Est-ce que la technologie embarquée dans les véhicules devient un problème de sécurité ?
J’ai eu la chance de faire l’essai d’une BMW B8 Alpina de plus de 175 000 $ la semaine dernière. La technologie embarquée dans ce véhicule donne le vertige. Même à la fin de ma semaine d’essai, il y a encore plusieurs boutons qui demeuraient un mystère et certaines fonctions que je cherchais et que je n’ai pas trouvées. La simple opération de brancher son téléphone avec ses contacts et les autres fonctions associées à mon téléphone intelligent m’a demandé 10 minutes. Pendant que je tentais de trouver une station de radio, le volant vibrait parce que j’avais légèrement dévié de ma trajectoire et la voiture m’averti que je devrais peut-être prendre une pause croyant que j’étais fatigué.
Trop c’est comme pas assez
Le lendemain, il fait -25 degrés et dès les premières minutes au volant, la majorité des systèmes électroniques m’indiquent qu’ils sont hors service. Il fait trop froid les censeurs, les censeurs sont gelés et après quelques km de routes, les caméras sont obstruées. Il y a tellement de voyants lumineux, de boutons qui clignotent et de bip que vous avez l’impression de gérer une crise permanente. J’ai donc décidé à ma deuxième journée d’essai d’aller dans le menu de l’écran de la console centrale sous l’onglet Car et j’ai désactivé tout ce que j’ai pu. On nous promettait que la technologie allait être notre amie. On comprend les bonnes intentions, mais bombarder le conducteur d’autant d’informations devient presque dangereux. On devrait se concentrer sur une chose lorsque nous
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