Mini rappelle plus de 97 000 voitures pour remédier à un risque potentiel d’incendie. Le rappel concerne la Mini Clubman 2008-2014 (y compris les modèles Cooper, Cooper S et John Cooper Works) et la Mini Hardtop 2 portes 2007-2013 (également les variantes Cooper, Cooper S et John Cooper Works). Sur ces deux modèles, un module de commande situé sous le montant A côté conducteur est susceptible de subir une intrusion d’eau dans certaines circonstances. Si les composants électroniques à l’intérieur sont exposés à l’eau, un court-circuit peut se produire, ce qui, selon Mini, peut entraîner un incendie.

La corrosion par le sel est responsable du problème

Les modèles vendus dans des climats où l’utilisation de sel de déneigement est fréquente sont les plus à risques. Dans cet environnement, le sel de déneigement qui pénètre dans l’habitacle par des moyens normaux (lire : vos bottes) peut accélérer la corrosion si de l’eau pénètre dans l’habitacle. Comment cela peut-il se produire ? Selon Mini, l’un des coupables les plus courants est le drain du toit ouvrant. Comme le sel est couramment utilisé chez nous, le risque est potentiellement plus grand. Un correctif est actuellement en cours d’élaboration. Mini commencera à envoyer des avis de rappel à ses clients au début du mois de juillet.

Avec des renseignements d’Autoblog

Le texte Un rappel de près de 100 000 MINI pour risque d’incendie provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

À partir du printemps prochain, les propriétaires de VÉ Ford auront accès à environ 12 000 Superchargeurs Tesla via des adaptateurs, dans le cadre du premier partenariat direct de ce type entre deux constructeurs concurrents de véhicules électriques. À partir de 2025, Ford Motor Co. cessera de construire ses VÉS avec des ports CCS (Combined Charging System) traditionnels et les remplacera par le port de charge NACS (North American Charging Standard) préféré de Tesla, ce qui éliminera le besoin d’un adaptateur spécial.

Une bonne nouvelle pour les propriétaires

Farley et le PDG de Tesla, Elon Musk, ont fait l’annonce jeudi soir sur Twitter. Tesla exploite environ 17 000 superchargeurs aux États-Unis, et Ford aura donc accès à la majorité d’entre eux. Au début de l’année, Tesla a ouvert son réseau Supercharger aux constructeurs automobiles extérieurs, bien qu’il ne se soit engagé qu’à ouvrir 3 500 bornes de recharge actuelles et futures aux autres marques. À ce jour, le constructeur automobile n’a ouvert qu’une poignée de stations aux véhicules autres que Tesla. Musk a déclaré que le prix des adaptateurs pour les VÉS Ford à partir du printemps prochain ne serait pas “prohibitif” et se situerait probablement dans la fourchette des “centaines de dollars”.

Comment va-t-on procéder ?

Ce qui n’est pas encore clair, c’est la manière dont le réseau actuel de Ford, qui compte environ 84 000 chargeurs, dont 10 000 chargeurs rapides, interagira avec les VÉS Ford équipés du port de charge NACS à partir de 2025. Un porte-parole a déclaré qu’il était prévu que les stations de recharge tierces proposent des prises qui se connecteraient aux ports NACS, bien que l’on ne sache pas exactement qui paierait pour cela. Les concessionnaires Ford, dans le cadre d’une série de normes visant à vendre les futurs véhicules électriques, sont tenus de construire un certain nombre de stations de recharge. Un porte-parole a déclaré que l’annonce de jeudi ne modifiait pas ces exigences. On ne sait pas encore si le concessionnaire devra fournir l’adaptateur ou si le client devra apporter le sien.

On ne sait pas pour le moment si cette entente sera aussi valable pour le Canada.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Ford va avoir accès aux 12 000 bornes de recharge Tesla provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Pour ceux qui en ont assez d’entendre les plus récentes tendances de modèles électriques, voici un vraie sportive avec un moteur à essence qui va produire pas moins de 671 chevaux. Nous avions eu droit en janvier à une premier coup d’œil au modèle qui allait succéder à la DB11. À l’époque, le véhicule portait déjà sa carrosserie et ses feux de série. Aujourd’hui, elle porte un nom et se nomme DB12.

Une Super Tourer

Ceux qui apprécient les modèles GT vont apprécier ce coupé qu’Aston décrit comme le premier super tourer au monde et “le modèle DB le plus complet et le plus abouti” de l’histoire de l’entreprise. Mais pour répondre immédiatement à votre plus grande question, non, il n’est pas encore question d’un V12. Cependant, le nouveau V8 biturbo de 4,0 litres optimisé provenant de Mercedes-AMG délivre désormais beaucoup plus de puissance qu’auparavant, ce qui rend la DB12 encore plus puissante que la DB11 V12. Dans cette nouvelle application, le huit cylindres produit 671 chevaux à 6 000 tr/min et 590 livres-pieds de couple entre 2 750 et 6 000 tr/min. Cela représente une augmentation de plus de 30 % par rapport à son prédécesseur à moteur V8 et 41 ch de plus que la DB11 AMR avec son V12 de 5,2 litres amélioré. Le nouveau coupé affiche une vitesse de 0 à 100 km/h en seulement 3,7 secondes et une vitesse de pointe de 325 km/h

Une mécanique retravaillée

Aston Martin affirme avoir apporté plusieurs modifications importantes au moteur V8 afin de le rendre plus performant qu’auparavant. Il s’agit notamment de profils de cames modifiés, de taux de compression optimisés, de turbocompresseurs de plus grand diamètre et un système de refroidissement entièrement repensé avec deux refroidisseurs auxiliaires supplémentaires en plus du radiateur principal existant. La DB12 est également le premier modèle DB à être équipé d’un différentiel arrière électronique, qui peut passer d’un blocage complet à une ouverture complète en quelques millisecondes. Ce moteur V8 est associé à une boîte de vitesses automatique à huit rapports. Toute cette puissance nécessite une suspension capable de supporter les forces accrues, c’est pourquoi Aston Martin a introduit sa nouvelle génération d’amortisseurs adaptatifs et des barres antiroulis plus rigides. Il existe trois modes de conduite – GT, Sport et Sport+, avec une réactivité et une rigidité croissantes. Dans le mode le plus conservateur, le constructeur affirme que la qualité de conduite est confortable et offre “une conduite sublime et agile”.

Un style racé

Sur le plan du design, la DB12 présente un style familier mais entièrement revu. Le bouclier avant est dominé par une calandre géante flanquée de nouveaux phares à DEL. Au-dessus de la calandre se trouve la dernière itération de l’emblème d’Aston Martin, tandis qu’en dessous de la calandre se trouve un splitter entièrement remodelé. La voiture repose sur des roues de 21 pouces de série qui cachent des disques en fonte de 400 millimètres à l’avant et de 360 millimètres à l’arrière. Les rétroviseurs latéraux sans cadre et les poignées de porte affleurantes contribuent à un design plus élégant et à un coefficient de traînée plus faible.

Un habitacle moderne

L’un des points forts de l’habitacle – outre l’imposante console centrale centrée sur le conducteur et le cuir Alcantara le plus raffiné – est le tout nouveau système d’infodivertissement, entièrement conçu et développé par Aston Martin. Il prend en charge Apple CarPlay et Android Auto sans fil, un nouveau système de navigation avec connectivité en ligne et cartographie en 3D, une application pour appareil mobile et des mises à jour en direct.

https://www.youtube.com/watch?v=nKe98FGACoU&t=1s

Le texte Voici la nouvelle DB12 d’Aston-Martin provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Si vous êtes sensibles à la tradition, on vous suggère de ne pas regarder de trop près les nouveautés apportées sur la nouvelle génération de la berline de Série 5 de BMW, car elles ne sont pas aussi subtiles que l’auraient probablement souhaité les amateurs de cette belle grande berline allemande.

Deux approches et un style commun

Ceux qui ont hâte d’acheter une BMW tout électrique sont pour leur part gâtés : la i5 est une Série 5 tout électrique dont le prix de détail n’est pas très loin de celui de la version à moteur à essence. Les prix sont de 59 000 et 61 000 $ US pour les modèles à essence vendus aux États-Unis et de 68 000 et 85 000 $ pour les versions tout électriques.

Quatre ou six cylindres ou pas

Sous le capot, on a droit à un 4 cylindres turbo de 2 litres de base, qui fait 255 chevaux, et qui peut être remplacé par un 6 cylindres en ligne de 3 litres turbo lui aussi et qui fait 375 chevaux. Les deux sont jumelés à une boîte automatique à 8 rapports. La i5 eDrive40 est animée par un moteur unique d’une puissance équivalant à 355 chevaux. Une version appelée M60 xDrive a deux moteurs, quatre roues motrices et 590 chevaux. L’autonomie varie selon le modèle entre 411 et 495 kilomètres par charge, selon ce qu’avance BMW. Semble-t-il qu’on peut revenir à 80 % de charge en 30 minutes ou moins via une borne de recharge haute vitesse. Notez aussi qu’une M5 sera commercialisée éventuellement et que celle-là devrait combiner les deux technologies : un moteur à essence, dans ce cas-ci, un V8, et un groupe électrique rechargeable. Vu la réputation de la M5, on s’attend à un monstre, rien de moins.

La techno en avant plan

Côté techno, BMW ne déçoit pas non plus, puisque la Série 5 aura droit à un écran sur lequel on pourra jouer à des jeux vidéo. La conduite autonome pourra changer de voie toute seule sur l’autoroute, et la voiture pourra se garer toute seule en parallèle ou de façon perpendiculaire. La voiture pourra aussi enregistrer la disposition d’un stationnement intérieur sur une distance de 50 mètres et aller se stationner toute seule par la suite. Bref, la totale pour cette berline allemande qui, on le comprend mieux aujourd’hui, ne disparaîtra pas en raison du virage électrique de BMW. C’est une bonne nouvelle, car c’est une des berlines les plus iconiques du marché automobile mondial.

Le texte BMW dévoile la Série 5 2024… et la berline i5 tout électrique qui vient avec provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le principal organisme de surveillance américain de l’industrie automobile s’inquiète de la santé des piétons. Le problème est que pendant que la sécurité routière s’améliore, les accidents de voiture blessent de plus en plus de piétons et de cyclistes. La NHTSA a donc décidé qu’elle testera dorénavant le niveau de protection et de sécurité des piétons dans les collisions automobiles.

La NHTSA («National Highway Transportation Security Agency») veut aussi mieux déterminer si les systèmes avancés d’aide à la conduite peuvent être mis à contribution pour réellement mieux protéger les utilisateurs de la voie publique qui ne sont pas des automobilistes.

L’organisme fédéral américain va d’abord tenir des consultations publiques pour l’aider à déterminer quels types de tests de collision devraient être mis en place pour calculer le niveau de protection envers les piétons offrent les véhicules neufs. Le gouvernement américain félicite les constructeurs qui ont beaucoup amélioré la sécurité des occupants de leurs véhicules.

Ce qu’il souhaite, maintenant, c’est que les nouveaux véhicules fassent au moins aussi attention aux gens qui se trouvent à l’extérieur du véhicule. C’est en ce moment le principal enjeu de sécurité routière partout en Amérique du Nord.

Aux États-Unis, le nombre de piétons morts suite après avoir été frappé par une automobile a bondi de plus de 13% depuis 2020 et est revenu à un sommet qui remonte à 1975. Le nombre de décès de piétons causés par un véhicule a bondi de 80% depuis 2009.

À terme, donc, la NHTSA a deux objectifs. Le premier est assez simple : créer un système simple de cote de sécurité pour les piétons que les acheteurs pourront d’un seul coup d’œil au moment de magasiner pour un nouveau véhicule identifier quels modèles sont les plus sécuritaires pour une conduite en milieu urbain.

Le second vise à créer des normes minimales pour des technologies comme le freinage d’urgence automatique, qui tiennent déjà compte des autres véhicules et qui devront aussi à l’avenir repérer les piétons ou les cyclistes pour éviter les collisions avec eux également.

Source: NHTSA

Le texte La sécurité des piétons devient la nouvelle priorité de la NHTSA provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

– Le PDSF de départ de l’Atlas 2024 est de 49 995 $ et celui de l’Atlas Cross Sport 2024 est de 48 895 $.

– L’Atlas offre un habitacle remanié.

– Le nouveau moteur turbo de 2,0 litres de série remplace les options quatre cylindres et VR6® précédents,

– La finition Peak Édition s’ajoute à la gamme

Un prix révisé à la baisse et une nouvelle version

L’Atlas proposera quatre niveaux de finition, dont une nouvelle finition Peak Édition, tandis que l’Atlas Cross Sport proposera trois niveaux de finition. Pour 2024, la famille Atlas sera propulsée uniquement par un moteur quatre cylindres 2,0 litres turbo de 269 chevaux et 273 lb-pi de couple. Le nouveau moteur offre une puissance similaire à celle du VR6 sortant, une augmentation du couple. Une transmission automatique à huit vitesses et le système de traction intégrale 4MOTION de Volkswagen sont de série sur toute la gamme de modèles.

Un habitacle rafraîchi

Des matériaux haut de gamme sont adoptés partout. L’éclairage d’ambiance disponible en option avec 30 choix de couleurs est associé à un décor rétroéclairé sur le tableau de bord avec le nom du modèle pour rehausser le nouveau design. Les modèles haut de gamme sont équipés de sièges en cuir matelassé à motif de points de diamant. Un volant chauffant avec palettes de changement de vitesse, des sièges avant ventilés et un siège passager réglable en hauteur font désormais partie de l’équipement de série, tout comme la climatisation automatique à trois zones. La console centrale a été redessinée et comprend désormais un espace de rangement. Les modèles Peak Édition présentent des détails intérieurs et extérieurs uniques, notamment des éléments d’habillage de la carrosserie, des jantes uniques et des pneus tout-terrain.

Gamme de prix

L’Atlas Comfortline est proposé à partir d’un PDSF de 49 995 $. Il est équipé de série de jantes en alliage d’aluminium usiné de 18 pouces ; de phares à DEL avec AFS (système d’éclairage avant adaptatif) et de feux arrière à DEL ; d’un rétroviseur intérieur à gradation automatique ; d’essuie-glaces à détecteur de pluie ; de l’accès sans clé KESSY® avec démarrage par bouton-poussoir et déverrouillage de proximité ; d’un écran d’infodivertissement tactile de 12 pouces ; d’un Cockpit numérique Pro de Volkswagen de 10. 25 pouces Volkswagen Digital Cockpit Pro ; hayon électrique avec fonction d’ouverture et de fermeture faciles ; ensemble de remorquage (jusqu’à 5 000 lb) ; App connect sans fil ; connectivité à distance Volkswagen Car-Net® ; système audio à six haut-parleurs ; charge rapide de 45 W ; charge sans fil ; volant multifonction chauffant avec palettes de changement de vitesse ; démarrage à distance ; surfaces des sièges en similicuir ; sièges avant et rétroviseurs latéraux chauffants ; siège conducteur à 10 réglages électriques ; sièges avant ventilés ; Climatronic à trois zones ; détection du port de la ceinture de sécurité à l’arrière et système de rappel des sièges arrière.

L’ensemble IQ.DRIVE® est désormais de série sur toutes les versions et complète la suite d’aides à la conduite avec l’assistance au voyage, l’assistance frontale, l’assistance latérale active, l’assistance de trajectoire, l’alerte de trafic arrière, le régulateur de vitesse adaptatif avec Stop and Go et l’assistance en cas d’urgence.

Une nouvelle version haut de gamme

L’Atlas Peak Edition est proposé à partir de 53 995 $. L’équipement de série comprend des jantes en alliage noir de 18 pouces avec pneus tout-terrain, un habillage de soubassement argenté, le logo Peak Édition, une couleur et un décor intérieurs uniques, des éléments de style extérieur éclairés à l’avant et à l’arrière, des plaques de seuil de porte en aluminium, des pare-soleil à la deuxième rangée, un éclairage d’ambiance 30 couleurs et des embouts de pédale en acier inoxydable.

Le toit ouvrant panoramique est la seule option de cette version, au prix de 1 500 dollars. L’Atlas Highline commence à un PDSF de 56 995 $. L’équipement de série comprend des jantes en alliage usiné de 20 pouces, des sièges en cuir, un toit ouvrant panoramique, des rails de toit argentés, un système audio Harman Kardon® Premium – 10 haut-parleurs plus un extrême-grave, un système de navigation, une fonction de mémorisation pour le siège du conducteur et les rétroviseurs latéraux, un siège du passager avant à 8 réglages électriques, des sièges extérieurs chauffants à la deuxième rangée, un système d’assistance lumineuse (contrôle automatique des feux de route), des phares D.E.L. dynamiques avec feux d’angle et un affichage dynamique des panneaux de signalisation routière.

Gamme Atlas Cross Sport

La gamme Cross sport comporte les mêmes équipements que les modèles Atlas, à l’exception de la 3e rangée. L’Atlas Cross Sport Comfortline commence à 48 895 $. L’Atlas Cross Sport Highline à 55 895 $ et L’Atlas Cross Sport Execline R-Line à 58 895 $.

Le texte Volkswagen Canada annonce les prix des nouveaux Atlas et Atlas Cross Sport 2024 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Honda continuera à fournir des groupes motopropulseurs à la Formule 1 lorsque les règles changeront pour la saison 2026, mais il s’associera à une nouvelle équipe de course.

Bienvenue chez Aston-Martin

Mardi soir, Honda et Aston Martin ont annoncé que Honda Racing Corporation concevra, développera et fabriquera des moteurs pour l’équipe Aston Martin Aramco Cognizant pour la saison 2026 de Formule 1. Honda estime que la technologie des groupes motopropulseurs pourra être appliquée à des véhicules de série. Aston Martin qui utilise présentement des moteurs Mercedes sera responsable de la conception du reste de la voiture.

Nouveau moteur et nouveau carburant

La F1 adoptera de nouvelles règles en matière d’unités de puissance pour la saison 2026. Le carburant sera 100 % neutre en carbone et le moteur électrique fournira trois fois plus de puissance qu’aujourd’hui. La Formule 1 développe le carburant avec Aramco, la compagnie pétrolière nationale d’Arabie saoudite, et prévoit qu’il sera prêt à temps pour cette saison. Selon les nouvelles règles, les voitures de F1 utiliseront une configuration hybride V-6 turbo de 1,6 litre, qui est la configuration actuelle. La nouvelle unité de puissance éliminera le moteur-générateur MGU-H qui récupère l’énergie des gaz d’échappement via le turbocompresseur. Il restera le moteur MGU-K, qui récupère l’énergie des freins arrière, mais qui développera 469 chevaux contre 160 chevaux aujourd’hui, soit une augmentation d’environ 20 % par rapport à la répartition 50/50 avec le moteur. L’une des clés de la performance sera la batterie, qui devra être capable de fournir rapidement une puissance élevée. Au total, l’unité de puissance continuera à produire environ 1 000 chevaux, mais grâce à l’augmentation de la puissance électrique, la consommation de carburant devrait passer d’environ 220 livres aujourd’hui à 154 livres.

Les règles de la F1 imposeront également un plafond de coût au composant à combustion interne de l’unité de puissance, réduiront le temps passé sur les bancs d’essai et limiteront chaque voiture à trois unités de puissance par saison.

Avec des renseignements de Motor authority

Le texte Honda et Aston-Martin vont faire équipe en 2026 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

– Le VinFast VF 8 2023 arrive maintenant aux États-Unis et au Canada.

– La consommation d’énergie de la VF 8 entièrement électrique a été révélée au Canada.

– Il s’agit du véhicule électrique le plus énergivore sur le marché

Le constructeur automobile vietnamien VinFast arrive au Canada, promettant des véhicules électriques intelligents, sûrs et respectueux de l’environnement, tout en se déclarant prêt à mener la révolution des véhicules électriques. Son premier modèle en Amérique du Nord est le VinFast VF 8, et ses cotes de consommation d’énergie sont désormais disponibles, du moins sur le marché canadien.

Des indices de consommation élevée

Alors que les États-Unis profitent d’une édition City (qui offre un peu moins d’autonomie), le Canada reçoit la version standard en modèle Eco et plus. Il offre une batterie de 87,7 kWh, avec une autonomie de 425 km pour la version Eco, tandis que la version Plus affiche une autonomie de 391 km. En ce qui concerne la consommation d’énergie exprimée en Le/100 km, le VinFast VF 8 en version Eco est légèrement moins efficace que ses concurrents, avec une consommation combinée équivalente de 3,1 Le/100 km.

Voici un petit tableau comparatif de la concurrence

Modèle Autonomie

(km)

Ville/route

Combiné (Le/100 km)

Ville/route

Combiné (MPGe)

Ville/route

Combiné (kWh/100 km)

VinFast VF 8 Eco 425 3.0 / 3.3 / 3.1 78 / 71 / 76 26.4 / 29.5 / 27.8
Cadillac Lyriq AWD 494 2.4 / 2.9 / 2.7 98 / 81 / 87 21.8 / 25.8 / 23.6
Genesis GV70

électrique

383 2.4 / 2.8 / 2.6 98 / 84 / 90 21.3 / 25.1 / 23.0
Lexus RZ 450e (roues 18 pouces 354 2.0 / 2.4 / 2.2 118 / 98 / 107 18.1 / 21.4 / 19.6
Mercedes-Benz EQB 350 4MATIC 356 2.4 / 2.5 / 2.4 98 / 94 / 98 21.4 / 22.0 / 21.7

Quant à la variante Plus, dotée d’un moteur plus puissant, elle affiche une moyenne combinée de 5,2 Le/100 km. Ce dernier chiffre fait du crossover VinFast le véhicule électrique le plus gourmand en énergie actuellement disponible sur le marché canadien et américain.

À titre de comparaison, le gargantuesque GMC Hummer EV 2024 qui fait pencher la balance à plus de 4 000 kg affiche une consommation moyenne équivalente de 4,4 Le/100 km. Et même équipé de son ensemble Off-Road en option, qui ajoute des pneus hors route ainsi que le poids et la résistance aérodynamique supplémentaires des plaques de protection, des différentiels avant et arrière verrouillables, des protections de bas de caisse avec marchepieds d’assistance et des caméras de dessous de caisse, le Hummer EV SUV consomme de l’énergie à un taux de 4,7 Le/100 km.

Modèle Autonomie (km) Ville/route

Combiné (Le/100 km)

Ville/route

Combiné (MPGe)

Ville/route

Combiné

(kWh/100 km)

VinFast VF 8 Plus 391 4.9 / 5.4 / 5.2 48 / 44 / 45 43.8 / 48.4 / 45.9
GMC Hummer EV VUS (Extreme Off-Road Package) 480 4.3 / 5.2 / 4.7 54 / 45 / 50 37.9 / 46.6 / 41.6
GMC Hummer EV VUS 505 4.0 / 4.9 / 4.4 59 / 48 / 53 35.8 / 43.8 / 39.4
Rivian R1S / R1T (All-Terrain) 441 3.6 / 3.9 / 3.7 65 / 60 / 64 32.0 / 35.0 / 33.4
Ford F-150 Lightning Platinum 483 3.2 / 3.9 / 3.5 74 / 60 / 67 28.7 / 35.0 / 31.5

Le premier client américain de la VinFast VF 8 a pris livraison de son véhicule en février, tandis que la première livraison de VF 8 pour le Canada est arrivée la semaine dernière, les livraisons commençant en juin. Le VF 8 sera suivi par le VinFast VF 9, plus grand et à trois rangées, ainsi que par les VF 6 et VF 7 à des dates ultérieures. Il sera intéressant de voir si le groupe motopropulseur du VF 9 à sept places sera plus économe en énergie ou moins performant en raison de la taille et du poids supplémentaires du véhicule.

Avec des renseignements de Motor Illustrated

Le texte Un Vinfast VF8 consomme plus qu’un GMC Hummer provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, a déclaré que la province offrait plus d’argent (sans préciser combien) pour tenter d’empêcher le constructeur automobile Stellantis de se retirer de la construction d’une usine de batteries pour véhicules électriques à Windsor, en Ontario.

Un chantier à l’arrêt

Stellantis et LG Energy Solution ont annoncé l’année dernière qu’elles construisaient l’usine de 5 milliards de dollars, mais elles ont arrêté la construction la semaine dernière et ont prévenu qu’elles mettaient en œuvre des plans d’urgence parce que le gouvernement fédéral n’a pas respecté un accord. Le mois dernier, les PDG des deux entreprises ont écrit au Premier ministre Justin Trudeau pour lui dire qu’Ottawa avait confirmé par écrit à cinq reprises qu’il offrirait des incitations à la production équivalentes à celles prévues par la loi américaine sur la réduction de l’inflation, mais qu’il n’avait pas tenu ses engagements.

Prêt à déménager aux États-Unis

Stellantis a également averti qu’il élaborait des plans d’urgence, signe qu’il était prêt à déplacer le projet de l’autre côté de la frontière. L’usine, qui devrait employer 2 500 personnes et entrer en production l’année prochaine, serait capable de produire 45 gigawattheures de cellules et de modules lithium-ion par an pour alimenter les usines Stellantis au Canada et aux États-Unis. La construction de la partie de l’usine consacrée aux modules a été interrompue, mais les travaux se sont poursuivis ailleurs sur le site. Le constructeur automobile a accusé Ottawa de revenir sur une promesse faite antérieurement, alléguant que le gouvernement fédéral n’avait « pas respecté ce qui avait été convenu ».

On veut avoir ce que Volkswagen a reçu

La frustration de Stellantis à l’égard du rythme des négociations du gouvernement fédéral a semblé s’intensifier après que le Canada a signé un accord le 21 avril de cette année avec Volkswagen pour la construction d’une gigafactory de batteries à St. Le gouvernement fédéral s’est engagé à fournir à VW jusqu’à 13,2 milliards de dollars de crédits d’impôt pour la fabrication jusqu’en 2032, tandis que le plus grand constructeur automobile européen investit jusqu’à 7 milliards de dollars dans la construction de l’usine. Les incitations correspondent à celles de la loi sur la réduction de l’inflation, qui prévoit une incitation de 35 dollars américains par kWh pour la production de cellules et une incitation de 10 dollars américains par kWh pour la production de modules de batterie.

Avec des renseignements d’Automotive News Canada

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  • Ford devient le tout premier client de Nemaska Lithium

  • l’hydroxyde de lithium sera produit à l’usine de Bécancour pour la production de ses batteries de véhicules électriques (VÉ).

Ford a conclu un accord à long terme avec Nemaska Lithium pour l’approvisionnement en produits de lithium, notamment de l’hydroxyde de lithium, sur une période de 11 ans. L’accord prévoit la livraison d’un maximum de 13 000 tonnes d’hydroxyde de lithium par an. L’entente prévoit également qu’avant de commencer à livrer l’hydroxyde de lithium produit à Bécancour, Nemaska Lithium fournira à Ford du concentré de spodumène provenant de sa mine Whabouchi. Le projet intégré de Nemaska Lithium sera le premier projet à produire de l’hydroxyde de lithium au Québec.

L’hydroxyde de lithium qui sera produit par l’entreprise québécoise et fournie au constructeur automobile répondra à des standards élevés en matière de qualité et de développement durable, grâce notamment à une empreinte carbone parmi les plus faibles dans son industrie. L’hydroxyde de lithium produit par Nemaska Lithium devrait permettre aux véhicules Ford de bénéficier des avantages fiscaux accordés aux consommateurs en vertu de la loi américaine sur la réduction de l’inflation.

Nemaska Lithium est détenue à parts égales par deux investisseurs solides, soit Investissement Québec, l’agence de développement économique du gouvernement du Québec, et Livent, joueur de renommée internationale du secteur du lithium. Grâce à son expertise chevronnée comme producteur de lithium, Livent a été désignée par le conseil d’administration de Nemaska Lithium pour entreprendre, sur une base exclusive, les efforts de ventes et de marketing de ses produits, efforts qui ont mené à la conclusion de la présente entente. D’autres ententes avec des clients sont à prévoir d’ici la fin de l’année 2023.

Le texte Ford signe un accord avec l’entreprise québécoise Nemaska Lithium provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile