
Le projet a d’abord été rejeté par la Virginie en raison de ses liens avec la Chine. Le Michigan a finalement accepté d’accueillir l’usine, malgré un climat politique tendu : Washington cherche en effet à réduire la dépendance américaine aux technologies chinoises.

Ford soutient toutefois que produire localement sous licence est préférable à l’importation massive de batteries fabriquées en Chine, lesquelles dominent déjà le secteur du stockage d’énergie aux États-Unis.

Ce virage est un aveu lucide : la Chine possède une avance technologique considérable dans les batteries LFP, et Ford a choisi la voie du pragmatisme. À court terme, cette décision positionne le constructeur comme un acteur crédible du marché énergétique nord-américain, un secteur appelé à exploser avec l’essor des énergies renouvelables. Ce sont toutefois les conséquences de cette dépendance à long terme qui demeurent inquiétantes.

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Le texte Ford baisse les bras et fait équipe avec la Chine provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ce n’est plus seulement la violence de l’impact qui condamne votre voiture, mais les coûts qui en découlent. Un nouveau rapport de l’industrie révèle que la multiplication des pertes totales est attribuable à la complexité des technologies modernes et à l’âge avancé des véhicules sur nos routes.

Des chiffres inquiétants
Selon le rapport annuel Crash Course de la firme CCC, la fréquence des pertes totales est passée de 22,1 % en 2024 à 22,8 % en 2025. Autrement dit, près d’un véhicule accidenté sur quatre finit désormais à la casse. Plus troublant encore : entre le troisième trimestre de 2024 et celui de 2025, cette proportion a bondi de près de 1 %. Si la tendance se maintient, l’année 2025 pourrait établir un record historique.

Autre détail révélateur : plus de 72 % des véhicules déclarés pertes totales ont sept ans ou plus.

Pourquoi une voiture sur quatre est désormais déclarée « perte totale » après un accident | Auto123.com

Le vieillissement du parc nord-américain
Le parc automobile nord-américain vieillit rapidement. Or, plus un véhicule prend de l’âge, plus sa valeur marchande chute. Ce déclin rend le seuil de perte totale beaucoup plus facile à atteindre dès que la facture de réparation commence à grimper.

L’autre grand coupable : la technologie
Aujourd’hui, un simple pare-chocs peut intégrer des radars, des lidars et des capteurs ultrasoniques. Un pare-brise, quant à lui, peut dissimuler des caméras, des détecteurs de pluie et des systèmes d’aide à la conduite (ADAS). Cette sophistication entraîne :

  • • Des réparations plus longues ;
  • • Des pièces de remplacement plus coûteuses ;
  • • Des procédures de calibration obligatoires.

En 2025, 88 % des expertises réalisées dans les ateliers certifiés incluaient des balayages diagnostiques, et 36 % exigeaient des calibrations pour remettre les systèmes ADAS en état de marche.

Pourquoi une voiture sur quatre est désormais déclarée « perte totale » après un accident | Auto123.com

Des coûts en hausse généralisée
Même lorsque le véhicule est réparable, la facture s’alourdit. Le coût moyen de réparation est passé de 4700 $ à 4768 $ US en un an. Les réclamations médicales augmentent également, avec des traitements plus fréquents et onéreux dès l’ouverture des dossiers. Ces délais prolongés augmentent aussi les frais de location de véhicules de remplacement, ce qui accentue la pression sur les assureurs et, ultimement, sur les primes des assurés.

L’effet domino pour les consommateurs
Chaque véhicule déclaré perte totale déclenche une course contre la montre pour le propriétaire, qui doit se reloger dans un marché où l’inventaire de voitures d’occasion abordables se raréfie. Entre un budget souvent serré et des primes d’assurance à la hausse, la situation devient de plus en plus précaire pour les consommateurs.

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Le texte Une voiture accidentée sur 4 est déclarée perte totale: Pourquoi ? provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Alors que l’industrie automobile multiplie les annonces de transition électrique, General Motors préparerait un retour à la nostalgie mécanique avec la résurgence du sigle LS6. Selon des informations tirées de documents internes et de sources proches du dossier, ce nom emblématique serait associé à un nouveau V8 atmosphérique de 6,7 litres destiné, entre autres, à une future Corvette Grand Sport attendue pour l’année-modèle 2027.

Le retour du « small-block »
Derrière cette désignation se cacherait la sixième génération du « small-block » de GM, un moteur que le constructeur refuse de retirer du marché. Affichant une cylindrée de 6,7 litres (ou 409 pouces cubes), ce bloc en aluminium conserverait une architecture à soupapes en tête, tout en intégrant une double injection, directe et indirecte. Il s’agirait de la plus imposante version atmosphérique moderne jamais proposée dans une Corvette depuis l’introduction des familles de moteurs LS et LT.

Ce virage marquerait un certain retour aux sources après l’utilisation de blocs plus petits, et même de l’hybridation, notamment sous le capot de la Corvette e-Ray.

Une stratégie de rentabilité
Parallèlement, GM travaillerait sur une version plus compacte de 5,7 litres de ce même moteur, destinée principalement au Chevrolet Silverado 1500. Cette approche permettrait de rentabiliser la production du bloc moteur en l’utilisant aussi bien pour des voitures sportives que pour des véhicules utilitaires.

GM parie encore sur le V8 pour la Corvette Grand Sport 2027 | Auto123.com

Le rôle de la Grand Sport
Dans la hiérarchie de la Corvette, la Grand Sport occupe une position stratégique. Elle se situe entre la version d’entrée de gamme et les variantes les plus radicales comme la ZR1, misant sur un équilibre entre performances sportives et usage quotidien.

Les documents consultés par Motor1.com indiquent que ce nouveau moteur serait lancé d’abord dans les camionnettes pleine grandeur dès 2027, avant d’être adapté à des applications de haute performance, notamment au sein de la gamme Corvette et possiblement pour la prochaine Cadillac CT5.

Investissements et nostalgie
GM a récemment investi plusieurs centaines de millions de dollars dans son usine de Flint pour préparer cette nouvelle mouture. Celle-ci promet une puissance accrue, mais aussi une consommation de carburant réduite. Reste à savoir si une forme d’hybridation accompagnera le LS6 dans certaines versions.

Le choix du nom LS6 n’est pas anodin : il évoque le célèbre 5,7 litres des Z06 du début des années 2000. En le ressuscitant, GM mise sur la nostalgie des passionnés tout en adaptant le concept aux réalités techniques et réglementaires modernes. Si la Corvette Grand Sport 2027 voit effectivement le jour avec un V8 atmosphérique de 6,7 litres, GM rejoindrait alors la tendance observée chez Stellantis, où l’on continue de faire vivre les moteurs de grosse cylindrée malgré la poussée électrique.

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Le texte Il y aura encore un V8 dans la Corvette en 2027 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Depuis quelques années, les poignées de porte affleurantes — celles qui se fondent dans la carrosserie avant de se déployer électroniquement — sont devenues le symbole du style futuriste des véhicules électriques. Popularisées par Tesla au début des années 2010 et adoptées par de nombreux constructeurs depuis, ces poignées sont désormais dans la ligne de mire des régulateurs chinois pour des raisons de sécurité.

À partir du 1er janvier 2027, si les projets de normes se confirment, elles seront interdites sur tous les véhicules neufs vendus en Chine. Cette décision pourrait modifier considérablement l’approche actuelle du design automobile.

Une obligation de mécanisme manuel
La nouvelle réglementation du ministère chinois de l’Industrie et des Technologies de l’information impose que chaque portière, à l’exception du hayon, soit équipée d’un mécanisme accessible même en cas de panne électrique ou de collision grave. Il ne suffira plus d’appuyer sur un bouton ou de compter sur un moteur électrique pour ouvrir une porte si les systèmes électroniques tombent en panne. Bien que ce principe semble logique, il n’est pas respecté par la majorité des poignées affleurantes actuelles.

Infiniti QX Monograph
Infiniti QX Monograph | Auto123.com

La Chine dit non aux poignées affleurantes | Auto123.com

La sécurité avant tout
L’un des principaux motifs de cette décision est la sécurité. Des rapports font état d’accidents où les occupants, ou même les premiers répondants, ont été incapables d’ouvrir les portières après un impact parce que les poignées motorisées ne fonctionnaient plus. Dans certains cas récents impliquant des VUS chinois, des témoins ont décrit l’impossibilité d’ouvrir manuellement les portes, même après avoir brisé une vitre, puisqu’aucun levier n’était visible ou accessible.

Instructions pour ouvrir une poignée de porte couverte de glace, sur le site de Kia USA.
Instructions pour ouvrir une poignée de porte couverte de glace, sur le site de Kia USA. | Auto123.com

Limites pratiques et aérodynamisme
Au-delà des accidents, les régulateurs chinois soulignent d’autres contraintes : ces poignées peuvent se bloquer par temps froid (notamment à cause du verglas) et sont vulnérables aux pannes de batterie. De plus, selon certaines études internes, elles n’offriraient qu’un avantage aérodynamique infime. Sur le plan de l’efficacité énergétique, l’impact réel sur l’autonomie d’un véhicule serait souvent inférieur à une fraction de kilowattheure aux 100 kilomètres.

Un impact mondial
Pour les constructeurs, cela signifie qu’il faudra revoir des modèles déjà sur le marché. Tesla, qui a fait de ces poignées sa signature, a déjà reconnu le problème et travaille sur des solutions combinant commandes électroniques et fonctions mécaniques intégrées. Les autorités chinoises ne sont pas les seules à s’inquiéter : des responsables en Europe et aux États-Unis examinent également de nouvelles normes de sécurité qui pourraient s’inspirer de cette approche.

L’effet de cette décision dépassera les frontières chinoises. La Chine est devenue le plus grand marché automobile au monde et un centre névralgique de la production globale. Si les marques doivent adapter leurs modèles pour répondre à ces exigences, il est probable que ces versions modifiées soient également destinées à l’exportation afin d’optimiser les chaînes de production.

L’ère des poignées « invisibles » pourrait toucher à sa fin. Ce qui était perçu comme un symbole de modernité pourrait être relégué au rang de simple gadget esthétique, sacrifié au profit de la sécurité des usagers et de l’efficacité des secours.

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Le texte Pourquoi les Chinois disent non aux poignées affleurantes provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ils s’y attendaient, mais les acheteurs de véhicules électriques et hybrides rechargeables de la province canadienne la plus favorable aux véhicules électriques sont sur le point de perdre une partie des incitations dont ils bénéficient. À compter du 1er janvier 2026, la subvention accordée en vertu du programme Roulez vert du gouvernement du Québec est coupée de moitié.

La subvention maximale passe de 4000 $ à 2000 $ dès le début de l’année 2026.

Cette diminution s’inscrit dans la stratégie de réduction progressive de l’incitatif gouvernemental. On se rappellera qu’au 1er janvier 2025, le montant maximal de la subvention québécoise est passé de 7000 $ à 4000 $. La subvention de 2000 $ sera complètement éliminée dès le 1er janvier 2027. Il ne reste donc qu’une seule année pour profiter d’une subvention à l’achat d’un véhicule électrique au Québec.

La subvention du programme Roulez vert au Québec est coupée de moitié cette semaine | Auto123.com

Parmi les véhicules qui sont éligibles à la subvention de 2000 $ du programme Roulez vert, citons les Audi Q4 55 e-tron Quattro, Cadillac Optiq, Chevrolet Equinox EV, Hyundai Ioniq 5, Kia Niro EV, Lexus RZ 350e, Nissan LEAF, Subaru Solterra et Toyota bZ.

Une diminution pour les véhicules hybrides rechargeables également
La réduction de la subvention ne s’applique pas uniquement pour les véhicules électriques. En effet, la même stratégie est adoptée dans le cas des véhicules dotés de la technologie hybride rechargeable.

Le 1er janvier 2025, la subvention maximale accordée lors de l’achat d’un véhicule hybride rechargeable est passée de 5000 $ à 2000 $. Au 1er janvier 2026, elle est réduite à 1000 $. Les modèles munis d’une batterie de 8 kWh à moins de 15 kWh sont éligibles à une subvention maximale de 500 $.

La subvention du programme Roulez vert au Québec est coupée de moitié cette semaine | Auto123.com

Parmi les véhicules hybrides rechargeables qui ont droit à une subvention de 1000 $, mentionnons les Chrysler Pacifica Hybride, Hyundai Tucson PHEV, Lexus NX 450h+ et Volvo XC60 Recharge.

La subvention accordée aux véhicules hybrides rechargeables sera retirée au 1er janvier 2027.

Une réduction pour les véhicules électriques d’occasion
Enfin, un sort similaire est réservé aussi aux véhicules électriques d’occasion. Au 1er janvier 2026, la subvention maximale accordée passe de 2000 $ à 1000 $. Elle sera, elle aussi, complètement abolie dès le 1er janvier 2027.

Dans le reste du Canada
Le programme fédéral iZEV se poursuit tant bien que mal, offrant des subventions pour certains modèles de véhicules électriques. Toutefois, on s’attend généralement à ce qu’il prenne fin au début de 2025, une fois les fonds du dernier budget fédéral épuisés.

La Colombie-Britannique a modifié son programme Go Electric afin d’offrir des incitatifs à l’achat de véhicules électriques en fonction du revenu. Les personnes gagnant moins de 100 000 $ par année sont toujours admissibles à un incitatif pouvant atteindre 4 000 $.

À l’autre bout du pays, le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse, l’Île-du-Prince-Édouard et Terre-Neuve-et-Labrador continuent d’offrir des incitatifs à l’achat de véhicules électriques et hybrides rechargeables.

Pour leur part, l’Ontario, le Manitoba, l’Alberta et la Saskatchewan n’offrent aucun incitatif pour encourager l’achat de véhicules électriques. D’ici un an, le Québec devrait donc se joindre à eux. On pourrait se retrouver dans une situation un peu inattendue : certaines provinces continueront d’offrir des incitatifs, mais pas celle qui compte le plus d’acheteurs – et d’acheteurs potentiels – de véhicules électriques.

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Le texte Roulez vert passe de 4 000 à 2 000 $ dans deux jours. provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La Ford Thunderbird 1961 rose que les admirateurs de Mariah Carey ont vue en assistant au spectacle Mariah: Number 1 to Infinity présenté au Colosseum du Caesars Palace à Las Vegas, de 2015 à 2017, sera un lot vedette de la vente aux enchères MusiCares Charity Relief de Julien’s Auctions. Cette vente qui sera présentée à Santa Monica en Californie, le 1er février prochain, coïncide avec la 68e cérémonie annuelle de remise des prix Grammy de la Recording Academy, qui est derrière l’organisation caritative MusiCares.

L’association de cette artiste populaire, lauréate de cinq prix Grammy, à cette vente aux enchères n’a, par ailleurs, rien d’accidentel, puisque Carey a été nommée Personnalité de l’année 2026 de cette prochaine édition de MusiCares.

Par ailleurs, cette Thunderbird rose et une motomarine or sont les deux premiers lots offerts par Carey annoncés pour cette vente caritative. D’autres s’ajouteront au catalogue de la vente ultérieurement.

Arborant le prénom en lettres chromées de la chanteuse et des écussons en forme de papillon (symbole du spectacle), cette Thunderbird 1961 servait à la fin de la première demi-heure du spectacle à Las Vegas, lorsque Mariah Carey faisait son entrée sur scène en interprétant Dreamlover, un succès de 1993.

Curieusement, la valeur attribuée par l’encanteur à cette voiture (ou accessoire de scène, diront certains) n’est pas très élevée. Dans un communiqué publié ces derniers jours, Julien’s Auctions estime sa valeur entre 6 000 $ et 8 000 $ US seulement. Parions que l’enthousiasme des collectionneurs de voitures de vedettes, mais aussi des admirateurs de la diva, contribuera à propulser le prix de vente final dans les cinq chiffres.

La Thunderbird de 3e génération

Rappelons que la Thunderbird 1961 a inauguré la troisième génération de cette gamme de voitures de luxe lancées par Ford, en octobre 1954. Créée en guise de riposte au lancement de la Chevrolet Corvette, dès sa seconde génération (1958-1960), la Thunderbird a toutefois adopté une conception radicalement différente de sa rivale initiale. Elle a délaissé ses dimensions réduites et son habitacle biplace pour un intérieur à 5 places et des dimensions généreuses, qui en ont fait une voiture axée avant tout sur le luxe et le confort, cédant du même coup le créneau de la performance à la Corvette.

D’après un communiqué publié par Ford lors du lancement de la Thunderbird 1961 aux États-Unis, le 14 octobre 1960, on apprend que cette voiture était livrée avec un V8 de 6,4 L à carburateur à 4 corps. Ce moteur, qui produisait 300 ch et 427 lb-pi de couple, était jumelé à une boîte de vitesses automatique à 3 rapports Cruise-O-Matic qui entraînait les roues arrière.

Cette Thunderbird se distinguait notamment par son volant escamotable, une première pour Ford. Baptisée Swing-Away Wheel, ce volant pouvait être déplacé latéralement vers le centre de l’habitacle, d’environ 27 cm, pour faciliter l’embarquement et le débarquement.

Par ailleurs, dans un communiqué consacré à cet accessoire optionnel, on peut lire : « la colonne de direction ne peut être déplacée que lorsque le sélecteur de la boîte de vitesse est en position Park. De plus, le levier de sélection ne peut être utilisé que lorsque le volant est revenu à sa position de conduite normale. » Deux détails importants à savoir !

Photos : Julien’s Auctions et YouTube

Le texte La Ford Thunderbird 1961 du spectacle « Mariah: Number 1 to Infinity » est à vendre provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Si l’industrie automobile nous fait constamment découvrir de nouveaux types de véhicules, il y a une catégorie qui est une véritable espèce menacée de nos jours, soit la voiture sportive. Que vous la préfériez en configuration de berline ou en version coupée, la réalité est qu’elle est plus rare qu’elle n’a jamais été.

Conséquemment, lorsqu’un modèle ose se présenter comme tel, il génère plus d’attention que jamais auprès des amateurs avides de ce genre de proposition.

Chez Subaru, miracle, on compte deux de ces moutons à cinq pattes, soit le coupé BRZ, ainsi que la berline WRX. Cette dernière, iconique à tous les points de vue, semble là pour rester, même si elle fait moins courir les foules que jadis, malgré un niveau de raffinement plus élevé que jamais.

Ironique, non ?

Oui… et non. C’est un peu le sort réservé aux véhicules qui génèrent plus de passion. On vit à une époque où la rationalité prend souvent le dessus. Et une Subaru WRZ tS, ça n’a rien de rationnel.

On aime ça.

D’accord, vous savez dans quel coin du ring l’on se campe, mais qu’en est-il, concrètement et subjectivement, de cette variante tS de la WRX ? Voyons ça de plus près.

Des lettres qui parlent

Les lettres apposées sur les sportives ont toujours une signification. Ça ne fait pas exception chez Subaru, et ladite signification témoigne de beaucoup. Pour la WRX, par exemple, ça renvoie à World Rally eXperimental, qui démontre que ce modèle a été développé à l’origine pour les épreuves du Championnat mondial de rallye (World Rally Championship).

Pendant des années, on a eu droit à la WRX STI, une version encore plus pointue du modèle. Les lettres STI servaient à rappeler à tous le nom de la division de sports motorisés et de performance de Subaru, Subaru Tecnica International.

Vous voyez un peu où l’on s’en va avec ça. Une WRX STI, c’était plutôt extrême, peut-être un peu trop pour la route. Subaru a retiré cette variante il y a quelques années, ce qui n’a pas changé le quotidien de 99,9 % des acheteurs sur la planète, mais qui a plongé le 0,1 % en état de déprime. Les passionnés de l’approche STI réclament toujours le retour d’un modèle qui va porter ces lettres, d’ailleurs.

Subaru, toujours à l’écoute de sa clientèle, a décidé de faire un bout de chemin. En fait, ce que les amateurs souhaitaient, ce n’est pas obligatoirement un modèle plus puissant, mais bien un produit plus pointu, surtout pour les séances en piste.

C’est exactement ce que la compagnie leur livre avec cette signature tS, que l’on retrouve aussi avec le coupé BRZ, soit dit en passant.

tS : deux lettres qui ne changent pas tout, mais…

Les Lettres tS viennent donc transformer la WRX régulière. Elles ne changent pas tout, mais elles modifient suffisamment la donne pour que derrière le volant, la différence soit perceptible.

Et qu’est-ce qui a été fait au modèle ?

Il y a bien sûr quelques modifications esthétiques. Certaines sont pour la reconnaissance, comme des logos tS rouges et des jantes de 19 pouces au design unique à la variante, d’autres qui sont reliées à la performance du modèle comme ces pneus Bridgestone Potenza S007, ainsi que ces étriers de freins Brembo, à six pistons à l’avant, s’il vous plaît.

Mais c’est au-delà de ce qui est visible que ça devient intéressant. Les étriers de frein Brembo, par exemple, viennent coincer des disques perforés pour une meilleure puissance de freinage, mais proposent aussi une meilleure résistance à l’usure. Et ces disques, ils sont plus gros que sur une variante régulière. Concrètement, ils sont à 340 mm à l’avant, 326 à l’arrière, des gains de 24 mm et de 36 mm, respectivement.

Pour un travail symbiotique avec tous ces organes, Subaru a apporté des ajustements à la servodirection à contrôle électrique, ainsi qu’au niveau de résistance des amortisseurs, principalement pour un travail plus efficace avec les roues de 19 pouces, alors que la WRX est chaussée de pneus de 18 pouces.

Tout cela a un effet sur la conduite ; j’y reviens.

Le moteur

On le mentionnait, cette variante tS n’offre pas plus de puissance. La mécanique, donc, est la même, soit un 4-cylindres turbo de 2,4 litres qui crache 271 chevaux et 258 livres-pieds de couple. Et l’élément séducteur, c’est qu’une seule boîte de vitesses est au menu, une manuelle à six rapports. Au diable les conventions ; on s’adresse ici aux puristes, n’en déplaise à la mode inclusionniste. Et n’allez pas lire là quelque chose de politique. La mode inclusionniste, dans l’industrie automobile, veut que chaque modèle soit en mesure de répondre aux besoins de tout le monde. Dans cette optique, ça fait du bien de voir un produit comme cette WRX tS.

Au volant

La WRX offre déjà une expérience relevée où la puissance est là, l’adhérence aussi, entre autres grâce à la traction intégrale de Subaru, l’une des meilleures de l’industrie. La principale différence, ce sont ces pneus Bridgestone Potenza S007. On parle d’un pneu d’été à ultra-haute performance, un produit dont la gomme a été conçue pour offrir une adhérence et une maniabilité hors pair. Il propose, entre autres, des blocs d’épaulement très rigides, qui nous permettent d’attaquer les virages avec aplomb et confiance. Ça fait aussi en sorte que la réponse de la direction est encore plus impressionnante.

Les pneus font une énorme différence d’avec une WRX traditionnelle. Les freins aussi, mais c’est sur un circuit qu’on le réalise pleinement, pas sur un boulevard urbain. D’ailleurs, pour avoir eu l’occasion de conduire cette bête sur piste, en plus de passer une semaine au volant, je vous le confirme ; la WRX tS est taillée pour la piste. Elle demeure civilisée au quotidien, mais si vous ne comptez pas attaquer les circuits, une variante régulière va amplement vous combler.

Le confort

Ce qui permet de sauver la donne avec cette Subaru WRX tS, c’est qu’on profite de modes de conduite, soit Confort, Normal et Sport, avec des réglages personnalisés qu’il est possible de se concocter. En mode confort, le mariage avec nos routes est plus harmonieux, disons cela comme ça.

Ce qui vient faire la différence sur les longs trajets, ce sont les sièges Recaro qui sont livrés avec cette déclinaison. Autant on adore ne faire qu’un avec ces derniers lorsqu’on attaque la piste, autant on les maudit sur les longs trajets. Leur mission n’est pas d’offrir le confort, mais bien le soutien. En outre, ils proposent 8 réglages électriques (pas de supports lombaires) plutôt que 10, comme avec les autres versions du modèle. Les mauvaises langues pourraient blâmer l’âge plus avancé de l’essayeur pour expliquer le réveil de son nerf sciatique.

Sans commentaire. Plus sérieusement, c’est à considérer selon l’usage que vous comptez faire du modèle.

La vie à bord

Pour le reste, on s’accommode bien de ce que propose cette variante en matière d’équipement, c’est complet, comme à peu près partout à travers la gamme. L’essentiel est là avec les sièges avant chauffants, la connexion sans fil aux applications Apple CarPlay et Android Auto, la navigation intégrée, une chaîne audio Harman/Kardon à 11 haut-parleurs, bref, vous ne souffrirez pas votre vie à bord.

La distinction tS se trouve avec les sièges, mais aussi ces surpiqûres de sièges qui sont bleues plutôt que rouges.

Et pour les puristes, comme c’est le cas avec toutes les variantes sauf la livrée GT, on retrouve un frein de stationnement à levier, situé à droite de l’assise du conducteur ; la joie.

En matière de sécurité, le modèle propose la suite EyeSight de Subaru, qui est depuis l’année dernière offerte avec les véhicules à boîte manuelle. Ça a pris un certain temps, car des ajustements devaient être faits. Par exemple, certaines caractéristiques ne peuvent pas fonctionner avec certains dispositifs, comme le freinage d’urgence en marche arrière ou encore un système d’arrêt/relance dans la circulation lourde. Les ajustements ont été faits, si bien que ce qui peut fonctionner avec une boîte mécanique est maintenant de la partie.

Prix

La variante tS de la WRX repose au sommet de la pyramide, après les déclinaisons Sport, Sport-tech et GT. En 2025, la variante de base qui figurait au catalogue l’année dernière a disparu, comme c’est trop souvent le cas à travers l’industrie. Le résultat, c’est que la facture avec une WRX commence à plus de 40 000 $ cette année, comparativement à un peu plus de 33 000 $ en 2024. Quant à notre tS, elle s’affiche à 50 463 $ au moment d’écrire ces lignes, avant tous les frais (transports et préparation, concessionnaires, etc.).

Conclusion

Vous aurez compris à la lecture de cet essai que la version tS de la Subaru WRX n’est pas pour tout le monde. Si vous aimez les séances en piste, ou encore piloter avec le couteau entre les dents tout le temps, vous allez adorer. Autrement, une WRX régulière va amplement vous sustenter. Cela dit, la WRX reste un joyau et devient une rareté à travers l’industrie. L’acheteur ne fait pas une mauvaise affaire ici et la valeur de revente va demeurer excellente.

Forces

  • Agrément de conduite
  • Boîte manuelle seulement
  • Freinage et adhérence hors pair

Faiblesses

  • Sièges Recaro sur de longues distances
  • Pas idéales sur nos routes
  • Accès et espace limité au coffre

Le texte Essai routier de la Subaru WRX tS provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile