Les amateurs de voitures sport connaissent la C-111. Une voiture expérimentale qui en 1969 était la première voiture à atteindre les 300 km/h avec un moteur Wankel de 2,4 litres. Il y a eu ensuite une deuxième génération avec moteur TurboDiesel de 3 litres et 2 autres générations avec un moteur V8 de 4,5 litres qui a réussi à pousser la voiture à plus de 400 km/h. 54 ans plus tard, Mercedes-Benz présente une nouvelle étude baptisée la Vision One-Eleven qui associe un langage stylistique très extravertie à un groupe motopropulseur entièrement électrique.

Une silhouette qui rappelle la légende

Outre la couleur de la carrosserie qui rappelle la couleur du modèle de 1969, Mercedes a aussi conversé les portes en ailes de mouette, une signature de la marque. Le design est extrême avec la partie avant surbaissée à la partie arrière musclée, elle s’inscrit dans un arc lisse qui confère à la silhouette du véhicule, haute d’à peine plus d’un mètre (1,16 m), un aspect extrêmement sculptural. Les roues de grand diamètre, insérées dans les passages de roue sous les ailes volumineuses et évasées, en sont un autre exemple. Cela renforce l’impression d’une machine sportive sans compromis et aérodynamiquement raffinée. Le design des roues intègre des éléments puissamment structurés qui évoquent les enroulements d’un moteur électrique – un indicateur clair du groupe motopropulseur tout électrique de pointe qui sous-tend la Mercedes-Benz Vision One-Eleven. Ces éléments contrastent vivement avec le design iconique, minimaliste et lisse de la surface du véhicule, qui s’apparente davantage à une œuvre d’art sculpturale. Ce contraste est typique des facteurs x que la marque applique à sa réflexion sur le design et constitue une caractéristique distinctive de la Vision One-Eleven.

Un moteur électrique à flux axial

Sur le plan technique, le moteur à flux axial, extrêmement puissant et très efficace, a été mis au point par le spécialiste des moteurs électriques YASA. L’entreprise britannique est une filiale à 100 % de Mercedes-Benz AG depuis juillet 2021. Mercedes-Benz développe cette technologie et prédit qu’un moteur à flux axial sera dans une voiture de production d’ici deux ans. Les moteurs à flux axial sont 66 % plus compact que les moteurs électriques actuels, offre une même puissance et son trois fois plus léger. Il offre aussi un bien meilleur refroidissement et de fortes possibilités pour les voitures de performances électriques. Par rapport aux moteurs à flux radial, le moteur à flux axial offre une réserve de puissance considérablement plus élevées et plus durables, ce qui permet d’atteindre un tout nouveau niveau de performance

Intérieur futuriste

Ambiance futuriste et luxueuse avec des couleurs contrastées qui rappelle le passé. Le matériau est fabriqué à partir de polyester recyclé à 100 %. D’autres éléments, tels que les accoudoirs des seuils et de la console centrale, ainsi que la tablette arrière située sous le vaste pare-brise arrière, sont revêtus de cuir orange vif. La transition entre l’intérieur et le compartiment à bagages se fait ainsi en douceur. Le cuir, traité de manière durable, a été tanné à l’aide d’écorces de grains de café. L’aluminium poli des branches du volant et des sangles incrustées dans les accoudoirs souligne l’aspect et la sensation de technologie. Il en va de même pour les pédales de frein et d’accélérateur, toutes deux en aluminium poli et fixées au sol. Pour le reste, l’équipement intérieur de la Mercedes-Benz Vision One-Eleven a été réduit au minimum. Le seul élément très complexe de l’habitacle est le volant gainé de cuir, équipé de diverses commandes fonctionnelles et d’éléments tactiles ultramodernes. Il est complété par un écran tactile compact à haute résolution, monté sur le côté du volant et orienté vers le conducteur. Il affiche toutes les informations pertinentes sur le véhicule, selon les besoins. En outre, l’affichage 3D des pixels présente des œuvres d’art numériques sous la forme d’un flux de codes QR grossièrement tramés, dans le style des premiers téléscripteurs numériques.

Des produits dérivés à édition limitée

Parallèlement à la présentation de l’étude de la voiture de sport, Mercedes-Benz lance la collection “EDITION LIMITEE 1 SUR 111”. Pour la première fois, une étude de design emblématique est accompagnée d’une collection de style de vie exclusive. Cette collection transpose l’esprit des années 1970 dans le présent. Les cinq articles sont chacun limités à 111 pièces. Vous avez un sac de voyage en argent, orange et noir avec un motif de diamant frappant. Les deux écussons en cuir gaufré situés à gauche et à droite affichent le logo Mercedes-Benz d’un côté et l’étiquette de l’édition limitée de l’autre. En outre, un pendentif en cuir noir porte l’inscription “Vision One-Eleven”. Outre les deux poignées en cuir, le sac de voyage est doté d’une bandoulière avec un rembourrage en cuir. Le sac de voyage (dimensions : environ 19,5 x 12 x 11 pouces) peut contenir environ 40 litres. Vous avez aussi les verres Carl Zeiss Vision N2020 de couleur orange, un chandail à capuche, la casquette en coton orange avec boucle métallique et une housse pour l’iPhone 14 Pro, orange à l’extérieur, doublée de microfibre grise à l’intérieur.

Le texte Une interprétation moderne d’un classique: La Vision One-Eleven provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Après Ford et GM, c’est au tour de Stellantis d’examiner la possibilité de joindre la norme NACS. Stellantis est présentement à évaluer cette norme et va sans doute réalisé comme Ford et GM qu’il y a une grande économie en bout de piste d’avoir déjà un réseau à haute vitesse d’établi pour ses futurs produits électrique. Des responsables de la marque ont déclaré à l’agence Reuters. “Notre objectif est d’offrir au client la meilleure expérience de recharge possible. Notre marque Free2Move Charge offrira des solutions simples et transparentes, que ce soit à la maison ou en déplacement, grâce à des partenariats avec des fournisseurs de services de recharge”, a déclaré l’entreprise.

Une décision qui arrivera sous peu

Comme Ford et GM, Stellantis veut offrir aussi rapidement que possible un réseau fiable et étendu à sa clientèle qui aurait accès à 12 000 bornes de recharge rapide un peu partout en Amérique du Nord. Au-delà d’ouvrir son réseau aux autres constructeurs, Tesla va aussi de cette manière faire consensus autour de la norme NACS. Le PDG de Tesla, Elon Musk, a déclaré lors d’une conférence à Austin (Texas) mardi que l’ouverture de ses réseaux de recharge exclusifs “pourrait en fait constituer un désavantage concurrentiel”, mais que cela “aiderait le reste de l’industrie”.

“Je pense que c’est moralement juste, mais il reste à voir si c’est financièrement intelligent”, a-t-il déclaré.

Avec des renseignements d’Automotive News

Le texte Au tour de Stallantis de considérer joindre la norme de recharge de Tesla provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Telo réinvente le concept de la camionnette, d’abord en l’électrifiant, mais aussi en la rendant plus pratique et encore moins encombrante qu’une Ford Maverick ! Cette jeune entreprise californienne a diffusé aujourd’hui les premières images de sa création, de même des caractéristiques qui ont tout pour faire saliver les amateurs de nouveautés, d’autant plus qu’elle n’arrivera pas à terme avant au moins trois ans.

Mesurant seulement 3 861 mm de bout en bout, cette camionnette d’aventurier urbain a des dimensions d’un véhicule sous-compact. Elle n’est pas plus longue qu’une Mini Cooper à 3 portes !

Cela ne l’empêche pas d’avoir un habitacle à 4 portes assez spacieux pour accueillir cinq passagers, affirment ses concepteurs. De plus, sa caisse a une surface utile de 1 524 mm (60 pouces). C’est plus qu’avec une Ford Maverick, qui doit se contenter d’une caisse de 1 382 mm (54,4 po).

De conception traditionnelle, la petite camionnette de Ford a également un moteur thermique logé à l’avant de sa carrosserie, chose que n’a pas la Telo. L’absence totale de porte-à-faux avant le démontre clairement et lui donne cette longueur minimaliste qui favorisera son utilisation dans les espaces de stationnement réduits et les petites rues des villes congestionnées.

Rappelez-vous la Midgate de l’Avalanche

De plus, les photos fournies par Telo nous permettent de constater que la cloison arrière de l’habitacle peut être ouverte (comme la Midgate d’une Chevrolet Avalanche) pour accroître la surface de chargement en sacrifiant les places arrière, une caractéristique qui fait défaut à la Maverick.

Cette conception permettrait de charger dans cette caisse de 60 x 60 x 18 po des feuilles de contreplaqué de 4 x 8 pi, de longues échelles ou même une planche de surf de 9 pi.

Pour ajouter à son côté pratique, on a aussi prévu un couvre-caisse coulissant qu’on imagine semblable à celui d’une camionnette Hyundai Santa Cruz. On trouve aussi de petits coffrets aménagés dans les ailes arrière, devant la roue.

La caisse pourra aussi être modifiée pour recevoir une seconde banquette à trois places et une extension pour le toit, qui transformera cette camionnette en utilitaire.

Puissant et performant

Côté technique, les concepteurs attribuent une masse de 2 000 kg à leur camionnette. Ses deux moteurs qui livreront 380 kW (500 ch) aux quatre roues seront alimentés par une batterie offrant une autonomie de 550 km. Cette motorisation procurera une vitesse de pointe de 200 km/h et une accélération de 0 à 100 km/h en 4 s environ.

Cette entreprise de San Carlos, Californie, a été fondé par Jason Marks et Forrest North. Le premier est connu pour le travail accompli dans le développement des dispositifs d’aide à la conduite modernes, alors que le second a travaillé à la conception de la batterie de la Tesla Roadster.

Après avoir quitté l’entreprise d’Elon Musk, North a cofondé Mission Motors en 2007, une entreprise qui devait lancer une motocyclette électrique de haute performance, projet qui n’a jamais abouti. Plus récemment, il a été impliqué dans un autre projet visant à établir dans les grandes villes un service de trottinettes électriques en partage appelé Neptune.

À ce duo s’ajoute le Suisse Yves Béhar, le fondateur de Fuseproject. Ce studio de design international, qui a conçu l’intérieur et l’extérieur de la camionnette, a réalisé auparavant de nombreux projets pour de grands noms, notamment Samsung, L’Oréal, Puma, SodaStream et Prada.

Un nom emprunté au grec ancien

Quant au nom Telo, il provient du mot grec ancien telos (τέλος), qui signifie but, résultat, achèvement. Les cofondateurs s’en sont inspirés parce qu’il évoquait une vision d’avenir utile pour le transport durable, nous apprend la porte-parole de Telo, Sydney Mauro.

Naturellement, on est encore loin de voir cette camionnette sillonner nos routes. Il reste beaucoup de travail à faire pour l’amener du stade de développement à la production et la commercialisation.

D’ici là, l’entreprise entend construire les 500 premiers exemplaires à la main au cours des deux prochaines années pour ensuite laisser à un assembleur établi aux États-Unis (aucun nom n’a été mentionné) le soin d’amorcer la production de masse, étape que Telo espère atteindre d’ici trois ans. C’est du moins ce qu’affirme le site FastCompany, qui a interrogé les cofondateurs et Béhar.

Entre-temps, les gens qui sont séduits par ce concept — et par le prix annoncé, soit 49 999 $US —peuvent verser dès maintenant un dépôt de 152 $US (oui, c’est vraiment le montant exigé) pour en réserver un.

Photos : Telo

Le texte Telo présente la camionnette (électrique) réinventée provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

– Le modèle s’inspire du concept Wildcat EV.

– Le système Super Cruise sera proposé dans une Buick.

– L’intérieur a également été revu.

Devant le peu de succès de son modèle jusqu’à présent, Buick décide de prendre le taureau par les cornes pour l’année modèle 2024. Après avoir récemment dévoilé les Encore GX et Envista, Buick a révélé les premiers détails de son Envision.

Enfin, un style qui nous parle

Le principal changement esthétique se trouve à l’avant, où le département de design a complètement revu le museau du véhicule. La nouvelle face avant s’inspire du concept Wildcat EV, avec sa large calandre au centre, ses feux diurnes à DEL aux extrémités du capot et ses phares dissimulés en dessous. Pour l’instant, Buick ne dispose que de cette photo de profil du nouveau modèle, mais on peut deviner que les changements à l’arrière seront plus sobres. Les jantes de cette livrée Avenir sont également nouvelles. Quant au nouveau logo à trois boucliers, il se trouve en plein centre du capot avant.

Ménage à l’intérieur aussi

Buick a également profité de l’occasion pour intégrer son système de conduite semi-autonome Super Cruise. Ce système, basé sur le régulateur de vitesse intelligent de la marque, est compatible avec plus de 644 000 km de routes nord-américaines aux Etats-Unis et au Canada. Il y a fort à parier que ce système d’aide à la conduite sera (probablement) limité à cette seule finition Avenir, une stratégie employée ailleurs dans l’empire GM. Pour l’instant, les modèles les plus équipés sont ceux qui ont droit au Super Cruise.

Pas d’information pour le moteur

Si le groupe motopropulseur devrait rester inchangé en 2024 – c’est-à-dire le même 4 cylindres turbo de 2,0 litres – le tableau de bord est entièrement nouveau, même si la photo fournie par Buick ne montre qu’une petite partie du vaste écran qui s’étendra jusqu’au centre. On peut supposer qu’il s’inspirera de celui embarqué à bord des nouveaux Encore GX et Envista. On remarque également le nouveau volant, plus moderne, et la bande lumineuse verte qui accompagne le système Super Cruise.

Plus de détails seront fournis plus tard cette année, lorsque les premiers exemplaires du nouveau modèle 2024 seront disponibles.

Avec des renseignements de Motor Illustrated

Le texte Un changement de style pour le Buick Envision 2024 provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile

Vous avez d’un côté la compagnie Glencore qui empoisonne à l’arsenic la vie des habitants de la région de Rouyn-Noranda à la fonderie Horne et souligne des exigences environnementales trop sévères et « sans fondement scientifique » menaçant la fermeture de la fonderie refusant de payer les 500 millions nécessaire pour rendre l’air plus respirable. Et de l’autre côté, Glencore vient de s’associer à Stellantis et Volkswagen pour soutenir une opération d’un milliard de dollars en vue d’acheter deux mines au Brésil.

Glencore va investir 100 millions

Cette opération intervient alors que les fusions-acquisitions dans le secteur minier se multiplient, encouragées en partie par les investisseurs qui parient sur la hausse de la demande de métaux nécessaires à la transition vers l’énergie verte dans les années à venir. ACG, une société d’acquisition à but spécial (SPAC) cotée à Londres, achètera les mines de sulfure de nickel Santa Rita et de cuivre Serrote à des fonds d’investissement privés Glencore investira 100 millions de dollars dans le capital d’ACG. Stellantis et le fonds d’investissement minier La Mancha Resource Capital fourniront chacun un investissement en capital du même montant, tandis que PowerCo effectuera un prépaiement de 100 millions de dollars en nickel.

Glencore sera propriétaire à 51 %

ACG deviendra ACG Electric Metals et émettra de nouvelles actions, faisant de Glencore, Stellantis et La Mancha les propriétaires de 51% et laissant 49%. Les deux mines utilisent l’énergie hydraulique pour leur production et envisagent des expansions. Est-ce que Glencore aurait compris maintenant une conscience environnementale. Chose certaine, il ne faut jamais avoir pitié de ses multinationales qui bafouent les règles pour assouvir leur propre avidité.

Avec des renseignements de Reuters

Le texte Glencore va investir 100 millions de dollars dans des mines au Brésil provient de L’annuel de l’automobile – Actualité automobile