Son nom évoque plaisir, liberté et performance, et depuis quelques jours, dans différents pays, ses fanatiques célèbrent sa fête. Car le 17 avril, la Mustang, l’icône sportive de Ford, a eu 60 ans.

Ce modèle poursuit son existence qui a débuté le 17 avril 1964, dans le cadre de l’Exposition universelle de New York 1964-1965. Aujourd’hui, sa popularité demeure d’actualité, puisque la Mustang est la voiture sport la plus vendue dans le monde depuis plus de 10 ans, clame fièrement le constructeur de Dearborn.

Pour souligner cet anniversaire et les six décennies de production ininterrompue, des célébrations ont eu lieu dans différents pays. Chez nous, par exemple, Ford du Canada a invité les passionnés à se réunir au volant de leurs Mustang à l’usine de moteurs Ford Essex à Windsor, en Ontario. C’est là où l’on produit son V8 de 5,0 litres. Plus de 300 propriétaires ont répondu à l’appel avec des véhicules des sept générations qui ont été produites depuis 1964. Des participants ont même formé un chiffre « 60 » avec leurs véhicules, initiative qui a été immortalisée par une photo aérienne qu’on peut voir dans cette nouvelle.

Des éditions spéciales

Pour souligner cet anniversaire, Ford a également lancé quelques versions spéciales proposées en petites séries. C’est le cas de la Mustang 60e anniversaire 2025, qui sera produite à seulement 1 965 exemplaires et dont le carnet de commandes sera ouvert cet été. En Europe, le constructeur a aussi annoncé l’arrivée prochaine de la Mustang California Special, de même qu’un ensemble baptisé Nite Pony permettant de personnaliser différentes versions de la Mustang GT.

En parallèle de ces nombreuses célébrations, le 17 avril, 60 ambassadeurs de la marque, journalistes et créateurs de contenus (lire : blogueurs) ont entamé simultanément des voyages qu’on veut épiques en Amérique du Nord, en Amérique du Sud, en Europe, en Afrique du Sud, en Chine et en Australie. Ce périple mondial partagé se déroulera tout au long de l’année et leur permettra, selon Ford, de « mesurer la popularité inaltérable de l’emblématique voiture de sport dans le monde entier. » C’est une histoire à suivre…

Des anecdotes amusantes et instructives

En attendant de lire les rapports de ces voyageurs, voici pour vous divertir quelques faits anecdotiques relatifs à la Mustang; certains dont le constructeur est fier, et d’autres peut-être moins…

  • Le constructeur de Dearborn rappelle rarement que la première Mustang de série, un modèle doté d’un V8 de 164 ch et jumelé à une boîte de vitesses à trois rapports, a été vendue à un Canadien : Stanley Tucker de Terre-Neuve, qui était pilote de l’Eastern Provincial Airways. Il a acheté son cabriolet de couleur blanc Wimbledon avant que Ford n’amorce officiellement la mise en marché de la Mustang à la grandeur de l’Amérique du Nord. Lorsque le constructeur a réalisé son erreur (à Dearborn, on aurait sans doute préféré voir la voiture portant le numéro de série 5F08F100001 aboutir chez un citoyen étatsunien), on a proposé à Tucker de reprendre la voiture, offre que ce dernier a déclinée. Puis, en 1966, au moment de préparer les célébrations entourant la millionième Mustang produite, Ford a renouvelé son offre, et cette fois Tucker l’a accepté. En échange, il a reçu, sans frais, cette millionième Mustang, une voiture de couleur argent qu’il a conduite quotidiennement, comme il l’avait fait avec sa précédente !
  • Lorsque la mise en marché de la Mustang originale a commencé, en 1964, dès le premier jour, Ford a reçu 22 000 commandes et cette année-là 126 500 Mustang ont été vendues. Les trois années suivantes, Ford a vendu au total plus de 1,6 million de Mustang aux États-Unis. Ce sont d’ailleurs trois années records dans l’histoire de ce modèle : 559 500 unités en 1965, 607 500 unités en 1966 (un sommet historique ) et 472 000 unités en 1967.
  • Aujourd’hui, Ford se fait plus discret sur le volume de vente annuel mondial de sa sportive, même s’il se targue d’offrir le modèle du genre le plus populaire au monde depuis une dizaine d’années. On sait en revanche que bon an, mal an, les automobilistes nord-américains achètent environ les trois-quarts de la production. Or, en 2023, Ford a vendu 64 656 Mustang sur notre continent (3 491 au Canada et 61 165 aux États-Unis). Alors, pour estimer les ventes mondiales, faites le calcul.
  • Pour mousser le lancement de la première Mustang, Ford avait décidé de faire une séance de photographies au sommet de l’Empire State Building, à New York. Puisque ses dimensions étaient trop grandes pour les élévateurs de l’édifice, la voiture a été démantelée, puis réassemblée pour la séance de photos. Pour souligner le 50e anniversaire de la Mustang, en 2014, cet exercice promotionnel inusité a été répété !
  • On estime que la Mustang a fait des apparitions dans plus de 3 000 films. Ce serait, selon Ford, une des vedettes à quatre roues les plus vues de l’univers cinématographique.
  • La Ford Mustang figure parmi les 16 modèles fabriqués par Mattel pour la première série de voitures miniatures Hot Wheels, en 1968.
  • Le 8 août 2018, Ford a souligné par une célébration la fabrication de la 10 millionième Mustang à l’usine d’assemblage de Flat Rock au Michigan. Il s’agissait d’une Mustang GT 2019 décapotable blanc Wimbledon et elle était animée par un V8 de 460 ch jumelé à une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports.
  • À l’instar de la Toyota Corolla et de la Porsche 911, la Ford Mustang fait partie de ces rares modèles qui ont perduré au fil des décennies. En effet, Ford a offert des Mustang de manière ininterrompue depuis son lancement en 1964.
  • L’actuelle septième génération de Mustang sera offerte à la grandeur de la planète. Déjà présente en Europe (où le V8 de 5,0 L est le moteur le plus demandé), elle est désormais en vente en China et au Moyen-Orient aussi. De plus, elle sera bientôt lancée en Amérique du Sud. Évidemment, dans la Russie de Vladimir Putin, il faudra sans doute attendre pour mettre la main de manière « officielle » sur une de ces nouvelles Mustang…

La Mustang sur Spotify… avec une touche espagnole

Pour souligner les célébrations entourant le 60e anniversaire de la Mustang, la filiale espagnole de Ford, en collaboration avec Warner Music Spain, a créé une liste musicale sur le réseau de musique en ligne Spotify.

Intitulée Ford Mustang 60 Years, elle réunit 100 chansons étatsuniennes populaires d’une grande variété de genres offrant plus de six heures d’écoute. On peut entendre, notamment, Mustang Sally de Wilson Pickett et Mustang du groupe The Shadows, de même que plusieurs titres d’artistes tels qu’Aretha Franklin, The Doors, Led Zeppelin, Prince, Red Hot Chili Peppers, Cold Play, David Bowie et Madonna.

Cela dit, si vous aimeriez écouter Wild, Wild Mustang de Dick Dale & The Del-Tones, My Ford Mustang de Chuck Berry, Shelby GT 356 de The Chesterfield Kings, Rollin’ in My 5.0 de Vanilla Ice, 65 Mustang de Five for Fighting et les dizaines d’autres titres qui mettent en vedette le populaire pony car, ou encore qui le mentionne ou l’évoque tout simplement, il vous faudra constituer votre propre liste d’écoute !

Photos : Ford

Le texte On célèbre les 60 ans de la Ford Mustang un peu partout sur la planète provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

San Diego, Californie – Dans le cadre du mégaprogramme qu’a tenu Toyota en Californie la semaine dernière, il y avait au menu l’essai de la nouvelle génération de la Camry, une voiture qui n’a pas été complètement transformée, mais qu’on s’est assuré de faire évoluer dans le bon sens. Comme on le fait depuis plus de 40 ans chez Toyota avec ce modèle. Que retenir de cette nouvelle mouture ? Voici 10 choses à savoir sur la Toyota Camry 2025.

1 — Seulement hybride

C’est en 2006 (pour 2007) que Toyota a commercialisé pour la première fois une version hybride de sa berline Camry. Depuis, on retrouvait toujours des versions électrifiées au catalogue, mais on pouvait aussi choisir des variantes uniquement pourvues d’un moteur à essence. Ce temps est révolu, car pour la première fois de l’histoire, le modèle ne sera que vendu avec une mécanique hybride.

2 — Moteur et consommation

Le moulin retenu est un 4-cylindres de 2,5 litres auquel est intégrée la cinquième génération du système hybride développé par la compagnie. Ce dernier sert déjà la nouvelle Prius, ainsi que le Corolla Cross. Son efficacité a été prouvée. Et ça se reflète avec les cotes de consommation annoncée. On parle de moyennes de 4,6 litres aux 100 kilomètres pour les versions à traction, et de 5,1 litres pour ceux pourvus du rouage intégral. Lors de notre journée avec les différentes Camry mises à notre disposition, j’ai vu un modèle qui affichait une cote de 4,2 litres aux 100 km. Tout cela sera bien sûr à confirmer lors d’essais plus longs et convaincants, mais ça demeure tout de même fort intéressant.

3 — Les versions

La Camry sera proposée de cinq façons chez nous, soit en configuration SE, SE Amélioré, XSE et XLE. Le modèle SE est à traction, mais la variante SE Améliorée peut aussi être livrée avec la traction intégrale, qui est de série avec les deux autres modèles.

Pour ce qui est des prix, voici à quoi ressemble la fourchette :

SE (traction) : 34 300 $

SE Amélioré (traction) : 36 300 $

SE Amélioré (rouage intégral) : 37 950 $

XSE (rouage intégral) : 44 250 $

XLE (rouage intégral) : 44 950 $

On regrette le départ de la version d’entrée de gamme LE, qui était bien sûr offerte moins chère. Toyota explique que la clientèle en demande toujours plus, et qu’elle leur propose une meilleure affaire avec le modèle SE. À vous d’en juger.

4 — Merci NASCAR

Il y a 20 ans, lorsqu’on décrivait le style d’une Toyota Camry, ce n’était pas avec des termes élogieux. Les lignes du modèle étaient tout sauf excitantes. En fait, la voiture en tant que telle était tout sauf excitante. Les temps ont changé. Bien sûr, la philosophie a évolué dans le bon sens chez Toyota, mais il ne faudrait pas passer sous silence l’implication du constructeur en série NASCAR, où la Camry est le modèle utilisé dans la plus haute division. Son style a évolué en conséquence, ce qui explique son allure plus sportive aujourd’hui qu’hier.

5 — S pour Sport

Au cas où vous ne le sauriez pas, dans la nomenclature Toyota, lorsque la lettre S est présente dans l’appellation d’une version d’un modèle, c’est qu’elle met l’accent sur la sportivité. Ainsi, les finitions SE et XSE proposent des styles plus affirmés, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. On parle d’accents noirs avec la version SE et d’un aileron et de prises d’air fonctionnelles avec la variante XSE. À l’intérieur, c’est aussi visible, notamment avec un pédalier sport en aluminium, ainsi que la présence de cuir sur le sélecteur de rapport et au volant. Les réglages des suspensions sont d’ailleurs plus fermes avec les modèles SE et XSE. L’utilisation de la lettre L renvoie à un modèle qui joue plus la carte du luxe.

6 — Les écrans

Il est impossible de décrire un véhicule aujourd’hui sans parler de la taille des écrans que l’on retrouve à l’intérieur. L’offre est simple à ce chapitre. Avec le modèle SE, la taille des unités fait sept et huit pouces, respectivement pour le bloc d’instruments et le système multimédia. En passant aux autres variantes, on parle d’écrans de 12,3 pouces, que ce soit pour les informations de conduite que le conducteur retrouve devant lui, ou pour le système multimédia. L’affichage tête-haute sur écran de 10,0 pouces peut même être sélectionné en option avec les modèles XSE et XLE.

7 — Puissance variable

On parlait plus tôt de la consommation du moteur de cette Camry hybride. Sachez que ça varie légèrement lorsqu’on opte pour des modèles plus équipés ou simplement munis de la traction intégrale, mais la différence n’est pas énorme. Au pire, c’est 5,4 litres aux 100 km en ville, 5,5 litres sur l’autoroute, 5,4 litres au combiné (modèle XSE). L’autre donnée qui est variable, c’est la puissance du moteur. Avec les déclinaisons à traction, la prestation est à 225 chevaux. Avec le rouage intégral, vous en ajoutez 7, pour 232. Honnêtement, c’est bien suffisant, surtout que la livraison de cette puissance est gérée par une transmission à variation continue que vous ne voudrez pas trop entendre travailler fort.

8 — Cinq ou six ans

Depuis son lancement en 1983, la Camry a été renouvelée soit aux cinq ans, soit aux six ans. Toyota n’a jamais dérogé de ce plan. On peut déjà donc imaginer une prochaine génération en 2030 ou en 2031. La grande question sera de savoir si l’on poussera alors l’électrification plus loin, avec une approche hybride rechargeable, ou avec une solution tout électrique.

9 — La préférée des Américains

La voiture a beau avoir perdu de sa popularité, la Camry demeure bien implantée sur le marché américain. En 2023, elle a été une fois de plus la voiture la plus vendue, alors que Toyota a écoulé 290 649 unités. Depuis 2020, on a connu trois années sous la barre des 300 000 ventes, les seules depuis 2005. Au cours des 20 dernières années, la meilleure campagne de la Camry a été 2007 avec 472 808 exemplaires vendus. Elle n’est donc pas près de disparaître.

10 — Et la conduite ?

En terminant, quelques mots sur l’expérience au volant. La première chose qui frappe avec cette nouvelle génération, c’est le fait que la conduite soit plus solide que jamais. Le châssis nous transmet bien les imperfections de la route et la direction est bien dosée. On peut conduire cette Camry avec une certaine énergie, sans que cela provoque le mal de mer. Il y a 20 ans, la Camry n’avait aucune prétention sportive ; AUCUNE. Les choses ont bien changé.

Ce qui est certain, c’est que tous ceux qui comptent s’acheter une Toyota Camry 2025 ne seront pas déçus de ce qu’elle va leur offrir.

C’est peut-être la meilleure garantie qu’un véhicule peut donner à ses futurs propriétaires.

Un achat que l’on recommande les yeux fermés.

Le texte 10 choses à savoir sur la Toyota Camry 2025 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Lorsqu’on se pointe dans un rassemblement de véhicules anciens, on espère voir de beaux bolides, c’est évident, mais on souhaite toujours aussi faire de belles découvertes. Au début du mois d’avril, alors que je me trouvais en Californie, j’en ai profité pour me rendre à ma rencontre d’anciennes préférées, celle qui se déroule tous les samedis à San Clemente.

Là-bas, on ne sait jamais ce qu’on va voir, mais on sait qu’on va faire de belles découvertes. J’en ai fait quelques-unes et vous allez avoir l’occasion de les découvrir au cours des prochaines semaines.

Je commence ma tournée avec un modèle que je connais bien, mais que je n’avais jamais vu en « chair et en tôle », soit un authentique Nissan Patrol.

Le Patrol, c’est l’ancêtre des véhicules utilitaires chez Nissan. Il a été proposé une première fois en 1951, et il est toujours commercialisé. Oui, même chez nous, alors qu’on le connaît sous le nom d’Armada.

Faisons un peu le tour de son histoire, avant que je vous parle du modèle croisé à San Clemente.

Le présent article est présenté en collaboration avec Fitzback Garage, spécialisé dans la restauration d’origine de voitures anciennes. Fitzback Garage est situé à Sainte-Madeleine, en Montérégie.

1951

Le Patrol est apparu à une époque où l’on a commencé à voir certaines compagnies jouer avec l’idée d’un véhicule tout terrain. Land Rover, Willys Overland et Toyota, notamment, ont lancé des modèles à cette époque, des modèles qui sont devenus légendaires. Qu’on pense au Land Rover Range Rover, au Jeep Wrangler et au Toyota Land Cruiser aujourd’hui.

Fait amusant, il a été le premier véhicule à gravir le célèbre mont Fuji, au Japon.

1960

La deuxième génération a été introduite pour 1960. Elle était plus moderne et conviviale, mais lorsqu’on la découvre aujourd’hui, on la trouve très rudimentaire. Elle a néanmoins permis au véhicule de s’implanter sur d’autres marchés.

Cette cuvée a été proposée sous la même forme jusqu’en 1980.

1980

Après 20 ans, les consommateurs ont découvert un utilitaire beaucoup plus moderne en 1980. En fait, on séduisait maintenant les familles avec un véhicule beaucoup plus confortable qui pouvait même offrir la climatisation. Le Patrol est aussi devenu à ce moment le premier véhicule Nissan à être fabriqué en Europe. On se souviendra qu’à cette époque, on connaissait les produits de cette compagnie sous le nom Datsun chez nous. Ça allait changer en 1983.

1987, 1997 et 2010

Les modèles de quatrième et de cinquième génération ont été respectivement introduits en 1987 et en 1997. Modernité et fiabilité se sont invitées dans l’équation alors que la réputation du modèle n’a fait que croître sur les marchés où il était vendu. En 2010, Nissan introduisait la sixième cuvée, qui est toujours celle qui nous est proposée ici, incroyablement. L’Armada est un produit vieillissant, c’est le moins que l’on puisse dire, mais il s’apprête à changer de poil. Infiniti vient de présenter son nouveau QX80, qui est une version de luxe du Nissan Armada/Patrol.

Notre Nissan Patrol 1965

Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j’ai aperçu ce Nissan Patrol 1965, en parfaite condition, en arpentant les allées du rassemblement de San Clemente ?

Et quand je dis en parfaite condition, ce n’est pas à la légère. Le modèle a subi une restauration complète, après avoir été dégoté par son propriétaire, Paul Wilcox, qui trouvait son état suffisamment sain pour se lancer dans ce projet fou.

Et pourquoi un Nissan Patrol ? Pourquoi pas ? À juste titre, Paul Wilcox me mentionnait qu’il y avait beaucoup de vieux Toyota Land Cruiser ou Ford Bronco du genre sur la route. Un Nissan Patrol, c’est unique et ça attire les foules.

D’ailleurs, lorsque je me suis approché du véhicule, son propriétaire discutait avec un curieux. Après avoir échangé avec moi, une autre personne est venue lui faire la jasette, assurément intéressée de découvrir ce modèle qui demeure inconnu de la majorité.

Sachez qu’il était à vendre, et qu’il l’est toujours. Paul Wilcox souhaite en avoir 27 000 $ US. Il s’est récemment informé pour une vente sur le site Bring a Trailer, mais les responsables n’ont pas voulu lui offrir mieux qu’un prix de réserve (une garantie) de 15 000 $ US.

Ça représente un risque, car on imagine qu’il a mis plus que cela dans la remise à neuf de ce véhicule.

On ne peut que lui souhaiter une vente qui respecte ses conditions. La pièce est unique et est appelée à prendre de la valeur, en raison de sa rareté. Et, je le répète, sa condition est exceptionnelle. Un simple regard à la cage moteur suffit pour comprendre tout le travail qui a été fait pour redonner vie à cette pièce.

Des intéressés parmi vous ?

Le texte Nissan Patrol 1965 : une rencontre inattendue provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le Grand Highlander conservera des groupes motopropulseurs à essence et Toyota prévoit également ajouter plusieurs nouveaux véhicules hybrides rechargeables (PHEV) avec une meilleure autonomie.

Encore deux ans de statu quo

Le géant japonais ne propose actuellement que deux VVÉE- la Toyota bZ4X et la Lexus RZ. Cela devrait rester ainsi pour encore deux ans. Mais, au-delà de cela, le site CarBuzz a appris que la marque se prépare à lancer une gamme de modèles entièrement électriques. Le prochain modèle, prévu pour arriver dans les salles d’exposition en 2026, sera un VUS compact entièrement électrique. Toyota prévoit également de programmer le lancement d’une berline compacte vers la même période. Et un multisegment de taille similaire pour la marque Lexus devrait arriver plus tard dans l’année ou au début de 2027. Les planificateurs de Toyota débattent de l’opportunité d’abandonner la stratégie de désignation peu inspirante de bZ et pourraient opter pour un retour à des noms plus conventionnels – et, dans certains cas, familiers.

Un Highlander électrique

Ce futur modèle tout électrique sera fabriqué dans l’usine du Kentucky, le premier site d’assemblage de véhicules électriques de Toyota aux États-Unis. Ce modèle donnera également naissance à une variante Lexus, attendue sous le nom de TZ. Pour ne pas laisser les amateurs de moteurs à combustion interne de côté, le Grand Highlander plus grand à trois rangées continuera d’utiliser des technologies de groupe motopropulseur plus conventionnelles, Toyota proposant probablement des options hybrides classiques et hybrides rechargeables.

Beaucoup d’hybrides dans le carnet de commandes

Toyota possède déjà 19 produits avec hybridation sur le marché et compte continuer sur cette lancée. Toyota dit vouloir augmenter l’autonomie de ses hybrides rechargeables. Les futures règles d’émissions encouragent l’utilisation de cette technologie. Toyota qui a été un peu lent à prendre le virage électrique semble avoir trouver sa voie et son rythme de croisière avec un heureux mélange de modèles hybrides plus performants au chapitre de l’autonomie et des modèles électriques de plaire plus que le bZ4X.

Reste maintenant à voir à quel prix ?

Avec des renseignements de Carbuzz

Le texte Le prochain Toyota Highlander sera électrique provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Lotus a dévoilé les prix de son tout premier VUS électrique, l’Eletre, alors qu’elle se prépare à lancer le véhicule sur le marché canadien à la fin de l’année.

Deux versions

Lotus propose deux variantes – l’Eletre de base au prix de 126 800 $ et le modèle plus puissant Eletre R à 178 500 $. L’Eletre d’entrée de gamme produit 603 chevaux et peut accélérer de 0 à 100 km/h en 4,5 secondes, avec une vitesse de pointe de 258 km/h. Le modèle Eletre R haut de gamme délivre une puissance impressionnante de 905 chevaux et 985 Nm de couple, atteignant 100 km/h à partir de l’arrêt en seulement 2,95 secondes sur son chemin vers une vitesse de pointe de 265 km/h.

Sous la coque

Les deux modèles utilisent un ensemble de batteries lithium-ion de 111,9 kWh. Selon le cycle combiné WLTP, l’Eletre de base peut atteindre jusqu’à 569 km d’autonomie, tandis que l’Eletre R est évalué entre 410 et 450 km. En utilisant un chargeur rapide DC de 350 kW, les batteries peuvent être rechargées de 10 à 80% en seulement 20 minutes. Chez nous les chiffres vont tourner autour de 500 km pour le modèle de base et 350 pour le R.

Belle prestance

L’Eletre présente une aérodynamique avancée et jusqu’à six modes de conduite, dont un mode piste. Il repose sur une suspension pneumatique avec des barres anti-roulis actives et un contrôle continu de l’amortissement. Des freins en acier de 412 mm sont standard sur les deux modèles, avec l’option d’un ensemble céramique carbone de 420 mm pour le modèle R serré par des étriers à 10 pistons.

Spacieux

Mesurant 5,1 mètres de long, l’Eletre offre un habitacle spacieux pour cinq adultes avec jusqu’à 1 532 litres d’espace de chargement arrière. L’intérieur utilise des matériaux durables comme la fibre Econyl artificielle. L’habitacle est moderne avec les dernières fonctionnalités de connectivité telles que le système d’infodivertissement HyperOS alimenté par des puces NVIDIA. Il intègre également une configuration audio premium KEF et des sièges configurables pour jusqu’à cinq occupants.

Vous pouvez le commander maintenant

Avec les commandes désormais ouvertes, l’Eletre marque l’entrée de Lotus dans le lucratif segment des VUS électriques haute performance pour rivaliser avec les modèles de Porsche, Tesla et d’autres. Les premières livraisons aux clients canadiens sont prévues pour plus tard cette année.

Avec des renseignements de Motor Illustrated

Le texte Il faudra débourser au minimum 126 800 $ pour un Lotus Eletre provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Les prix du VUS électrique Lotus Eletre ont été dévoilés, alors que Lotus amorce un virage et se prépare à lancer son premier véhicule de ce genre sur le marché canadien à la fin de l’année.

Deux versions

Lotus propose deux variantes – l’Eletre de base au prix de 126 800 $ et le modèle plus puissant Eletre R à 178 500 $. L’Eletre d’entrée de gamme produit 603 chevaux et peut accélérer de 0 à 100 km/h en 4,5 secondes, avec une vitesse de pointe de 258 km/h. Le modèle Eletre R haut de gamme délivre une puissance impressionnante de 905 chevaux et 985 Nm de couple, atteignant 100 km/h à partir de l’arrêt en seulement 2,95 secondes sur son chemin vers une vitesse de pointe de 265 km/h.

Sous la coque

Les deux modèles utilisent un ensemble de batteries lithium-ion de 111,9 kWh. Selon le cycle combiné WLTP, l’Eletre de base peut atteindre jusqu’à 569 km d’autonomie, tandis que l’Eletre R est évalué entre 410 et 450 km. En utilisant un chargeur rapide DC de 350 kW, les batteries peuvent être rechargées de 10 à 80% en seulement 20 minutes. Chez nous les chiffres vont tourner autour de 500 km pour le modèle de base et 350 pour le R.

Belle prestance

L’Eletre présente une aérodynamique avancée et jusqu’à six modes de conduite, dont un mode piste. Il repose sur une suspension pneumatique avec des barres anti-roulis actives et un contrôle continu de l’amortissement. Des freins en acier de 412 mm sont standard sur les deux modèles, avec l’option d’un ensemble céramique carbone de 420 mm pour le modèle R serré par des étriers à 10 pistons.

Spacieux

Mesurant 5,1 mètres de long, l’Eletre offre un habitacle spacieux pour cinq adultes avec jusqu’à 1 532 litres d’espace de chargement arrière. L’intérieur utilise des matériaux durables comme la fibre Econyl artificielle. L’habitacle est moderne avec les dernières fonctionnalités de connectivité telles que le système d’infodivertissement HyperOS alimenté par des puces NVIDIA. Il intègre également une configuration audio premium KEF et des sièges configurables pour jusqu’à cinq occupants.

Vous pouvez le commander maintenant

Avec les commandes désormais ouvertes, l’Eletre marque l’entrée de Lotus dans le lucratif segment des VUS électriques haute performance pour rivaliser avec les modèles de Porsche, Tesla et d’autres. Les premières livraisons aux clients canadiens sont prévues pour plus tard cette année.

Avec des renseignements de Motor Illustrated

Le texte Un minimum de 126 800 $ pour le Lotus Eletre provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La NHTSA a reçu 1 294 plaintes alléguant une activation involontaire entraînant une « décélération soudaine du véhicule ». Cinquante blessures ont été signalées, selon l’organisme.

Une enquête intensifiée

Les régulateurs de sécurité américains ont intensifié une enquête sur près de 3 millions de véhicules de Honda Motor Co. pour évaluer davantage la fréquence et les problèmes de sécurité liés à l’activation inattendue des systèmes de freinage d’urgence.

Une première enquête il y a deux ans

Le Bureau des enquêtes sur les défauts de la NHTSA a ouvert une première évaluation préliminaire sur Honda en février 2022 pour examiner les voitures de taille moyenne Honda Accord de 2018-19 et les VUS compacts Honda CR-V de 2017-19.

Les plaintes continuaient

La NHTSA a mis à jour l’enquête pour une analyse technique le lundi et élargi le champ d’investigation pour inclure les véhicules Honda CR-V et Accord de 2020-2022. Au total, près de 3 millions de véhicules sont désormais inclus dans l’enquête, contre 1,7 million dans l’enquête initiale.

Étape préliminaire avant un rappel

La plupart des enquêtes de la NHTSA commencent par des évaluations préliminaires au cours desquelles les ingénieurs de l’agence demandent des informations au fabricant, y compris des données sur les plaintes, les blessures et les réclamations en garantie. Le fabricant peut également présenter son point de vue sur le défaut présumé et peut émettre un rappel.

Un rappel pourrait suivre

Après l’évaluation, la NHTSA clos l’enquête ou passe à la phase suivante, généralement une analyse technique. Si un défaut lié à la sécurité existe, selon la NHTSA, l’agence pourrait envoyer une lettre de “demande de rappel” au fabricant.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Trois millions de véhicules Honda sous enquête provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Ford rappelle plus de 456 000 véhicules Bronco Sport et Maverick en raison d’un problème de calibration de la batterie susceptible de causer une perte de puissance de conduite.

  • La NHTSA indique qu’une perte de batterie inattendue pourrait passer inaperçue dans ces véhicules, ce qui pourrait empêcher le redémarrage de la voiture ou la faire caler lors de l’arrêt à basse vitesse.
  • Le rappel concerne les Bronco Sports de 2021-24 et les Mavericks Ford de 2022-23.
  • Selon l’Administration nationale de la sécurité routière, une perte de batterie inattendue pourrait passer inaperçue dans ces véhicules, ce qui pourrait empêcher le redémarrage de la voiture ou la faire caler lors de l’arrêt à basse vitesse.
  • Pour résoudre le problème, les concessionnaires recalibreront le module de commande de carrosserie et le module de commande de puissance.
  • Un porte-parole de Ford a déclaré que la société n’avait connaissance d’aucune blessure ou accident au 8 février.
  • Les lettres de notification aux propriétaires devraient être envoyées à partir du 13 mai.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Titre: Ford rappelle 456 565 Bronco Sports et Maverick provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

La Colombie-Britannique, a interdit toutes les voitures équipées de la technologie de conduite autonome de niveau 3 et supérieur. Le gouvernement provincial a déclaré dans un communiqué que l’interdiction protégerait les usagers vulnérables de la route, tels que les piétons et les cyclistes. La province estime que la technologie de conduite autonome nécessite plus de tests avant d’être sûre pour un usage public.

Encore en expérimentation

La technologie de conduite autonome a récemment fait l’objet de vives critiques, de nombreux accidents soulevant des préoccupations en matière de sécurité. Aux États-Unis, Cruise, soutenu par GM, a perdu son permis d’exploitation de véhicules autonomes en raison de plusieurs incidents graves, notamment une collision avec un véhicule d’intervention d’urgence. De nombreux experts et acteurs de l’industrie estiment que nous avons besoin de plus de temps pour nous préparer à la technologie de conduite autonome. Cependant, la Colombie-Britannique va plus loin en interdisant non seulement la conduite de niveau 3, mais également tout véhicule équipé de cette technologie sur ses routes. Il convient de noter qu’actuellement, aucune voiture disponible au Canada n’est capable de conduite de niveau 3.

De lourdes sanctions attendent les contrevenants

Selon la loi, conduire un véhicule avec des fonctionnalités autonomes de niveau 3, 4 ou 5 est désormais une infraction, sauf si la réglementation le permet. Ceux qui enfreignent les règles seront passibles d’une peine minimale de 368 $ et de 3 points de pénalité, jusqu’à une amende maximale de 2 000 $ et six mois de prison. La conduite autonome de niveau 1 et niveau 2, y compris les fonctionnalités de sécurité telles que l’assistance au changement de voie, est toujours autorisée sur les routes de la Colombie-Britannique.

Bien sûr, cette interdiction n’est pas destinée à être permanente, et le gouvernement provincial a déclaré que plus de tests sont nécessaires avant que la technologie de conduite autonome puisse être utilisée sur les routes publiques. “Les véhicules hautement automatisés restent une nouvelle technologie de transport émergente. Des tests supplémentaires et l’élaboration de politiques sont nécessaires avant que les véhicules automatisés de niveau 3 ou supérieur ne soient considérés comme sûrs et puissent commencer à être autorisés pour un usage public sur les routes de la Colombie-Britannique”, lit-on dans le communiqué officiel.

Les responsables américains sont également préoccupés par les normes de sécurité des véhicules autonomes

Bien que beaucoup puissent considérer cette loi comme un obstacle au développement, la province canadienne souhaite protéger tous les usagers de la route. Comme nous l’avons vu à de nombreuses reprises, les conducteurs deviennent bien trop à l’aise avec les aides à la conduite semi-autonomes. Récemment, le NTSB a découvert qu’un accident mortel survenu en février s’est produit alors qu’une assistance à la conduite sans les mains était utilisée. Cela montre que la technologie n’est pas prête pour un usage généralisé et que les humains n’utilisent pas ces systèmes comme prévu.

Plus tôt cette année, la ville de San Francisco a poursuivi les régulateurs californiens pour avoir autorisé Waymo à exploiter des robotaxis dans la ville. Les responsables de San Francisco ont déclaré à l’époque qu’ils voulaient que la Commission des services publics de Californie suspende les essais de conduite autonome jusqu’à ce que les réglementations en matière de sécurité puissent être réévaluées.

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San Diego, Californie — Toyota procédait la semaine dernière à un programme chargé du côté de la Californie, alors qu’on nous proposait d’essayer quatre modèles nouveaux ou revus, en plus d’assister au dévoilement de la nouvelle génération du 4Runner, attendue pour 2025.

Les quatre modèles essayés ont été la familiale Crown Signia, la berline Camry, la camionnette Tacoma en configuration hybride, ainsi que le nouveau VUS Land Cruiser.

Nous allons amorcer notre tournée avec ce dernier, et avec une formule que vous connaissez bien, soit 10 choses à savoir à propos du modèle examiné.

1 — Un grand retour

En 2021, Toyota retirait du marché américain le Land Cruiser, qui était proposé chez nous sous la forme du Lexus LX. Cette année marque donc le retour d’un modèle encore frais dans la mémoire des acheteurs américains, mais l’histoire est différente chez nous ; le dernier Land Cruiser qui a été vendu au Canada l’a été en 1989. La réaction risque donc d’être différente des deux côtés de la frontière. Chez nous, l’utilitaire devra en plus se tailler une place au sein d’une gamme qui va proposer un nouveau 4Runner très bientôt. Bien que les deux visent des clientèles distinctes, le style accrocheur de ce dernier pourrait nuire au Land Cruiser. On demeure en terrain inconnu, cependant, et il faudra prendre le temps d’analyser les ventes avant de porter un jugement.

2 — Le design

Lorsqu’on nous a annoncé le retour du Land Cruiser, ce qu’on nous a montré, c’est la variante First Edition, avec la présentation bicolore, les rails de protection, la galerie de toit, des jantes singulières et les phares ronds. Bref, un modèle au style porteur de caractère. Avec les autres variantes, l’effet est moins spectaculaire. Lorsque le modèle est dénudé, c’est plus morne. Et ce qui n’aide pas le Land Cruiser, c’est le style magnifique et beaucoup plus musclé du nouveau 4Runner 2025.

3 — Hybride

Le constructeur champion de l’approche hybride à travers l’industrie, c’est Toyota. Son offre hybride ne fait que se multiplier et ce nouveau Land Cruiser vient y contribuer, car il est seulement offert de façon électrifiée. Sous le capot, on retrouve un 4-cylindres turbo de 2,4 litres, un moteur que Toyota a baptisé i-Force Max. On le retrouve un peu partout maintenant à travers sa gamme. Sa puissance est chiffrée à 326 chevaux et 465 livres-pieds de couple, ce qui est amplement pour déplacer ce modèle. Ce dernier pèse tout de même plus de 5000 livres, c’est à souligner. Une boîte automatique à huit rapports fait équipe avec la mécanique.

4 — Structure et compétences hors route

Le Land Cruiser 2024 repose sur la plateforme TNGA-F (Toyota New Global Architecture), celle qui reçoit les camionnettes de la marque, ainsi que les VUS Sequoia et 4Runner (2025). On parle d’une structure en échelle, le genre qui offre plus de robustesse et qui autorise aussi une conduite hors route plus probante. Le modèle propose aussi un système 4×4 permanent et avec certaines versions, on a droit à une barre stabilisatrice avant qui peut être déconnectée pour une plus grande articulation des roues, afin d’assurer un meilleur contact avec le sol. On profite aussi d’un différentiel arrière qui peut être verrouillé, tout comme d’un différentiel central qui peut l’être également. Et à partir de la variante Land Cruiser, on a accès au système de gestion Multi-Terrain, et d’un moniteur qui nous permet de tout voir à l’avant lorsqu’on circule hors route et qu’on n’y voit rien derrière le volant. Bref, si vous souhaitez vous amuser hors des sentiers battus avec un Land Cruiser, vous allez avoir tous les outils en main pour le faire.

5 — Les versions

Toyota va proposer quatre versions de son Land Cruiser 2024 ; 1958, Land Cruiser, Land Cruiser avec groupe Premium, ainsi qu’une édition spéciale simplement nommée « First Edition ».

Quelques éléments sont à retenir.

D’abord, le chiffre 1958 n’a pas été choisi au hasard. C’est l’année où le modèle est débarqué une première fois en Amérique du Nord. Au Canada, ses débuts remontent à 1964.

Le nom de la deuxième version (Land Cruiser) peut sembler simplet. Ça donne une idée de son attrait du côté américain.

Enfin, pour ce qui est de la variante First Edition, seulement 290 modèles seront proposés au Canada. En tout, 5000 sont réservés à l’Amérique du Nord.

6 — Les prix

Le Land Cruiser 2024 ne sera pas donné. Le bal commence à 69 290 $ pour la variante 1958. Le saut à la version suivante est raide à 77 290 $. En ajoutant l’ensemble Premium, la facture grimpe à 83 290 $. Enfin, pour un Land Cruiser First Edition, la note est de 90 370 $.

On va en voir sur les routes, mais pas en quantité industrielle.

7 — L’équipement

Bien sûr, l’équipement varie d’une proposition à une autre et plus l’on grimpe dans la hiérarchie. Certaines choses sont à souligner. Avec un modèle 1958, on profite d’emblée d’un système de climatisation à deux zones, du volant chauffant et des sièges avant chauffants, ainsi que de la connexion sans fil aux applications Apple CarPlay et Android Auto. Les écrans à bord sont plus petits, soit huit pouces pour le système multimédia, sept pouces pour le bloc d’instruments. La chaîne audio ne compte que six haut-parleurs.

À ce prix, c’est un peu mince. Voilà pourquoi la meilleure affaire est probablement avec la variante Land Cruiser qui ajoute plusieurs commodités intéressantes (écrans de 12,3 pouces, rétroviseurs chauffants, chaîne à 10 haut-parleurs et recharge sans fil, entre autres), mais surtout, le système de gestion de terrain et la barre stabilisatrice qui peut être déconnectée.

Le groupe Premium ajoute une chaîne audio JBL à 14 haut-parleurs, des roues de 20 pouces, l’affichage tête-haute, un compartiment réfrigéré à la console centrale, ainsi que la sellerie de cuir.

Et avec la variante First Edition, vous avez entre autres droit à une galerie de toit, à des rails de protection sur les flancs et à des roues de 18 pouces au design unique.

8— Les phares ronds

Un des éléments de design qui a immédiatement accroché avec ce Land Cruiser, ce sont ces phares ronds qui rappellent les premiers modèles. Ils sont de série avec la variante 1958, ainsi que la First Edition. Autrement, vous avez droit à des unités rectangulaires. Cependant, sachez que vous pouvez effectuer la conversion par la suite, car le branchement demeure le même derrière.

9 — Les couleurs

Toyota propose plusieurs coloris pour son Land Cruiser, dont plusieurs teintes situées entre le noir et le blanc, comme partout ailleurs. Les goûts sont personnels et nous n’avons pas tendance à nous étendre là-dessus. Toutefois, une impression bien forte s’est dégagée à la vue des modèles lors du lancement ; les couleurs vives ajoutent à la présentation, font que le Land Cruiser se démarque. Avec les couleurs neutres, c’est l’effet inverse que l’on obtient.

10 — L’expérience au volant

En conduite hors route, il n’y a aucune surprise, le Land Cruiser n’a pas de difficulté à franchir des obstacles comme de gros rochers, de petits cours d’eau et des pentes escarpées. On nous a bien sûr fait essayer le modèle à l’intérieur d’un environnement contrôlé, mais il a quand même été facile de voir que ce VUS a toutes les compétences requises pour sortir des sentiers battus.

Sur la route, il offre plus de confort qu’un Jeep Wrangler ou un Ford Bronco, mais son comportement n’est pas aussi raffiné que celui d’un Land Rover.

Notre essai a été de courte durée, c’est à noter. Nous aurons l’occasion de revenir avec plus de détails sur l’expérience de conduite, mais il n’y a pas de mauvaises surprises ici, disons cela comme ça.

Conclusion

Au Canada, il sera très intéressant de voir la réaction des acheteurs vis-à-vis ce produit. Les amateurs de conduite hors route sont habitués à opter pour un 4Runner, et l’on va leur en offrir un tout neuf d’ici quelques mois. La facture est aussi salée, bien que les aubaines soient devenues rares partout à travers l’industrie.m En somme, un produit intéressant, mais qui devra faire ses preuves et se trouver des acheteurs.

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